L’industrie des pêches se penche sur ses déchets

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À partir de 2020, il ne sera plus possible au Québec d’enfouir des matières organiques. Il s’agit d’un enjeu de taille pour l’industrie des pêches qui devra disposer de ses résidus.

Une réflexion est donc de mise sur la valorisation des carcasses de crustacés et autres débris organiques. Le sujet est au cœur des discussions qui se déroulent présentement à Québec au congrès annuel de l’Association québécoise de l’industrie de la pêche. C’est pourquoi le centre d’innovation de l’aquaculture et des pêches, Merinov, s’est associé avec le centre de recherche agroalimentaire Cintech de Saint-Hyacinthe et l’Institut sur la nutrition et les aliments fonctionnels (INAF) de l’Université Laval. Le chercheur industriel de Merinov, Laurent Girault, explique que Mérinov souhaitait ainsi s’adjoindre des partenaires dont les compétences seraient complémentaires aux siennes, comme par exemple, la commercialisation des produits.

LA UNE : Les usines de transformation devront disposer de leurs résidus Photo: Radio-Canada / Nicolas Steinbach