VOYAGE EN ACADIE : LA MINE SELEINE — GROSSE-ÎLE, ÎLES-DE-LA-MADELEINE

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« Si la partie Nord des Îles vous semble plus calme, cela s’explique par le fait que toute la vie culturelle se passe au centre et à l’extrémité Ouest. Cela a toujours été. Il arrive en saison estivale que quelques activités aient lieu à Grande-Entrée (mon village natal) mais ce n’est que le temps d’un week-end.» JEAN ÉLOQUIN, JUL20.

« If the northern part of the Islands seems quieter to you, this is explained by the fact that all cultural life takes place in the center and at the western end. It always has been. It happens in the summer season that some activities take place in Grande-Entrée (my native village) but this is only the time of a weekend.»

From « VOYAGE EN ACADIE* » (*would come from the word « algatig » in Mi’kmaq language meaning « place of camp »).

Two years ago, with my girlfriend Léa, we explored part of Canada. A journey that will immerse us in the history of Acadia, this historic region of Eastern Canada where the first French settlers of the 17th century settled. We will meet the maple syrup producer Simon, the Acadienne Chantal, the potter & barman from ferry Bernard, the Madelinienne Nadine and a happy band of Saint-Pierrais and Miquelonais.


Nourri par le travail de la grande reportrice Marie-Hélène Fraïsse ou encore la riche programmation du festival « Etonnants Voyageurs » de Saint-Malo, en France, mon rapport au voyage et au paysage est depuis toujours intimement lié à ma pratique de la photographie. Ces trois dernières années j’ai eu la chance de me rendre dans des endroits reculés où s’est écrit une même histoire, que ce soit sur l’archipel africain de São Tomé-et-Príncipe, en Acadie à l’est du Canada, ou encore dans la baie de Disko au Groenland. Ces lieux m’ont éveillé. Ils ont enrichi mon rapport au monde et à l’histoire en me ramenant à l’ère des «premiers contacts». Aujourd’hui en tant que photographe-auteur je m’emploie à explorer des territoires à la fois géographiques, historiques et intérieurs. Soutenu par une démarche documentaire une grande partie de mon travail s’intéresse à l’écologie, à l’histoire globale, mais aussi aux notions de famille et de transmission des savoirs.

Source :  « VOYAGE EN ACADIE* » Jeremy BLAHAY