Empress of Ireland: le Ministère mandate des plongeurs

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Le ministère de la Culture et des Communications confirme que des équipes iront sur le site de l’épave de l’Empress of Ireland dans les prochains jours pour évaluer si les milliers d’artefacts toujours à bord doivent rester dans le fleuve ou en sortir, pour assurer leur préservation et celle de l’épave.L’Empress est un bien culturel protégé par la loi québécoise, ce qui interdit d’en retirer les artefacts sans la permission du Ministère. Un permis de recherche archéologique a récemment été accordé et le rapport devrait être déposé dans les prochains mois.« Il se pourrait que certains objets soient retirés », admet la directrice générale du patrimoine et des institutions muséales au ministère de la Culture et des Communications, Danielle Dubé. Cette dernière ajoute que plusieurs objets qui témoignent du naufrage de l’Empress of Ireland et de la vie sur le bateau se trouvent déjà dans les collections de certains musées. « Notre attitude générale en archéologie subaquatique, explique Danielle Dubé, est de conserver les objets dans l’épave, dans l’eau, de manière à ce qu’ils demeurent en état, et de manière à ce que les générations futures puissent en profiter comme le font les plongeurs aujourd’hui. »Cet examen par le Ministère survient tandis que de nouvelles craintes surgissent sur l’état de l’épave, près de 100 ans après le naufrage. Le directeur du Site historique maritime de la Pointe-au-Père, Serge Guay, réclame qu’on aille récupérer les milliers d’artefacts qui sont toujours à bord. Des témoignages de plongeurs lui font craindre que l’épave ne s’effondre et que des objets précieux ne soient détruits.

 

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