Pêche : les transformateurs inquiets des impacts d’un futur traité avec l’UE

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L’Association québécoise de l’industrie de la pêche (AQIP) craint un assouplissement de la loi sur la transformation des produits marins avec la signature prochaine de nouveaux traités commerciaux avec l’Union européenne.Au Québec, la loi sur la transformation des produits marins, adoptée en 1987, empêche la vente de poisson non transformé à l’extérieur du Québec. L’AQIP soutient que des modifications ou l’abolition de la loi pourraient nuire aux activités de nombreuses usines au Québec.Le directeur général, Jean-Paul Gagné craint pour les emplois si l’Europe peut acheter le poisson brut. « On compte environ de 4800 à 5000 emplois dans les régions maritimes du Québec. C’est très, très important pour nous de continuer à être un moteur économique de nos régions maritimes », fait valoir M. Gagné.L’Association québécoise de l’industrie de la pêche, qui représente 34 usines de transformation au Québec, souhaite que la loi soit respectée comme ce fut le cas lors des négociations sur le libre-échange avec les États-Unis.

 

 

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