[TIRÉ DE LA JAQUETTE DU LIVRE]
Goelette, 2012, 500 pages, ISBN : 978-2-8963891-4-8
Dans ce qui a tout l’air d’être un drame familial, une femme et ses trois enfants sont sauvagement tués à coups de hache. L’auteur présumé du carnage, le mari, s’est suicidé après s’être tranché la langue. Mais est-ce bien ce qui s’est passé?
Deux jours après, une alerte AMBER est déclenchée à l’échelle de la province de Québec: une jeune fille dévoilant ses charmes sur Internet a été kidnappée. Par qui? Pourquoi?
Deux énigmes que vont s’attacher à résoudre en parallèle deux policiers au style rentre-dedans: Victor Lessard qui, sans compter les cadavres laissés derrière lui, en voit d’autres surgir de son passé, enlaidis par le temps; et Jacinthe Taillon, son ancienne coéquipière à la Section des crimes majeurs, qui lui voue une haine infernale.
Naviguant à travers le fanatisme religieux et la perversité de démons ordinaires, ils vont s’engager dans une valse à quatre temps diabolique entre Montréal, Sherbrooke,Val-d’Or et … le Vatican
Jusqu’à découvrir le secret terrifiant de la chorale du Diable.
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Martin Michaud a quarante ans et vit à Montréal. Dès sa parution en 2010, son premier roman Il ne faut pas parler dans l’ascenseur connaît un succès tant médiatique que commercial. En 2011, il partagera son temps entre sa carrière d’avocat, la scénarisation de son premier ouvrage pour la télé et l’écriture du prochain Lessard, dont il nous livre ici la deuxième enquête.