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Honda 0 Saloon et 0 SUV Prototypes, les deux prochains véhicules électriques de Honda dévoilés

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Honda a toujours préféré miser sur les véhicules hybrides, elle en est d’ailleurs la pionnière avec l’Insight apparue en 1999. Poussé par la pression, le constructeur a fait ses tout premiers débuts en matière de véhicule électrique avec le Prologue, le premier VÉ de la marque commercialisée en Amérique du Nord. Cependant, dans les faits, il s’agissait d’un véhicule GM, le Blazer EV, rebadgé par Honda.

Les premiers véritables véhicules électriques Honda qui arriveront sur le marché sont une berline ultra futuriste et un VUS plus classique. Baptisés Honda 0 Saloon et Honda 0 SUV, les deux véhicules viennent d’être dévoilés dans le cadre du CES 2025 de Las Vegas. On se souviendra que Honda y avait dévoilé l’an dernier le concept, cette fois nous avons droit aux prototypes. Les deux préfigurent clairement les modèles de production à venir et ils entreront dans le marché en 2026.

Un VUS électrique pour Acura?

Le plus significatif, c’est le Honda 0 VUS ; il s’inscrit dans le segment des VUS électriques intermédiaires. Selon l’information reçue de Honda l’automne dernier lors de ma visite au Japon, le VUS serait commercialisé en Amérique du Nord sous la marque de luxe du constructeur, Acura, plutôt que Honda.

Le véhicule s’appuie sur le modèle conceptuel Space-Hub dévoilé lors du CES 2024, le Honda 0 SUV applique l’approche « mince, léger, et intelligent » afin d’offrir un habitacle spacieux avec une visibilité et une souplesse exceptionnelle, selon Honda.

Un modèle de production basé sur le prototype du Honda 0 SUV, assemblé à l’usine de Honda dédiée aux véhicules électriques et située en Ohio, devrait être lancé sur le marché nord-américain au 1er semestre de 2026. Il sera ensuite introduit sur les marchés mondiaux, y compris au Japon et en Europe.

Une berline de grand luxe pour Honda

Quant à la Honda 0 Saloon, elle adopte un design ultra futuriste qui fera sans doute jaser. Cette berline électrique de grand luxe, qu’on peut positionner dans le segment d’une Tesla Model S, n’aura rien d’abordable, et sa diffusion sera limitée. Elle servira surtout à démontrer toute la portée de la technologie 0, surtout en termes de légèreté. Honda affirme que la 0 Series sera plus légère de 100 kilos que son modèle électrique actuel.

Tout en restant fidèle au design audacieux du modèle concept, le prototype présente un profil bas et un design « Wedge-shaped », ce qui ne manquera pas de le distinguer de tout ce qui se fait d’autre en matière de voiture électrique. La voiture sera bardée de nouvelles technologies destinées à démontrer toutes les avancées de Honda en matière de motorisation électrique, de véhicules autonomes et d’innovations qui facilitent la vie des conducteurs.

On y retrouvera la nouvelle plateforme logicielle ASIMO OS, inspirée du nom du robot ASIMO. Elle appliquera une gestion intégrée des unités de commande électronique (ECU) pour les systèmes du véhicule comme la conduite automatisée, les systèmes d’assistance à la conduite avancée (AD/ADAS) et le système d’infodivertissement embarqué.

Comme c’est le cas du VUS de la 0 Series, le modèle de production sera assemblé en Ohio et introduit en 2026. Ce véhicule sera cette fois commercialisé sous la bannière Honda.

Deux moteurs électriques

Honda a développé 2 moteurs électriques qui animeront ses nouveaux véhicules électriques. Le premier moteur, le principal, est plus puissant avec ses 242 chevaux (180 kilowatts) ; seul, il peut équiper un véhicule à propulsion. Il peut aussi être jumelé à un second moteur de 67 chevaux (50 kilowatts) pour créer un rouage intégral sur les véhicules plus imposants ou plus compacts afin de créer un rouage intégral.

Une batterie plus mince et plus légère

Outre leur design, les deux véhicules s’attaquent à deux enjeux très importants du côté des véhicules électriques : la taille et, surtout, le poids. L’un des éléments qui distingueront les deux véhicules, c’est la nouvelle batterie développée par Honda. Une nouvelle technologie de fabrication permet d’obtenir une batterie plus mince et plus légère par rapport à ce qu’on retrouve du côté de la concurrence. Honda aura, à terme, trois nouvelles usines de batteries, dont une, en Ontario.

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Pour affronter le Volkswagen ID.Buzz, Toyota ramènerait la Previa

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L’introduction du Volkswagen ID.Buzz semble entraîner un élan de nostalgie auprès de certains constructeurs d’automobiles, dont Toyota. On apprend par la publication Forbes que Toyota travaillerait au retour de la légendaire et étrange Previa, une fourgonnette construite dans les années 1990. On se souvient tous de la Previa pour son design en forme d’œuf, mais aussi pour ses particularités mécaniques avec un moteur suralimenté en position centrale avant et avec un rouage du type propulsion ou intégral.

Bien que la Previa ait continué à exister au Japon jusqu’en 2019, elle a quitté le Canada en 1997 lors de l’introduction de sa remplaçante, la Sienna, nettement plus classique. Quoi qu’il en soit, Toyota serait sur le point de réintroduire la Previa, et, comme la tendance actuelle l’impose, le modèle jouirait d’une motorisation électrifiée. On parle ici de deux choix : de base, une motorisation hybride rechargeable et une autre entièrement électrique.

Pour se simplifier la vie et réduire les coûts liés à la conception, Toyota utilise la plateforme pour intermédiaire TNGA-K qu’on connaît sous les Sienna et, plus récemment, la gamme Crown. Par le fait même, on comprend que ce n’est pas un produit entièrement développé pour l’électrification, il y aura des compromis à faire sur le plan technique, notamment sur la taille de la batterie qui devra être plus compacte pour respecter les limites de la plateforme.

En matière de motorisation électrique, si l’on se fie uniquement aux acquis, Toyota pourrait récupérer le moteur avant de 201 chevaux du bZ4X. C’est faible pour la taille anticipée de la Previa, mais si l’on ajoute le même moteur à l’arrière, la puissance passerait à plus de 400 chevaux et, surtout, lui assurerait un rouage intégral. Nous verrons ce que Toyota sera en mesure d’offrir.

Dans le cas de la mécanique hybride rechargeable, là, on compte sur plusieurs possibilités. La plus logique serait de récupérer la motorisation du RAV4 Prime avec une puissance de plus de 300 chevaux. Toutefois, une nouvelle génération de RAV4 est à nos portes, il y a de bonnes chances qu’on voit une majoration de la puissance.

Même son de cloche pour ce qui est de la batterie. Actuellement, si l’on opte pour celle du RAV4 Prime, on obtient une capacité de 18,1 kilowattheures, ce qui assure une autonomie de près de 70 kilomètres. Comme il s’agit d’une fourgonnette, aussi aérodynamique puisse-t-elle être, la consommation sera plus élevée et réduira l’autonomie. Là encore, Toyota peut offrir une batterie plus grosse, c’est à voir.

Avec le retour de l’ID.Buzz et l’annonce de Chrysler de produire une Pacifica électrique d’ici 2027, les familles modernes auront du choix en matière de fourgonnette électrique.

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Une année de ventes record pour Volvo Canada en 2024

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Alors que l’industrie de l’automobile a connu de nombreux chamboulements en 2024, nous commençons graduellement à connaître les chiffres de ventes de chaque constructeur. Si certains ont connu une moins bonne année, pour d’autres, ç’a été une année faste. On parle ici de Volvo et de sa division canadienne qui vient d’annoncer un record de ventes annuelles pour 2024.

L’électrification sauve la mise

Volvo Canada ne s’en cache pas, la forte demande en véhicules électrifiés fait pencher la balance. En effet, 46,1 % des véhicules que le constructeur a vendu sur le marché canadien étaient électrifiés. C’est près de la moitié. Au total, toutes motorisations confondues, Volvo a vendu 13 404 véhicules chez nous, ce qui représente une augmentation de 4,2 %, en comparaison avec l’année 2023.

Quels ont été les modèles les plus populaires?

Selon le communiqué de presse de Volvo Canada, trois modèles se sont démarqués en termes de pourcentage d’exemplaires vendus. Tout au long de l’année 2024, c’est le Volvo XC60 qui a été le modèle le plus vendu sur le marché canadien ; il représente 35 % des ventes totales du constructeur. Suit en 2e position le Volvo XC40 avec un total de 26 % des ventes ; et en 3e position, le Volvo XC90 avec 20 % des ventes en 2024. Au total, ces 3 modèles comptent pour 81 % des ventes effectuées en 2024.

Comment s’annonce 2025?

Maintenant que 2024 est derrière nous depuis déjà quelques jours, il reste maintenant à savoir si Volvo maintiendra le cap en 2025 en termes de ventes. Il sera aussi intéressant de voir si la réduction des rabais pour les véhicules électrifiés au Québec aura un impact, tout comme la pause du programme Roulez vert entre le début de février et la fin de mars.

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Janette Bertrand: «Si j’étais un gars, il n’y aurait pas de guerre»

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Janette Bertrand était invitée à l’émission Je viens vers toi, où plusieurs sujets ont été abordés en sa compagnie, notamment ce qu’elle voudrait être si elle avait à réinventer sa vie.

Une réponse de Janette qui vous surprendra, mais qui fait fort probablement tout son sens!

Cette femme inspirante, qui célèbrera bientôt ses 100 ans et qui a contribué à démystifier de nombreux tabous, a confié qu’elle aurait voulu être un homme et elle explique d’ailleurs pourquoi.

«Je voudrais être un homme pour aller goûter à ce que c’est que de rentrer dans un bureau, puis de dire: Sacrament, faut que ça change les affaires. Puis, je te le dis, si j’étais un gars, il n’y aurait pas de guerre (…) Nous, les filles, on haït ça, la guerre, et je soupçonne les hommes d’aimer la guerre (…) Qui c’est le gagnant, qui c’est le plus fort, qui c’est qui fait le pipi plus loin?», lançait Janette avec la fougue qu’on lui connaît.

Capture Noovo

Un témoignage captivant, comme elle seule sait si bien le faire!

Capture Noovo

Marina Orsini: «Je suis extrêmement déçue»

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Marina Orsini s’insurge vivement contre un magasin très populaire, exprimant son indignation et se disant «extrêmement déçue» par une situation qu’elle semble juger inacceptable.

C’est sur Instagram que Marina Orsini a partagé un carrousel de photos montrant les rangées du magasin La Baie, accompagné un texte où elle exprime sa déception face à l’état des vêtements dans les succursales situées au centre-ville. 

«Cher(ère) M. ou Mme La Baie… je suis extrêmement déçue de l’état dans lequel se trouve votre magasin du Centre-Ville… des vêtements de plus de 2000 $, la pièce, accrochés sans queue ni tête… Vous avez toujours été mon magasin préféré! Vraiment! J’ai longtemps rêvé d’être votre porte-parole même! Juré! Mon cœur se dégonfle… de + en +…», lance-t-elle, visiblement préoccupée par la configuration des vêtements.

Une majorité des commentaires sous la publication approuve et soutient le constat exprimé par Marina.

Cependant, d’autres soulignent qu’il y a des problèmes bien plus préoccupants que la présentation des vêtements dans les magasins de La Baie.

Que pensez-vous de la situation?

Top-5 : Huberdeau regarde sa mère après avoir marqué le but gagnant en prolongation

Il y avait dix matchs hier soir dans la LNH.

Le Canadien n’était pas en action : il affrontera les Capitals à Washington, vendredi soir.

Cela dit, allons voir ce qui s’est passé dans les autres rencontres de la soirée :

1 : Un beau moment pour la famille Huberdeau 

Les Flames étaient à Anaheim pour y affronter les Ducks.

Et la soirée était spéciale, puisque c’était le voyage des mères du côté des Flames.

Le match a nécessité la prolongation et c’est Jonathan Huberdeau qui a envoyé tout le monde à la maison, grâce à un but un peu bizarre.

Jacob Trouba a tenté de dégager son territoire, mais la rondelle a abouti proche du gardien et Huberdeau en a profité pour marquer l’un des buts les plus faciles de sa carrière :

Après les célébrations avec ses coéquipiers, les joueurs des Flames ont tenu à saluer leurs mères et Huberdeau a regardé la sienne avec un grand sourire au visage.

La maman Huberdeau semblait être vraiment fière de son fils, d’ailleurs : 

Le match n’a pas été super glorieux du début à la fin pour les Flames, par exemple…

Ils pourraient perdre les services de Connor Zary pour un bout puisque l’attaquant s’est fait frappé dangereusement à un moment durant la rencontre.

Les images sont difficiles à regarder (surtout quand on voit le genou de Zary plier de cette façon-là) : 

2 : Marc-André Fleury, ne change jamais…

Ça fait longtemps qu’on sait que Marc-André Fleury est spécial… Dans le bon sens du terme.

Il a ses habitudes devant son filet et chaque fois qu’il fait quelque chose qui sort de l’ordinaire, tout le monde en parle.

C’est lui qui a permis au Wild de revenir de l’arrière hier soir et de l’emporter 6-4 face aux Blues, après avoir remplacé Filip Gustavsson devant le filet.

Et Fleury peut aussi dire merci à l’un de ses poteaux, qui a fait un gros arrêt à un moment durant le match.

Le gardien a tenu à lui donner de l’amour :

Les séquences comme celle-là vont toujours me faire sourire.

Et Marc-André Fleury a le don de faire les sourires les gens, que ce soit en faisant un tour à ses coéquipiers ou en remerciant ses poteaux.

Il ne doit jamais changer.

3 : Hellebuyck continue d’écrire l’histoire

On vous a déjà dit que Connor Hellebuyck est l’un des meilleurs gardiens de la Ligue nationale?

Le cerbère des Jets connaît toute une saison et il a poursuivi sur sa lancée hier soir, alors que les pauvres Predators étaient à Winnipeg.

Hellebuyck a stoppé 26 des 28 tirs dirigés vers lui afin de signer sa 25e victoire (!) de la saison et il s’agit d’un sommet dans la LNH.

À titre de comparaison, Jacob Markström et Jake Oettinger sont les deux gardiens qui le suivent de près… Et ils ont tous deux récolté 20 victoires en 2024-2025.

Hellebuyck est sur un autre niveau : sa victoire d’hier lui a aussi permis d’atteindre le plateau des 300 gains en carrière dans la LNH.

Il est le 3e gardien à accomplir l’exploit le plus rapidement : 

Si Hellebuyck est capable de garder le rythme, les Jets vont vraiment être à surveiller d’ici la fin de la campagne.

Et le gardien pourrait peut-être gagner 50 matchs s’il continue d’être aussi dominant…

Notons que les Jets ont finalement gagné par la marque de 5-2 face aux Preds.

Mark Scheifele a récolté deux passes dans la victoire des siens. 

4 : Un autre record pour le kid 

Même à 37 ans, Sidney Crosby est encore l’un des bons joueurs de la LNH.

Il a récolté deux passes dans la défaite (4-3) de son club face aux Blue Jackets, mais ce n’est pas ce qui retient l’attention pour autant.

Le capitaine des Penguins s’est emparé du record pour le plus de mises au jeu gagnées dans la LNH (15 183) depuis 1997-1998, soit depuis que la statistique est comptabilisée :

Ça démontre une chose : Crosby est bon dans le cercle des mises au jeu… Et disons que ça ne date pas d’hier.

Il s’agit aussi d’une autre accolade pour un joueur qui a pratiquement tout gagné durant sa carrière.

Difficile de demander mieux, dans le cas du kid. 

5 : Sebastian Aho joue au comédien 

On dirait que Sebastian Aho et Brandon Hagel faisaient exprès de se faire chier hier soir sur la patinoire à Tampa Bay.

Ils ne se sont pas lâchés une seule seconde… Et ça s’est poursuit sur le banc des deux équipes.

Le problème?

Hagel a complètement perdu son sérieux en voyant Aho tenter de l’imiter avec une face… Assez ridicule.

Les images sont vraiment drôles : 

Ça m’a vraiment fait penser à quand Steve Ott a niaisé Zack Kassian, alors qu’il jouait pour le Canadien : 

Si on revient au match, notons que c’est Brayden Point qui a décidé du sort des deux équipes à la toute fin de la rencontre.

Il a marqué avec un peu plus de 50 secondes à écouler au cadran et ça a été suffisant pour que le Lightning gagne par la marque de 3-2 :

Prolongation

– Un but pour Lafrenière, qui n’avait pas marqué à ses 14 derniers matchs :

– Et il en a ajouté un autre en première période :

– Wow !

– Une autre défaite pour les Rangers.

– Il est en feu, lui.

Snipe.

– J’adore.

– Vintage.

– 100 buts dans l’uniforme des Knights pour Mark Stone.

– Au moins, les deux ont évité de se faire mal.

– Malade.

– Belle victoire des Oilers face aux Bruins.

– Les meilleurs pointeurs de la soirée :

(Crédit: NHL.com)

(Crédit: Google)

Jake Evans veut s’entendre avec le CH : Elliotte Friedman dit aussi que c’est un bon signe

Jake Evans est un joueur important pour le Canadien depuis le début de la saison.

Et son jeu fait en sorte qu’on parle beaucoup de la possibilité de le voir prolonger son contrat avec le CH.

Renaud Lavoie a dit (BPM Sports) plus tôt cette semaine à ce niveau-là qu’il y a « un mariage qui s’en vient », afin d’assurer qu’il demeure au sein de l’organisation montréalaise.

L’information du journaliste de TVA Sports a fait du chemin parce qu’hier soir, Elliotte Friedman en a parlé dans un article.

L’informateur de Sportsnet a relayé les commentaires de Renaud Lavoie dans son texte en disant que les deux clans (Evans et le Canadien) veulent s’entendre, ce qui est un bon signe.

Comme l’a rapporté Renaud Lavoie, l’équipe travaille à prolonger le contrat de Jake Evans. Les deux parties veulent que quelque chose se fasse, ce qui est toujours un bon signe. – Elliotte Friedman 

Il n’y a jamais de fumée sans feu.

Et si Elliotte Friedman a choisi d’en parler dans l’un de ses textes… C’est parce que l’information est véridique.

Marco D’Amico, lui, soutient dans un tweet que les discussions sérieuses pourraient commencer cette semaine et que ça s’enligne vers une prolongation de contrat dans le cas du joueur de centre :

Évidemment, les grosses questions à se poser sont les suivantes : Kent Hughes sera-t-il tenté à l’idée d’envoyer Evans ailleurs pour recevoir des assets importants en retour… Ou est-ce qu’il se concentre plutôt sur l’avenir d’Evans à Montréal?

On sait que Jake Evans a une belle valeur et qu’il pourrait rapporter gros.

Mais on sait aussi que Jake Evans est l’un des joueurs qui expliquent les succès du club cette année et qu’il remplit son rôle à la perfection avec le Canadien.

Il est en voie de marquer plus de 50 points alors qu’il joue sur le 4e trio, il excelle en désavantage numérique, son effort est toujours au maximum… Et il est l’un des leaders silencieux du groupe à Montréal.

Ça reste à voir et j’ai l’impression qu’on pourrait avoir plus de détails à ce niveau-là plus tard aujourd’hui, alors que Kent Hughes va s’entretenir avec les médias pour son point de presse de mi-saison (11h30).

Par contre, à voir tout ce qui se dit concernant Jake Evans depuis quelques jours… Il semble être vraiment possible de croire qu’il a des chances de rester à Montréal en vue des prochaines années.

En rafale

– Il est fumant, le gardien des Leafs.

– Oh.

– Ça a dû être vraiment spécial pour les jeunes.

– Il connaît une bonne saison.

– Le capitaine est honnête.

Une mise à jour pour les Ram 2500 et 3500 HD en 2025

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Nous avions eu l’occasion de vous présenter l’an dernier la gamme 2025 du Ram 1500 qui, pour l’occasion, se payait quelques changements. Nous apprenons aujourd’hui que la gamme Heavy Duty du Ram bénéficiera elle aussi de légers changements esthétiques ainsi que de quelques modifications sur le plan technique. De plus, ces changements arriveront plus tôt que l’on peut le croire, soit au cours du premier trimestre de 2025.

Plus de muscle sous le capot

C’est reconnu, les versions HD des camionnettes Ram sont conçues pour le travail plus ardu avec des composantes techniques plus robustes ainsi que des capacités accrues, comparativement à une version 1500. Tout d’abord, on retrouve toujours le moteur V8 HEMI de 6,4 litres développant 405 chevaux et 429 livres-pieds de couple. Cependant, le grand changement est du côté de la motorisation diesel qui bénéficie d’une révision pour 2025. Le constructeur mentionne que le nouveau moteur turbo diesel Cummins à haut rendement de 6,7 litres développe plus de puissance, soit 430 chevaux et 1 075 livres-pieds de couple. On nous mentionne aussi que ces motorisations sont jumelées à la transmission automatique à 8 rapports qui bénéficie elle aussi d’une mise à niveau.

Cela permet d’avoir une capacité de remorquage de 16 606 kilogrammes (36 610 livres) avec un rapport de pont arrière de 3,42. Il est à noter que cela représente une nouveauté, puisque le remorquage maximal n’était auparavant disponible qu’avec un rapport de pont de 4,10. Ce changement devrait permettre une meilleure économie de carburant, selon Ram.

Un léger rafraîchissement esthétique

Les changements s’observent aussi sur le plan esthétique. Dans un premier temps, les Ram Heavy Duty 2025 obtiennent une grille de calandre ainsi que des phares redessinés, leur conférant un look rafraîchi. De plus, les autres mises à jour extérieures comprennent de nouvelles roues uniques qui varieront selon le modèle. Les feux arrière à incandescence de série sont aussi revus, tandis que des feux arrière à DEL avec surveillance des angles morts sont disponibles sur certains modèles plus haut de gamme.

L’habitacle n’est pas en reste puisqu’il obtient lui aussi quelques changements. Ces derniers se concentrent toutefois sur le plan technologique. D’emblée, les Ram HD héritent de la version la plus récente du système Uconnect. Un écran tactile amélioré de 12 pouces pour l’infodivertissement se trouve de série tandis qu’un nouvel écran de 14,5 pouces est aussi disponible. À cela s’ajoute un nouvel écran passager de 10,25 pouces disponible sur certaines versions. Selon le constructeur, ce dernier est une première dans la catégorie des camionnettes robustes puisque Ford et GM ne l’offrent pas.

C’est pour bientôt

Selon les informations contenues dans le communiqué de presse canadien, les premiers Ram 2500 et 3500 Heavy Duty 2025 arriveront au cours du premier trimestre de 2025 chez nous. En termes de prix, le modèle 2500 Heavy Duty débutera à 64 390 $, tandis que le 3500 Heavy Duty démarrera à 65 390 $. Il est à noter que ces prix comprennent les frais de transport et de préparation qui représentent 2 195 $. La gamme Heavy Duty du Ram 2025 sera assemblée à l’usine située à Saltillo, du côté du Mexique.

Pour le marché canadien, les Ram 2500 et 3500 Heavy Duty se déclineront en 8 versions : Tradesman, Big Horn, Laramie, Rebel, Power Wagon, Limited Longhorn et Limited.

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AFEELA 1 2026, le premier-né hautement technologique de Sony et de Honda

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Alors même que, il y a quelques jours à peine, on apprenait le partenariat entre Honda et Nissan, on découvre cette semaine l’AFEELA 1 2026, une voiture hautement technologique issue d’une association entre Honda et Sony. Après une série de concepts, la berline intermédiaire AFEELA 1 est dévoilée dans sa configuration de production dans le cadre du Consumer Electronics Show (CES) de Las Vegas.

Le style : c’est inutile

Cette voiture est l’incarnation de la haute technologie en matière d’innovation et d’assistance à la conduite. En fait, le constructeur fait l’abnégation complète des données techniques du véhicule comme la puissance et la taille de la batterie. La seule information théorique pour le moment est l’autonomie visée de 482 kilomètres. On se concentre sur d’autres sujets. Le style est le premier, et l’on favorise une approche étonnante. On assume qu’il n’y a pas de style proprement dit. La 1 a des lignes simples qui se projettent dans le temps par leur banalité. À ce chapitre, seuls 3 tons seront livrables : blanc, noir et gris.

L’approche est exactement la même dans l’habitacle. Aucun effort de style si ce n’est qu’il n’y a pas d’élément pensé pour accrocher le regard. On vise ici la fonction, et les distractions se feront à partir de la collection d’éléments qui permettent de maintenir une vie connectée avec son univers social. Le consortium prend toutefois bien soin de souligner que les surfaces de l’habitacle sont faites à 70 % à partir de matières recyclées ou biologiques renouvelables.

Un compagnon de mobilité

Le leitmotiv de Sony Honda Mobility dans le développement de la 1 nous force à jeter un regard dans le futur, mais accessible dès maintenant. Il y a une forte union entre les technologies et la mobilité où l’humain devient de plus en plus accessoire. Comme le dit le grand patron de l’entreprise, Yasuhide Mizuno, l’automobile devient un compagnon :

« Sony Honda Mobility s’efforce d’améliorer les relations avec les gens grâce à une mobilité intelligente et de révolutionner l’expérience des voyageurs. Nous sommes très heureux de présenter l’AFEELA 1, développée pour l’ère de la conduite autonome, au CES 2025. AFEELA 1 peut être appelée un compagnon, combinant des logiciels avancés avec du matériel méticuleusement raffiné. Nous répondrons aux attentes de nos clients en leur offrant une expérience de voyage sûre, sécuritaire et confortable. »

4 grands piliers

D’abord, la conduite intelligente par la collecte de données extérieures. Elle se fait par l’entremise de 40 capteurs constitués de caméras, de LiDAR, de radars et de capteurs ultrasoniques. L’objectif consiste naturellement à définir l’environnement de la voiture. Avec une capacité de 800 TOPS (téraopération par seconde) qui alimentent l’intelligence artificielle, AFEELA soutient que la voiture atteint un haut degré de perfectionnement en matière de perception, de prédiction et de planification du début à la fin de la route.

Ensuite, le constructeur insiste sur l’agent personnel qui accompagne le conducteur et les occupants. Sur ce point, on intègre la personnalisation interactive de la communication avec la 1. Il est donc possible de discuter avec la voiture sur les thèmes de votre choix. Elle est aussi en mesure de faire des suggestions pour des activités. Selon le constructeur, cette possibilité entraîne un sentiment de confort et de divertissement dans l’habitacle. Le tout est personnalisé en fonction du conducteur.

Le divertissement est aussi au centre de la conception de l’AFEELA 1. En fait, on définit ici la « mobilité à titre d’espace de divertissement créatif ». De ce fait, tous les occupants, en fonction du niveau d’équipement, peuvent jouir d’une collection d’applications grâce aux différents moniteurs dans l’habitacle. De plus, comme on est dans un environnement Sony, on retrouve un système ambiophonique immersif 360 Spatial Sound Technologies. Pour assurer la quiétude à bord, on a également développé une suppression active des bruits extérieurs.

Dernier grand pilier, l’unité avec le conducteur avec la « poursuite de l’unité avec la mobilité ». Ici, on parle de la gestion de la mécanique comme les suspensions, les moteurs et les freins. On vise à favoriser une conduite agile et stable en fonction des désirs du conducteur. Le 3D Motion Management System sert à assurer la conjugaison de tous les systèmes sur tous les types de surfaces. L’objectif derrière cette approche consiste à minimiser l’interaction avec l’extérieur pour profiter au maximum des attributs de divertissement de l’habitacle.

Au compte-gouttes

Pour le moment, Sony-Honda Mobility prévoit commencer l’assemblage de la 1 au milieu de l’année 2025 avec une commercialisation au début de 2026 au Japon puis en Californie quelques mois plus tard. La voiture sera assemblée à très faible échelle dans les installations de Honda, en Ohio. Pour ce qui est du prix, une première version Signature sera lancée à 102 900 $ US puis, en 2027, la version Origin à 89 900 $ US se joindra à la gamme. Pour le moment, Honda Canada nous réfère à Sony-Honda Mobility quant à la disponibilité de la voiture au Canada. Nous sommes toujours dans l’attente d’une réponse.

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La pensée du crabe masqué

Les statistiques prouvent que les femmes vivent plus longtemps que les hommes,
surtout les veuves.

 

Bedecomics

 

Yvon A. VIGNEAU (1950-2025)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 5 janvier 2025, de monsieur Yvon A. Vigneau. Il était âgé de 74 ans et résident de la Montagne, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il était l’époux de madame Lucie Bourgeois, le frère de Marie-Thérèse (feu Léo-Paul Martinet), Adrienne (feu Jean-Guy Lapierre), Gérard (Diane Bourgeois) et Ghislain (Jacqueline Lapierre). Il laisse aussi dans le deuil ses beaux-frères, belles-sœurs, neveux, nièces, parents et amis.

 Les funérailles de monsieur Yvon Vigneau seront célébrées à l’église Saint-François-Xavier de Bassin à une date ultérieure. 

Corinne CYR (1941-2025)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 4 janvier 2025, de madame Corinne Cyr. Elle était âgée de 83 ans et résidente de Havre-aux-Maisons, aux Îles-de-la-Madeleine.

Elle était l’épouse de monsieur Paul Chevarie, la mère de Pauline (Mario) et Lise (Jean-Marc). Elle avait 3 petits-enfants : Jessica (Vincent), Yannick (Lysa) et Michaëlle, et une arrière-petite-fille Emma. Elle était la sœur de Marie, Françoise, Gisèle, Antoine et Marc, ainsi que de Arilda, Adèle, Brieux et Bernard, décédés. Elle laisse aussi dans le deuil ses beaux-frères, belles-sœurs, neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules le vendredi 10 janvier 2025 à compter de midi. Suivront les funérailles à l’église Sainte-Madeleine de Havre-aux-Maisons, à 15h30, et l’inhumation au cimetière de l’endroit.

Vos marques de sympathie peuvent se traduire par un don à la Fondation Santé de l’Archipel.