268 040 $ pour soutenir le développement touristique des Îles-de-la-Madeleine

Le gouvernement du Québec est fier d’accorder une aide financière de 268 040$ pour favoriser le développement de l’offre touristique de la région des Îles-de-la-Madeleine. Une partie de cette contribution servira à aider les entreprises madelinotes à définir les défis de développement numérique auxquels elles font face et à réaliser des projets de développement numérique, alors que l’autre portion permettra de soutenir la réalisation de 4 projets touristiques. Au total, ces investissements généreront plus de 600 000 $ de retombées économiques dans la région.

Le député des Îles-de-la-Madeleine, M. Germain Chevarie, au nom de la ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de la Mauricie, M^me Julie Boulet, en a fait l’annonce aujourd’hui.

Un soutien financier de 200 000 $ provient de l’Entente de développement numérique des entreprises touristiques (EDNET). À ce montant s’ajoute une contribution de 68 040 $, versée dans le cadre de l’Entente de partenariat régional en tourisme (EPRT). Selon les termes de l’entente, le ministère du Tourisme et Tourisme Îles-de-la-Madeleine investissent respectivement 34 020 $ et 17 010 $, et la Communauté maritime des Îles-de-la-Madeleine, 17 010 $.

« Une offre touristique riche et diversifiée, originale et authentiquement québécoise contribue à faire en sorte que le Québec se démarque des autres destinations. Avec la vive concurrence, particulièrement à l’international, il est impératif de poursuivre notre développement et d’investir dans des projets originaux et novateurs afin de répondre aux attentes de la clientèle, qui est toujours à l’affût de nouveautés. Notre industrie touristique est également appelée à s’adapter à l’environnement numérique, qui prend de plus en plus de place dans notre quotidien et dans celui des voyageurs. Je suis certaine que les projets annoncés aujourd’hui représenteront un avantage pour le développement économique et le rayonnement de notre destination. » – Julie Boulet, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de la Mauricie

« La région des Îles-de-la-Madeleine s’ajoute aux destinations touristiques de choix qui caractérisent le Québec et font sa renommée. Ces projets de développement touristique la rendront encore plus attrayante pour les visiteurs et contribueront à prolonger la durée de leur séjour, ce qui concourra au maintien et à la création d’emplois. Je suis ravi de cette annonce du gouvernement du Québec, qui met tout en œuvre pour soutenir les entreprises et les promoteurs dans la réalisation de leurs projets touristiques ou en lien avec le développement numérique. Je félicite les acteurs du milieu et leurs partenaires et les encourage à poursuivre leur excellent travail. » – Germain Chevarie, député des Îles-de-la-Madeleine

« C’est avec enthousiasme que nous assistons à l’annonce des premiers projets retenus dans le cadre de l’Entente de partenariat régionale en tourisme liée au développement et à la structuration de l’offre touristique des Îles-de-la-Madeleine. Le lancement de l’Entente de développement numérique des entreprises touristiques va quant à elle permettre d’accompagner de façon soutenue les entreprises touristiques dans le virage numérique que doit prendre notre destination. L’aide financière reçue par notre association touristique régionale permettra de former une cohorte d’entreprises spécialisées en création de contenus et d’expériences à forte valeur ajoutée et utilisant les nouvelles technologies, les médias sociaux et le marketing numérique. » – Damien Déraspe, président de Tourisme Îles-de-la-Madeleine

L’aide financière provenant de l’EPRT se répartit comme suit :

Le gouvernement du Québec accorde une aide financière de près de 126 000 $ à trois entreprises

Le gouvernement du Québec verse une aide financière pouvant atteindre 125 950 $ à 3 entreprises des Îles-de-la-Madeleine. Le député des Îles-de-la-Madeleine et adjoint parlementaire du ministre responsable de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, M. Germain Chevarie, en a fait l’annonce au nom du ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, M. Laurent Lessard.

Les trois projets s’inscrivent dans la Politique bioalimentaire 2018-2025 – Alimenter notre monde. Ils contribueront, notamment, à l’accroissement des exportations du Québec, tout en appuyant le développement d’un secteur bioalimentaire prospère, durable, ancré sur le territoire et engagé. De plus, dans la Politique bioalimentaire, les aliments biologiques sont également identifiés comme un vecteur de croissance pour le Québec.

« Le gouvernement du Québec mise sur la performance des entreprises de transformation alimentaire, de même que sur la visibilité et la compétitivité des produits québécois sur les marchés internationaux. Je tiens à souligner la qualité des projets qui reçoivent une aide financière de la part du Ministère. Ceux-ci permettront l’atteinte des cibles fixées dans la Politique bioalimentaire du Québec, en plus de stimuler le dynamisme de la région. » – M. Laurent Lessard, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation

Projet 1 : 73 350 $ – La Moule du Large inc.

L’aide financière permettra la réalisation d’un projet d’implantation du Programme de gestion de la qualité de l’Agence canadienne d’inspection des aliments à l’usine de Havre-aux-Maisons. Cet appui financier, accordé en vertu du programme Levier, s’inscrit dans un projet global d’investissement de 534 240 $ visant le réaménagement des locaux de l’entreprise afin de satisfaire aux exigences du Règlement sur l’inspection du poisson du gouvernement fédéral. Les travaux comprendront aussi l’aménagement d’un centre d’interprétation de la mariculture.

Projet 2 : 50 000 $ – Total Océan inc.

Travaillant en collaboration avec le centre Merinov et l’entreprise Silicycle, Total Océan reçoit une aide financière de 50 000 $, en vertu du programme Innovamer, pour la réalisation de son projet intitulé « Valorisation du lard de phoque gris pour la production d’huile riche en oméga-3 : cahier des charges de première transformation ».

Projet 3 : 2 600 $ – Miel en Mer

L’entreprise de M. Jules Arseneau, Miel en Mer, obtient une somme de 2 600 $ pour la certification biologique de 104 ruches. Cette aide provient du Programme d’appui pour la conversion à l’agriculture biologique et elle permet de stimuler le développement de la production biologique et d’augmenter le nombre de produits agricoles certifiés.

« Les entreprises comme La Moule du Large, Total Océan et Miel et Mer qui misent sur l’innovation pour offrir un produit original et de qualité sont à l’image du dynamisme et de la passion qui animent l’industrie de la pêche et de l’aquaculture commerciales et l’industrie agroalimentaire des Îles-de-la-Madeleine. En accompagnant et en appuyant ces entreprises dans le développement stratégique de leur compétitivité et de leur productivité, le gouvernement du Québec contribue au développement économique du secteur bioalimentaire et à la prospérité des Îles-de-la-Madeleine. Ces aides financières permettront à ces entreprises d’accroître leur présence sur les marchés et leur expansion sera bénéfique pour l’économie madelinienne. » – M. Germain Chevarie, député des Îles-de-la-Madeleine et adjoint parlementaire du ministre responsable de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine

LA UNE : © Bureau du Député provincial

Le 27 juin 2018, un comité citoyen accompagné du député Chevarie ont procédé au dépot d’un rapport d’études scientifiques et d’un plan d’action pour l’ouverture d’un chenal entre la Baie de Plaisance et la lagune du Havre-aux-Basques.

La Communauté maritime des Îles est invitée à se joindre au comité et au député pour faire suivre une demande officielle au ministère des transports du Québec afin d’inscrire à leur programmation une étude d’opportunité sur la réouverture de la lagune du Havre-aux-Basques.

Le député Chevarie mentionne que ce dossier a pris origine lors de la campagne électorale de 2014.

LA UNE : Le député Germain Chevarie, la conseillère municipale Suzie Leblanc et les membres du Comité de réouverture de la lagune du Havre-aux-Basques
Source : Facebook / Germain Chevarie

Bilan annuel dévoilé dans le cadre de la tournée médiatique pour l’année 2017-2018.

15 conducteurs ont été appréhendés pour conduite avec facultés affaiblies, sur le territoire des Îles, comparativement à 29 au cours des trois dernières années.

Aucune collision mortelle n’est à signaler aux Îles, cependant, les collisions avec blessés ont toutefois connu une légère augmentation (55, alors que la moyenne annuelle se situe près de 40).

Une légère recrudescence des crimes contre la propriété (88), mais surtout contre la personne (95).

20 dossiers concernant la lutte aux stupéfiants ont été traités dans l’archipel.

Ce bilan se veut le reflet des actions posées par la Sûreté du Québec durant toute l’année.

Source : Service des communications / Sûreté du Québec

Un sénateur de l’Île-du-Prince-Édouard revient à la charge pour réduire ou éliminer le péage sur le pont de la Confédération. Percy Downe juge que les utilisateurs du pont qui enjambe le détroit de Northumberland sont pénalisés par rapport aux utilisateurs des autres ponts fédéraux au pays.

Le représentant de la province insulaire à la Chambre haute dénonce l’incohérence d’Ottawa par rapport au financement des ponts fédéraux. Percy Downe trouve injuste qu’il en coûte 47 dollars aux automobilistes pour emprunter le pont de la Confédération aller-retour, alors qu’il sera gratuit d’emprunter le nouveau pont Champlain qui est en chantier entre Montréal et la Rive-Sud de l’île. Il propose donc de réduire, voire éliminer le péage sur le pont qui relie l’Île-du-Prince-Édouard et le Nouveau-Brunswick.

LA UNE : Le pont de la Confédération. Photo : La Presse canadienne/JONATHAN HAYWARD

Le défilé libéral n’est pas terminé dans la circonscription de Gaspé. La ministre québécoise du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, Isabelle Melançon, annoncera jeudi à Gaspé la création d’une nouvelle aire marine protégée à 15 kilomètres au large de la Pointe-Saint-Pierre.

Québec et Ottawa en sont finalement venus à une entente pour que le Banc des Américains ne soit jamais soumis à l’exploration ou l’exploitation pétrolière et gazière. Le Banc des Américains est une élévation sous-marine de 1000 km carrés prolongeant la pointe est de la Gaspésie dans le golfe du Saint-Laurent. Il fait partie des quatre sites ciblés au Québec par le ministère pour la création d’aires marines protégées.

LA UNE : Le Banc des Américains est situé à environ 15 km de la pointe Saint-Pierre. Photo : Radio-Canada

Les conséquences des champs magnétiques sur les homards intéressent une équipe de l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer. Ces champs magnétiques pourraient se dégager du câble sous-marin d’Hydro-Québec de 220 kilomètres qui doit relier les Îles-de-la-Madeleine au réseau électrique québécois.

Contrairement au reste du réseau d’Hydro-Québec qui fonctionne en courant alternatif, ce câble va transmettre l’énergie en courant continu, ce qui pourrait avoir des conséquences sur les écosystèmes marins, notamment par l’émission de champs électromagnétiques. Nicolas Desroy, un chercheur à l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer croit que le champ magnétique a des conséquences sur bien des espèces. « Un certain nombre de groupes comme les élasmobranches, donc les requins et les raies, les cétacés, baleines et dauphins, les poissons osseux, les tortues, mais également les crustacés, ce sont des espèces qui sont réceptives aux champs électriques pour chasser et aux champs électromagnétiques pour s’orienter et se déplacer. »

LA UNE : Zone où sera installé le câble sous-marin Photo : Hydro-Québec

Pêches et Océans Canada (MPO) annonce la fermeture temporaire d’une nouvelle zone de pêche en raison de la présence confirmée d’au moins une baleine noire de l’Atlantique Nord.

Les quadrilatères suivants seront fermés : GV41 (portion), GW41, GX40 et GX41.

Source : Pêches et Océans Canada
LA UNE : La baleine noire de l’Atlantique Nord est une espèce protégée en vertu des lois canadiennes et américaines. Photo : NOAA