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Émily Bégin: «Je pense que les gens vont être surpris»

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Son rôle dans la série FEM, de la réalisatrice Marianne Farley, où elle interprète une chanteuse déchue qui prend sous son aile un jeune voisin talentueux en questionnement sur son identité de genre (personnifié par Lennikim), a résolument planté une graine fertile dans la carrière d’Émily Bégin.

Elle qui rêvait depuis toujours de décrocher des contrats comme actrice réalise encore davantage cette ambition cette année. Non seulement la deuxième saison de FEM – où son personnage sera de retour – sera enregistrée en mars et avril pour Unis TV, mais Émily Bégin a également obtenu un rôle épisodique dans la fiction quotidienne Indéfendable, à TVA!

Ses scènes dans Indéfendable ont été tournées avant Noël, a raconté Émily en entrevue avec nous, et celles-ci seront diffusées à l’écran au début février.

«Je pense que les gens vont être bien surpris de me voir dans ce rôle-là», a indiqué la comédienne, précisant du même souffle que le cas d’Indéfendable impliquant son personnage est inspiré d’une histoire de l’actualité ayant réellement défrayé les manchettes.

L’affaire recèle quand même un peu de mystère, puisqu’Émily Bégin explique que la femme qu’elle incarne «se fait enlever, séquestrer», et que son mari, personnifié par Daniel Thomas, recevra une demande de rançon. Or, la dame n’est pas que victime, puisqu’elle devra subir un procès et qu’elle siégera au banc des accusés. Me Kim Nolin (Julie Trépanier) sera son avocate.

«C’est rough, comme personnage, c’est vraiment flyé! C’était vraiment particulier de me retrouver dans le palais de justice pour la comparution. C’est intimidant, mais ça m’a aidée dans mon jeu. J’ai eu plein de belles scènes avec mon kidnappeur, avec Daniel Thomas – c’est une perle, mon chum avait déjà tourné avec lui et il m’avait dit que c’était un amour –, avec Julie Trépanier, qui est super, tellement gentille!»

Enchantée de son expérience dans le décor d’Indéfendable, Émily a de surcroît été très flattée des commentaires de la réalisatrice Mariane McGraw à son endroit après le tournage.

«Elle m’a dit: Ayoye, tu es ma découverte! Tu vas en entendre parler! C’est bien excitant!», a souligné la nouvelle professeure d’éducation physique et de danse à Star Académie, qui démarrera à TVA ce dimanche, 19 janvier, à 19 h. Un mandat qui n’est pas totalement étranger à Émily, car celle-ci a autrefois travaillé sur les chorégraphies de Chanteurs masqués, de Star Académie (les éditions 2004, 2005, 2009 et 2012), de la pièce annuelle Revue et corrigée, au Théâtre du Rideau Vert, et qui a même déjà été entraîneuse privée dans un gym Énergie Cardio.

«Travailler avec des non-danseurs, c’est ce qui me fait le plus tripper! On ne fera pas des danseurs de Révolution avec les académiciens en 12 semaines, mais le but, c’est de faire du sport. Je me vois comme une coach. Moi, je vais conseiller aux jeunes d’être en forme mentalement – parce que ce métier peut être troublant – et physiquement.»

Voyez ou revoyez ici les photos de notre rencontre avec toute l’équipe de Star Académie 2025!

Top-4 : Colton Dach inscrit son premier but dans la LNH

Il y avait quatre matchs dans la Ligue nationale de hockey hier soir.

Le CH n’était pas en action, mais on surveillait quand même ces matchs.

On a d’ailleurs eu droit à plusieurs faits saillants évidemment, et en voici un compte-rendu.

1. Un premier but dans la LNH pour Colton Dach

Le réveil offensif de Kirby Dach avec le Canadien de Montréal a drôlement pas mal coïncidé avec les débuts de son frère Colton Dach dans la LNH avec les Blackhawks de Chicago.

En effet, Colton Dach fait ses premiers pas dans la LNH, et il disputait hier soir son 10ᵉ match en carrière.

Et pour l’occasion, eh bien, le petit frère de Kirby s’est payé son premier but dans la Ligue nationale de hockey.

C’est un bel accomplissement pour Colton Dach, qui compte désormais quatre points en dix matchs depuis qu’il a été rappelé dans la LNH.

Voici ses impressions sur son premier but dans la LNH.

Pour ce qui est du match en tant que tel, les Blackhawks affrontaient le Lightning de Tampa Bay, et avaient la chance d’aider le Canadien de Montréal en l’emportant.

C’est passé proche, alors que les Blackhawks menaient 3 à 2 avec moins d’une minute à faire au match, mais malheureusement, Jake Guentzel a égalisé le match, et Nikita Kucherov a ensuite joué les héros en prolongation.

2. Cole Perfetti inscrit son premier tour du chapeau en carrière

Dans un match opposant les Jets de Winnipeg au Club de Hockey de l’Utah, le choix de première ronde (10ᵉ au total) en 2020 des Jets s’est illustré avec trois buts.

En effet, dans cette victoire de 5 à 2 des Jets, Cole Perfetti a inscrit son premier tour du chapeau en carrière.

Il est le 40ᵉ joueur de l’histoire à inscrire un tour du chapeau dans l’uniforme des Jets.

Perfetti compte désormais 28 points, dont dix buts, en 50 matchs.

3. Alexander Romanov ramasse Cam York

Ce qui a fait de Romanov un favori de la foule à Montréal, c’était ses percutantes mises en échec.

Il était grandement apprécié pour son jeu robuste et physique, et c’est la même chose à New York avec les Islanders.

D’ailleurs, hier soir, dans une importante victoire de 3 à 1 des Islanders face aux Flyers de Philadelphie, Romanov a servi une solide mise en échec au défenseur Cam York.

Les Islanders sont de retour à .500 avec cette victoire, et sont à six points des séries avec deux matchs en main sur les Blue Jackets de Columbus.

4. Grosse victoire des Stars face aux Golden Knights

Dans un duel de titans, entre deux des meilleurs clubs de la conférence de l’Ouest et de la LNH au complet, ce sont les Stars de Dallas qui l’ont emporté 4 à 3 face aux Golden Knights de Vegas.

Jason Robertson s’est illustré avec deux buts, dont le but gagnant, afin de permettre aux Stars de reprendre la deuxième place de la section centrale devant le Wild du Minnesota.

Il y a vraiment toute une ambiance à Dallas lors des matchs, et cela s’est senti de nouveau hier soir lors d’un match face à une grosse équipe comme les Golden Knights.

Prolongation

– Un beau but de gardien dans la OHL.

– Voici les résultats de la veille.

– Voici les meilleurs pointeurs de la veille.

(Crédit: NHL.com)

– Au programme aujourd’hui dans la LNH : 13 matchs.

(Crédit: Google/NHL)
(Crédit: Google/NHL)

Volkswagen annonce officiellement que l’ID.7 ne sera pas commercialisée en Amérique du Nord

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Les derniers mois et les dernières semaines auront été remplis de chamboulements et de rebondissements dans le domaine des véhicules électriques. Dans cette foulée, Volkswagen a pris tout le monde par surprise en annonçant aujourd’hui l’annulation de la commercialisation de la berline ID.7 sur le marché nord-américain. Cette décision fait suite au report initial annoncé par le constructeur, qui souhaitait privilégier l’arrivée de l’ID.Buzz.

Une annulation surprise

La Volkswagen ID.7 devait être le troisième véhicule électrique de la famille ID. à être offert sur le marché nord-américain. Avec son format proche de celui d’une Passat, elle semblait être un bon complément à l’ID.4 et à l’ID.Buzz actuellement disponibles. Nous avions eu l’occasion de la voir de près à plusieurs reprises au cours de la dernière année, puisqu’elle avait été présentée dans différents salons de l’auto en Amérique du Nord. Cependant, contre toute attente, Volkswagen vient d’annoncer que ses plans ont changé et que la berline ID.7 ne sera finalement pas commercialisée en Amérique du Nord. Pour le moment, aucune information supplémentaire n’a été avancée par Volkswagen Canada concernant cette décision et les raisons exactes qui ont poussé à ce choix.

D’autres modèles dans les plans

Suite à cette annonce, nous avons interrogé Thomas Tetzlaff, responsable des communications pour Volkswagen Canada, sur les projets du constructeur en matière d’électrification et sur l’arrivée d’autres modèles. Sans entrer dans les détails, il nous a confirmé que d’autres véhicules électriques étaient prévus pour notre marché et que plus d’informations seraient communiquées en temps et lieu.

Pour l’instant, nous ignorons quels modèles pourraient être ajoutés à l’offre électrique de Volkswagen au Canada, si ce n’est l’ID.GTI, dont l’entrée en production est prévue pour 2026.

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Mazda MX-5 édition 35e anniversaire 2025 : pas donnée, mais exclusive

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Le constructeur japonais Mazda est reconnu pour deux choses : son moteur rotatif et, surtout, son petit roadster deux portes, la MX-5, autrefois connu sous le nom de Miata. Pour célébrer les 35 ans de sa petite sportive, Mazda introduit au Canada la Mazda MX-5 édition 35e anniversaire 2025, une édition exclusive destinée à marquer cet anniversaire spécial.

Mazda a profité de la conclusion de la première course Mazda MX-5 Cup de la saison 2025 et de l’approche de la 62e édition des 24 Heures Rolex de Daytona pour présenter la voiture en première.

Offerte à seulement 230 exemplaires pour le Canada, l’édition 2025 du 35e anniversaire de la Mazda MX-5 comprend le même niveau d’équipement que la version GT. Elle se distingue principalement par sa couleur baptisée rouge vibrant artisan. À l’instar du rouge cristal vibrant bien connu, cette couleur comporte une finition à trois couches unique et constitue le quatrième ajout à la gamme de peintures Takuminuri de Mazda. Vous la reconnaissez peut-être, car elle est également disponible sur le Mazda CX-90.

Toit souple et boîte manuelle

Le coloris est accompagné d’un toit souple beige et de roues de 17 pouces au fini gris brillant. L’édition spéciale du 35e anniversaire inclut aussi un aileron arrière électrique. En option, une plaque affichant le numéro de série peut être ajoutée sur l’aile.

À l’intérieur, on retrouve un habitacle classique avec des tapis de couleur taupe et des sièges en cuir nappa ornés d’emblèmes du 35e anniversaire brodés.

Sous le capot, elle dispose du même moteur 4 cylindres de 2,0 litres atmosphérique qui développe une puissance de 181 chevaux avec un couple de 151 livres-pied. Ce moteur est jumelé à une transmission manuelle à six rapports.

Pour 2025, la Mazda MX-5 est proposée à un prix de base de 38 659 $.

L’avis de RPM

La Mazda MX-5 conserve depuis des années tout l’ADN de la marque en termes de plaisir de conduite. Sans être surpuissante, elle nous connecte à la route, ce qui fait tout son charme. Il reste peu de voitures de ce genre, surtout dans cette gamme de prix. Joyeux anniversaire à la MX-5, et nous espérons qu’elle restera avec nous encore de nombreuses années.

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Plusieurs autres nouveautés seraient à venir chez Cadillac

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Aujourd’hui, Cadillac a procédé au lancement du tout nouveau LYRIQ-V 2026. Ce premier modèle électrique sous l’écusson V de la marque de luxe américaine illustre que les véhicules de performance de Cadillac ne s’éteindront pas avec l’arrivée des véhicules électriques. Lors de la présentation de ce modèle, j’ai eu l’occasion d’avoir quelques indices sur le futur de la marque à court et à moyen termes.

De nouveaux modèles à venir

Sans divulguer de détails sur un nom, une carrosserie ou un modèle, Cadillac a mentionné avant de présenter le LYRIQ-V 2026 que de belles choses s’en venaient au cours de l’année à la suite de la présentation de ce présent modèle. Il n’en fallait pas plus pour deviner que Cadillac nous présentera fort probablement des nouveautés au cours de l’année. Cependant, de quoi peut-il bien s’agir? Il ne serait pas étonnant de voir le badge V apparaître sur d’autres véhicules électriques de la gamme. De plus, lors de la présentation, la porte ne semblait pas fermée à moyen terme à de futures livrées électriques dans la gamme V Blackwing.

Une future berline électrique?

Lors de la période de questions, j’ai demandé si une berline électrique était dans les plans du constructeur. Bien sûr, j’ai eu droit à la fameuse phrase habituelle : « Nous ne pouvons pas donner de détails supplémentaires pour le moment concernant cette question, et il faudra demeurer attentif sur ce qui est à venir. »

Après tout, la venue d’une berline électrique dans la gamme Cadillac serait logique puisque le constructeur a l’intention de devenir un leader de l’électrification dans le milieu des véhicules de luxe. De plus, il faut rappeler que certains constructeurs qui figurent dans la catégorie des berlines de luxe offrent des voitures de luxe à motorisation électrique. Nous n’avons qu’à penser à Audi, à BMW, à Genesis ou à Mercedes-Benz, pour ne nommer que ces marques. Aussi étrange que cela ne puisse paraître, Cadillac ne semble pas considérer Tesla comme une concurrente directe et affirme que le modèle d’affaire et les produits aurait une approche différente.

Pour en revenir à la berline électrique de Cadillac, certaines images ont circulé sur le web l’an dernier montrant en arrière-plan d’une capture d’écran une berline Cadillac qui ne ressemblait à rien actuellement offert sur le marché. De plus, elle semblait être muni d’une grille de calandre fermée, comme on en retrouve sur les véhicules électriques. Pour le moment, il ne s’agit que de rumeurs, mais le temps nous dira si cela est vrai ou faux.

Quoi qu’il en soit, il sera intéressant de suivre ce que Cadillac présentera au cours de l’année. Rappelons que plusieurs modèles débarqueront chez nous cette année dont le Cadillac Escalade IQ 2025, l’OPTIQ 2025 et le VISTIQ 2026.

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Le successeur du Dakota devrait arriver d’ici 2027

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Depuis quelques années, la catégorie des camionnettes intermédiaires a su regagner en popularité. Autrefois délaissée au profit des camionnettes pleine grandeur, elle est de retour en force. Cela s’explique en partie par le prix des camionnettes pleine grandeur, qui atteint de nouveaux sommets, ainsi que par la hausse marquée du prix du carburant au cours des dernières décennies. Alors que plusieurs constructeurs proposent un modèle dans cette catégorie, un modèle brille par son absence depuis plusieurs années : le Dakota. Cependant, certaines informations parues plus tôt cette semaine semblent indiquer que Stellantis prépare son retour dans la catégorie des camionnettes intermédiaires, et ce, d’ici à 2027.

Un retour après plusieurs années d’absence

Le Dodge Dakota a été offert aux consommateurs durant de nombreuses années. Cependant, depuis son retrait en 2011, aucun remplaçant ne lui a succédé en Amérique du Nord. Le constructeur avait alors choisi de concentrer ses énergies sur sa gamme de camionnettes pleine grandeur, sous la marque Ram à l’époque.

Plus d’une décennie plus tard, il semblerait que les nombreux changements sur le marché poussent le constructeur américain à revoir son approche et à envisager un retour dans cette catégorie. Selon les informations circulant sur le web, ce retour pourrait avoir lieu d’ici à 2027.

Une nouvelle presque confirmée

Bien qu’aucun communiqué de presse officiel n’ait été publié par Stellantis à ce sujet, la nouvelle semble pratiquement confirmée. C’est du moins ce que l’on peut déduire d’un communiqué de presse rendu public le 22 janvier 2025 par l’UAW (syndicat United Auto Workers). L’UAW a exercé de nombreuses pressions sur Stellantis pour que l’entreprise tienne sa promesse de rouvrir l’usine d’assemblage de Belvidere, en Illinois. Cette promesse avait été faite lors des négociations contractuelles de 2023. On apprend également que cette décision aurait été prise par la nouvelle direction en place, puisque l’ancien PDG, Carlos Tavares, avait révoqué cet engagement.

De plus, certains médias automobiles américains ont rapporté au cours des dernières semaines que des dirigeants de Stellantis aux États-Unis avaient déclaré être impatients de présenter leur nouvelle camionnette intermédiaire.

Mais alors, pourquoi presque confirmé? Stellantis nous a souvent habitués à présenter un projet ou un modèle qui allait voir le jour et qui finalement pour diverses raisons est abandonné en cours de route. Il sera donc intéressant de suivre si cette nouvelle se concrétise ou s’il s’agit d’un autre projet qui restera sur les tablettes.

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Le Tesla Model Y « Juniper » débarquera au Canada en mars prochain

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Alors que Tesla a annoncé très récemment des hausses de prix pour tous ses modèles à compter du 1er février, elle nous prend encore par surprise. L’entreprise californienne a annoncé hier, par l’entremise de son configurateur en ligne, que le Tesla Model Y redessiné, lequel est surnommé « Juniper », sera mis en vente au Canada à compter du mois de mars prochain.

Pour l’heure, une seule version sera proposée en quantités limitées. Elle portera le nom de « Launch Series » et arrivera avec une grande quantité d’équipement embarqué. Le véhicule, basé sur une version à longue autonomie et à rouage intégral, sera entre autres équipé de la conduite entièrement automatique (nécessitant une supervision), une option normalement vendue au prix de 11 000 $. De plus, il semble que l’attache-remorque, d’une valeur de 1300 $, soit également inclus de série.

Le prix de l’édition de lancement « Launch Series » est de 87 608 $, peu importe les options que vous allez choisir. Contrairement à d’autres modèles Tesla, le fait de changer la couleur du véhicule ou de choisir les roues de 20 pouces au lieu des roues de 19 pouces ne change pas le prix. 4 couleurs sont proposées (Gris furtif, Blanc perle multicouche, Ultra rouge et Quicksilver) et l’autonomie variera entre 484 et 503 kilomètres en fonction des roues choisies.

À titre de comparaison, un Tesla Model Y 2025 actuel, avec la conduite entièrement automatique, les roues de 20 pouces et l’attelage de remorque se vend au prix de 85 108 $, un prix qui subira vraisemblablement une hausse de 4000 $ à compter du premier février, selon ce qu’on peut lire sur le site web de l’entreprise. Donc, le prix du modèle « Juniper » semble logique par rapport au modèle actuel, d’autant plus que davantage d’équipements sont embarqués. Mentionnons les sièges avant climatisés, les sièges arrière à commande motorisée, l’écran de 8 pouces ajouté aux sièges arrière et une chaine audio à 15 haut-parleurs (plutôt que 13). Le constructeur affirme également que la suspension a été recalibrée pour être plus douce et que certaines caractéristiques de connectivité ont été améliorées.

De plus, quand on consulte le site web, on se rend compte que la version retravaillée propose des données de performance plus relevée que celle du modèle régulier de 2025. Le constructeur affirme entre autres que le véhicule peut abattre le 0-100 en 4,3 secondes, alors que le modèle régulier peut le faire en 5,0 secondes. Ce serait en raison de l’ajout, par le constructeur, d’une fonctionnalité de surpuissance, à en croire les rumeurs circulant sur la toile.

Il reste maintenant à savoir si le véhicule sera admissible au rabais gouvernemental de 4000 $ du gouvernement provincial, lequel reviendra en avril 2025. Pour l’heure, il semble que non, étant donné que Tesla a modifié la structure de prix du modèle, l’empêchant désormais d’être admissible.

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Canoo déclare faillite et met fin à ses activités

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L’arrivée du virage électrique dans le monde de l’automobile a poussé les constructeurs d’automobiles traditionnels à revoir leur façon de faire. Cependant, ce virage électrique a aussi donné vie à de nouvelles entreprises qui voulaient avoir une part du gâteau. La forte popularité des véhicules Tesla a sûrement poussé certains à se lancer. Malheureusement, ce ne sont pas tous qui connaîtront une histoire glorieuse. Nous connaissons déjà Fisker, qui a dû déposer le bilan en 2024, et alors que l’année 2025 vient d’être entamée, c’est au tour de Canoo de se mettre à l’abri de ses créanciers en déclarant faillite.

Un avenir qui semblait prometteur

La nouvelle qui est tombée le vendredi 17 janvier 2025 a pu en surprendre certains. Pourquoi? En fait, si l’on se fie aux nombreuses annonces des dernières années, Canoo avait réussi à conclure plusieurs ententes avec de grands noms tels que la NASA, Walmart, des entreprises de location de véhicules, le ministère de la Défense américaine, l’État de l’Oklahoma ainsi que le service postal des États-Unis (USPS). De plus, certains véhicules avaient été repérés sur la route en phase de test. L’entreprise avait même confié à l’équipementier Panasonic
la conception des batteries
.

Les véhicules présentés par Canoo avaient comme caractéristique d’être à motorisation entièrement électrique, mais c’est au niveau du design qu’ils se démarquaient principalement de la concurrence. Rappelant la Volkswagen Type 2, la partie avant était dépourvue d’un long nez. À l’époque, l’entreprise avait affirmé que c’était pour maximiser l’espace intérieur disponible, par rapport à la plateforme.

Une question de financement

Malheureusement pour la jeune entreprise automobile Canoo, c’est le manque de liquidité qui aura eu raison d’elle. Selon le dernier communiqué de presse de l’entreprise, Canoo avait tenté d’obtenir un soutien financier du bureau du programme de prêt du ministère de l’Énergie des États-Unis, afin de pouvoir poursuivre ses activités et son développement. Cependant, elle n’a pas été en mesure de l’obtenir. De plus, les dirigeants de l’entreprise étaient en discussion avec des sources étrangères de capitaux, toujours dans le but d’obtenir du financement, mais ces dernières n’ont conduit à rien.

Face aux efforts déployés qui n’ont pas débouché, le Conseil d’administration de Canoo Inc. a dû prendre la décision de déposer une demande de faillite le 17 janvier dernier. L’entreprise américaine a par la même occasion annoncé la fin de ses opérations avec effet immédiat. Cela met donc en lumière un autre joueur dans le monde des jeunes entreprises désirant percer dans le secteur des véhicules électriques à être tombé au combat.

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Roxane Bruneau: Sa séparation l’a «quand même traumatisée»

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Roxane Bruneau était de passage au podcast Prends un break, un épisode durant lequel elle s’est confiée sur plusieurs sujets fort intéressants, notamment sur sa séparation.

C’est en mentionnant qu’elle avait reçu de nombreux messages à la suite de l’annonce de sa séparation qu’elle a expliqué s’être servie de Céline Dion pour annoncer publiquement sa rupture.

«(…) C’est le breakup le plus traumatisant ever et je me suis servi de Céline Dion pour passer dans le beurre (…)», lance-t-elle, captivant notre attention au maximum.

Capture YouTube @Prends Un Break

Elle a poursuivi en expliquant qu’elle et son ex étaient bien conscientes qu’elles n’étaient plus ensemble, et que la chanteuse savait pertinemment qu’elle devait annoncer leur séparation publiquement.

Pour passer inaperçue, Roxane a estimé que la première médiatique du documentaire sur Céline Dion serait le moment parfait pour faire son annonce, persuadée que toute l’attention des médias serait entièrement dirigée vers Céline plutôt que sur elle.

C’est donc ce qu’elle a fait, directement en sortant du visionnement, Roxane a envoyé le message qu’elle avait préparé et a espéré que personne n’en parle.

Cependant, si le plan de Roxane a peut-être fonctionné le jour même, dès le surlendemain, son annonce s’était retrouvée partout dans les médias.

«(…) J’ai été célibataire devant tout le monde au Québec et ça m’a quand même traumatisée (…)», déclare Roxane.

Capture YouTube @Prends Un Break

En réponse à une question d’un animateur, la star a expliqué avoir décidé d’annoncer sa séparation, car sa relation, sa copine et les enfants étaient bien connus du public. Elle recevait donc une tonne de messages lui demandant où ils étaient passés.

Elle a préféré mettre fin aux questionnements pour se protéger et ne plus avoir à en entendre parler.

«(…) Je pense que c’était vraiment d’un accord mutuel, les deux on était rendu là (…) c’était rough mais c’est ça qu’il fallait faire», affirme-t-elle lorsqu’interrogée sur l’initiateur de la séparation.

Roxane, qui entretenait une relation très soudée avec les enfants de son ex, témoigne que ce qui lui manque le plus est l’aspect familial de leur relation.

De plus, la chanteuse affirme que la prochaine personne dans sa vie restera connue uniquement de son cercle proche et qu’elle évitera d’exposer cette relation autant que la précédente.

Elle explique d’ailleurs avoir ressenti le besoin de bloquer les commentaires, car, bien qu’elle sache que sa communauté est bienveillante, il y a toujours des commentaires négatifs provenant de faux comptes.

«(…) Je n’étais pas mentalement capable de prendre ça là (…)», confie-t-elle.

Capture YouTube @Prends Un Break

Nous lui souhaitons tout le bonheur du monde et lui envoyons une grande dose d’amour.

L’actualité de la semaine – Omar & Oscar

Semaine du 20 janvier 2025 : Ouverture de la chasse au phoque gris aux Îles-de-la-Madeleine

Ouverture de la chasse au phoque gris aux Îles-de-la-Madeleine

Top-5 : Brad Marchand a tenté d’étrangler Nick Cousin avec sa main

Il y avait de l’action en masse dans la LNH hier soir.

Le Canadien s’est incliné contre les Red Wings, mais il y avait aussi 10 autres matchs présentés aux quatre coins de la ligue.

Voici un résumé de ce qui a retenu l’attention :

1 : Brad Marchand a l’air fou… Encore une fois

Brad Marchand aime ça, faire parler de lui pour les mauvaises raisons.

Et disons que ça ne date pas d’hier !

Le capitaine des Bruins a encore une fois eu l’air fou hier soir parce qu’il a posé un geste qui n’a pas sa place sur une patinoire.

Il a tenté d’étrangler Nick Cousins avec sa main :

Sacré Marchand…

Le pire, dans tout ça, c’est qu’il n’a même pas été puni sur la séquence !

Dans le match entre les Bruins et les Sens, on retient aussi cette mise en échec de Brady Tkachuk sur Andrew Peeke.

La vitre a cassé tellement que l’impact était solide :

Les Bruins l’ont finalement emporté par la marque de 2-0.

Morgan Geekie et David Pastrnak (filet désert) ont marqué du côté de Boston.

Jonas Korpisalo a été solide devant son filet en arrêtant les 29 tirs dirigés vers lui. C’est son troisième blanchissage de la saison :

2 : Anthony Richard est chanceux 

Ça se passe tellement vite au hockey que des fois, on peut voir certains accidents.

Parlez-en à Anthony Richard.

L’ancien du Canadien a joué de chance alors qu’il a reçu le patin de K’Andre Miller au visage : Richard a failli se faire couper par le patin de son adversaire, alors qu’il était tombé au sol.

Ça a passé proche, mais Richard a été en mesure de terminer la rencontre :

Rien n’a fonctionné pour les Flyers face aux Rangers hier soir.

La formation de Philadelphie a perdu par la marque de 6-1 et ce but-là résume parfaitement la soirée des Flyers :

3 : Tant qu’à parler des Rangers…

On le sait : les Rangers ont connu des moments très, très difficiles avant Noël.

Mais là… On dirait que tout est en train de se replacer pour la formation new-yorkaise.

La victoire d’hier contre les Flyers permet à l’équipe de signer un 7e gain en 10 matchs et il est pertinent de noter que depuis le 1er janvier, les Rangers ont le meilleur dossier de toute la LNH.

Tout fonctionne en ce moment là-bas… Et ça coïncide drôlement avec le retour au jeu d’Igor Shesterkin :

Il y a trop de talent dans la formation pour que les Rangers ne participent pas aux séries éliminatoires.

Ils sont à un point des Blue Jackets et de la dernière place donnant accès aux séries et s’ils sont en mesure de poursuivre sur leur lancée, les choses vont devenir encore plus intéressantes dans l’Est.

À suivre…

4 : Un autre but pour Ovi ! 

Avant le début de la saison, peu de gens auraient prédit que les Capitals allaient dominer la LNH en étant positionnés au 1er rang du classement général de la ligue à la fin du mois de janvier.

C’est ce qui se produit en ce moment et ultimement, les deux gardiens du club ont leur mot à dire dans les succès de l’équipe.

On l’a encore vu hier soir : Charlie Lindgren a été parfait contre le Kraken en arrêtant 22 lancers et les Capitals ont blanchi la formation de Seattle par la marque de 3-0 :

En fin de match, le Kraken a enlevé son gardien pour tenter une remontée, mais Alex Ovechkin était sur la patinoire.

Vous savez ce que ça veut dire…

Le capitaine des Caps a marqué son 22e but de la saison et c’était dans un filet désert :

Ovi n’est qu’à 20 buts de dépasser Wayne Gretzky et s’emparer du record de la Ligue nationale.

À ce point-ci, ce n’est qu’une question de temps. Et il faut se demander s’il a des chances de battre le record cette saison.

Les Capitals ont encore 34 matchs à jouer d’ici la fin du calendrier : c’est donc possible… Mais ça va être difficile quand même. 

5 : Les Oilers s’occupent des Canucks à leur façon 

Ce match-là, on l’attendait avec impatience.

Pourquoi ?

Parce que c’était la première fois depuis l’incident Connor McDavid que les Oilers et les Canucks s’affrontaient.

Et disons que la formation d’Edmonton s’est occupée de celle de Vancouver à sa façon, soit en marquant beaucoup de buts.

Après la première période, c’était (déjà) 3-0 en faveur des Oilers :

Les Canucks n’ont jamais été dans le coup et ont finalement perdu le match par la marque de 6-2.

Dans la victoire, on retient les trois points inscrits de Zach Hyman (deux buts et une passe) et de Leon Draisaitl (un but et deux passes).

Ça a pas tant brassé contrairement à ce qu’on pouvait croire, mais il y a eu une séquence dans le match où on a vu les deux clubs s’envoyer des messages :

Les Oilers ont perdu leur premier match (sur trois) en l’absence de McDavid plus tôt cette semaine, mais voilà qu’ils ont gagné le deuxième.

Ils devraient être en mesure de remporter le troisième et dernier match de la suspension de leur capitaine parce que les Sabres seront au menu demain.

La rencontre sera présentée à Edmonton.

Prolongation

– Il est en feu !

– Il est bon, lui.

– Bang.

– Beau but.

– Ayoye !

– 300 victoires en carrière pour Frederik Andersen.

– Bien joué.

– Jeu blanc pour Karel Vejmelka.

– Kadri connaît une bonne saison à Calgary.

– Quand même.

– Oops.

– Les meilleurs pointeurs de la soirée :

(Crédit: NHL.com)

– Quatre matchs ce soir dans la LNH :

(Crédit: Google)