Partenaire du jour : Distributions Jadex, sur ilesdelamadeleine.biz
https://www.ilesdelamadeleine.biz/carte/distribution-jadex/
Fais une différence en supportant les partenaires des Îles #ilesdelamadeleine #achatsauxiles #partenairesdesiles
Partenaire du jour : Distributions Jadex, sur ilesdelamadeleine.biz
https://www.ilesdelamadeleine.biz/carte/distribution-jadex/
Fais une différence en supportant les partenaires des Îles #ilesdelamadeleine #achatsauxiles #partenairesdesiles
On retire les pinces
On retire la queue
On retire les petites pattes en tirant. On mange la chair à l’intérieur en l’aspirant avec la bouche.
On peut récupérer le peu de chair de l’extrémité de la queue en retirant la nageoire caudale, en tirant dessus. On peut manger la chair en l’aspirant directement avec la bouche.
Ensuite, on tient la queue dans une main, carapace vers le bas, et à l’aide d’une fourchette, on tire. La chair sortira en un seul bloc. Sur la chair, il y a une veine noire (l’intestin), et il est préférable de la retirer. On soulève délicatement la chair du dos, et on tire tout simplement sur l’intestin.
Pour les pinces, on les détache en brisant avec les mains la grosse partie de la patte.
On entre le bout arrondi d’une fourchette à homard dans la jointure de la patte et on la casse en la tordant. On se retrouvera ainsi avec trios petits morceaux de chair. Après, toujours avec la fourchette à homard, on pousse le reste de la chair à l’extérieur.
On retire la plus petite partie de la pince, où il y a normalement beaucoup de liquide. On brise la carapace de la pince du homard en plein milieu (avec un couteau ou une pince). La chair se retirera facilement.
Et voici le homard entièrement décortiqué.
PAR DANIEL BOUFFARD
Gemini Médias souhaite à tous les travailleurs et travailleuses de la mer une saison abondante, sécuritaire et remplie de belles prises.
On avait droit hier soir à notre premier match #7 des présentes séries éliminatoires de la Ligue nationale de hockey.
Les Stars de Dallas recevaient l’Avalanche du Colorado pour un match décisif.
Voici les faits saillants de ce match.
Mikko Rantanen crève le cœur de son ancienne équipe
Depuis le début des séries, la majorité des partisans de la LNH s’entendaient pour dire que cette série opposant l’Avalanche et les Stars serait probablement la meilleure, en plus d’être celle qui déciderait quelle équipe de l’Ouest se rendrait en finale.
Sept matchs plus tard, je fais partie de ceux qui croient encore la même chose, alors que je vois le gagnant de cette série en finale.
C’était donc un match extrêmement important hier soir, alors qu’une équipe passait au prochain tour, et l’autre, rentrait à la maison à titre de grosse déception de la saison.
Les Stars étant à domicile, on pouvait croire qu’ils avaient un certain avantage, mais pourtant, c’est l’Avalanche qui a eu le dessus dans les deux premières périodes, et même en début de troisième période.
En effet, même si le jeu était très serré et que peu de tirs étaient enregistrés de chaque côté, l’Avalanche a su se forger une avance de deux buts.
C’est d’abord Josh Manson qui a ouvert la marque en désavantage numérique en milieu de deuxième période.
JOSH MANSON 💥
He buries one shorthanded to give the @Avalanche a 1-0 lead in #Game7! #StanleyCup
🇺🇸: ABC & @ESPNPlus ➡️ https://t.co/m0LyTCHYnH
🇨🇦: @Sportsnet or stream on Sportsnet+ ➡️ https://t.co/4KjbdjVctF pic.twitter.com/NbAcfNjeRf— NHL (@NHL) May 4, 2025
Par la suite, Nathan MacKinnon en a ajouté en tout début de troisième période, avec un but qui s’enlignait pour faire la différence.
NATHAN MACKINNON 🗣️
The @Avalanche double their lead just 31 seconds into the third period of #Game7! #StanleyCup
🇺🇸: ABC & @ESPNPlus ➡️ https://t.co/m0LyTCHYnH
🇨🇦: @Sportsnet or stream on Sportsnet+ ➡️ https://t.co/4KjbdjVctF pic.twitter.com/deWfH0qIbf— NHL (@NHL) May 4, 2025
À ce moment, l’Avalanche semblait s’enligner vers une belle victoire assez facile, alors qu’elle continuait de contrôler le jeu, et d’écouler tranquillement le temps.
Cependant, un joueur bien précis avait d’autres plans.
Un certain Mikko Rantanen, ancien joueur vedette de l’Avalanche, a décidé de prendre les choses en main et de ramener les Stars dans le match en faisant très mal à ses anciens coéquipiers et anciens partisans.
Le Finlandais y est allé de deux buts coup sur coup afin de ramener tout le monde à la case départ.
IT’S NOT OVER YET‼️
The @DallasStars needed a goal in #Game7, and Mikko Rantanen delivers! #StanleyCup
🇺🇸: ABC & @ESPNPlus ➡️ https://t.co/m0LyTCHYnH
🇨🇦: @Sportsnet or stream on Sportsnet+ ➡️ https://t.co/4KjbdjVctF pic.twitter.com/GRk1qa3ATO— NHL (@NHL) May 4, 2025
MIKKO RANTANEN IS TAKING OVER 🌟
His second goal of the third period ties #Game7 up 2-2! #StanleyCup
🇺🇸: ABC & @ESPNPlus ➡️ https://t.co/m0LyTCHYnH
🇨🇦: @Sportsnet or stream on Sportsnet+ ➡️ https://t.co/4KjbdjVctF pic.twitter.com/Kp1c3k8FMT— NHL (@NHL) May 4, 2025
Et comme si ce n’était pas assez, alors que le match semblait se diriger vers une prolongation, Rantanen en a rajouté en obtenant une passe sur le troisième but des Stars, celui de Wyatt Johnston, sur un avantage numérique, provoqué par une TRÈS mauvaise punition de Jack Drury.
DALLAS HAS THE LEAD IN #GAME7 😱 #StanleyCup
🇺🇸: ABC & @ESPNPlus ➡️ https://t.co/m0LyTCHYnH
🇨🇦: @Sportsnet or stream on Sportsnet+ ➡️ https://t.co/4KjbdjVctF pic.twitter.com/CA10ac2mps— NHL (@NHL) May 4, 2025
L’ambiance était tout simplement électrique à Dallas, alors qu’en moins de dix minutes, les partisans sont passés d’inquiets à survoltés.
L’Avalanche a beau avoir essayé d’égaler la marque, elle n’a pas réussi à trouver le fond du filet en retirant son gardien.
Et comble du malheur pour l’Avalanche, Mikko Rantanen a complété son tour du chapeau dans le filet désert.
Mikko Rantanen – Dallas Stars (5)*
Empty Net Goal
Hat Trick pic.twitter.com/HeaLNBJig4— NHL Goal Videos (@NHLGoalVideos) May 4, 2025
Quel incroyable revirement de situation en troisième période, alors que les Stars ont fini par s’en sortir en l’emportant 4 à 2 pour passer au prochain tour.
Cette performance de quatre points en troisième période de Mikko Rantanen, face à son ancienne équipe, en sera une dont on se rappellera longtemps.
D’ailleurs, à noter que Rantanen est le premier joueur de l’histoire des séries de la LNH à inscrire un tour du chapeau en troisième période, et également le premier joueur de l’histoire de la LNH à inscrire quatre points en une période lors de deux matchs consécutifs.
Mikko Rantanen of the @DallasStars is the first player in NHL history to have a 4-point period in back-to-back games (regular season or playoffs). pic.twitter.com/M93A39g5uU
— OptaSTATS (@OptaSTATS) May 4, 2025
Une performance remarquable de Rantanen qui fera clairement mal très longtemps à l’Avalanche et ses joueurs et partisans.
Bref, l’Avalanche regrette sûrement déjà de ne pas avoir signé Rantanen au prix qu’il demandait au lieu de l’échanger, et ce dernier a pris sa revanche de la meilleure des façons.
Dernière chose, il est très important de noter que Peter DeBoer, l’entraîneur-chef des Stars, demeure toujours invaincu en match #7, alors qu’il a une fiche de 9-0, ce qui est tout simplement hallucinant.
9-0 in #Game7‘s.
Pete DeBoer’s group always seems to find a way when it matters most. 💪 #StanleyCup pic.twitter.com/mWpPnQOREV
— NHL (@NHL) May 4, 2025
Les Stars sont désormais en attente du gagnant du match de ce soir, soit le match #7 entre les Jets de Winnipeg et les Blues de Saint-Louis, afin de connaître leur adversaire au prochain tour.
Les Stars remportent la série 4 à 3.
– Les Stars sont la première équipe de l’histoire à remporter en temps réglementaire un match #7, alors qu’ils perdaient par plusieurs buts en troisième période.
The @DallasStars are the first team in Stanley Cup Playoffs history to be trailing by multiple goals in the 3rd period of a Game 7 but win in regulation.
— OptaSTATS (@OptaSTATS) May 4, 2025
– Une poignée de main émotive et légendaire.
An unforgettable #Game7.
No better way to end it than with some #HockeyHandshakes 🤝 #StanleyCup pic.twitter.com/pyhrQCngmJ
— NHL (@NHL) May 4, 2025
– Voici le résultat de la veille.
The first #Game7 of the 2025 #StanleyCup Playoffs saw Mikko Rantanen and the @DallasStars prevail in a thrilling multi-goal, third-period comeback win. What will tomorrow’s winner-take-all contest have in store?#NHLStats: https://t.co/UDrtz0GpF1 pic.twitter.com/znayXYMbVk
— NHL Public Relations (@NHLPR) May 4, 2025
– Voici les meilleurs pointeurs de ce match.
– Au programme aujourd’hui dans la LNH : le match #7 entre les Blues de Saint-Louis et les Jets de Winnipeg.
Toute défaite lors d’un match #7 fait extrêmement mal, d’autant plus lorsque le match est très serré et se joue à pas grand-chose.
Perdre un match #7 donne le sentiment qu’on était à la fois si proche de passer au prochain tour, mais à la fois si loin.
Bref, ça fait mal, et ça, l’Avalanche du Colorado le sait beaucoup trop bien.
En effet, l’Avalanche est la première équipe de l’histoire de la LNH, de la MLB et de la NBA à perdre sept matchs #7 consécutifs.
The Avalanche are the first team in MLB/NBA/NHL history to lose 7 consecutive Game 7s.
— OptaSTATS (@OptaSTATS) May 4, 2025
Ouch… Vraiment pas le genre de statistique que l’on veut voir pour son équipe.
Bref, chacune de ses sept défaites a donc dû faire très mal aux joueurs et partisans de l’Avalanche, mais absolument aucune d’entre elles a fait aussi mal que la plus récente, soit celle d’hier soir.
Pourquoi ?
Parce qu’elle a été provoquée par un ancien coéquipier qui était très aimé dans le vestiaire, et qui a quitté l’équipe cette même saison dans des conditions plutôt néfastes.
Mikko Rantanen a pris les choses en main hier soir, et a éliminé pratiquement à lui seul son ancienne équipe grâce à un tour du chapeau et quatre points au total en troisième période.
A LEGENDARY PERFORMANCE 👏
Mikko Rantanen scores the first-ever hat trick in the third period of a #Game7 in NHL history! #StanleyCup
Hat Trick Challenge presented by @AstraZenecaUS pic.twitter.com/HUBI0wDhvL
— NHL (@NHL) May 4, 2025
Bref, Rantanen a fait très mal à son ancienne équipe, et il a clairement fait regretter les dirigeants de l’Avalanche de l’avoir échangé plutôt que resigner.
Parce qu’il est clair après le match d’hier que l’Avalanche a fait une grosse erreur en échangeant Mikko Rantanen.
Le joueur étoile finlandais a été le meilleur joueur de la série avec ses 12 points en sept matchs, et il a prouvé à toute la planète hockey qu’il n’était pas dépendant de Nathan MacKinnon pour performer au plus haut niveau.
Ses 12 points représentent d’ailleurs la meilleure récolte de la LNH jusqu’à présent, alors que Rantanen trône au sommet des pointeurs en séries, un point devant Connor McDavid, et un certain Nathan MacKinnon.
Rantanen a donc clairement fait la différence dans cette série, et il aurait sûrement permis à l’Avalanche de l’emporter s’il était toujours avec l’équipe.
Notons également que Rantanen a été bien meilleur que Martin Necas dans cette série, alors que celui qui a rejoint l’Avalanche en retour de Mikko a obtenu cinq points, dont seulement un but, en sept matchs.
Ajoutons à cela que l’autre joueur obtenu par l’Avalanche dans la transaction Rantanen en Caroline, soit Jack Drury, a été l’auteur de l’horrible pénalité en fin de match qui aura permis à Wyatt Johnston d’inscrire le but gagnant.
C’est donc un énorme karma pour l’Avalanche, qui s’est retrouvé aux premières loges pour témoigner de son erreur.
L’Avalanche aurait réellement dû garder Rantanen au prix qu’il demandait, ou du moins prendre le temps de négocier avec lui avant de l’échanger sans le prévenir.
L’attaquant des Stars n’a vraiment pas apprécié la façon dont il a été traité, et il en va de même pour Nathan MacKinnon, qui était très frustré et déçu de voir Rantanen quitté l’Avalanche.
Rantanen with long embraces for Landeskog and MacKinnon. pic.twitter.com/DQuNzcI3KA
— NHL Watcher (@NHL_Watcher) May 4, 2025
Avec cette performance hier soir, et ses 11 points lors des trois derniers matchs de la série, Rantanen a prouvé qu’il ne dépendait pas de MacKinnon pour performer dans cette ligue, et surtout, il a de nouveau prouvé qu’il était un gars de séries.
Il est 7e de l’histoire de la LNH pour la moyenne de points par match en séries.
Bref, l’Avalanche a de nouveau perdu un match #7, et disons que depuis sa Coupe Stanley en 2022, c’est très difficile pour le Colorado, qui n’a remporté qu’une seule série en trois ans, soit en 2023 face aux Jets de Winnipeg.
Il en va de même pour l’adversaire de l’Avalanche en finale de la Coupe Stanley de 2022, alors que le Lightning de Tampa Bay a perdu trois fois de suite en première ronde depuis cette finale.
Cela prouve vraiment que le format des séries éliminatoires est difficile, car il offre aux équipes des affrontements très corsés dès la première ronde.
Comme je l’ai déjà dit, pour moi, cette série entre l’Avalanche et les Stars représentait la finale avant la finale.
Au final, ce sont les Stars qui en sont sortis gagnants, et ce, grâce à un certain Mikko Rantanen, qui a clairement fait oublier l’absence de Miro Heiskanen et Jason Robertson, soit respectivement le meilleur défenseur et meilleur attaquant des Stars.
D’ailleurs, MacKinnon n’en revient pas que son équipe n’a pas pu battre les Stars sans Heiskanen et Robertson.
Nathan MacKinnon: “They were missing their best D and maybe their best forward. We still couldn’t beat them so, yeah, I don’t know what we’re gonna do.” #GoAvsGo pic.twitter.com/PutQLM8HIY
— NHL News (@PuckReportNHL) May 4, 2025
– Voici l’horaire de la deuxième ronde.
The NHL announced additional schedule information for select games of the 2025 #StanleyCup Playoffs Second Round, which begins Monday, May 5. The complete Second Round schedule will be confirmed following Sunday’s #Game7.
More: https://t.co/Lo7BB4LRq3 pic.twitter.com/sGSYRAkIXz
— NHL Public Relations (@NHLPR) May 4, 2025
– À lire.
Mikko Rantanen has been unlocked: ‘Mikko put the team on his back’
On an unforgettable third period capping an incredible series between the Avalanche and Stars, my piece for @TheAthletic from Game 7 ⤵️ https://t.co/R9E3WPkLIl— Pierre LeBrun (@PierreVLeBrun) May 4, 2025
– Un jeune prodige clutch.
Wyatt Johnston completed the multi-goal, third-period comeback for the @DallasStars and became the first player in NHL history to score the series-clinching goal in multiple #Game7s at age 22 or younger (also 2023 R2).#NHLStats: https://t.co/UDrtz0GpF1 pic.twitter.com/gXotHlK7se
— NHL Public Relations (@NHLPR) May 4, 2025
– Johnston s’inscrit dans l’histoire aux côtés de très gros noms.
Most Goals Before Age 22
Stanley Cup Playoffs History
Sidney Crosby 24
Jaromír Jágr 19
Patrick Kane 19
Wyatt Johnston 17 pic.twitter.com/q7xDCRiDGE— BucciOT.Com (@Buccigross) May 4, 2025
– À noter.
JOUR DE MATCH🦁
DEUXIÈME MATCH DE LA RONDE 2 CET APRÈS-MIDI!🔥
🆚 @NorfolkAdmirals
🏟️ Colisée Vidéotron
🏒 Début du match à 15h00
🍻 Tailgate à 13h – Danick Bastien
🖥️ @flosports
🎟 819 519-1634 | https://t.co/Y8BqjClwOS#noTRemoment | @subaru3r pic.twitter.com/S3KrddIs6m— xy – Lions de Trois-Rivières (@Lions3r) May 4, 2025
– Incroyable.
Une autre statistique qui démontre que Judge est parmi les meilleurs frappeurs de l’histoire. https://t.co/K7RGexrZRe
— Passion MLB (@passion_mlb) May 4, 2025
Les pêcheurs madelinots ont officiellement pris la mer pour la 150e saison de pêche au homard de l’archipel, accompagnés de feux d’artifice et de la frénésie d’un public matinal. Malgré l’ambiance de fête, les homardiers prennent le large sous le signe de l’incertitude économique.
Le temps est arrivé, il faut qu’on prenne le large
, annonce le capitaine-propriétaire Germain Cyr, fébrile. Il y a une belle température, mais il faut être vraiment prudent aujourd’hui
, indique pour sa part le homardier Lauréat Deraspe. Tous les bateaux sont pleinement chargés de cages.
Il s’agit de la quarantième saison de pêche pour Steeve Samson, bien excité, comme chaque année
, se décrit-il.
On est libres, on est sur l’eau, on est bien.
Des feux d’artifice ont orné le ciel pour l’occasion. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose
Vendredi, les derniers préparatifs avaient lieu sur les quais de Grande-Entrée. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose
Des feux d’artifice ont éclairé le ciel de Grande-Entrée pour l’occasion. Des Madelinots se sont massés en grand nombre sur les quais pour assister au spectacle. C’est féérique, c’est comme le Carnaval de Québec!
raconte Claude Pelletier, venu de Berthier-sur-Mer, dans Chaudière-Appalaches.
La jeune Audrey Dixon s’est levée tôt pour soutenir son père pêcheur. Depuis que je suis toute jeune, je viens le voir à chaque mise à l’eau.
Le maire des Îles-de-la-Madeleine fait partie des lève-tôt qui ont assisté au départ des homardiers, devenu une tradition de longue date. Il y a 150 ans, c’était avant l’invention de la voiture, c’était huit ans après la Confédération, après la création du pays
, raconte Antonin Valiquette. Donc, ça fait longtemps qu’on pêche le homard aux Îles-de-la-Madeleine.
Encore une fois, l’effervescence est au rendez-vous, avec les bateaux chargés de cages.
Malgré l’ambiance de fête, les homardiers restent préoccupés par le contexte économique actuel. La Chine a imposé des tarifs douaniers de 25 % sur les fruits de mer canadiens et la menace américaine plane toujours sur la tête des pêcheurs.
On n’a aucune idée du prix encore
, indique le capitaine-propriétaire Lauréat Deraspe. Ça va dépendre de ce que Trump va faire de l’autre bord.
Le prix à la livre du crustacé est connu après le début de la saison, une réalité unique pour ces pêcheurs, d’après lui.
On est rendus en 2025, on va chercher du poisson et on ne sait même pas le prix qu’on va avoir.
Nous autres, on est à la merci, on investit des gros montants d’argent, mais on ne sait jamais
, témoigne le capitaine-propriétaire Germain Cyr.
Je suis convaincu que je vais perdre de l’argent
, annonce-t-il avant de quitter le quai. Comme ça, je n’aurai pas de surprise!
Je suis confiant : le homard va être au rendez-vous. C’est juste que je ne sais pas ce qui va se passer pour le marché et les prix.
L’an dernier, les pêcheurs madelinots ont ramené à quai près de 7400 tonnes de homard, un record historique. La valeur totale des débarquements s’est élevée à 115 millions de dollars.
LA UNE : C’est sous les feux d’artifice que les homardiers ont pris la mer aux Îles-de-la-Madeleine samedi matin. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose
« Le Subaru Solterra 2026 arrive avec une nouvelle motorisation, une meilleure autonomie et une capacité de recharge améliorée. Comment cette nouvelle édition se compare-t-elle avec les autres véhicules électriques établis sur le marché ? Est-elle avantagée? » – Sébastien
Bonjour Sébastien,
Il est bien vrai que le Subaru Solterra 2026 est amélioré par rapport au modèle qu’on connait depuis 2023, lui qui faisait pâle figure par rapport à sa concurrence. Le constructeur a annoncé une puissance plus élevée, une autonomie améliorée et une recharge rapide accélérée, ce qui risque de corriger les plus grandes lacunes du produit face à la concurrence.
D’ailleurs, quelle est cette concurrence? On pense à des modèles populaires comme le Chevrolet Equinox EV, le Ford Mustang Mach-E, le Hyundai IONIQ 5, le Kia EV6 et le Volkswagen ID.4. Même si nous n’avons pas eu l’occasion de conduire le Solterra 2026, il est possible de comparer, sur le papier, ses caractéristiques techniques principales pour voir comment elles se comparent avec les autres modèles, tous de l’année modèle 2025.
Marque et modèle | Puissance | Autonomie | Puissance de recharge | Temps de recharge |
---|---|---|---|---|
Subaru Solterra 2024 | 215 chevaux | 359 km | 100 kW | au moins 60 minutes |
Subaru Solterra 2026 | 338 chevaux | 450 km | 150 kW | 35 min |
Chevrolet Equinox EV AWD | 300 chevaux | 494 km | 150 kW | 38 min |
Ford Mustang Mach-E LR AWD | 325 chevaux | 483 km | 150 kW | 35 min |
Hyundai IONIQ 5 LR AWD | 320 chevaux | 463 km | 258 kW | 18 min |
Kia EV6 GT-Line Land AWD | 320 chevaux | 475 km | 258 kW | 20 min |
Volkswagen ID.4 Pro AWD | 335 chevaux | 423 km | 175 kW | 28 min |
La première chose qui saute aux yeux est l’avancée du modèle 2026 par rapport au modèle 2024, lui qui était clairement moins attrayant que la concurrence.
La deuxième chose qui frappe est à quel point le duo de voitures sud-coréennes est avantagé en matière de capacité de recharge rapide. Il est presque 2 fois plus rapide pour l’IONIQ 5 et l’EV6 de passer de 10 à 80 % que tous les autres modèles, ce qui marque l’avantage de l’architecture à 800 volts de ces deux modèles. De son côté, le Solterra voit son temps de recharge rapide s’améliorer pour 2026 de quasiment 50 %, ce qui corrige l’une de ses lacunes. Néanmoins, il demeure parmi les plus longs dans les véhicules comparés, n’étant dépassé que par le Chevrolet Equinox EV.
Pour le reste, les spécifications techniques sont comparables. La puissance est la plus élevée du groupe, mais par une faible marge par rapport aux 335 chevaux du Volkswagen ID.4. Chose certaine, le faible écart dans la puissance entre tous les véhicules comparés fait que l’accélération sera vraisemblablement similaire d’un modèle à l’autre.
C’est la même chose pour ce qui est de l’autonomie. Avec 450 kilomètres annoncés par Subaru, mais pas encore confirmés par Ressources naturelles Canada, le Solterra 2026 se trouve presque en plein milieu de la catégorie.
Toutes ces données permettent de dire que le Subaru Solterra 2026 a rejoint la concurrence en matière de puissance, d’autonomie et de capacité de recharge rapide, sans toutefois les dépasser. Il m’importe de préciser que tout ça doit être confirmé lors de conditions réelles, quand nous pourrons conduire le véhicule. Aussi, il faudra attendre de voir quelle sera l’autonomie homologuée par Ressources naturelles Canada, une donnée souvent légèrement différente de celle annoncée de manière préliminaire par les constructeurs.
L’autre aspect à considérer est le prix de vente. Subaru n’a pas encore donné une idée du prix de vente du modèle. Le 2024 n’était pas moins cher que les autres, même si ses performances étaient en retrait, il demeure donc possible que le modèle 2026 subisse une augmentation de prix. D’un autre côté, avec les turbulences dans le monde des véhicules électriques, il faut s’attendre à tout pour la structure de prix de ce modèle. Et vous savez que cet aspect peut avoir un impact réel sur l’appréciation, ou non, d’un modèle.
Abonnez-vous à l’infolettre RPM pour recevoir chaque semaine tous les contenus automobiles qui vous intéressent. Retrouvez RPM sur Facebook et YouTube.
POURRAIT VOUS INTÉRESSER
[jwplayer key= »mV7ij3yB »]
04/05/1971 : Diffusion du long métrage «Le Ponchon» dans le cadre du mois culturel, les 4, 5 et 6 mai à l’auditorium de l’École Polyvalente.
Film historique, relatant un des faits les plus importants de la vie des Madelinots : le lancement d’un «ponchon», ancêtre de tout notre réseau de communication actuel.
Extrait du film «Le Ponchon» – Tiré de la programmation «Le mois culturel» – Mai 1971.
Quelques participants : M. Avila Leblanc, M. et Mme Jos Lebourdais, Mme Joseph Chevrier, M. Léo Vigneau et plusieurs autres…
LA UNE : Extrait du film «Le Ponchon» – Tiré de la programmation «Le mois culturel» – Mai 1971
Partenaire du jour : Bedecomics, sur ilesdelamadeleine.biz
https://www.ilesdelamadeleine.biz/carte/bedecomics/
Fais une différence en supportant les partenaires des Îles #ilesdelamadeleine #achatsauxiles #partenairesdesiles
Le prestige, la réputation et la notoriété, ça s’acquiert, et ça s’entretient. Dans l’industrie de l’automobile, il y a bien sûr des marques comme Bugatti, Rolls-Royce, Bentley ou Ferrari, dont la réputation n’est plus à faire. Dans le domaine du luxe plus accessible, des marques comme Mercedes-Benz, Porsche ou BMW, ont un nom qui résonne encore fort pour un grand nombre d’acheteurs.
Il y a aussi d’autres marques de luxe, comme Acura et Lexus qui, après plus de 30 ans sur le marché, n’ont pas encore atteint l’aura des marques allemandes, mais qui ont néanmoins une place bien à elles dans le marché.
Finalement, il y a aussi des marques de luxe qui sont en déroute, ou qui sont en voie de l’être, comme Jaguar et Infiniti. Elles n’ont pas su se maintenir à flot avec des produits convaincants et une attitude correspondante.
C’est pourquoi je me suis toujours demandé comment Genesis allait finir par tirer son épingle du jeu dans cet univers.
Il y a déjà plusieurs années, en blanc-bec que j’étais à l’époque, j’en étais venu à la conclusion que Genesis allait finir par percer en raison de la qualité de produits, mais aussi en raison de la machine qui la pousse. Le sérieux avec lequel Hyundai Motor Group gère ses opérations ne me laissait aucun doute sur le succès du lancement de sa marque de luxe.
7—8 ans plus tard, j’ai plus de recul et d’expérience dans l’industrie de l’automobile, ce qui me donne un regard plus profond sur la marque, mais aussi sur l’industrie. Au-delà de l’analyse plutôt superficielle que j’en avais faite à l’époque, je me rends bien compte que Genesis ne prend pas le même chemin que les autres constructeurs asiatiques nommés plus haut (Acura, Infiniti et Lexus), mais prend plutôt un chemin bien germanique, du moins, pour ses produits, comme je l’ai découvert à l’occasion d’un récent voyage en Corée du Sud.
Si vous êtes de fidèles auditeurs de RPM, vous savez bien que j’accorde plus ou moins d’importance à mon appréciation personnelle du design d’une automobile. Je peux néanmoins reconnaitre l’importance qu’il occupe dans l’image d’une marque automobile.
Et la majorité des marques l’ont compris. Audi, BMW, Jaguar, Land Rover et Mercedes-Benz sont de bons exemples. Elles n’ont presque jamais négligé le design de leurs véhicules et quiconque en croise une sur son chemin peut la reconnaitre. Regardez presque n’importe quelle Audi ou n’importe quelle Jaguar de 20 ans d’âge et elles n’ont presque pas pris une ride.
Il m’apparait essentiel que les marques, particulièrement celles de prestige, aient une identité visuelle forte. Des lignes simples, bien définies, harmonieuses, constantes d’un modèle à l’autre. C’est d’ailleurs ce que Luc Donckerwolke, ancien designer de Bentley, Lamborghini et Audi et maintenant directeur de la création pour Genesis, tente de faire valoir. À son avis, quand les proportions sont claires et bien définies, il faut une quantité minimale d’ingrédients pour arriver au résultat final. « Quand le design est pur, la voiture n’a pas besoin de plus », a-t-il résumé. Et c’est précisément ce que les lignes des véhicules Genesis laissent voir, à mon sens.
Pour une majorité d’acheteurs, la configuration de la plateforme utilisée revêt une importance plus que secondaire. En revanche, elle a certainement une incidence indirecte sur le produit final, ce qui fait une différence réelle aux yeux des acheteurs.
Rappelez-vous de la commercialisation des Mercedes-Benz Classe B, ou plus récemment des Mercedes-Benz Classe A. Ces modèles devaient permettre à Mercedes-Benz de conquérir une nouvelle clientèle qui voulait un véhicule portant l’étoile d’argent tout en payant moins cher, une chose rendue possible par une nouvelle architecture à traction plus abordable. Sur le papier, l’idée était géniale, mais dans les faits, ces voitures n’étaient ni de bonnes voitures d’entrée de gamme, ni de bonnes Mercedes-Benz.
Pourquoi? Parce qu’elles étaient technologiquement beaucoup plus proches de voitures d’entrée de gamme, ce qui ne colle pas avec la réputation de Mercedes-Benz. C’est d’ailleurs un segment que Mercedes-Benz n’a jamais maitrisé par le passé, et ça ne l’a certainement pas aidée.
Pour l’heure, Genesis a évité de tomber dans ce piège en misant sur des modèles dédiés, conçus sur une plateforme longitudinale, partagée avec aucun modèle d’entrée de gamme de Hyundai. L’exception est le Genesis GV60, qui partage son architecture E-GMP avec d’autres modèles Hyundai et Kia, un choix qui n’a pas d’impact compte tenu de la latitude que permettent ces plateformes modulables pour véhicules électriques.
Le fait d’avoir des véhicules dédiés et exclusifs à une marque peut paraitre banal, mais ça empêche tout lien direct avec un modèle Hyundai ou Kia, en plus de raffiner le comportement routier et le design des modèles. De plus, cette architecture s’approche certainement plus des modèles concurrents prestigieux que le fait n’importe quel véhicule avec architecture à traction. Et ça fait une différence pour les acheteurs, même s’ils ne saisissent pas toujours pourquoi.
Ce n’est certainement pas pour les ventes innombrables que les constructeurs de véhicules de prestige mettent les efforts pour commercialiser des véhicules de grand luxe. Mais, l’impact est réel sur l’aura de prestige que dégage la marque. Ce n’est pas pour rien que Mercedes-Benz annonce la venue, par exemple, d’une AMG E 53 familiale sur notre marché, un véhicule qui se vendra au compte-goutte, mais qui ajoute un petit je-ne-sais-quoi à la marque, scellant son caractère exclusif.
C’est exactement ce que tente de faire Genesis avec le lancement de ses concepts X Gran Coupe et X Gran Convertible, deux modèles nichés de très grand luxe, dont la commercialisation est presque assurée. Ils n’ont pas la prétention de devenir des modèles populaires, ou de faire rentrer de l’eau au moulin. Ils ont comme but avoué d’agir à titre de porte-étendard, rehaussant le luxe et le prestige que dégage la marque. Tout ça a un impact sur la renommée de la marque et sur l’idée qu’on s’en fait.
L’impression de l’orientation bien germanique de Genesis que j’avais a été corroborée partiellement par Eric Marshall, directeur de Genesis Canada, lors d’un entretien que j’ai eu avec lui.
En effet, les produits visent presque directement les véhicules allemands dans leur conception et leur idéologie, comme discuté plus haut. Mais d’un autre côté, Genesis Canada tente de mettre en place une expérience client pensée ici, qui ne ressemble à aucune autre entreprise automobile, se comparant davantage à ce que propose un hôtel de luxe.
Selon Eric Marshall, c’est une stratégie purement canadienne qui a été mise en place dès le lancement de la marque, en 2016, et qui s’appuie sur le principe sud-coréen traditionnel « son-nim », qui réfère à l’hospitalité. Les grandes lignes les plus connues visent à faciliter l’expérience de magasinage : achat en ligne possible, prix unique pour tous les modèles, tous frais inclus, garantie générale de 5 ans ou 100 000 km, entretien compris pendant 5 ans ou 100 000 km et service de voiturier.
D’un point de vue plus philosophique et global, ça passe aussi par le choix des entreprises qui ont pignon sur rue et qui distribuent les produits. Ils sont au nombre de 6 au Québec (4 dans la région de Montréal, un à Sherbrooke et un à Québec), qui sont sélectionnés en fonction de leur capacité à répondre au principe de toujours mettre le client au centre des préoccupations. D’ailleurs, chaque aspect est réfléchi à l’intérieur des boutiques : odeur diffusée, design spécifique, des espaces pour travailler et cafés de spécialité.
Parallèlement, les distributeurs sont encouragés à toujours continuer de personnaliser l’expérience pour les clients, en fonction de leurs besoins et de ce qu’ils valorisent. L’idée est aussi d’éviter que le consommateur se sente envahi par une concession gigantesque, dans laquelle il est considéré comme un numéro. L’entreprise vise une approche plus intime avec ses clients.
C’est donc en portant une attention particulière à son image, des véhicules eux-mêmes jusqu’à l’expérience de possession, que Genesis tente de se rendre attirante pour les consommateurs. Concrètement, ce sont 1564 véhicules qui ont été vendus par Genesis dans La Belle Province en 2024, ce qui représente 22,2 % des ventes canadiennes de la marque.
On est encore loin d’Audi et ses 10 000 ventes, de Mercedes-Benz et ses 7600 véhicules vendus, ou encore de BMW avec 7500 véhicules livrés au Québec en 2024. Néanmoins, c’est un gain de 14,8 % des ventes par rapport à 2023, un chiffre auquel s’accroche le directeur de la marque et qui surpasse les gains effectués par les marques allemandes au cours de la même période.
Pour ce qui est des plans d’expansion pour le constructeur au Québec, Eric Marshall est clair : avant de penser à élargir le marché en ouvrant de nouvelles boutiques, il vaut mieux s’assurer de bien servir les clients aux endroits déjà en place. C’est d’ailleurs la principale considération de la marque sur notre marché.
Abonnez-vous à l’infolettre RPM pour recevoir chaque semaine tous les contenus automobiles qui vous intéressent. Retrouvez RPM sur Facebook et YouTube.
POURRAIT VOUS INTÉRESSER
[jwplayer key= »teBhYZUC »]
Les quais des îles de la Madeleine fourmillent d’activité à la veille du début de la pêche au homard. L’événement est particulier cette année, puisqu’il s’agit de la 150e saison de pêche dans l’archipel.
Vendredi, la journée était consacrée aux derniers préparatifs et à plusieurs activités traditionnelles qui marquent, chaque année, le début de la pêche.
Le téléjournal Est-du-Québec
La première ronde des séries tire à sa fin dans la Ligue nationale de hockey, alors que seulement deux séries ne sont pas encore terminées.
Six équipes sont déjà qualifiées pour le prochain tour, et une septième pouvait se rajouter au groupe hier soir.
Voici le résumé du match #6 de la série opposant les Jets de Winnipeg aux Blues de Saint-Louis.
Les Blues forcent la tenue d’un match #7
On savait que ce ne serait pas une série facile pour les champions de la saison régulière, soit les Jets de Winnipeg, et on en a de nouveau eu la preuve hier soir.
Les Blues de Saint-Louis ont joué un autre fort match à domicile, ce qui leur a permis de remporter un troisième match à la maison, cette fois-ci, par la marque de 5 à 2.
Les deux équipes demeurent donc invaincues à domicile.
Donc, même si les Jets avaient la chance de mettre fin à la série et ainsi de passer au deuxième tour, ils n’ont pas réussi à mettre la pression sur les Blues.
Et l’histoire du match, encore une fois, c’est la tenue de Connor Hellebuyck, qui a encore une fois été TRÈS ordinaire.
Le meilleur gardien de la saison régulière montre encore une fois cette saison qu’il n’arrive tout simplement pas à bien performer en séries.
Il doit être meilleur, mais il n’y arrive tout simplement pas.
Hier soir, Hellebuyck a été chassé du match pour une troisième fois dans la série, alors qu’en saison régulière, il n’avait même pas été chassé une seule fois.
This season, 30 goalies started at least 40 times. 29 of them were pulled. Connor Hellebuyck was the lone goalie who wasn’t pulled (in 62 starts).
He’s been pulled 3 times this series.
— Chris Jastrzembski (@Chris_Jast) May 3, 2025
Tout allait pourtant quand même bien pour Hellebuyck et les Jets dans ce match jusqu’à ce que les Blues inscrivent trois buts en un peu plus de deux minutes en milieu de deuxième période.
HERE COME THE BLUES! 😤 #StanleyCup
The @StLouisBlues score THREE goals only 2:06 apart to jump out to a three-goal lead!
🇺🇸: @NHL_On_TNT & @SportsonMax ➡️ https://t.co/4TuyIATi3T
🇨🇦: @Sportsnet or stream on Sportsnet+ ➡️ https://t.co/4KjbdjVctF pic.twitter.com/Fy49GN9vJz— NHL (@NHL) May 3, 2025
Alexey Toropchenko a ensuite ajouté l’insulte à l’injure avec un quatrième but sans riposte pour les Blues.
Alexey Toropchenko joins in on the fun! 🎉 #StanleyCup
The @StLouisBlues now lead 5-1 after two periods of action!
🇺🇸: @NHL_On_TNT & @SportsonMax ➡️ https://t.co/4TuyIATi3T
🇨🇦: @Sportsnet or stream on Sportsnet+ ➡️ https://t.co/4KjbdjVctF pic.twitter.com/XkHOnyoJQp— NHL (@NHL) May 3, 2025
Bref, le match s’est joué à ce moment-là, alors que les Blues n’ont plus jamais regardé derrière eux.
Les Blues demeurent donc invaincus à domicile depuis 15 matchs.
The @StLouisBlues haven’t lost a home game since February 22 and have a goal differential of +47 during that span 🤯 #StanleyCup pic.twitter.com/BsWsvVGuuJ
— NHL (@NHL) May 3, 2025
La série est désormais égale 3 à 3, alors que le match #7 aura lieu ce dimanche à Winnipeg à compter de 19h.
Les partisans des Jets sont clairement très inquiets de la tenue de Connor Hellebuyck qui n’inspire aucunement confiance présentement.
Les Blues devront en profiter et trouver le moyen de remporter un premier match à l’étranger.
– Cam Fowler connaît des séries exceptionnelles.
Cam Fowler’s having himself one heck of a series 👀 #StanleyCup
Calculated by @SAP pic.twitter.com/rRWzQo83MC
— NHL (@NHL) May 3, 2025
– Voici le résultat de la veille.
The @StLouisBlues bested the Jets and became the second team to force a #Game7 in the 2025 #StanleyCup Playoffs.#NHLStats: https://t.co/oNV9qPzjAa pic.twitter.com/Memiom4xYC
— NHL Public Relations (@NHLPR) May 3, 2025
– Voici les meilleurs pointeurs de la veille.
– Au programme aujourd’hui dans la LNH : le match #7 entre l’Avalanche et les Stars.
INFOLETTRE « LE PONCHON »
Une façon efficace de se tenir au courant des nouvelles concernant l’archipel.
2024 © Tous Droits Réservés. GEMINI MÉDIAS