Pour sauver les phares du Saint-Laurent

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Plusieurs municipalités ou organismes du Bas-Saint-Laurent souhaitent prendre en mains la conservation de leur phare abandonné par Pêches et Océans Canada.La Corporation des gestionnaires de phares et de l’estuaire du golfe Saint-Laurent travaille depuis de nombreuses années à sensibiliser les populations à l’importance de protéger ces témoins du passé maritime du Québec.Sur les 43 structures qui balisent le fleuve, il y a actuellement 17 phares dont la protection intéresse des organismes et des municipalités.Pour signifier leur intention, les intéressés doivent présenter une pétition à Pêches et Océans Canada.Le vice-président de la Corporation des gestionnaires de phares de l’estuaire et du golfe Saint-Laurent, Jean Cloutier précise que pour chacun de ces phares, il faut envoyer, d’ici le 23 mai, 25 noms de Canadiens adultes intéressés par sa sauvegarde.Les organismes intéressés à la protection d’un phare auront ensuite jusqu’à 2015 pour produire un plan d’affaires. Ce plan devra prévoir des sources de revenus permettant l’entretien et l’opération le phare.Pour sa part, la Corporation signifiera sa volonté d’assurer la conservation de trois phares orphelins, ceux de l’île Rouge, de l’île Biquette et de Cap-Des-Rosiers, tous classés monument historique national.

 

 

 

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