Mathew Barzal a appris le français parce que son père le voyait avec le Canadien

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Le plafond salarial va monter cet été dans la LNH. Le Canadien a du lousse salarial et des jeunes/choix à donner pour bouger. Le club montréalais a besoin d’un deuxième centre pour entourer Ivan Demidov.

C’est bien beau, tout ça. Et sur papier, c’est vrai.

Mais si Kent Hughes veut bouger pour améliorer son équipe, ça va quand même lui prendre une cible réaliste chez une équipe qui pourrait être prête à transiger un centre de qualité.

Depuis qu’on sait que Lou Lamoriello ne dirige plus les opérations hockey des Islanders, disons qu’il y a des chances que certains gars soient échangés dans les prochains mois.

Après tout, on se doutait bien que le vieux Lou ne lancerait pas un processus de reconstruction. Mais peut-être que le nouveau DG, que ce soit Patrick Roy ou un autre, pourrait le faire.

Et c’est là qu’on se demande si les Mathew Barzal, Bo Horvat et Noah Dobson de ce monde pourraient aller ailleurs.

Le cas de Dobson est différent puisque le défenseur est à un an de l’autonomie. Mais dans le cas des deux joueurs de centre, qui sont sous contrat jusqu’en 2013 (à 9.15 M$ et 8.5 M$ par année respectivement pour Barzal et Horvat), c’est différent.

Les échanger ne se ferait pas à rabais, mais je suis certain que le changement de direction fera en sorte que le prochain patron des opérations hockey, qu’il soit DG ou président, va recevoir des appels pour ses joueurs de premier plan.

C’est normal.

Et c’est ce qui nous ramène à Kent Hughes. Le DG du Canadien n’a pas vraiment le choix d’appeler à Long Island pour voir si un des gros joueurs pourrait être échangé cet été.

À ce sujet, il y a ce vieux tweet de Pierre LeBrun qui refait surface. Ça concerne le fait que Barzal, natif de BC, parle français.

Il pense que ses parents l’ont envoyé en immersion française à l’école quand il était jeune parce que son père espèrait secrètement qu’il joue pour le Canadien un jour. – Pierre LeBrun sur Mathew Barzal

Évidemment, on sait que Barzal, qui peut dire non à 22 équipes via sa clause de non-échange partielle, va contrôler son destin. Et s’il sent que d’aller à Montréal n’est pas bon pour lui en ce moment, il n’ira pas juste parce que son père a pris une décision il y a 20 ans.

Il va prendre la décision pour le Mathew de 2025 – si décision il y a, bien entendu.

Mais comme le CH est sur la bonne voie, on se dit que c’est un élément qui peut faire pencher (un brin) la balance du bon côté pour le CH. En tout cas, cela ne peut pas nuire, on s’entend.

Rappelons que Barzal s’est blessé cette saison, mais que sinon, il est relativement souvent en santé.

(Crédit: Hockey DB)

en rafale

– À lire.

– Pascal Vincent : son passage à Columbus a fait de lui un meilleur entraîneur. [98.5 Sports]

– Lane Hutson : encore place à l’amélioration. [TSN 690]

– Il a été historiquement mauvais.

– Ça va mal à Toronto.