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Les petits bateaux de pêche sous le radar de Transports Canada

La majorité des bateaux de pêche du Québec ne sont pas soumis à des inspections de Transports Canada. Les bateaux de pêche de 12 à 15 mètres, principalement des homardiers, peuvent faire des modifications sur leur bateau sans devoir le faire inspecter et approuver par le fédéral.

Le Bureau de la sécurité des transports du Canada (BST) a donné, comme recommandation, que ces bateaux soient inspectés par Transports Canada ou que leurs modifications soient soumises au fédéral.

C’est comme une culture, que les gens vont modifier leur bateau sans réaliser que ça va modifier la stabilité. Les gens doivent comprendre que la stabilité des bateaux, c’est vraiment important et s’ils les modifient, plus le navire est petit, plus les modifications vont avoir des conséquences sur la stabilité.

Une citation de Line Laroche, gestionnaire pour les enquêtes maritimes au BST
Line Laroche, gestionnaire pour les enquêtes maritimes au BST.

Line Laroche note que l’adoption de mesures plus sécuritaires dans le monde des pêches se fait plutôt lentement. PHOTO : RADIO-CANADA / BUREAU DE LA SÉCURITÉ DES TRANSPORTS DU CANADA

Par contre, l’instance fédérale refuse de jeter le blâme à Transports Canada et rappelle la part de responsabilité qui revient aux capitaines-propriétaires, même sans obligation légale.

Oui, on aimerait que Transports Canada en fasse plus, mais d’un autre côté, il faut aussi que les pêcheurs prennent en main leur sécurité, ajoute la gestionnaire pour les enquêtes maritimes.

Elle cite aussi, en exemple, un pêcheur qui ajoute un moteur, ce qui altère le franc-bord, soit la distance entre la ligne de flottaison et le pont, augmentant ainsi les risques de chavirement ou de submersion si, en plus, le bateau est surchargé.

Des homardiers au port de Grande-Entrée.

Le port de Grande-Entrée accueille plus du tiers des 325 homardiers des îles de la Madeleine. PHOTO : RADIO-CANADA / ISABELLE LAROSE

La sécurité en pêche : une compétence fédérale et provinciale

La sécurité sur les bateaux de pêche est à la fois de compétence fédérale et provinciale. Transports Canada se charge du volet sécurité des embarcations, alors que la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) s’assure que les embarcations offrent des outils et des méthodes de travail sécuritaires.

La CNESST intervient notamment en cas de chutes par-dessus bord causées par des équipements ou des manœuvres au travail.

C’est sûr qu’il faut le plus possible éliminer ce risque-là de chute par-dessus bord et en dernier recours, si ce n’est pas possible d’éliminer les risques de chute, au moins avoir en place des mesures de prévention, exemple des vêtements de flottaison individuels, explique l’enquêteur à la CNESST, Jean-François Synnott.

Par ailleurs, même si la Commission rappelle que les capitaines-propriétaires doivent se conformer à la Loi sur la santé et la sécurité du travail, elle reconnaît qu’aucun règlement ne s’applique précisément aux petits bateaux de pêche comme les homardiers.

L'inspecteur à la CNESST, Jean-François Synnott.

L’inspecteur à la CNESST, Jean-François Synnott, effectue en ce début de saison une tournée des quais de pêche au homard de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine pour sensibiliser les pêcheurs à adopter des pratiques sécuritaires. PHOTO : RADIO-CANADA / MARTIN TOULGOAT

Il n’y a pas de règlement qui vient préciser de façon claire, nette et précise, comment le navire doit être aménagé, mais de façon plus générale, les employeurs ont l’obligation d’identifier les risques dans leur milieu et de trouver des moyens et des mesures de prévention pour les réduire, ajoute l’inspecteur.

Dans l’industrie des pêches en général, le manque de stabilité et les chutes par-dessus bord sont les principales causes d’accidents mortels.

De 2010 à 2021, 128 personnes sont mortes au pays, après un accident sur un bateau de pêche.

Dans le secteur maritime, les pêches demeurent le secteur qui enregistre le plus d’accidents mortels, selon le Bureau de la sécurité des transports.

Même si le BST note certaines améliorations, il estime que les mœurs changent lentement.

La constatation, pour les bateaux de pêche, c’est que ça fait presque 30 ans qu’on enquête et les mêmes lacunes de sécurité réapparaissent. La culture de sécurité change, mais tranquillement, et la réglementation ne change pas aussi vite qu’on le voudrait, conclut Line Laroche.

Lundi, le chavirement d’un bateau de pêche au homard au large du Parc national Forillon a rappelé l’importance du port du gilet de sauvetage. Les cinq membres d’équipage, qui ont été secourus avant qu’une tragédie n’arrive, le portaient tous au moment de l’accident. Il n’a pas encore été déterminé, pour ce cas précis, s’il y aura enquête et qui assumera la suite des choses entre la CNESST et Transports Canada.

LA UNE : Un homardier qui prend la mer à partir du quai de L’Anse-à-Beaufils, à Percé PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-FRANCOIS DESCHÊNES

La Toyota Tercel est-elle toujours un bon achat?

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« Mon gars s’est mis en tête d’acheter une Toyota Tercel. On n’en vend plus depuis des années, mais on en voit encore des “belles” sur la route. Est-ce une bonne voiture où il va bruler son argent? » — Érik Gilbert

Réponse

Salut. Votre fils est certainement un nostalgique de l’apogée des voitures sous-compactes de Toyota. Il est vrai que, à l’époque, la Tercel avait la réputation d’être tout simplement indestructible, et le temps semble le démontrer puisqu’on en voit encore sur la route. Il faut dire qu’elle est arrivée sur le marché en 1995 et qu’elle a perduré jusqu’en 1999 avant son remplacement par l’Echo.

Au cours de cette génération, la Tercel était livrable avec un 4-cylindres de 1,5 litre de 93 chevaux et d’un généreux couple de 100 livres-pieds. Évidemment, c’est un rouage de type traction, mais on pouvait choisir entre une boîte de vitesses manuelle à 5 rapports et une automatique à 4 rapports. À ce moment, la Tercel était livrable à la fois en berline ou en coupé. Sur une note plus « sportive », le coupé Paseo était aussi construit sur cette architecture.

En matière de fiabilité, la Tercel était carrément indestructible, et ce, même avec un minimum d’entretien. Toutefois, quand on parle d’un véhicule de plus de 25 ans, on doit considérer l’état général du véhicule plutôt que son kilométrage. D’ailleurs, il ne sera pas rare de voir des Tercel de cette génération avec plus de 400 000 kilomètres au compteur.

Le secret de la durabilité est la grande simplicité de la mécanique et l’absence de composants complexes et électroniques. Il faut bien évidemment une bonne inspection et, surtout, une validation de l’état de la structure du véhicule. À cet âge, la rouille peut s’être invitée et causer des ravages, même si la carrosserie semble en bon état.

Pour ce qui est des prix, les Tercel ont encore une bonne valeur. Il sera difficile d’en trouver une en bon état sous les 1 500 $. S’il tient absolument à cette voiture, il ne doit pas hésiter à débourser un peu plus pour en trouver en très bon état. Dans ce cas, les prix ne devront aller au-dessus des 3 500 à 4 500 $.

Pour le reste, s’il désire conserver sa Tercel longtemps, il lui suffit de bien l’entretenir, et elle survivra encore bien des années. Dans ces conditions, nous recommandons toujours la Tercel!

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Alanis Desilets est excitée à l’idée de se marier

Alanis Desilets partage d’adorables photos avec son amoureux et semble être impatiente à l’idée de devenir la femme de son chéri.

C’est sur sa page Instagram que l’ex-candidate d’OD Bali a partagé un carrousel rempli de photos d’elle et son amoureux Joel Giguère, avec qui elle a deux enfants.

«Soon to be husband.», lançait celle qui annonçait s’être fait demander sa main en 2019.

Les tourtereaux sont franchement mignons!

Rappelons qu’en mars 2024 la créatrice de contenu annonçait qu’elle et son fiancé allaient se marier et que cet événement grandiose qui célèbre l’amour se déroulera en octobre.

On est impatients de voir la robe qu’elle a choisi pour cette journée si spéciale.

Bonheur aux futurs mariés!

25 ans de couple et de beaux projets pour Fabien Dupuis et Valérie Blais

C’est lors d’une entrevue avec le magazine 7 Jours que les amoureux Valérie Blais et Fabien Dupuis ont dévoilé plusieurs de leurs projets qui s’en viennent à grands pas.

Du côté de Valérie Blais, celle-ci jouera dans une pièce intitulée Peut contenir des traces d’ego au Théâtre La Marjolaine, à Eastman, du 14 juin au 10 août 2024.

Nous pourrons également la voir dans le film Nos belles soeurs, inspiré du livre de Michel Tremblay, dans les cinémas à travers le Québec dès le 11 juillet 2024.

Elle recommencera également les tournages de la deuxième saison de la série L’aréna!

Fabien Dupuis, de son côté, a révélé au même magazine qu’il faisait un retour aux études afin d’agrandir ses connaissances au niveau de la scénarisation.

L’acteur qui souhaitait ajouter une corde à son arc et diversifier son travail semble très bien se plaire dans ce nouveau rôle!

D’ailleurs, il a partagé qu’il écrivait quelque chose pour lui et son amoureuse, puisqu’ils n’ont pas encore eu la chance de jouer ensemble, en plus d’être impliqué dans le deuxième spectacle d’humour de Valérie.

Somme toute de très beaux projets pour le couple qui reste bien occupé côté travail et qui célèbre cette année 25 ans de couple.

Wow!

On leur souhaite beaucoup de succès dans toutes ces aventures professionnelles!

Un docu-réalité prometteur pour Louis-François Marcotte

Louis-François Marcotte est en vedette dans un tout nouveau docu-réalité intitulé De la cuisine aux affaires, et celui-ci s’annonce fort prometteur.

Une incursion fascinante

Lui qui a récemment opéré un virage décisif dans sa carrière, troquant le chapeau de restaurateur pour celui d’homme d’affaires, nous invite dans les coulisses de cette transition et les images que nous avons pu découvrir jusqu’à maintenant dévoile une incursion fascinante dans cet univers.

Pendant huit épisodes de vingt minutes, nous pourrons accompagner l’entrepreneur durant six mois, dans ses activités professionnelles.

«Un docu-réalité sur la transition professionnelle de Louis-François Marcotte», lançait l’équipe derrière le projet, en marge des premières images du documentaire.

Ne manquez pas De la cuisine aux affaires en ligne dans la section Vero.tv d’ICI Tou.tv EXTRA dès le mardi 4 juin 2024.

Pour une cinquième saison consécutive, l’état de la Floride est représenté en finale

Hier soir, les Panthers de la Floride ont officiellement affiché leur statut de meilleure équipe de la conférence de l’Est pour une deuxième année consécutive en atteignant la finale de la Coupe Stanley.

Ils auront vaincu le Lightning de Tampa Bay (en 5), les Bruins de Boston (en 6) et maintenant les Rangers de New York (en 6) en route vers le trophée Prince-de-Galles remis au champion de la conférence de l’Est.

Les joueurs des Panthers n’ont d’ailleurs pas touché au trophée cette fois-ci.

Bref, la Floride aura la chance de remporter la prestigieuse Coupe Stanley pour une deuxième saison consécutive.

Pour une équipe qui était vue il y a quelques années comme la risée de la LNH pratiquement au même titre que les anciens Coyotes de l’Arizona, c’est assez impressionnant.

On peut en dire de même pour les équipes de la Floride en général.

En effet, quand on regarde cela dans l’ensemble, les Panthers de la Floride ainsi que le Lightning de Tampa Bay ont vraiment mis la Floride sur la carte dans le monde du hockey.

Avec la victoire des Panthers hier, c’est une équipe de la Floride qui, pour une cinquième saison consécutive, représentera la conférence de l’Est en finale de la Coupe Stanley.

C’est assez fou quand on y pense que la Floride, un état où il fait beaucoup plus chaud que froid, et où les joueurs se rendent à l’aréna en gougounes est présentement l’état de l’heure dans le monde du hockey, et ce, depuis maintenant cinq ans.

On n’était loin de cette réalité en 2019, alors que les Panthers avaient manqué les séries et que le Lightning se faisait balayer en première ronde par les Blue Jackets de Columbus après avoir connu une saison régulière historique.

Avant 2022, les Panthers n’avaient pas gagné de rondes en séries éliminatoires depuis 1996, soit lorsqu’ils s’étaient rendus en finale de la Coupe Stanley.

Depuis, c’est un trophée des Présidents en 2022, et deux finales de la Coupe Stanley en 2023 et 2024.

 

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On ne peut pas encore dire des Panthers qu’ils sont une dynastie comme le Lightning de Tampa Bay l’a été, mais ils sont en voie de peut-être en être une de la façon qu’ils performent dans les deux dernières saisons.

Bref, le hockey en Floride aura pris du temps avant de fonctionner, mais voilà qu’aujourd’hui, c’est l’état des États-Unis avec les meilleures équipes.

Avoir le champion de la conférence de l’Est cinq ans de suite, c’est très impressionnant.

De plus, les Panthers n’ont clairement pas dit leur dernier mot, et ils pourraient très bien être de retour en finale la saison prochaine.

Leur parcours cendrillon de la saison dernière n’était que partie remise comme l’avait annoncé Matthew Tkachuk.

En Rafale

– En effet, le travail n’est pas fini.

– À consulter.

– Tout fraîchement champion de sa 15ᵉ Ligue des Champions de leur histoire, voilà que le Real Madrid a officiellement signé nul autre que Kylian Mbappé. Une autre incroyable addition pour Madrid, qui n’arrêtera pas de gagner des LDC, au contraire.

– Un gros match à regarder.

– À suivre.

Pêche au sébaste : Ottawa double les quotas

Pêches et Océans a dévoilé vendredi en début de soirée son tant attendu plan de gestion pour la pêche commerciale au sébaste qui doit s’ouvrir incessamment dans le golfe du Saint-Laurent. Il annonce dans la foulée que les quotas passent de 25 000 à 60 000 tonnes.

Après avoir annoncé en janvier dernier un premier quota de 25 000 tonnes, le MPO se ravise à la hausse en indiquant que le total autorisé de capture (TAC) s’élèvera à 60 000 tonnes pour 2024-2025.

Depuis janvier, de nombreux pêcheurs et industriels espéraient une révision du TAC, qu’ils jugeaient alors anémique. Le gouvernement du Québec s’était aussi positionné en réclamant une hausse des quotas avec une motion adoptée unanimement à l’Assemblée nationale en février dernier.

Le MPO précise toutefois que 5000 tonnes des 60 000 tonnes autorisées seront mises en réserve.

Cette allocation de réserve est accessible sur demande et vise à fournir une incitation supplémentaire aux détenteurs de permis qui ont participé à la pêche indicatrice et/ou expérimentale, ainsi qu’à ceux qui sont prêts à pêcher cette année, et/ou à ceux qui ont des projets planifiés pour la pêche au sébaste […], peut-on lire dans le communiqué envoyé vendredi.

Autrement, la répartition présentée en janvier demeure la même : les pêcheurs hauturiers, soit les bateaux de plus de 100 pieds de long, détiendront la majorité des allocations, soit 58,69 % des 55 000 tonnes restantes. Le MPO précise qu’elle sera répartie en fonction des allocations d’entreprise existantes pour les navires de pêche au poisson de fond de cette flottille.

Allocations du quota total de sébaste par secteurs de flottes

Secteurs de flottesAllocations (%)Quantité (tonnes)
Flottes d’engins mobiles hauturiers (navires>100 pieds)58,69 %32 279,2 tonnes
Flottes côtières d’engins mobiles (navires < 65 pieds)14,84 %8162 tonnes
Flottes semi-hauturières d’engins mobiles (navires entre 65 et 100 pieds)5,72 %3146 tonnes
Engins fixes de pêche côtière (prises accessoires)0,75 %412,5 tonnes
Pêcheurs de crevettes de l’estuaire et du golfe du Saint-Laurent10 %5500 tonnes
Communautés autochtones10 %5500 tonnes

Source : Pêches et Océans Canada

Pour ce qui est de la répartition des parts des flottes côtières d’engins mobiles, soit les navires de moins de 65 pieds, le Québec obtient 43,8 % (3578,5 tonnes), Terre-Neuve-et-Labrador met la main sur 41,2 % (3366,1 tonnes), le Nouveau-Brunswick 7,3 % (596,4 tonnes) alors que la Nouvelle-Écosse et l’Île-du-Prince-Édouard obtiennent respectivement 4,2 % (343,1 tonnes) et 3,4 % (277,8 tonnes).

Les bateaux d’allocation d’entreprise pour la pêche au poisson de fond auront droit à 1773,1 tonnes des quelque 3100 tonnes qui sont attribuées aux bateaux semi-hauturiers. Les crevettiers et les crabiers de cette flotte ont respectivement 1231,7 tonnes et 141,3 tonnes.

Les crevettiers québécois reçoivent quant à eux la plus grande part du quota alloué aux pêcheurs de crevettes.

Allocations par secteur de flotte

Secteur de flotteAllocationQuantité
Québec42 %2310 tonnes
Terre-Neuve-et-Labrador37 %2035 tonnes
Nouveau-Brunswick21 %1155 tonnes

Source : MPO

L’allocation aux communautés et organisations autochtones sera de son côté gérée dans le cadre d’un régime concurrentiel interrégional.

Pêches et Océan indique qu’il poursuivra, une fois la pêche ouverte, des consultations en vue de la deuxième phase de cette pêche, qui vise son développement à long terme.

L’ouverture de la pêche au sébaste est prévue pour le 15 juin.

LA UNE : Le sébaste, le poisson le plus abondant du golfe, est reconnu comme un prédateur très important de la crevette nordique. (Photo d’archives) PHOTO : GRACIEUSETÉ DE PÊCHES ET OCÉANS CANADA / CLAUDE NOZERES

La taxe sur l’immatriculation augmente de 154 % dans la région métropolitaine

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C’est fait. Après plusieurs semaines d’incertitude concernant une potentielle hausse sur la taxe sur l’immatriculation dans le Grand Montréal, les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) ont affirmé que la réglementation a été adoptée. Ceci veut donc dire que les automobilistes de la région verront leur immatriculation passer de 59 à 150 $ à compter du 1er janvier 2025.

Le transport en commun

Le prix va ainsi presque tripler pour les résidents qui ont un « véhicule de promenade » dans la région par rapport au montant déboursé en 2024. Selon les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal, cette hausse de 154 % est nécessaire afin d’éponger le déficit de 361 millions de dollars lié au transport collectif dans la région.

« Ça ne nous fait absolument pas plaisir, il n’y a personne qui est content de se retrouver un peu acculé [au] mur à chercher des solutions face au sous-financement du transport collectif », a ajouté Valérie Plante, mairesse de Montréal et présidente de la CMM.

La résolution a été adoptée par la majorité, soit 24 contre 4 sur un total de 28 membres. Le Conseil a ajouté que « c’est le seul moyen dont il disposait pour diversifier, hors du champ foncier », les revenus des transporteurs de la métropole.

D’autres municipalités

Cette première augmentation met la table à de futures hausses attendues un peu partout au Québec. La Ville de Québec avait laissé sous-entendre dernièrement qu’une taxe sur l’immatriculation des véhicules allaient aussi croître dans la Capitale-Nationale.

Au total, plus de 30 requêtes ont été faites à la SAAQ afin de prévoir une majoration des coûts. Par ailleurs, les conseils municipaux ou les instances de leur MRC avaient, jusqu’à aujourd’hui, le 31 mai, pour déposer une demande d’augmentation. Nous devrions donc apprendre prochainement quelles municipalités au Québec et quel montant les automobilistes devront payer pour la taxe en 2025.

Patrick Groulx commente l’affaire Guillaume Lemay-Thivierge

Alors qu’il était de passage au podcast Prends Un Break, Patrick Groulx a donné son opinion sur le scandale qu’a créé Guillaume Lemay-Thivierge en mars 2024 et qui a causé son retrait de la sphère publique et de plusieurs de ses projets télé.

Questionné par l’un des animateurs à savoir si Guillaume avait été jugé trop sévèrement ou pas assez, Patrick s’est ouvert sur le sujet et a eu le courage d’exprimer son opinion quant à ce dossier qui a fait couler beaucoup d’encre.

«Moi je pense qu’il a été jugé correct (…) en fait, ce n’est pas juste ça, c’est tout ce qui est venu avec ça! Cette espèce d’hypocrisie-là, de nous faire à croire que c’est le seul arbre, qu’il ne le savait pas et esti que j’ai tout haïs de ça (…) le lendemain et ses excuses et sur la tête à plein de monde (…)», lançait-il en précisant aussi le connaître depuis longtemps et se questionner sur ce qui se passe dans sa tête depuis quelques années.

Capture d’écran YouTube @Prends Un Break

«(…) c’est un bon gars, ça fait longtemps que je le connais, je ne le sais pas ce qui se passe, mais f*ck… il court après là (…)», continuait-il, visiblement découragé.

Capture d’écran YouTube @Prends Un Break

Patrick se dit toutefois très heureux que la société ait évolué et que ce genre de situation ne soit plus tolérée et surtout, dénoncée.

Êtes-vous du même avis que lui?