Des risques pris par le pilote sont à l’origine de l’écrasement d’avion qui a tué Jean Lapierre

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Le Bureau de la sécurité des transports (BST) conclut dans son rapport d’enquête que le pilote a pris des risques qui sont à l’origine de la tragédie aérienne qui a fait sept morts en mars 2016, aux Îles-de-la-Madeleine, dont l’analyste politique Jean Lapierre.

Selon l’hypothèse retenue par le BST, qui a écouté les conversations tenues à l’intérieur de la cabine de pilotage, le pilote, Pascal Gosselin, qui formait son copilote Fabrice Labourel au maniement de l’appareil, n’était alors pas assez concentré sur les manoeuvres requises alors que l’avion était dans une phase d’approche non stabilisée. D’après le BST, le pilote aurait tenté de poser l’appareil malgré des paramètres d’approche non stabilisés alors qu’il aurait pu choisir de refaire ses manoeuvres d’atterrissages afin d’avoir un meilleur angle d’attaque et une vitesse moins élevée à l’approche de la piste.

LA UNE : Des experts du BST examinent la carcasse de l’avion dans lequel se trouvait la famille Lapierre. Photo : Radio-Canada/BST