Un grand requin blanc repéré au large des Îles

Publicité

Articles similaires

La Passe Archipel n’est toujours pas en vigueur

Alors qu’elle devait entrer en fonction le 1er mai, la...

Expansion du parc automobile électrique du CISSS des Îles

Le parc de voitures électriques du CISSS des Îles...

Projet de fusion des deux caisses des Îles et réduction de services

Les deux caisses populaires Desjardins du territoire madelinot souhaitent...

Un grand requin blanc adulte nageait en début de semaine dans les eaux entourant le nord-est de l’archipel des Îles-de-la-Madeleine, dans le golfe du Saint-Laurent.

L’observation a été faite par l’équipe de scientifiques de l’organisme américain Ocearch qui possède la technologie pour suivre les déplacements de certains de ces grands prédateurs des mers dont le poids peut dépasser les 1000 kilogrammes et observer leurs habitudes pour se nourrir, notamment.

L’organisme signalait sur son compte Facebook le 3 août 2021, son passage en Nouvelle-Écosse. Depuis, le grand requin blanc s’est déplacé au nord-est des Îles-de-la-Madeleine.


Suivez-le sur le tracker mondial de requin OCEARCH 

L’organisme Ocearch a baptisé ce requin Vimy. Il doit son nom à la bataille de la crête de Vimy, au cours de laquelle les forces canadiennes se sont battues avec ténacité pour faire leurs preuves en tant que nation montante auprès du reste du monde. Il est le 11e et dernier requin marqué lors de l’expédition OCEARCH 2019 en Nouvelle-Écosse.


Vimy

5dabd3d6335bf.image

Mâle

1164 lb

12 pi et 9 po


À l’été 2019, Ocearch avait rapporté que le grand requin blanc baptisé Brunswick avait passé plusieurs jours tout près de l’archipel des Îles-de-la-Madeleine avant de s’approcher du nord-est de l’Île-du-Prince-Édouard. Ocearch signalait alors que c’était la première fois qu’un grand requin blanc était localisé si près de l’archipel madelinot.

En utilisant la technologie satellitaire, Ocearch suit aussi les déplacements et comportements d’autres animaux tels des baleines, des tortues, des dauphins et des alligators auxquels des puces satellitaires ont été implantés.

 

Source : OCEARCH