Pêcheries durables : les experts en congrès à Québec

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La 144e réunion annuelle de la section des ressources aquatiques canadiennes de l’American fisheries society (AFS) se déroulait à Québec, cette semaine.

Plusieurs représentants de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine ont participé à la rencontre qui réunissait environ 2000 scientifiques, gestionnaires et spécialistes des ressources halieutiques et aquacoles ainsi que des représentants des Premières Nations et de l’industrie de la pêche.

Toute la semaine des présentations de divers organismes et entreprises ont permis aux participants d’échanger sur les pratiques en matière de développement durable des ressources halieutiques. La journée de mardi a été consacrée au Québec.

Annie Landry de l’association des pêcheurs et propriétaires des Îles-de-la-Madeleine, qui a participé à l’organisation de cette journée en collaboration avec des représentants de la Gaspésie, des Premières Nations et des scientifiques de l’UQAR, indique que l’équipe du Québec se préparait depuis janvier à cette rencontre. « Chaque présentateur avait 14 minutes pour présenter son sujet. C’était une journée assez spéciale », explique-t-elle.

Pêche au homard Pêche au homard

 

Les Îles-de-la-Madeleine ont présenté trois sujets soit le plan de conservation du homard, l’aménagement de récifs artificiels pour le homard dans la baie de plaisance et le processus de certification du homard madelinot par le Marine Stewardship Council.

Pour Mme Landry, la rencontre annuelle de l’AFS est une belle occasion de créer des partenariats et de s’informer sur les différentes pratiques de pêche en Amérique. « On peut aller voir ce qui se fait ailleurs dans le Maine, par exemple, comment on met en place la traçabilité pour éviter la fraude », illustre Annie Landry. Notre gros défi est de conserver la ressource pour les générations futures, ajoute-t-elle.

La rencontre de l’AFS s’est terminée jeudi à Québec.