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La subvention sur l’acquisition d’une nouvelle borne de recharge sera aussi suspendue

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Nous apprenions à la fin de l’année 2024 que le programme Roulez vert du Québec sera mis sur pause le 1er février 2024, et ce, jusqu’au dépôt du nouveau budget provincial. On vous a alors présenté l’impact sur l’acquisition d’un véhicule admissible à la subvention. Cependant, il y aura également des répercussions sur le rabais applicable à l’acquisition et à l’installation d’une borne de recharge résidentielle.

Le rabais sur les bornes aussi touché

Il y a quelques semaines, en raison du nombre élevé de demandes reçues dans le cadre du programme Roulez vert, nous avons appris que le gouvernement du Québec a pris la décision de suspendre temporairement le programme du 1er février au 31 mars 2025. En plus d’avoir des répercussions sur l’acquisition d’un véhicule électrique, cela aura aussi un effet sur la portion qui touche les bornes de recharge.

On se souvient que le programme Roulez vert permet d’obtenir une aide financière d’un montant maximal de 600 $ avant taxes valide pour l’installation et l’achat d’une borne de recharge pour un véhicule électrique.

La principale raison attribuable à cette forte popularité du programme au cours des derniers mois est liée au fait que le gouvernement a annoncé plus tôt cette année que la subvention provinciale serait réduite de 7 000 à 4 000 $. De nombreuses personnes ont probablement dû devancer leur achat dans le but de profiter du rabais maximal.

Une ruée vers les dépositaires

Certains commerçants dépositaires de bornes de recharge s’attendent déjà à connaître une forte hausse des ventes, puisque les achats effectués durant la période de pause ne seront pas admissibles. Une personne qui irait donc acheter une borne le 1er mars 2025 ne pourra pas soumettre une réclamation, une fois le programme remis en marche.

Selon le site web du gouvernement, il est important de noter que, au moment de soumettre votre demande de réclamation, la borne de recharge acquise doit être déjà installée. Elle ne peut donc pas se trouver en route, si vous l’avez commandé en ligne. En résumé, pour éviter les mauvaises surprises, il vaut mieux s’y prendre d’avance et ne pas attendre à la dernière minute.

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Noëlla CYR (1930-2024)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 31 décembre 2024, de madame Noëlla Cyr. Elle était âgée de 94 ans et résidente de Cap-aux-Meules, aux Îles-de-la-Madeleine.

Elle était l’épouse de feu Aurèle Huet, la mère de Raymond (Maureen), Robert (Louise), Huguette, Alain (Hélène) et Roger. Elle avait sept petits-enfants : Meaghan, Thomas, Kimberley, Dominique, Marc-André, Éloi et François, et deux arrière-petits-enfants : Léa et Olga. Elle était la sœur de Cécile, Marie-Anna, Louise, Louisette, Marie-Paule, ainsi que de Cordélia, Walter, Yvon, Maurice et Jérôme, décédés. Elle laisse aussi dans le deuil ses beaux-frères, belles-sœurs, neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules, le jeudi 9 janvier 2025, de 19h à 22h. Les funérailles de madame Noëlla Cyr seront célébrées le vendredi 10 janvier 2025, à 11h, à l’église Notre-Dame du Rosaire de Fatima. L’inhumation se fera à une date ultérieure.

Le vendredi 10 janvier, jour des funérailles, le salon ouvrira à 9h.

Vos marques de sympathie peuvent se traduire par un don à la Fondation Santé de l’Archipel.

Annette CYR (1941-2024)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 29 décembre 2024, de madame Annette Cyr. Elle était âgée de 83 ans et résidente de Havre-aux-Maisons, aux Îles-de-la-Madeleine.

Elle était l’épouse de feu Henri-Paul Arseneau, la mère de Manon (feu Jean-Guy Lafrance, ami de cœur Bernard Rousseau). Elle avait deux petites-filles : Christine (Alexandre) et Sophie, et un arrière-petit-fils Laurent. Elle était la sœur de Jacqueline, Jacquelin, Jean-Yves, Marie, Marielle et feu Gisèle. Elle laisse aussi dans le deuil son beau-frère, sa belle-sœur, ainsi que ses neveux, nièces, parents et amis.

Les funérailles de madame Annette Cyr seront célébrées le mardi 14 janvier 2025, à 11h, à l’église Sainte-Madeleine de Havre-aux-Maisons et, de là, au cimetière de l’endroit. La famille sera présente à l’église à compter de 10h.

Vos marques de sympathie peuvent se traduire par un don à la résidence pour personnes âgées Nouveaux Horizons au 1123 Route 199, Havre-aux-Maisons, (Qc), G4T 5B3.

Ford rappelle près de 400 000 véhicules dont des camionnettes et des VUS

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La fin de l’année a été mouvementée pour Ford ; le constructeur a émis une série de rappels aux États-Unis qui touchent un peu plus de 395 000 véhicules. Pour l’instant, Transports Canada n’a pas publié de rappels pour ces problèmes, mais il est fort probable que ce soit le cas sous peu. Ford Canada a cependant confirmé que des unités canadiennes étaient visées.

Le plus important rappel concerne environ 295 449 camionnettes de la série F-Super Duty, dont les modèles F-250, F-350, F-450, F-550 et F-600 construits entre 2020 et 2022, ainsi que les modèles F-650 et F-750 de 2021 et 2022. Ford a indiqué dans un rapport de rappels déposé auprès de la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) que des dépôts de biodiesel pourraient se former sur les composants de la pompe à haute pression, ce qui pourrait entraîner sa défaillance.

Selon l’information fournie, une défaillance de la pompe à haute pression pourrait entraîner une perte de puissance du moteur et augmenter ainsi le risque d’accident. Pour résoudre ce problème, les concessions mettront à jour gratuitement le logiciel du module de commande (PCM) pour les propriétaires.

Problème de caméra de recul

Un autre rappel touche les Ford Flex et Fiesta ainsi que le Lincoln MKT, tous de l’année 2019. Cette fois, ce sont 30 715 véhicules qui sont visés. La caméra de recul des modèles visés pourrait cesser de fonctionner ou afficher une image blanche ou irrégulière, ce qui réduit ainsi la visibilité lors des manœuvres en marche arrière. Il est important de noter que les caméras de recul sont maintenant obligatoires sur les véhicules neufs depuis 2018.

Ce problème pourrait entraîner un accident avec risque de blessures. Ford travaille actuellement à une solution pour corriger le problème. Les modèles concernés sont les suivants :

  • Ford Flex 2019 (17 679 exemplaires) ;
  • Ford Fiesta 2019 (12 234 exemplaires) ;
  • Lincoln MKT 2019 (802 exemplaires).

Problème de fenêtre pour le Lincoln Nautilus

Ford rappelle également 47 818 Lincoln Nautilus construits entre 2024 et 2025 en raison d’un problème du système d’abaissement automatique des fenêtres. Ce système pourrait ne pas réagir correctement après avoir détecté un obstacle.

Lors de la remontée automatique des fenêtres, un système de détection doit capter tout obstacle afin d’éviter qu’une force excessive ne cause des blessures avant de se rétracter. Dans les véhicules concernés, le système pourrait mal réagir ou ne pas abaisser suffisamment les fenêtres pour respecter la norme de sécurité de la NHTSA. Les concessions procéderont à la recalibration des modules de portières avant.

Problème de batterie pour certains VUS hybrides

Enfin, un problème de batterie affecte 20 484 VUS hybrides Ford Escape (de 2020 à 2024) et Lincoln Corsair (de 2021 à 2024). Un défaut de fabrication dans une ou plusieurs cellules de la batterie à haute tension pourrait entraîner un court-circuit interne et une défaillance de la batterie.

Une défaillance de la batterie peut augmenter le risque d’incendie ou provoquer une perte de puissance en conduite, ce qui accroît le risque d’accident, selon le rapport de la NHTSA.

Pour résoudre ce problème, les concessions effectueront une mise à jour du logiciel qui contrôle le module de gestion de la batterie et remplaceront la batterie à haute tension, si nécessaire, sans frais.

Les modèles touchés sont :

  • Ford Escape de 2020 à 2024 (16 480 exemplaires) ;
  • Lincoln Corsair de 2021 à 2024 (4 004 exemplaires).

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Le Ford F-150 Lightning pourrait bientôt ne plus être admissible au programme Écocamionnage

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Le programme Écocamionnage a été mis sur pause en septembre dernier par le gouvernement du Québec. Ce programme, qui vise à électrifier les véhicules commerciaux sur les routes du Québec, permettait aux entreprises d’obtenir un rabais à l’achat d’un véhicule qui contribue à la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) dans le transport routier des marchandises. Le plus populaire du lot, avant l’arrêt du programme, était le Ford F-150 Lightning. Voilà que le gouvernement, qui n’a toujours pas remis le programme sur pied, est en réflexion à savoir si le Ford F-150 Lightning restera sur la liste des véhicules admissibles en 2025.

Utilisation commerciale

Selon des informations en provenance de Radio-Canada, le gouvernement du Québec serait en réflexion sur l’admissibilité du Ford F-150 Lightning dans le programme Écocamionnage, car des doutes ont été soulevés concernant son utilisation.

En effet, la camionnette n’est admissible au programme que si elle est acquise par des entreprises qui ont l’intention de l’utiliser comme véhicule commercial. Le ministère des Transports et de la Mobilité durable précise que le véhicule doit être immatriculé avec une plaque F et être utilisé commercialement et non personnellement.

En témoignage à Radio-Canada, Geneviève Tremblay, conseillère stratégique au cabinet de la vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable, rappelle qu’utiliser un véhicule commercial à des fins personnelles constitue une entorse aux règles fiscales.

« À la base, les F-150 avaient été inclus au programme Écocamionnage parce qu’il y avait un regard qui se voulait inclusif pour la réalité des petites et moyennes entreprises. C’est l’ensemble du programme qui est révisé ; ça inclura les types de véhicules qui sont admissibles, puis on portera un regard sur les F-150. »

Ford populaire

Il est important de noter que le Ford F-150 Lightning représente 43 % des demandes de rabais au programme Écocamionnage effectuées entre le 1er avril 2023 et le 24 septembre 2024.

Sur les 1 753 subventions accordées, 752 ont été octroyés à des propriétaires d’une camionnette électrique du constructeur à l’ovale bleu. Fait encore plus intéressant, plus de 662 demandes sont également en lien avec un produit Ford, soit le Ford E-TRANSIT durant la même période.

Ceci veut donc dire que, à lui seul, le constructeur américain a bénéficié de 1 414 rabais du programme Écocamionnage entre le 1er avril 2023 et le 24 septembre 2024 et domine ainsi largement le palmarès.

Le ministère des Transports et de la Mobilité durable avait également annoncé, en décembre 2024, que les rabais accordés dans le cadre du programme Roulez vert pour l’achat de véhicules électriques au Québec seraient suspendus du 1er février au 1er avril 2025 en raison du manque de fonds dans les caisses du programme.

Le programme Écocamionnage n’est, quant à lui, toujours pas disponible. Le gouvernement affirme toutefois qu’il devrait se remettre en marche quelque part en 2025. Plus de détails suivront.

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Top-5 : Le chiffre magique n’est plus que de 24

Hier soir, il y avait 24 équipes en action.

Une grosse soirée de hockey, donc.

Voici les résultats et les faits saillants :

1.  Le chiffre magique n’est plus que de 24

Les Capitals recevaient le Wild hier soir.

Et vous savez ce que signifie une rencontre des Capitals : une opportunité de plus pour Alex Ovechkin de se rapprocher du record de Wayne Gretzky.

Hier, il a marqué. Il n’est maintenant plus qu’à 24 buts de dépasser le 99.

Washington s’est toutefois incliné et ironiquement, Marc-André Fleury a stoppé Ovi en tirs de barrage.

Marque finale : 4-3.

2. Jonathan Quick joue sur sa tête

Ça va mal à New York et le fait qu’Igor Shesterkin a été placé sur la liste des blessés est signe que tout va tout croche dans la Grosse Pomme.

Heureusement, les Rangers comptent sur un deuxième gardien de qualité en Jonathan Quick. Hier, il a joué sur la tête et a stoppé 32 des 33 tirs dirigés vers lui.

Victoire de 2-1 des siens.

Il a réalisé plusieurs beaux arrêts.

Les voici :

Mika Zibanejad a marqué le premier but de la rencontre.

Il s’agissait de son 700e point en carrière.

3. Un match de fou au Colorado

Au Colorado, les Sabres ont perdu une avance de deux buts dans les dernières minutes. #ClassiqueSabres

L’Avalanche l’a finalement emporté par la marque de 6-5 en prolongation. Quel désastre!

À son retour à Denver, Bowen Byram a marqué, lui.

Toujours du côté des visiteurs, Jason Zucker a inscrit un tour du chapeau et Zach Benson a marqué un but assez controversé.

Le but a bel et bien été accordé, mais cela n’a pas empêché l’Avalanche de gagner.

4. Les joueurs de hockey : des hommes étranges

Les Maple Leafs étaient de passage à New York et avec une victoire de 2-1 des Leafs, New York a une fiche de 2-6-0 à leurs huit derniers matchs.

Patrick Roy devra trouver une solution et vite.

Ce que j’ai remarqué de cette rencontre, ce sont les joueurs qui sont hilarants.

Il y a premièrement Oliver Ekman-Larsson qui entend des voix.

Et il y a Casey Cizikas au bas des punitions qui se moque de je ne sais pas trop qui.

C’est assez comique.

C’est Bobby McMann qui a fait très mal aux Islanders en fin de match en marquant le but de la victoire.

Il a les deux buts des siens.

5. Victor Hedman reçoit une rondelle à la tête

En fin de soirée, le Lightning rendait visite aux Sharks de San Jose.

San Jose a aidé le CH dans sa course aux séries en défaisant Tampa en temps réglementaire. Victoire de 2-1 et on peut dire merci à Yaroslav Askarov.

Le Russe a finalement terminé la rencontre avec 24 arrêts.

Tyler Toffoli a marqué un superbe but, lui, et sur le filet, Marc-Édouard Vlasic a récolté une passe à son premier match depuis le 18 avril.

Du côté des visiteurs, en plus de la défaite, ils ont perdu leur défenseur numéro un.

En effet, Victor Hedman a reçu une rondelle directement à la tête et a dû quitter la rencontre.

Prolongation

– Un autre fort match pour Nathan MacKinnon.

– Detroit s’est sauvé avec la victoire.

– Un autre bel arrêt.

– Jason Zucker mène la charge.

(Crédit: NHL.com)

– Le Canadien et neuf autres équipes en action ce soir.

(Crédit: Google)

Les Tchèques ont fait la fête en imitant la chanson des buts du Canada

Que ce soit en raison du choix des joueurs, de l’indiscipline ou de l’entraîneur, Équipe Canada junior ne paraît pas exactement bien, ce matin.

Comme vous le savez sans doute à ce point-ci, la Tchéquie a gagné son match quart de finale contre le Canada. Pour une deuxième année de suite, les Canadiens ne passent pas le 1/4 de finale à cause des Tchèques.

Et ça ne passe pas exactement bien au pays.

On la sentait venir, cette défaite-là. Le club n’était pas bien dirigé et il manquait plusieurs ingrédients à la recette concoctée par les dirigeants du club, qui se pensent plus fins que les autres.

De vouloir faire «deux trios offensifs et deux trios défensifs» est une vieille mentalité qui ne fonctionne pas. De nombreux joueurs d’importance ont été laissés à la maison au profit des «spécialistes» sur la glace.

La LHJMQ a plus aidé les Lettons que les Canadiens, qui se sont notamment privés de gars comme Michael Hage. C’était à lui de ne pas jouer dans la grande méchante NCAA, genre?

D’un océan à l’autre, il y a de l’insatisfaction. Regardez la OHL, qui a fait plusieurs tweets du genre hier soir. Vanter Zayne Parekh, l’un des grands oubliés de l’équipe canadienne, en disant que tous les yeux seront sur le match de… Saginaw, c’est une GROSSE pointe envers Équipe Canada.

Mais de l’autre côté, il faut aussi donner le crédit aux Tchèques.

Ce n’est pas de leur faute si les Canadiens n’ont pas sorti toutes les armes possibles pour le tournoi. D’ailleurs, il ne faudrait pas que le même résultat arrive en marge de la Confrontation des quatre nations, n’est-ce pas?

Hier, les Tchèques ont joué comme ils devaient le faire et ils ont gagné. Ils ont tenu le fort lors de la troisième période, soit au moment le plus critique, pour trouver une façon d’aller chercher le W.

Et les célébrations dans le vestiaire avec les arbitres, où les gars ont chanté la chanson des buts du Canada, démontrent que la victoire a fait du bien.

La façon de construire l’équipe a fait défaut et Dave Cameron n’a pas fait son travail. Mais ça, on va peut-être – ou peut-être pas – en reparler en long et en large dans un autre papier plus tard ce matin.

Le manque de discipline, les résultats et toutes les «controverses» autour du club ont fait en sorte qu’il est parfois dur de supporter le Canada.

En rafale

– Deux ans de suite hors du carré d’as sans la Russie? Ouch.

– À noter.

– Ne pas atteindre le carré d’as deux ans de suite, ça ne passe pas.

– En effet.

– Aucune cohésion.

Adrienne LONGUÉPÉE (1962-2025)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 2 janvier 2025, de madame Adrienne Longuépée. Elle était âgée de 62 ans et résidente de Fatima, aux Îles-de-la-Madeleine.

Elle était la fille de feu Elie Longuépée et de feu Julienne Bénard, la sœur de Marie-Thérèse, Léo, Omer, Marjolaine, Armand et Patricia, ainsi que de Paul-Émile, Dorélas et Gilbert, décédés. Elle laisse aussi dans le deuil son amie de cœur Claire, ainsi que ses beaux-frères, belles-sœurs, neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules, le samedi 4 janvier 2025, à partir de 9h. Suivront les funérailles, à 11h, l’église Notre-Dame du Rosaire de Fatima et l’inhumation au cimetière de l’endroit.

Nissan sauvé par Honda? Un plan de fusion est sur la table afin d’unir trois constructeurs japonais

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On apprenait récemment que le constructeur japonais Nissan éprouvait d’importantes difficultés financières, mettant en péril la survie de l’entreprise. Nissan et Honda ont annoncé lundi la signature d’une entente de principe visant à terme la fusion des deux constructeurs en une nouvelle entité, ce qui formerait le troisième plus grand constructeur automobile mondial en termes de ventes.

Le constructeur Mitsubishi Motors, détenu en partie à hauteur de 24 % par Nissan, a également accepté de participer aux discussions concernant l’intégration des activités, ce qui pourrait, au final, unir trois des grands constructeurs japonais, une chose impensable il y a plusieurs années.

Le président de Honda, Toshihiro Mibe, a déclaré que Honda et Nissan poursuivront l’unification de leurs opérations sous une société holding commune. Honda dirigera initialement la nouvelle gestion, en conservant les principes et les marques de chaque entreprise. Ils visent à parvenir à un accord de fusion formel d’ici juin et à finaliser l’accord en inscrivant la société holding à la Bourse de Tokyo d’ici août 2026, a-t-il ajouté.

Du retard technologique

Les constructeurs automobiles japonais ont pris du retard par rapport à leurs grands rivaux dans le domaine des véhicules électriques, et ils tentent de réduire leurs coûts et de rattraper le temps perdu alors que de nouveaux venus comme le chinois BYD et le leader du marché américain Tesla dévorent des parts de marché importantes.

Honda vient d’ailleurs de dévoiler la base de ses futurs véhicules électriques, qui feront partie de la gamme 0 Series. Il s’agit d’une série de modèles électriques Honda et Acura, ainsi que de l’ensemble de sa nouvelle technologie électrique, comprenant moteurs, batteries et plateformes. Honda compte également construire trois usines de batteries dans le monde, dont une au Canada.

Mettre en commun les ressources

La fusion permettrait également aux deux entreprises de mettre en commun leurs ressources (plateformes, motorisations, technologies) et de réduire leurs coûts de développement face à la concurrence croissante des autres constructeurs automobiles. Les trois marques pourraient aussi partager les équipes de développement, de designers et d’ingénieurs.

La société japonaise Honda, dont le siège se trouve à Tokyo, pourrait donc se révéler être une bouée de sauvetage pour Nissan, qui a connu des difficultés avec la baisse des ventes de ses véhicules aux États-Unis et dans le monde.

Nissan n’est d’ailleurs pas le seul constructeur automobile à rencontrer des difficultés importantes. C’est également le cas du groupe Stellantis, qui est en crise, tout comme certaines marques de luxe telles que Jaguar et Mercedes-Benz, dont les ventes ont plongé au cours des dernières années.

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2023-2024 vs 2024-2025 : après 37 matchs, le CH a le même nombre de points

Si vous croyez que le Canadien s’est amélioré, c’est parce que c’est vrai.

Depuis l’arrivée de Patrik Laine et Alexandre Carrier, la troupe de Martin St-Louis va beaucoup mieux, d’où ses six victoires à ses sept derniers matchs.

Mais ne laissez pas la bonne séquence vous faire oublier le mauvais début de saison. Et ce mauvais début de saison, je vous la remets en perspective maintenant. En effet, après 37 matchs cette saison et la saison dernière, le CH a exactement le même nombre de points : 37.

Montréal a une fiche de 17-17-3 en date du 1er janvier 2025 et avait une fiche de 16-16-5 en date du 2 janvier 2024.

C’est exactement un point par match et le club se maintient très bien en une année, alors.

Cette statistique est quand même assez trompeuse, car Montréal semble s’être beaucoup amélioré, surtout par les temps qui courent. Aussi, la formation n’a jamais été aussi près du mix. En date d’aujourd’hui, elle n’est qu’à trois points du deuxième rang des équipes repêchées et d’une place en séries éliminatoires.

L’an dernier, à pareille date, le Tricolore était à cinq points d’une place en séries.

(Crédit: NHL.com)

On croyait que la compétition s’était améliorée ; elle s’est détériorée. C’est vrai que la saison est loin d’être terminée, mais en janvier, le CH est toujours dans le portrait.

Est-ce que le club va ralentir comme l’an dernier ou il va rester dans le portrait éliminatoire jusqu’à la toute fin? Pour le spectacle, ce serait bien, mais pour la reconstruction, non.

La question mérite d’être posée, car après tout, Montréal a quand même le 15e calendrier le plus facile de la LNH d’ici à la fin de la saison régulière. Dans les dernières saisons, on était habitué à ce que le CH ait l’un des horaires les plus difficiles.

Prolongation

Un match seulement était présenté hier dans la LNH : les Devils étaient de passage à Los Angeles.

Les Kings ont finalement remporté le match par la marque de 3-0. Le premier jeu blanc de l’année 2025 appartient donc à Darcy Kuemper.

Voici les joueurs qui ont inscrit leur nom à la feuille de pointage.

(Crédit: NHL.com)

Et aujourd’hui, 24 équipes sont en action.

(Crédit: Google)

Le crabe vert, cet indésirable envahissant traqué au Québec

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Il est déjà presque partout en Atlantique. Présent depuis le début des années 2000 aux îles de la Madeleine, il n’a pas encore touché les côtes de la Gaspésie et de la Côte-Nord. La surveillance du crabe vert, une espèce envahissante, est devenue prioritaire au Québec.

En milieu marin, il s’agit de l’espèce envahissante qui a sans doute le plus de répercussions négatives sur l’écosystème et, par ricochet, sur les pêches.

Pour se nourrir, le crabe vert creuse et détruit les herbiers où vont se nourrir les petits poissons. La bête, très vorace, est aussi friande de mollusques comme les myes ou les moules. Elle est aussi agressive et force le déplacement d’autres espèces comme le crabe commun.

Les changements climatiques peuvent affecter le risque que des espèces soient capables de s’implanter, déclare la biologiste Andréanne Demers, faisant directement référence au crabe vert.

La biologiste Andréanne Demers à l'Institut Maurice-Lamontagne.

Andréanne Demers rappelle que les dégâts causés par le crabe vert peuvent perturber considérablement l’écosystème marin du Saint-Laurent. Photo : Radio-Canada / Jean-Luc Blanchet

La biologiste principale à Pêches et Océans Canada (MPO) pour les espèces aquatiques envahissantes souhaite d’ailleurs sensibiliser les cueilleurs de mollusques et les pêcheurs amateurs à l’importance d’identifier ce petit crustacé, qui atteint une taille de 10 à 12 cm à l’âge adulte. Le détecter au plus tôt permettrait de limiter les dégâts.

Une aire de répartition qui s’étend

L’empreinte du crabe vert est bien documentée en Nouvelle-Écosse depuis la fin du 19e siècle.

Malgré sa présence démontrée depuis des années, il existe à l’heure actuelle peu de moyens d’éliminer le crabe vert. Tant qu’il y a un apport de larves, tant qu’il y a de la reproduction… C’est l’océan, donc ça peut arriver par les courants océaniques, c’est très difficile de l’arrêter. Il n’a pas de prédateur majeur, le homard semble s’en nourrir, mais pas assez pour affecter la population, réduire son nombre, observe Andréanne Demers.

La menace du crabe vert est donc loin d’être inédite, mais elle a pris une nouvelle ampleur ces dernières années.

Ce crabe vert, originaire de la Méditerranée, n’a jamais apprécié les eaux froides. Sa présence est donc demeurée limitée pendant des années à la Nouvelle-Écosse. Une variété moins sensible au froid, qui vit dans les eaux de la mer du Nord, a toutefois été repérée dans les eaux canadiennes à la fin du 20e siècle.

Une affiche qui indique les caractéristiques du crabe vert.

Le MPO souhaite que le public l’aide à repérer le crabe vert afin de limiter son implantation dans le Saint-Laurent. Photo : Gracieuseté : Pêches et Océans Canada

Ce type de crabe vert est dorénavant présent partout dans le golfe jusqu’à Terre-Neuve. Il s’est aussi croisé avec la première espèce. Cette nouvelle sous-espèce, selon les chercheurs, est plus tolérante aux changements de température de l’eau et aussi plus combative.

Le retour du crabe vert dans l’archipel

Au Québec, des crabes verts ont été repérés dans l’archipel madelinot, au début des années 2000. Pendant longtemps, les mesures de contrôle ont bien fonctionné. Et oups : en 2022, des pêcheurs madelinots d’anguille rapportent un nombre plus important d’individus.

Une attention particulière a été portée en 2023 et environ 300 individus ont été pêchés dans la baie de Bassin à l’automne.

Des gens dans l'eau avec des cages à la main.

Des biologistes du MPO et des bénévoles du comité ZIP des Îles-de-la-Madeleine installent des cages pour attraper les crabes verts dans la baie de Bassin. Photo : Gracieuseté : Pêches et Océans Canada

En collaboration avec le comité ZIP de l’archipel, des efforts plus soutenus pour limiter la propagation ont été effectués cette année. Andréanne Demers précise que le but premier est de tenter d’en capturer le plus possible dans les périodes où les femelles sont actives, c’est-à-dire autour du printemps ou tard à l’automne.

Le but est d’en attraper le plus possible dans la baie de Bassin afin d’éviter que les crustacés se rendent ailleurs aux îles de la Madeleine. Plus d’un millier de spécimens ont été extirpés des eaux en 2024.

Beaucoup de questions se posent sur l’impact du crabe vert aux Îles. Les interactions entre cette espèce et le homard ne sont d’ailleurs pas très connues, notamment dans un contexte de changements climatiques.

Surveillance accrue

La côte gaspésienne semble épargnée jusqu’à maintenant. Le crabe vert, qui aime les marais salés, les plages sablonneuses et les zostères, pourrait néanmoins coloniser les barachois gaspésiens.

On est probablement à la limite de son aire de répartition, suppose Mme Demers. Est-ce que les changements climatiques vont faire qu’il va se rendre plus loin, qu’il va être plus agressif au Québec? Ça reste à voir.

La biologiste ajoute que son aire de répartition va dépendre de la nourriture disponible et de paramètres physico-chimiques comme la température, la salinité ou le pH.

Des cages avec des crabes verts sur une plage.

Une collecte de crabes verts réalisée par des chercheurs du MPO. Photo : Gracieuseté : Pêches et Océans Canada

Deux individus ont été découverts à Belledune, au Nouveau-Brunswick, en face de la Baie-des-Chaleurs en 2023. Depuis, des tests d’ADN environnemental qui ont été notamment effectués à Chandler en 2024 n’ont rien détecté.

La Côte-Nord est aussi sous surveillance en raison de sa proximité avec les côtes de Terre-Neuve. Le crabe vert y a en effet envahi plusieurs baies, notamment dans le sud-est.

La pêche au crabe vert

La pêche peut être vue comme une solution pour contrôler la population de crabes verts. Les biologistes se montrent toutefois prudents quant à cette solution, et ce, en raison des risques associés à la contamination qui pourraient augmenter sa dissémination.

En Nouvelle-Écosse, le crabe vert fait toutefois l’objet d’une pêche commerciale dans le sud-ouest et dans l’est de la province. Les pêcheurs de homard peuvent aussi le conserver comme prise accessoire.

Les premières pêches au crabe vert ont débuté en 2010 dans le cadre d’un projet pilote. Il avait à l’époque pour objectif d’offrir une pêche de substitution à des pêcheurs de grosse anguille et de répondre aux préoccupations concernant les effets du crabe vert en tant qu’espèce aquatique envahissante.

Crabe vert originaire d'Europe

Pêches et Océans Canada considère le crabe vert européen comme « l’une des 10 espèces les plus indésirables dans le monde ». Photo : Emily Grason/WSG Crab Team

Le programme est devenu permanent en 2014 et a été étendu en 2017, notamment avec l’octroi de permis aux Premières Nations. Tous les crabes pêchés peuvent être vendus, notamment comme appâts pour la pêche au homard, sauf les crabes pêchés à des fins de contrôle des espèces aquatiques envahissantes.

La Nouvelle-Écosse compte 113 permis commerciaux de pêche au crabe vert, dont 75 en exploitation. Selon les données transmises par Pêches et Océans les pêcheurs ont ramené à quai en moyenne 72 tonnes de crabes verts depuis 2019. Les revenus annuels moyens demeurent marginaux, soit 152 000 $ pour l’ensemble des débarquements.

LA UNE : Jusqu’à maintenant, la présence du crabe vert au Québec n’a été observée qu’aux îles de la Madeleine. Photo : Gracieuseté : Pêches et Océans Canada