Des recherches hivernales sur les bélugas connaissent des difficultés

Publicité

Articles similaires

Depuis 150 saisons, le cœur des Îles bat au rythme du homard

Sur les quais de Cap-aux-Meules, de Grande-Entrée ou de...

La décroissance de la population de sébaste se poursuit

Les sébastes se font de moins en moins nombreux...

Le salaire minimum passe à 16,10$/h au Québec

Le salaire minimum augmentera de 0,35$/h au Québec, dès le...

Violentes rafales sur la Gaspésie et les Îles

Selon Environnement Canada, les vents violents pourraient emporter les...

Le réveil / Île-du-Prince-Édouard : Un 9e album Capitaine Acadie à saveur insulaire

  Une invasion de patates zombies contrôlées par des extraterrestres...
Le Groupe de recherche et d’éducation sur les mammifères marins (GREMM) connaît des difficultés avec son projet d’étude des habitudes hivernales des bélugas.

Les chercheurs souhaitaient identifier 6 des 900 individus du Saint-Laurent pour les suivre pendant leur migration au cours des prochaines semaines.

Le président et directeur scientifique du GREMM, Robert Michaud, constate toutefois que les trois premières balises fixées au dos des bélugas ne transmettent pas de signal.

« Ce qui a été plus souvent limitant, jusqu’à présent, c’est de trouver les mâles. On a choisi, pour ce projet pilote, de déployer les balises seulement sur les mâles, les animaux un peu plus costauds. » Robert Michaud président et directeur scientifique du GREMM

 

L’opération consiste à attacher les balises avec des crampons qui pénètrent la peau des bélugas.

C’est la première fois qu’on emploie cette méthode les bélugas du Saint-Laurent.

À lire aussi :

 

LA UNE :  Des baleines  Photo :  GREMM