Nous vous avons rapporté au cours des derniers mois et des dernières semaines que Nissan se trouvait dans une position difficile actuellement. Nissan se trouvait dans une position difficile actuellement. Un partenariat entre Honda et Nissan avait même fait partie de l’équation pour tenter de renverser la situation, mais ce dernier s’est soldé par un échec. De plus, face à tous ces remous et difficultés, l’ancien PDG, Makoto Uchida, a quitté ses fonctions en mars et a été remplacé par Ivan Espinosa. Le tout, dans l’espoir que ce changement permette de remettre l’entreprise sur les rails.
Toyota pourrait entrer en jeu
Au cours des derniers mois, Nissan avait entrepris des discussions avec Honda dans le but de conclure un partenariat, mais les deux parties n’ont pas réussi à s’entendre, et l’initiative s’est conclue par un échec. Depuis, un nouveau président est en place et a annoncé un plan de restructuration majeur baptisé Re : Nissan. Lors de cette annonce, Ivan Espinosa, président de Nissan, a déclaré que toutes les options étaient envisagées dans le but de sauver le constructeur.
À la suite de tous ces événements, une rumeur commencerait à circuler indiquant que Toyota pourrait devenir un nouveau partenaire potentiel. Bien sûr, aucune annonce officielle de la part de l’un ou l’autre des constructeurs n’a encore été faite, mais si cela s’avérait, il pourrait s’agir d’une véritable bouée de sauvetage pour Nissan.
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Comme nous le savons tous, l’industrie automobile fait face à une période plus difficile avec tous les changements majeurs qu’elle connaît actuellement. Plusieurs constructeurs devront s’unir ou même s’associer pour survivre. Comme la situation actuelle le démontre, ce ne sont pas seulement les petites « start-up » qui peuvent vivre des difficultés, mais aussi les grands joueurs comme Nissan.
Pas une première pour Toyota
Lorsque l’on regarde de plus près le parcours de Toyota, un partenariat avec un constructeur comme Nissan ne serait pas surprenant. Selon certaines informations retracées sur le web, Toyota détiendrait 20 % de participation dans Subaru, 5,1 % dans Mazda, 4,6 % dans Suzuki et 5,9 % dans Isuzu. En Amérique du Nord, on peut observer plusieurs exemples concrets de collaborations entre Toyota et ces constructeurs. Il suffit de penser à la motorisation hybride du Mazda CX-50 qui vient de chez Toyota ou encore aux nombreux modèles conjoints entre Subaru et Toyota, tels que le Toyota bZ/Subaru Solterra, la Toyota GR86/Subaru BRZ ou encore le Toyota bZ Woodland/Subaru Trailseeker.
Ce sera donc un dossier à suivre au cours des prochaines semaines ou des prochains mois, afin de voir s’il ne s’agissait que de rumeurs ou d’informations véridiques.
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