Les États-Unis retardent l’adoption de tarifs plus élevés sur les véhicules électriques chinois

Publicité

Articles similaires

Pour une voiture d’été, quoi penser de la Nissan Z 2024?

« Je cherche une voiture d’été et je me demande...

Ford Maverick Lariat 2025 ou Hyundai Santa Cruz Ultimate 2025?

« Je cherche une petite camionnette qui me servira comme...

Ram réintroduit la version Express du 1500 en 2026

Le président de Ram avait récemment annoncé que de...

Comment se positionne le Subaru Solterra 2026 face à sa concurrence?

« Le Subaru Solterra 2026 arrive avec une nouvelle...

Genesis : quand la Corée du Sud a l’Allemagne dans le viseur

Le prestige, la réputation et la notoriété, ça s’acquiert,...

On apprenait récemment que le Canada avait décidé d’imposer une hausse importante des tarifs douaniers sur l’importation de véhicules électriques assemblés en Chine. La hausse touche également certains composants et certains matériaux, dont l’acier.

Le Canada n’est pas seul dans cette bataille, les États-Unis ont été les premiers à annoncer une série de mesures afin de freiner l’importation de composants, surtout les batteries, qui proviennent de Chine. Le président Biden avait du même souffle annoncé une hausse des droits de douane de 100 % sur les véhicules électriques issus de Chine.

Un second report

On apprend que les États-Unis ont décidé de repousser la date d’entrée en vigueur des différentes mesures. Le gouvernement Biden avait annoncé que, dès le 1er août 2024, les véhicules électriques fabriqués en Chine seraient frappés par une hausse des droits de douane de 100 %. Il en est de même des semi-conducteurs et des cellules solaires avec une hausse de 50 %, des batteries au lithium-ion et des minéraux clés, dont l’acier et l’aluminium, avec une hausse de 25 %. Il s’agit du second report dans ce dossier.

Le gouvernement n’a pas justifié ce nouveau délai, mais un porte-parole du gouvernement a déclaré que l’agence continuait de développer la proposition finale des modifications proposées aux tarifs sur les produits chinois, imposés sous l’administration du président Donald Trump en 2018 et en 2019.

Selon ce qu’on en sait, l’entrée en vigueur aurait été repoussée jusqu’à une date indéterminée en septembre. L’agence responsable a affirmé qu’elle a besoin de plus de temps pour étudier les quelque 1 100 lettres et commentaires qui proviennent du public et de l’industrie.

L’avis de RPM

Il semble que les États-Unis et la Chine sont toujours en discussion afin de trouver un terrain d’entente. Si jamais les États-Unis devaient revoir à la baisse la hausse des tarifs douaniers, il se pourrait bien que le Canada se voit forcé de faire de même.

POURRAIT VOUS INTÉRESSER
[jwplayer key= »QhSToIL4″]