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Le député Joël Arseneau honore quatre Madeliniennes et Madelinots

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Pour une troisième année, le député Joël Arseneau a décerné la médaille de l’Assemblée nationale à des Madelinots et Madeliniennes d’exception, et ce, en reconnaissance de leur engagement auprès de notre communauté insulaire. « Que ce soit dans le domaine de la santé, l’enferment envers les enfants ou les aînés, du développement communautaire ou de la culture, les quatre personnes auxquels nous rendons hommage aujourd’hui méritent la reconnaissance de toute notre population », a soutenu l’élu.

Ainsi, Mme Hélène Decoste, M. Roméo Deraspe, Soeur Amabilis Deveau et M. Georges Langford se sont vu remettre la médaille de l’Assemblée nationale afin de souligner leur remarquable contribution au milieu de vie madelinot. C’est lors d’une cérémonie officielle, au Domaine du Vieux Couvent de Havre-aux-Maisons, dimanche, que les récipiendaires ont reçu cet honneur, accompagnés de leurs proches.

Il est important de souligner les grandes réalisations des membres de notre communauté pour notre communauté, estime le député Joël Arseneau. « Je salue l’engagement et le dévouement exceptionnel de ces Madelinots et Madeliniennes. Ces gens contribuent grandement au développement de notre collectivité insulaire », souligne l’élu.

  • Le député Joël Arseneau décerne la médaille de l’Assemblée nationale à quatre Madelinots et Madeliniennes ;
  • Le député organise l’événement pour une troisième année consécutive ;
  • Mme Hélène Decoste, M. Roméo Deraspe, Soeur Amabilis Deveau et M. Georges Langford ont reçu la médaille lors d’une cérémonie au Domaine du Vieux-Couvent ;
  • L’engagement de ces gens a largement contribué au dynamisme, à la vitalité et au développement de notre communauté insulaire.

« Les récipiendaires de la médaille de l’Assemblée nationale sont de véritables modèles pour notre communauté insulaire. Ils méritent toute la reconnaissance des gens des Îles-de-la-Madeleine. Je suis fier de décerner à mes
concitoyennes et concitoyens cette marque de distinction, et ce, au nom de tous les Madelinots, » a poursuivi Joël Arseneau.

Les médailles de l’Assemblée nationale du Québec sont décernées par le président de l’Assemblée ou par l’un des 125 députés à des personnalités québécoises, canadiennes ou étrangères méritant la reconnaissance des députés de l’Assemblée et de la population du Québec.

L’attribution des médailles est régie par une politique établie en 2001 et adoptée par l’Assemblée en avril 2002. Un registre permanent des récipiendaires existe depuis mars 2001.


242782537_6286429914763874_9173431592045673575_nHélène Decoste
Hélène Decoste est la 4e d’une famille de 5 enfants. Chez elle, l’accueil, le sens du service et du partage, la famille, la musique et l’amour des Îles sont à l’honneur ! Elle a grandi à Fatima avec ses parents et ses deux soeurs, Diane et Sylvie, et deux frères, François et André. Outre sa carrière dans le milieu scolaire, aux Îles, on connaît beaucoup Hélène pour son amour des enfants. La cause des enfants, encore les enfants, toujours les enfants guide sa vie. Elle se dit impressionnée par la grande résilience des Enfants Soleil et de leurs parents — nous le sommes tous. Faire partie de leur parcours d’Enfant Soleil est un grand privilège, selon Hélène. Eh bien, la population de l’archipel est elle-même privilégiée de pouvoir compter sur des citoyens et citoyennes engagés comme celle qu’on honore à l’instant. Cette année a marqué son départ à la retraite après une longue et fructueuse carrière en enseignement. Mais, tant et aussi longtemps que des enfants auront besoin d’un coup de main, tant qu’on devra les aider à aller mieux, à se sentir mieux, à redonner un brin de réconfort et d’espoir aux parents, Hélène sera là, avec Opération Enfant Soleil. Ainsi, « pour son dévouement à la cause des enfants malades, pour les rayons de soleil et d’espoir offerts aux familles des Îles », nous lui décernons la médaille de l’Assemblée nationale.


242789143_6286429941430538_8661642983031992667_nRoméo Deraspe
Quiconque connaît Roméo Deraspe sait qu’il est dévoué à sa communauté. Il a consacré une grande partie de sa carrière au service de son prochain. Titulaire d’un baccalauréat spécialisée en administration de l’Université du Québec à Chicoutimi, c’est dans le domaine de la santé que Roméo s’est démarqué dans l’archipel au fil des ans, entre le Centre de santé de l’archipel, le CLSC des Îles et plus récemment à la direction d’une entreprise d’économie sociale en aide à domicile. Depuis 17 ans maintenant, il est directeur général de la Corporation de services d’aide à domicile l’Essentiel, que nous connaissons tous. Impossible de passer sous silence cet engagement qui, au fil du temps, a bénéficié à bon nombre de personnes aînées des Îles-de-la-Madeleine, ainsi qu’à leurs familles. Donc, « pour sa contribution au mieux-être des gens des Îles en santé, au soutien à domicile et à promouvoir l’économie sociale », je suis heureux de décerner
la médaille de l’Assemblée nationale à monsieur Roméo Deraspe.


242596712_6286429698097229_1958389798173006550_nAmabilis Deveau
C’est à Bassin qu’Amabilis Deveau a vu le jour. Fille d’Elzéar Deveau et de Madeleine Leblanc, elle a été élevée dans une famille de 12 enfants. Elle a été enseignante de profession. Puis, comme bien des Madelinots et Madeliniennes, Soeur Amabilis a quitté ses Îles pour suivre son parcours. Elle est devenue religieuse de la Congrégation Notre-Dame de Montréal. Pendant près de 30 ans, toujours avec des personnes du milieu et des partenaires, Soeur Amabilis a travaillé en
paroisse et pour des causes sociales : réparation de maisons, construction d’un jardin d’enfant, clinique de santé, enfin dans ce qui pouvait aider les personnes à se prendre en main et à vivre debout. C’est ce qu’elle appelle de l’éducation libératrice. Ses Îles l’ont rappelé au bercail en 2006 alors qu’elle s’établit à Grande-Entrée. Les jeunes familles, la Maison des jeunes, l’école restent toujours pour elle d’une très grande importance. C’est donc « pour son dévouement
envers sa communauté, de l’Amérique centrale jusqu’au village de la Grande-Entrée » que je suis fier de remettre à Soeur Amabilis Deveau la médaille de l’Assemblée nationale du Québec.


242694705_6286429801430552_6683577482670954309_nGeorges Langford
Cet auteur-compositeur-interprète bien de chez-nous fait partie de nos partys de famille depuis plus d’un demisiècle. Georges Langford n’est pas qu’un chansonnier. Il est aussi écrivain et poète. Il a publié L’Anse-aux-Demoiselles en 1985 aux éditions Leméac. En 1992, Le premier voyageur a été publié par la maison d’édition Hexagone, oeuvre pour laquelle il a reçu le prix littéraire Jovette-Bernier remis par le Salon du livre de Rimouski. En 2001, Georges Langford est récompensé pour l’ensemble de son oeuvre par le Grand prix du festival international de poésie Ronald-Gasparic en Roumanie. En 2015, la Société Nationale de l’Acadie lui décerne la Médaille Léger-Comeau, la plus haute distinction offerte par le peuple acadien. Ses poésies ont résonné au-delà du golfe, jusque dans la métropole et son oeuvre s’est installée dans les foyers du Québec et même du monde avec son « Frigidaire », dont nous sommes toujours aussi fiers. En tant que député des Îles-de-la-Madeleine, je suis très fier de décerner à Georges Langford la médaille de l’Assemblée nationale « pour l’ensemble de son oeuvre, à mettre en mots et en musique les accents, la culture et le quotidien des Madelinots. »

LA UNE : De g. à d. : Georges Langford, auteur-compositeur-interprète ; Hélène Decoste, coordonnatrice – Opération Enfant Soleil ; Joël Arseneau, député des Îles-de-la-Madeleine ; Sœur Amabilis Deveau, Religieuse – missionnaire et bénévole ; Roméo Deraspe, directeur général – Corporation l’Essentiel
Source : Bureau du député des Îles-de-la-Madeleine

De nouvelles règles à l’assurance-emploi entreront en vigueur dimanche

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Le système d’assurance-emploi est prêt pour une autre série de changements liés à la pandémie. En voici quelques-uns qui s’appliqueront aux demandes de prestations présentées à compter du dimanche 26 septembre.

De nombreux travailleurs ont vu leurs heures réduites pendant la pandémie, ce qui signifie qu’ils n’ont peut-être pas travaillé suffisamment d’heures pour être admissibles.

Au cours de la dernière année, tous les nouveaux demandeurs d’assurance-emploi ont reçu un complément d’heures unique pour les aider à se qualifier. Cet aspect disparaîtra dimanche pour être remplacé par l’exigence uniforme d’avoir travaillé 420 heures, qui sera en place pendant un an, soit jusqu’au 24 septembre 2022.

Le gouvernement exige également que le demandeur voulant recevoir des prestations de maladie de l’assurance-emploi présente un certificat médical prouvant qu’il est malade et ne peut pas travailler. Cette règle avait été levée temporairement au cours de la dernière année en raison de la COVID-19.

Avantages
Le plancher hebdomadaire des prestations passera de 500 $ à 300 $, conformément à la valeur des paiements au titre de la Prestation canadienne de rétablissement disponible pour ceux et celles qui ne sont pas admissibles à l’assurance-emploi.

Le plancher hebdomadaire devrait s’appliquer aux réclamations effectuées entre le 26 septembre et le 20 novembre.

La durée et la valeur des prestations seront à nouveau calculées en utilisant les taux de chômage régionaux qui ont été temporairement remplacés au cours de la dernière année par un taux de chômage uniforme de 13,1 %.

Les responsables de l’assurance-emploi utiliseront également des règles simplifiées concernant les indemnités de départ et de vacances afin que les prestataires puissent commencer à recevoir des prestations plus tôt. Les versements peuvent retarder leur début ainsi que leur valeur.

Cependant, il y aura de nouveau une semaine d’attente avant que les prestations soient versées pour toute nouvelle demande d’assurance-emploi. La période d’attente avait été annulée au cours de la dernière année.

LA UNE : De nombreux travailleurs ont vu leurs heures réduites pendant la pandémie, ce qui signifie qu’ils n’ont peut-être pas travaillé suffisamment d’heures pour être admissibles. PHOTO : LA PRESSE CANADIENNE / PAUL CHIASSON

Magnifiques photographies sous-marines

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Alex Voyer et Alex Roubaud sont deux amis passionnés de photographies et de plongée sous-marine en apnée.

En alliant ces deux activités, le duo nous plonge dans les eaux profondes des océans pour un moment privilégié au milieu de bancs de dauphins et de requins ou en tête à tête avec une baleine.

Des images exceptionnelles, à découvrir 

 

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Source : fisheyes.fr

Le chef du Parti conservateur du Québec en tournée aux Îles-de-la-Madeleine

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Le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, était en visite samedi à Bassin, aux Îles-de-la-Madeleine, pour rencontrer les Madelinots et former l’association de circonscription.

Une quinzaine de membres du parti ont assisté à l’événement. M. Duhaime estime qu’il y a dorénavant une soixantaine de membres sur l’archipel.

ans aux Îles-de-la-Madeleine. Une dizaine de personnes ont été élues aujourd'hui sur l'exécutif de la circonscription. À partir de maintenant, on a une équipe locale","text":"On a eu notre premier exécutif conservateur en 86ans aux Îles-de-la-Madeleine. Une dizaine de personnes ont été élues aujourd'hui sur l'exécutif de la circonscription. À partir de maintenant, on a une équipe locale"}}">On a eu notre premier exécutif conservateur en 86 ans aux Îles-de-la-Madeleine. Une dizaine de personnes ont été élues aujourd’hui sur l’exécutif de la circonscription. À partir de maintenant, on a une équipe locale, affirme-t-il.

Au cours de l’été, Éric Duhaime a réalisé plusieurs visites dans les différentes circonscriptions du Québec, dont quelques-unes en juin dans l’Est-du-Québec.

«C’est super important pour moi de rencontrer des gens qui me parlent de la réalité locale.» – Une citation de :Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec

Depuis un an et demi, ce que les Madelinots ont vécu est bien différent des gens qui vivent à Montréal. Il n’y a pratiquement pas eu de cas et d’hospitalisation. Ils sont dans une réalité bien différente, mais les mesures sanitaires, bizarrement, ont été encore plus sévères et plus drastiques pour les Madelinots, estime M. Duhaime.

C’est une réalité que je n’aurais pas pu comprendre à partir de Québec ou de Montréal, donc c’est pourquoi c’était important pour moi de m’imbiber de ce que les gens des Îles ont vécu, ajoute le chef du Parti conservateur du Québec.

Parmi les enjeux à l’échelle régionale que le Parti conservateur entend considérer, il y a l’érosion des berges et la décentralisation.

On m’a parlé de la décentralisation à tous les niveaux, mais particulièrement au niveau du système de santé. C’est en droite ligne avec la philosophie conservatrice; on est un parti qui est décentralisateur et je pense que dans certaines régions, notamment ici, c’est le genre de discours qui peut plaire, croit M. Duhaime.

Un parti qui a le vent dans les voiles

Le chef soutient que le Parti conservateur connaît une croissance importante depuis qu’il en est à la tête.

Quand j’ai annoncé ma candidature à la direction du parti, il y a 10 mois, il comptait 500 membres. Au moment où on se parle, on est le parti qui a le plus de membres au Québec, plaide-t-il.

On en a plus de 35 000 et le chiffre ne cesse de grandir de jour en jour. On est rendu un parti qui est capable d’avoir une organisation nationale dans chacune des circonscriptions.

«Aujourd’hui aux Îles, il y a deux ou trois personnes qui ont levé la main et qui on dit que si jamais on cherche un candidat, ça pourrait les intéresser.» – Une citation de :Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec

J’ai été étonné de combien il y avait de gens qui étaient prêts à publiquement s’afficher et à commencer à s’activer aux Îles, mentionne-t-il.

Par ailleurs, M. Duhaime avance que les Madelinots seraient mieux représentés par son parti que le Parti Québécois (PQ) sur certains enjeux.

Je me rends compte qu’il y a beaucoup de gens aux Îles qui ont souffert énormément et ce n’est pas la COVID-19 qui a été le principal problème; ça a été beaucoup les mesures sanitaires abusives, tranche M. Duhaime.

Le Parti Québécois a tenu un discours qui était très près du nôtre au niveau local, mais malheureusement, ce n’était pas le message qui était véhiculé sur la scène nationale. C’est un parti qui a beaucoup appuyé les politiques du gouvernement Legault. Je pense que si les Îles veulent être mieux entendues, ils seraient mieux avec un porte-parole du Parti conservateur du Québec, termine-t-il.

Dimanche, Éric Duhaime ira à la rencontre des différents acteurs de la sphère économique. Lundi, il sera de retour à Québec.

PAR : Alice Proulx
LA UNE : Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec. (archives) PHOTO : RADIO-CANADA

Des instants de magie

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Un feu d’artifice de souffles et de breachs

« Vendredi matin, j’embarque sur un zodiac d’excursions aux baleines, raconte notre rédactrice en chef. Je viens de passer la nuit au bord du fleuve, et le souffle des baleines a bercé mes songes. Mais je n’étais visiblement pas la seule à avoir entendu l’appel du large : ce matin-là, je retrouve sur le bateau, de manière fortuite, plusieurs collaborateurs du monde des baleines. Est-ce pour nous que les baleines se sont donné rendez-vous ? Arrêtés au large des dunes de Tadoussac, nous voilà encerclés. À perte de vue, des souffles. Une cinquantaine d’individus, peut-être. À gauche, des dos noirs s’entrelacent lorsqu’une formation serrée d’une quinzaine de rorquals communs vient respirer en surface. À droite, un groupe de trois baleines à bosse plonge, laissant s’épanouir leurs caudales hors de l’eau telles d’immenses fleurs en noir et blanc. Autour du bateau, plusieurs petits rorquals flirtent avec le miroir de la surface. En fermant les yeux, le crépitement des respirations qui se répercute de part et d’autre rappelle l’acte de clôture d’un feu d’artifice. »

Le parc marin est un générateur de rêves éveillés. Lundi, le photographe Renaud Pintiaux a vécu une expérience émouvante. Il a eu la chance d’entendre les souffles nocturnes de nombreux rorquals à bosse à partir de la rive, aux Escoumins: «Sous la grande lune… Deux rorquals à bosse dans la nuit… J’en avais les larmes aux yeux». À l’aube de cette même journée, il avait aussi observé un cocktail diversifié de baleines : des rorquals communs, des rorquals à bosse, des petits rorquals, des marsouins communs… et un rorqual bleu! «Je pouvais contempler un rorqual bleu qui nageait au large de la baie des anémones depuis ma roulotte.», dit-il.

PHOTOS : Souffles de rorquals à bosse aux couleurs de l’arc-en-ciel. © Renaud Pintiaux

Éphémérides : Le minéralier La Saulnière, reçoit la première cargaison de sel

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26 septembre 1982 : Le minéralier Agosea, rebaptisé La Saulnière, reçoit la première cargaison de 20 000 tonnes métriques de sel à Mines Seleine.

Dimensions (métriques)


Longueur 642 ’10  » ( 195.94m )
Profondeur 42 ’00  » ( 12,80 m )
Capacité – été, eau salée 23.430 tonnes ( 23,805 tonnes)
              – Fuel 529 tonnes ( 537 mt )
              – Huile diesel 223 tonnes ( 227 tonnes)
              – Eau potable 162 tonnes ( 165 mt )
              – Ballast d’eau 10,428 tonnes ( 10.596 tonnes)
 Puissance (diesel ) 8.800 b.h.p. ( 6472 kw)

 

Photo : St. Lawrence River by Trois-Rivieres, QC, Aug. 23, 2007. / Michel St-Denis 

La pensée du crabe masqué

– Faites l’amour, pas la guerre!
– Ou les deux, mariez-vous! – Jean Yanne

Bedecomics

 

Éphémérides du 24 septembre : diffusion en 1963 premier épisode du téléroman « Rue de l’Anse »

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Le 24 septembre 1963, diffusion sur le réseau français de la télévision Radio-Canada du premier épisode du téléroman « Rue de l’Anse », tourné à Les Méchins. Une série présentée comme « familiale, légère et gaie ». 

« Rue de l’anse » est un téléroman québécois en 91 épisodes de 25 minutes en noir et blanc créé par Jovette Bernier et Guy Fournier et diffusé jusqu’au 23 août 1965. Chacun forme une histoire complète à elle seule.

Présenté chaque mardi à 20 h, ce téléroman réalisé par Pierre Gauvreau met notamment en vedette Gilles Pelletier, Gisèle Schmidt et Daniel Gadouas. Au total, la distribution compte une vingtaine d’acteurs.

Autour des Joli : la population pittoresque du petit village

La famille Joli vit à Belle-Rivière en Gaspésie. Le père, Félix, est propriétaire d’une goélette et fait du cabotage le long de la Côte-Nord et de la péninsule. Sa femme, Ange-Aimée, est une mère dévouée.

Leur fils de 12 ans, Yves, est au centre de l’action. Intelligent et sensible, très proche de son père, il est toujours partant pour une nouvelle aventure.

Autour des Joli gravite la population pittoresque du petit village : le marin Désiré Lamy, le marchand général Palma Gagnon, le curé et la ménagère du presbytère, la jeune serveuse du restaurant, le policier et le grand-père d’Yves.


Reconnaissez-vous Michel Désautels et Michel Rivard, l’animateur radio et le chanteur, parmi les enfants d’un extrait de «Rue de l’anse»?
©«Rue de l’Anse». Archives Radio-Canada

 


PAR: Romain Pelletier, Initiative de journalisme local
LA UNE : Capture d’écran d’un des épisodes de «Rue de l’Anse». Archives Radio-Canada

Transport aérien régional : attention aux turbulences!

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Attention aux mirages! prévient Yani Gagnon, vice-président exécutif et copropriétaire de Pascan aviation, qui relie Montréal et Québec aux principales destinations de l’Est de la province. « Ce qu’on entend c’est, achetez des avions plus gros, baissez vos prix, il va y avoir plus de volume passager, ça va stimuler la demande et tout le monde va sortir gagnant de ça », résume monsieur Gagnon qui y voit une sorte de pensée magique.

« Quand on parle de transport régional, au Québec, on parle de petites pochettes de marché. Aux Iles de la Madeleine, par exemple, il y a 13 000 habitants. Gaspé, 15 000, et Sept-Îles, 25 000 habitants », analyse le copropriétaire de Pascan, qui survole le Québec depuis 1999. « Présentement, nous, on utilise des avions de 33 sièges, des SAAB-340 », précise Yani Gagnon.

Il s’agit d’appareils beaucoup plus petits que les Bombardier Q400 qu’envisage utiliser la Coopérative de transport régional, TREQ. « Mettre un avion de 78 sièges en service, dire qu’on va offrir plus qu’un vol par jour, sept jours par semaine et qu’on va le remplir tous les jours? C’est impossible », tranche le vice-président de Pascan. « Les pochettes de marché sont tellement petites que ça ne peut pas supporter des avions de ce gabarit-là », croit monsieur Gagnon qui signale que la desserte de Gaspé, amorcée avec le retrait d’Air Canada, donne peu de résultats pour le moment. « C’est pas la mer à boire. On est là tous les jours et on a, en moyenne, six passagers embarqués », raconte l’entrepreneur qui admet que la situation sanitaire actuelle brouille les données. En situation sanitaire normale, la compagnie estime que l’achalandage quotidien devrait être quatre fois plus important, à l’aéroport de Gaspé.

Chez TREQ, on croit cependant possible d’arriver à convaincre plus de Québécois de prendre l’avion. Serge Larivière, son directeur général, croit que le potentiel du transport aérien régional est sous exploité au Québec. « Selon Statistique Canada, soutient monsieur Larivière, il manquerait cinq millions de passagers dans les aéroports de la province pour rattraper la moyenne canadienne. » Pour lui, la raison est simple : le prix des billets est trop élevé. « L’offre actuelle vise essentiellement le trafic des gens d’affaires qui eux, sont capables de payer le mille dollars ou le 1 200 dollars pour aller à un meeting à Montréal ou à Québec », observe le directeur général de TREQ qui se dit convaincu que «si on arrive avec une structure tarifaire avec un avion qui permet de le faire, ça déclenche tout un nouveau trafic. »

Serge Larivière en veut pour preuve ce qu’on observe à Mont-Tremblant. Air Canada et Porter y offrent des billets aller-retour entre Toronto et la municipalité des Laurentides pour un prix qui oscillerait entre 280 et 350 dollars. « À ces prix-là, ils remplissent des Q400 [des avions de 78 sièges]. Porter est à Tremblant depuis 15 ans. Ils doivent certainement faire un peu d’argent », relève monsieur Larivière.

Yani Gagnon appose cependant un bémol à l’enthousiasme de la direction de TREQ, dont il ne veut pas commenter le projet directement. La comparaison avec l’achalandage observé dans le reste du Canada tient difficilement la piste, dit-il. Selon lui, on ne peut pas comparer un vol entre Edmonton et Calgary, en Alberta, avec un autre entre Sept-Îles et Québec, où le volume passager est beaucoup plus faible. Puis, ajoute finalement Yani Gagnon, « s’il y avait une recette magique, des gens très connaissants du marché l’auraient mise en place. »

 

Par Claude Fortin, Initiative de journalisme local / Monmatane.com

Florence CYR (1942-2021)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 21 septembre 2021, de madame Florence Cyr. Elle était âgée de 78 ans, résidente de Verdun et originaire des Îles-de-la-Madeleine.

Elle était l’épouse de monsieur Jean-Claude Target, la mère de Mélanie (Matthieu Dunogier) et Caroline (Axel Seguin). Elle avait sept petits-enfants Zoé, Colin, Éloi, Agathe, Blanche, Justine et Clara. Elle laisse aussi dans le deuil ses frères et soeurs, beaux-frères, belles-soeurs, neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules le mardi 28 septembre 2021 à compter de 14h. Suivront les funérailles à 17h à l’église Notre-Dame du Rosaire de Fatima.

À noter que les rituels funéraires se tiendront dans le respect des consignes et des règles sanitaires en vigueur : port du masque, lavage des mains et distanciation physique.

Toutes marques de sympathie peuvent aussi être témoignées à la famille par voie électronique.


Les dons reçus seront versés à la Fondation québécoise du Cancer.

Photo d’une tempête sur le pacifique

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C’est une magnifique photo prise par le pilote Santiago Borja d’une tempête sur le pacifique.

Quand Santiago ne travaille pas comme pilote pour la compagnie LATAM Ecuador Airlines, il vole encore pour sa passion de la photographie.

Un fan de clichés aériens qui peut combiner ses deux passions et tente régulièrement de prendre des images de formations nuageuses comme celle de cette tempête sur le pacifique.

Voici quelques autres prises de vue :

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Source : santiagoborja.com

Fondues parmesan maison

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Pour les ingrédients :

  • 250 ml (1 tasse) de farine
  • 430 ml (1 3/4 tasse) de lait
  • 375 ml (1 1/2 tasse) de parmesan râpé
  • 250 ml (1 tasse) de chapelure
  • 2 litres (8 tasses) d’huile de canola
  • 80 ml (1/3 de tasse) de beurre
  • 4 oeufs de la ferme avicole Bourgeois Dumont (2 jaunes battus + 2 entiers)

Pour la préparation : Dans une casserole, faire fondre le beurre à feu moyen. Saupoudrer de 125 ml (1/2 tasse) de farine et cuire de 1 à 2 minutes sans colorer la farine en fouettant constamment. Verser le lait et porter à ébullition en remuant régulièrement. Ajouter le parmesan et les jaunes d’oeufs battus. Saler, poivrer et remuer. Cuire de 1 à 2 minutes à feu doux. Verser la préparation dans un plat de cuisson carré de 20 cm (8 po). Égaliser la surface. Couvrir et réfrigérer de 3 à 4 heures. Tailler la préparation au parmesan refroidie en huit carrés. Préparer trois assiettes creuses. Dans la première, verser le reste de la farine. Dans la deuxième, battre les oeufs entiers. Dans la troisième, verser la chapelure. Fariner les carrés de parmesan, les tremper dans les oeufs battus, puis les enrober de chapelure. Dans une grande casserole ou dans une friteuse, chauffer l’huile de canola. Faire frire quelques carrés de parmesan à la fois de 2 à 3 minutes et égoutter sur du papier absorbant. Délicieux

Un envoi de Audrey Lapierre dans le cadre du Défi Boustifaille