Alexander Zharovsky aurait été choisi au 35e rang si le CH n’avait pas monté au repêchage

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Le Canadien a une bonne filière russe dans son organisation.

Depuis trois repêchages, le club n’a pas eu peur de repêcher en Russie. Ivan Demidov, Alexander Zharovsky, Bogdan Konyushkov, Yevgeni Volokhin, Makar Khanin et Arseni Radkov (un Bélarusse) ont été des cibles du club.

Est-ce que c’est l’effet Nick Bobrov? Évidemment. Il a ses entrées en Russie et cela fait la différence.

De ces espoirs-là, il y en a qui sont importants. Ivan Demidov en est évidemment un : on sait que le Canadien compte grandement sur lui dans le plan de relance de l’organisation.

Yevgeni Volokhin en est un autre. Il a passé plusieurs semaines à s’entraîner en ville et on sait que le CH le tient en haute estime.

Bogdan Konyushkov veut venir en Amérique du Nord un jour et on le surveille aussi… mais parmi les gars qui ne sont pas Ivan Demidov, le nom le plus sérieux, depuis quelques semaines, c’est Alexander Zharovsky.

Son talent intrigue en masse.

Alors que bien des gens en Russie s’attendaient à le voir être repêché en première ronde, le Canadien a été en mesure de le repêcher en début de deuxième ronde, le mois passé.

Il s’est avancé au 34e rang pour le faire.

Mais il faut savoir que s’il ne s’était pas avancé, le CH n’aurait pas pu le choisir. Et ce n’est pas qu’une supposition : cela a été confirmé par Nick Bobrov, qui a fait ses devoirs à ce sujet après le repêchage pour confirmer ses intuitions.

Il se doutait bien que les Predators (35e rang) aimaient Zharovsky et si le CH ne montait pas un rang plus tôt, l’espoir s’en allait à Nashville. C’est ce que le journaliste Alexandre Gascon (Radio-Canada) a écrit dans un texte.

Donc oui, le CH a bien fait de monter au repêchage. Sans cela, l’histoire aurait été différente et le Russe au grand talent n’aurait pas été en mesure d’être choisi par le Canadien, qui a de nombreuses informations de plus que les autres équipes sur les joueurs de la Russie.

Est-ce que cela va rapporter?

en rafale

– Ça va bien, ce club-là…

– Saku Koivu, dans l’ombre de son fils. [TVAS]

– Bonne écoute.