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Les Madelinots veulent gérer leur territoire

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Ce territoire qui représente 30 % de la superficie de l’archipel et qui est actuellement propriété du gouvernement du Québec est essentiellement constitué des terrains qui unissent les Îles entre elles.Le maire des Îles-de-la-Madeleine, Joël Arseneau, indique qu’il s’agit principalement de dunes et de marécages. Ces terres appartiendraient toujours au gouvernement du Québec, mais seraient gérées localement par la MRC des Îles.La MRC pourrait ainsi y établir des règles pour la chasse, la pêche, la circulation des VTT, des planchistes, surfeurs et cueilleurs de mollusques ou de canneberges.Cette gestion entraînera des frais, mais aussi des revenus, selon le maire des Îles. « Lorsqu’on va par exemple, explique Joël Arseneau, régler la question de l’occupation saisonnière par des campeurs dans les zones dunaires, certainement qu’il va falloir aller chercher certains revenus pour assurer l’encadrement environnemental et réglementaire de ce territoire. »Le maire souhaite même créer un parc régional « avec certaines règles pour que les utilisateurs puissent jouir du paysage, mais en s’assurant qu’il soit protégé. »Le projet devrait se concrétiser d’ici le printemps 2012.

 

 

 

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Deux étudiantes récompensées par la Fondation Cornélius-Brotherton

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La Fondation du Cégep de la Gaspésie et des Îles poursuit la réalisation de son programme d’attribution des fonds en remettant des bourses à des étudiants admis en première année au Cégep. Deux bourses ont été décernées à des étudiants de la Polyvalente des Îles dans la région : Justine Caron-Turbide s’est mérité une bourse de 1 000 $ dans la catégorie «Excellence», et Gabrielle Fauteux-Cormier a reçu une bourse de 500 $ dans la catégorie «Leadership».

 

Soulignant l’excellence du dossier scolaire, ces bourses, d’une valeur visent la rétention des jeunes dans la région. Le programme de bourses d’entrée – volet immersion s’adresse aux élèves qui entreprennent leur formation collégiale en immersion totale ou partielle au Cégep de la Gaspésie et des Îles. Il encourage l’acquisition d’une langue seconde. Le programme de bourses d’entrée – volet leadership, seul volet n’étant pas attribué par tirage au sort,  récompense l’implication parascolaire ou communautaire exceptionnelle d’un étudiant ou d’une étudiante. « Ces bourses permettent de souligner l’importance des études collégiales et la volonté des étudiants de demeurer en Gaspésie et aux Îles. Ces jeunes sont nos futurs ambassadeurs », affirme monsieur William McNeil, président du conseil d’administration de la Fondation Cornélius-Brotherton.

De g à Dr : Johanne Longuépée membre du c.a. de la Fondation, Justine Caron-Turbide,  Gabrielle Fauteux-Cormier et Sony Cormier directeur du Campus des Îles-de-la-Madeleine.

 

 

La pêche au homard en Nouvelle-Écosse risque de faire l’objet d’un boycottage

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Des pêcheurs de homard du sud-ouest de la Nouvelle-Écosse, frustrés par la perspective d’un faible prix du homard, veulent organiser un boycottage de la saison, qui débute le 28 novembre.Un groupe de 200 pêcheurs qui a manifesté lundi à Wedgeport a demandé aux représentants des ports d’organiser des assemblées extraordinaires pour voter sur cette possibilité.Lucien LeBlanc, l’orateur de la manifestation, un capitaine de 22 ans, a expliqué que les hommes de pont gagneront 19 000 $ ou moins cette saison pour huit mois de labeur. Selon lui, le prix de la livre de homard a déjà été fixé à 3,25 $. Il a incité l’industrie à agir vite, car une quatrième année de vache maigre pour les pêcheurs est en vue.« Beaucoup de monde aimerait ne pas mettre les attrapes à l’eau jusqu’à ce que les acheteurs garantissent un prix qu’il est possible de travailler avec. » — Lucien LeBlanc, pêcheurPour voter dans le délai prescrit sur un boycottage de la saison, tous les représentants des ports d’attache doivent organiser une assemblée extraordinaire.Sans illusion, Lucien LeBlanc reconnait qu’unifier les pêcheurs est une tâche presque impossible.« Ça, c’est le dernier coup. Si les pêcheurs ne se mettent pas ensemble, on va aller à la pêche pour 3 $. On va aller dans le trou. » — Lucien LeBlanc, pêcheurAshton Spinney, du comité consultatif sur le homard, se dit prudent. Il indique qu’une téléconférence est prévue avec les représentants des ports et les acheteurs pour tenter de trouver une solution.

 

 

 

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Des pêcheurs en Nouvelle-Écosse manifestent pour leur gagne-pain

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Les pêcheurs de homard du sud-ouest de la Nouvelle-Écosse manifestent, lundi matin, à Wedgeport, dans l’espoir d’obtenir un juste prix pour leurs prises.La pêche au homard dans cette région commence le 28 novembre. Les pêcheurs redoutent d’obtenir un très bas prix. Ils veulent obtenir de la part des acheteurs un prix supérieur à 3 $ la livre de homard.Quelque 200 pêcheurs participent à la manifestation. Ils expriment de la frustration et une impression de déjà vu, car ils ont fait des démarches similaires il y a trois ans, sans obtenir ce qu’ils souhaitaient.Par cette manifestation, les pêcheurs espèrent aussi lancer un autre mouvement de protestation. Les manifestants souhaitent la tenue d’un vote sur une proposition de diminution de la pêche.Si cette proposition est adoptée, les bateaux resteront au quai à l’ouverture de la pêche. Les pêcheurs attendront une hausse du prix avant de prendre la mer.Ce bras de fer entre les pêcheurs et les acheteurs de homards se poursuit depuis quelques années, mais cette fois-ci, les pêcheurs se disent déterminés à aller jusqu’au bout.

 

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Presque tous les cégeps de l’Est du Québec en grève

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Des jeunes des trois régions de l’Est du Québec prennent part au mouvement contre la hausse des droits de scolarité.Ils sont des centaines à manifester dans les rues de Montréal et encore plus nombreux à avoir érigé des piquets de grève devant leurs institutions d’enseignement.Plus de 400 jeunes du Bas-Saint-Laurent, des étudiants de l’UQAR, des cégeps de Rimouski et de La Pocatière, sont partis pour Montréal, mercredi soir, pour participer à la grande manifestation étudiante contre la hausse des frais de scolarité.Sur la Côte-Nord, des dizaines d’étudiants des deux cégeps, ceux de Baie-Comeau et de Sept-Îles, sont montés à bord d’autobus nolisés en direction de Montréal, mercredi soir. Même chose à Matane, où l’association étudiante avait aussi nolisé un autobus pour se joindre au mouvement de contestation.Grèves localesDes étudiants protestent contre le dégel des frais de scolarité Des étudiants protestent contre le dégel des frais de scolarité (archives)À Sept-Îles, ils étaient une vingtaine, jeudi matin, à bloquer l’accès au cégep. La présidente de l’association étudiante, Marjorie Lemire-Garneau, fait valoir que la région souffrira la hausse des droits de scolarité. Il y aura moins d’étudiants qui vont choisir l’université, explique l’étudiante, ou ils vont choisir de travailler pour payer l’université. « Or, on sait qu’il y a 50 % des étudiants qui vont travailler, ne retournent pas aux études », conclut Mme Lemire-Garneau.À Baie-Comeau, la direction générale a sommé les enseignants de se présenter, sous peine de sanction. Le président de l’Assemblée générale étudiante, Yvan Tremblay-Morneau, indique que les enseignants et les trois syndicats ont refusé de franchir les piquets de grève. « Il n’y aura pas de cours à Baie-Comeau ce matin, et il n’y en aura probablement pas demain non plus », a assuré l’étudiant.En Gaspésie, ils sont des centaines d’étudiants des collèges de Gaspé, de Matane et d’Amqui à avoir érigé des piquets de grève.À Matane, comme à Baie-Comeau, des enseignants sont venus appuyer les jeunes qui étaient une centaine à manifester devant les portes du cégep. Mardi, plus de 40 % des étudiants du cégep de Matane ont participé à l’assemblée générale au cours de laquelle le mandat de grève a été voté à l’unanimité.À Gaspé, où les étudiants étaient aussi dehors, jeudi matin, Vincent-Olivier Bastien de l’Association étudiante souhaite le soutien de tous les citoyens. « On a une vingtaine de partenaires de développeurs de la Gaspésie qui se sont positionnés contre la hausse des frais », affirme M. Bastien.À Rimouski, tôt le matin, les étudiants, vêtus de tuques rouges, étaient déjà nombreux devant l’UQAR à brandir leurs pancartes et à crier leurs slogans. Même si les étudiants ont obtenu l’appui d’une centaine de groupes syndicaux, la Ville de Rimouski a refusé cet automne de les appuyer.Pour sa part, le premier ministre Jean Charest fait valoir que les droits de scolarité sont moins dispendieux au Québec qu’ailleurs au pays. Le gouvernement ajoute que les étudiants québécois doivent aussi contribuer à améliorer le financement universitaire.Cette année, un étudiant universitaire ou ses parents payeront près de 2200 $ en droits de scolarité. Dans six ans, la facture s’élèvera à près de 3800 $.Pour les étudiants en provenance de régions éloignées comme celles de l’Est du Québec, se rendre à l’université après deux ou trois ans de cégep est encore plus coûteux puisque s’ajoutent souvent à la note finale le coût du logement, des frais de subsistance et de matériel scolaire. Nombre d’étudiants des villages et petites villes du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et de la Côte-Nord doivent quitter leur milieu pour suivre la formation collégiale et arrivent déjà endettés aux portes de l’université.L’Est du Québec compte une seule université, située à Rimouski.

 

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Hydrocarbures – tous debout contre les projets pétroliers dans le golfe

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Unanimement, des Madelinots se lèvent contre les projets pétroliers et gaziers dans le golfe Saint-Laurent.Une centaine de Madelinots ont répondu, mercredi soir, à l’invitation de Genivar, qui organisait, sa dernière rencontre de consultation publique sur l’Évaluation environnementale stratégique sur la mise en valeur des hydrocarbures du golfe du Saint-Laurent.En plein centre du golfe, les Madelinots constatent qu’ils seront aux premières loges de tout déversement en amont de l’archipel.« J’aurais un souhait, c’est que la commission dans un an puisse aboutir à la recommandation d’interdire les forages en mer. » — Un participant à la consultation de Génivar à Cap-aux-Meules

Une participante, Marjorie Lapierre, a alors fait cette proposition : « J’inviterais tous les Madelinots qui sont ici présents ce soir à se lever s’ils croient que leur environnement naturel dans le golfe ne permet pas l’exploration ni l’exploitation du golfe présentement. »La réponse a été manifeste et spontanée.Un processus critiquéComme ce fut le cas à Gaspé, et notamment à Bonaventure où les participants à la rencontre ont refusé d’entendre la présentation de Genivar, les Madelinots ont remis en cause la crédibilité d’un processus de consultation sur la mise en valeur des hydrocarbures.Toutefois, les consultants de Genivar se doutaient déjà de la position des Madelinots puisqu’ils avaient, mardi, rencontré une cinquantaine de personnes parmi lesquelles des écologistes des politiciens de l’archipel.Plutôt cette semaine, la Coalition Saint-Laurent avait aussi fait une sortie pour dénoncer le processus en cours et demander de véritables audiences publiques sous l’égide du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE). La Coalition Saint-Laurent, dont la porte-parole est la présidente d’Attention Frag’Îles, Danielle Giroux, est un mouvement interprovincial lancé officiellement aux Îles-de-la-Madeleine en novembre 2010 pour réclamer un moratoire sur l’exploitation des hydrocarbures dans l’estuaire et le golfe du Saint-Laurent.En conclusion de la rencontre de mercredi, les consultants de Génivar ont répété que le message des insulaires avait été entendu.

Photo : © Tourisme Îles-de-la-Madeleine

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10/11/11: Une entreprise madelinienne au E-commerce de Paris

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C’est dans le cadre d’une mission du gouvernement du Québec en France que fut effectuée cette initiative. Suite aux candidatures proposées au MDEIE, dix entreprises furent sélectionnées au Québec, dont l’agence Gemini.

Ces Rencontres industrielles s’inscrivent dans le cadre de la collaboration France-Québec et du Programme Ubifrance/Québec, un programme visant les partenariats technologiques.

La vente de viande de phoque en Chine est reportée

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Le ministre des Pêches et des Océans du Canada, Keith Ashfield, affirme que l’entrée en vigueur de l’entente sur la vente de produits du phoque en Chine est reportée.M. Ashfield indique qu’il a rencontré son homologue en Chine la semaine dernière, mais que l’entente est quand même reportée.L’entente a été annoncée en janvier dernier par Gail Shea, qui était alors ministre des Pêches et des Océans. À ce moment, elle disait que l’industrie canadienne du phoque aurait accès au marché du pays le plus peuplé au monde et que cela lui donnerait une nouvelle vie.Le ministre Ashfield indique que les détails de l’entente sont tous réglés, mais que les autorités chinoises ont demandé un délai. Il n’a pas donné plus de précisions.Selon le Keith Ashfield, le gouvernement chinois comprend l’importance de cette entente pour l’industrie canadienne, mais il ne peut préciser dans combien de temps elle entrera en vigueur. Le ministre estime toutefois qu’un règlement peut être conclu à temps pour la prochaine saison de chasse, au printemps.

 

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La Peur de l’eau en avant-première aux Îles

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Les Madelinots auront le plaisir de voir en primeur Le film du cinéaste Gabriel Pelletier, La Peur de l’eau qui fut tourné à l’automne 2010 dans l’archipel.

le film LA PEUR DE L’EAU qui prendra l’affiche exclusivement au Cinéma Cyrco le 25 novembre prochain. Le réalisateur Gabriel Pelletier ira d’ailleurs présenter en première mondiale le film le samedi 19 novembre prochain en compagnie de Pierre-François Legendre. Produit par Nicole Robert de Go Films et distribué par Remstar, LA PEUR DE L’EAU prendra l’affiche partout au Québec le 27 janvier 2012.Scénarisé par Gabriel Pelletier et Marcel Beaulieu, LA PEUR DE L’EAU est l’adaptation cinématographique du roman ON FINIT TOUJOURS PAS PAYER de Jean Lemieux aux Éditions de la Courte Échelle. Le film met en vedette Pierre-François Legendre, Brigitte Pogonat, Normand D’Amour, Stéphanie Lapointe, Pascale Bussières, Paul Doucet, Michel Laperrière, Maxime Dumontier, Alexandre Goyette, Germain Houde, Sandrine Bisson, Isabelle Cyr en plus de différents comédiens des Îles-de-la-Madeleine.Rosalie Richard (Stéphanie Lapointe) est trouvée morte, violée, au pied d’une falaise des Iles-de-la-Madeleine. Elle est la victime d’un meurtre sordide et sa mort va faire basculer la vie rangée du sergent André Surprenant (Pierre-François Legendre), de la Sûreté du Québec. Le timide et effacé Surprenant va partir à la recherche du meurtrier alors même que son mariage s’effrite, que sa fille ado l’envoie promener, que sa psy (Pascale Bussières) tente de l’aider à surmonter ses phobies et qu’on veut le tasser pour confier l’enquête au sergent-détective Gingras (Normand D’Amour), parachuté de Montréal.En compagnie de sa coéquipière l’agente Geneviève Savoie (Brigitte Pogonat), jeune mère monoparentale qui ne le laisse pas indifférent, Surprenant va se découvrir des talents d’enquêteur qu’il ne se connaissait pas et enfin ouvrir les yeux sur son petit univers et la corruption qui le ronge.Présenté en première mondiale aux Îles-de-la-Madeleine le samedi 19 novembre prochain en présence de Gabriel Pelletier et de Pierre-François Legendre, LA PEUR DE L’EAU prendra l’affiche en primeur au Cinéma Cyrco dès le vendredi 25 novembre. Le film sera présenté dans les cinémas du Québec dès le 27 janvier 2012.Pour voir la fiche du film et la bande annonce, cliquez ici.Pour voir le reportage de la WebTV des Îles sur le tournage, cliquez ici Il s’agit de l’adaptation cinématographique du polar de Jean Lemieux, On finit toujours par payer, paru en 2003 aux Éditions de la courte échelle.. Jean Lemieux, médecin et écrivain a vécu pendant plusieurs années aux îles-de-la-Madeleine.

 

Source : REMSTAR / GOFILMS

 

Le livre gourmand des Îles de la Madeleine remporte un prix au concours canadien de livres culinaires.

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Les lauréats ont été annoncés lundi soir lors d’un gala tenu à la Royal Winter Fair à Toronto. Un prix à été décerné à Marie-Christine Rhéaume, Olivier Clément et Dominique Rhéaume pour « Le livre Gourmand des Îles de la Madeleine: Découvertes du terroir Recettes originales ». Ils se sont démarqués dans la catégorie Culture Alimentaire Canadienne dans le cadre de l’édition 2011 du Concours de Livres Culinaires Canadiens organisé par Cuisine Canada et l’Université de Guelph.Livre de recettes et photoreportage, Le Livre gourmand des Îles donne accès aux secrets du terroir madelinot, renommé pour ses produits d’exception et ses producteurs passionnés. Véritable pèlerinage gourmand, cet ouvrage rend, en 26 recettes, un hommage au savoir-faire de ces artisans et à la qualité de leurs produits. Dans les cuisines des chefs Olivier Clément et Marie-Christine Rhéaume, on découvre un mariage unique et contemporain des saveurs de la mer et de la terre. Le livre gourmand des Îles vous emmène également chez 22 producteurs, chasseurs et cueilleurs, qui ont ouvert leurs portes aux deux chefs… et à la photographe Emmanuelle Roberge. Mettant en vedette – entre autres – le homard, le crabe, les pétoncles, le miel, les chanterelles, les petits fruits, les capucines, les fromages, la charcuterie, la bière et les alcools artisanaux de l’archipel, voici un petit bonheur de livre de recettes pour connaître, goûter et aimer les îles de la Madeleine.Le concours a été instauré par Cuisine Canada, une alliance de professionnels canadiens de l’alimentation, en 1998 et l’Université de Guelph est devenue partenaire de l’événement en 2003. Le concours inclut trois catégories de livres : la catégorie livre Culture Alimentaire Canadienne identifie les livres culinaires traitant de l’histoire, des ingrédients et des particularités alimentaires régionales du Canada; la catégorie livre de cuisine se concentre sur les livres de recettes; la catégorie livre d’intérêt particulier comprend les livres traitant des aliments et/ou des boissons. Des prix or et argent sont décernés dans chacune des catégories, et ce dans les deux langues officielles.

 

Source : 680 NEWS

 

Les Madelinots s’interrogent sur leurs choix environnementaux

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La municipalité des Îles-de-la-Madeleine lance une consultation publique sur sa future stratégie énergétique.Le maire Joël Arseneau souhaite que les Madelinots réfléchissent aux moyens de diminuer leur empreinte écologique. Récemment, M. Arseneau soulignait que les Madelinots étaient les plus grands pollueurs du pays, en raison principalement de leurs sources d’alimentation énergétique. Éolien, gaz naturel, géothermie, les Madelinots devront choisir, note le maire.Des écologistes militent pour que l’Archipel soit relié à la Gaspésie par un câble souterrain de transport d’électricité.Cette solution entraînerait la fermeture de la centrale thermique des Îles. Les Madelinots sont-ils prêts à perdre les emplois bien rémunérés d’Hydro-Québec, demande Joël Arseneau.Ce dernier rappelle que la construction d’éoliennes est dans les cartons d’Hydro-Québec depuis plusieurs années, mais qu’en sera-t-il des paysages par la suite? « Si d’abord on peut s’entendre entre nous sur notre vision d’avenir, ensuite il nous est possible d’influencer les pouvoirs publics », fait valoir le maire Arseneau qui invite ses concitoyens à participer en grand nombre aux assemblées publiques.

 

 

 

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Produits du phoque : l’entente Canada-Chine pourrait être menacée

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Moins d’un an après que la ministre canadienne des Pêches et des Océans eut annoncé avoir conclu une entente avec le gouvernement chinois pour vendre de la viande de phoque, Pékin annonce qu’il souhaite revoir l’accord.En janvier 2011, la ministre canadienne Gail Shea avait affirmé que le Canada venait d’obtenir l’accès au marché le plus populeux sur la planète pour sa viande de phoque.Cette entente permettrait à l’industrie de reprendre des forces après des années de vache maigre, avait alors plaidé la ministre.Toutefois, des fonctionnaires du ministère des Pêches et de l’Agence canadienne d’inspection des aliments confirment que les Chinois n’ont jamais signé l’accord. Pékin a même fait connaître à Ottawa sa volonté de revoir le contrat.Frank Pinhorn, directeur exécutif de l’Association canadienne des chasseurs de phoques, soutient que le ministère avait peut-être fait des promesses trop hâtives et trop grandes.« L’annonce de Gail Shea était peut-être un peu prématurée », a-t-il dit, en entrevue à partir de Saint-Jean de Terre-Neuve. « Les détails n’avaient pas été conclus lorsque l’annonce a été effectuée. »M. Pinhorn affirme que le ministre canadien du Commerce international, Ed Fast, lui avait promis de se mêler du dossier.

 

 

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