Marie-Chantal Toupin était de passage sur les ondes de QUB Radio récemment, au micro de Sophie Durocher.
Au cours de l’entrevue, Sophie est revenue sur la pause que la chanteuse a prise loin de la scène, une décision apparemment motivée par la fatigue… et des mésententes avec son ancien gérant.
Elle s’est également intéressée aux différents métiers que Marie-Chantal a explorés durant cette période.
«(…) J’ai pris un break, donc j’ai essayé de faire toutes sortes d’affaires, dont peintre en bâtiment, menuisier, charpentier (…)», révèle-t-elle, précisant qu’elle a suivi les traces de son père, lui-même peintre en bâtiment avant son décès.
Un peu plus tard, l’animatrice a souhaité aborder la réputation de la chanteuse, dont le nom est souvent associé à la controverse. Elle lui a demandé si cela lui faisait de la peine et si, selon elle, cette association était justifiée.
«(…) pas du tout, moi, je n’ai rien fait qui est, qui était impardonnable. Ça fait partie de l’évolution de Marie-Chantal Toupin, la chanteuse a le droit aussi de faire des erreurs, donc ça, c’est du passé (…)», témoigne-t-elle, avouant qu’elle ne prétend toutefois pas que, si c’était à refaire, elle referait les mêmes choix.
«(…) La controverse, écoute, il y en a qui en ont fait pire que moi… c’est vrai, je n’ai pas conduit en état d’ébriété, je n’ai pas battu personne, je n’ai pas tué personne (…)», ajoute-t-elle, alors que Sophie énumère d’autres erreurs commises par des gens du milieu.
La chanteuse a d’ailleurs souligné l’amour de son public, qui ne l’a pas lâchée, tandis que Sophie, de son côté, a affirmé qu’au Québec, dans le milieu artistique, il existerait des clans et certaines personnes qui parviennent rapidement à revenir, alors que d’autres n’en ont pas la possibilité.
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