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MasterChef Célébrités: Ève-Marie Lortie en larmes!

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MasterChef Célébrités temps des Fêtes a été diffusé récemment, mettant en vedette six personnalités qui s’affrontaient dans la populaire compétition culinaire, le temps d’un épisode. Le grand gagnant de cette édition spéciale avait l’opportunité de remettre un chèque de 10 000 $ à la fondation de son choix.

Une émission des plus divertissantes, qui a fait saliver les téléspectateurs grâce aux recettes impressionnantes concoctées par les vedettes en compétition, dont Varda Étienne, Ève-Marie Lortie, Nathalie Simard, Bruno Marcil, Guillaume Cyr et Fabien Cloutier.

Capture TVA

Lors de la présentation de son premier plat, mettant en vedette la dinde et ses accompagnements, Ève-Marie a été profondément émue par les bons commentaires des juges Martin Picard et Stefano Faita, au point d’en verser quelques larmes.

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«Je ne pleure jamais quand j’anime mes émissions, je suis vraiment en contrôle, mais là, aujourd’hui, vous m’avez sortie de mon décor, vous m’avez sortie de ma job. Vous m’avez mise dans un moment très, très vulnérable. C’est vrai que j’ai du plaisir à cuisiner, mais c’est très émotif pour moi», témoignait l’animatrice de Salut Bonjour.

Après la première épreuve, qui a touché Ève-Marie et été remportée par Nathalie Simard, les six participants ont dû préparer une bûche des Fêtes en équipes de deux. Ève-Marie, en duo avec Bruno Marcil, a remporté ce défi, ce qui les a propulsés directement en finale, où ils se sont affrontés, cette fois l’un contre l’autre.

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Les finalistes de MasterChef Célébrités devaient préparer un plat gastronomique copieux et riche en saveurs, selon leur choix. Ève-Marie, pour sa part, a opté pour un succulent plat composé de pétoncles en croûte de panko et d’un carré d’agneau qui semblait des plus savoureux.

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Bruno, quant à lui, a choisi de revisiter la classique coquille Saint-Jacques à sa façon, un plat qui semblait tout aussi savoureux que celui de sa rivale.

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Au final, malgré une compétition serrée, c’est l’animatrice de Salut Bonjour en semaine qui a remporté la grande victoire. Grâce à sa performance culinaire, elle pourra remettre un généreux montant de 10 000 $ à sa fondation choisie, soit la Société Alzheimer de Québec.

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Une soirée mémorable en compagnie de MasterChef Célébrités, qui donne envie de voir une saison complète avec d’autres personnalités! Qui sait, peut-être ce souhait se réalisera-t-il un jour?

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Top-5 : 10e défaite consécutive des prochains adversaires du Canadien

Hier dans la LNH, il n’y avait que cinq matchs.

Les partisans n’ont tout de même pas été déçus de cette belle journée de hockey.

Voici les résultats et les faits saillants :

(Crédit: NHL.com)

1. Une 10e défaite consécutive pour les Sabres

Le Canadien affrontera demain un adversaire très prenable. En effet, les Sabres seront de passage au Centre Bell et sont sur une très mauvaise séquence.

Buffalo a perdu ses 10 derniers matchs, incluant celui d’hier contre les Maple Leafs de Toronto

Marque finale : 5-3.

Heureusement que la troupe de Lindy Ruff affrontera Montréal, qui joue également sur les talons depuis quelque temps.

Elle aura l’opportunité de freiner sa glissade aux enfers, donc.

Jack Quinn et John-Jason Peterka se sont occupés de la fragile attaque des leurs avec deux points chacun.

Deux buts dans le cas de Quinn.

2. Un premier but pour Max Domi ; tour du chapeau naturel pour John Tavares

Dans le même match, les Leafs ont profité du passage des Sabres pour gagner leur 19e match de la saison.

Les voilà à 40 points. Ils sont les premiers de la division Atlantique à réaliser pareil exploit.

Max Domi, l’ancien du Canadien, a marqué son premier but de la saison dans la victoire.

Le vrai héros du match, cependant, c’est John Tavares.

Il a réalisé un tour du chapeau naturel, dont deux des trois buts de l’équipe en 2:31.

Même le gardien s’est presque joint à la fête.

Cela a passé proche.

3. Une première victoire depuis l’an dernier pour Dustin Tokarski

Vous avez oublié l’existence de Dustin Tokarski?

Je suis dans le même bateau, mais hier, il a pris part à un premier match dans la LNH depuis février 2023. Et il a gagné avec un uniforme assez spécial.

27 arrêts sur 28 lancers dans une victoire de 4-1 des Canes contre les Blue Jackets.

Il a même été initié aux célébrations d’après-match.

Dans le gain, un autre ancien du CH s’est illustré.

Jesperi Kotkaniemi a marqué un but.

4. Connor Bedard brise les reins des Islanders

Dans le match d’après-midi, les Blackhawks ont infligé aux Islanders une défaite crève-coeur.

Le match était égal 3-3 avec moins d’une minute à faire quand Connor Bedard a marqué le but gagnant.

C’était son septième point à ses cinq derniers matchs pour la jeune sensation.

Teuvo Teravainen a été le meilleur pointeur des siens avec un but et deux passes.

C’est lui qui a marqué le troisième but des Hawks.

Marque finale : 5-3.

5. Une autre défaite des Rangers

À Saint-Louis, les Rangers ont encore perdu. Cette fois, c’était par la marque de 3-2.

Dans la victoire des Blues, Robert Thomas a prolongé à sept sa séquence de matchs avec au moins une passe.

En plus de sa passe sur le premier but du match, Thomas a marqué le but gagnant.

New York a marqué deux buts sans riposte pour réduire l’écart à un but, mais le club n’a pas été en mesure de créer l’égalité.

Une autre défaite pour les Blue Shirts…

Prolongation

– Il est excellent.

– Victoire des Knights.

– Mike Matheson est bon pour générer des revirements.

 

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– Les joueurs ayant récolté deux points ou plus, hier.

(Crédit: NHL.com)

– Les matchs de ce soir.

(Crédit: Google)

Faut-il s’inquiéter du mouvement des recharges de plage?

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Alors que les matériaux de deux recharges de plages aux Îles-de-la-Madeleine ont bougé plus vite qu’anticipé, un expert en ingénierie côtière estime que la situation n’est pas alarmante, bien que les connaissances sur ce type d’ouvrage restent à parfaire au Québec.

À titre de professionnel de recherche au Laboratoire de dynamique et de gestion intégrée des zones côtières de l’UQAR, Philippe Sauvé, est mandaté par le ministère de la Sécurité publique pour suivre l’évolution du mouvement de cinq recharges de plage construites au Québec depuis 2017, dont celles de Percé, Havre-Aubert et Cap-aux-Meules.

Il ne croit pas que la modification hâtive du profil des ouvrages de Cap-aux-Meules et Pointe-aux-Loups soit anormale, considérant que ces deux sites soient très exposés aux fortes vagues.

Je ne pense pas qu’il faut s’inquiéter. Les recharges de plage sont des ouvrages qui sont dynamiques, contrairement à un enrochement, donc c’est normal que ça évolue et que ça bouge au gré des tempêtes.

Une citation de Philippe Sauvé, expert en ingénierie côtière

Bien qu’il admette que le déplacement a été particulièrement rapide à Cap-aux-Meules et Pointe-aux-Loups, l’ingénieur titulaire d’un doctorat en science de l’environnement souligne que chaque site est unique en raison des conditions physiques qui lui sont propres.

Il devient ainsi difficile de prédire avec assurance les mouvements des ouvrages de protection.

Du gravier élevé en talus derrière des bâtiments historiques en bardeaux de cèdre.

Après le passage de Fiona en septembre 2022, la pente de la recharge de plage de Havre-Aubert s’est adoucie rapidement. (Photo prise en 2021) PHOTO : RADIO-CANADA / ISABELLE LAROSE

Une recharge de plage, à la base, ça prend de l’entretien et c’est difficile de prévoir quand le premier entretien va venir, parce qu’il y a de l’incertitude quant aux tempêtes qui vont affecter les côtes, soutient-il.

Philippe Sauvé devant la mer.

Avec le Laboratoire de dynamique et de gestion intégrée des zones côtières de l’UQAR, Philippe Sauvé suit l’évolution des recharges de plage de Percé, Cap-aux-Meules, Havre-Aubert, Tadoussac et Pointe-aux-Outardes. PHOTO : GRACIEUSETÉ DE PHILIPPE SAUVÉ

L’ingénieur en ingénierie côtière souligne qu’il aura fallu plus de cinq ans du côté de la recharge de plage de Percé, dont la construction s’est amorcée en 2017, avant de procéder aux premiers travaux correctifs en 2023.

Vue sur la plage de Percé en hiver

La recharge de plage de Percé a permis de créer un rivage avec une pente naturelle. (Photo d’archives) PHOTO : RADIO-CANADA / ISABELLE LAROSE

Recharge de plage versus enrochement

Cela ne fait que quelques années que des recharges de plage sont mises en place au Québec, où l’enrochement et les murs de soutènement étaient auparavant les solution privilégiées pour stopper l’érosion côtière.

En 2017, la côte du Québec maritime a été cartographiée et 97,6 % des ouvrages de protection aménagés historiquement étaient soit des enrochements ou des murs, explique Philippe Sauvé. C’était une solution quasi unique.

Ces ouvrages qui offrent une grande stabilité ont toutefois des effets négatifs, souligne l’ingénieur, comme l’effet de bout, phénomène selon lequel l’arrivée d’eau aux extrémités d’un ouvrage gruge le sol des propriétés voisines non protégées.

Vue sur une clôture de roches devant des maisons en bord de mer.

Malgré sa stabilité, l’enrochement des côtes a des effets négatifs. (Photo d’archives). PHOTO : RADIO-CANADA / ANTOINE SIROIS

Philippe Sauvé souligne également que l’enrochement provoque souvent un abaissement de la hauteur et de la largeur des plages, en plus de provoquer des pertes d’habitats et d’écosystèmes.

Je ne suis pas prêt à dire que la recharge de place est une solution qu’on peut appliquer partout, par contre, c’est certain que c’est une option qui peut avoir moins d’effets dommageables à long terme que les enrochements et les murs.

Une citation de Philippe Sauvé, expert en ingénierie côtière

Le titulaire d’un doctorat précise qu’il n’existe pas de solution parfaite pour contrer l’érosion et que chaque situation doit être analysée pour choisir un ouvrage optimal, selon les conditions du site à protéger.

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La recharge de plage de Sainte-Flavie PHOTO : RADIO-CANADA / FRANCOIS GAGNON

Adapter les connaissances internationales

Les connaissances entourant ce type d’ouvrage sont donc encore à peaufine pour concevoir des ouvrages adapté au contexte côtier du Saint-Laurent.

Les méthodes de conception sont souvent inspirées de ce qui fait à l’international, particulièrement sur la côte est américaine ou les Pays-Bas, soit un contexte océanique, explique le professionnel de recherche à l’UQAR.

Ces connaissances ne peuvent toutefois s’appliquer de la même façon dans l’estuaire ou le golfe du Saint-Laurent.

On travaille là-dessus à l’UQAR, pour adapter les méthodes au contexte du Québec maritime, mentionne Philippe Sauvé.

 

LA UNE : Construite en 2022, la recharge de plage de Cap-aux-Meules nécessite des travaux correctifs, car les agrégats se sont déplacés plus rapidement qu’anticipé. (Photo prise en 2022) PHOTO : RADIO-CANADA / ISABELLE LAROSE

 

Éphémérides : 16/12/1990 Le naufrage du Nadine

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nadine_216/12/1990 Naufrage du Nadine à 10 milles de la Grande-Entrée. Il y a deux rescapés et 8 victimes.

Le 16 décembre 1990, le chalutier de 37 mètres (121 pieds) NADINE coulait au large de la pointe de l’Est, emportant dans la mort huit personnes sur les 10 membres d’équipage. Six corps furent repêchés et les deux autres sont toujours portés disparus.

Article sur la tragédie du Nadine. Le Radar, vol. 19 no. 28, du 8 au 14 janvier 1991

Article sur les audiences publiques du Nadine. Le Radar, vol. 21 no. 16, du 10 au 17 décembre 1991

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© richardlavoie.qc.ca

Photos: Bureau de la sécurité des transports du Canada

Verrons-nous le Ford Puma Gen-E au Canada?

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« Je suis sur le point de faire l’acquisition d’un Hyundai Kona électrique et j’ai vu par hasard le Ford Puma Gen-E. Sera-t-il commercialisé au Canada? J’aimerais, car je le trouve plus beau que le Hyundai! » — Julie Morin

Réponse

Bonjour, il y a bon nombre de véhicules vendus en Europe que nous aimerions voir chez nous, et le Ford Puma, sous toutes ses formes, en fait partie. Avec le lancement de la version électrique, il s’agit de la 4e offre mécanique du constructeur pour ce petit VUS sous-compact. En effet, il est également livrable en configuration à essence, hybride, diesel et maintenant pleinement électrique.

Pour répondre de manière plus expéditive à la question, non. Le Puma Gen-E ne sera pas commercialisé au Canada. C’est bien dommage, particulièrement pour un marché comme le Québec où les consommateurs sont friands des petits VUS, comme en témoigne la popularité de modèles comme le Hyundai Kona électrique. Avec le Puma Gen-E, Ford représenterait une concurrence intéressante dans le segment.

Le Puma est un modèle extrêmement important pour le constructeur en Europe puisqu’il est le produit de l’ovale bleu le plus vendu. L’apport de la version électrique serait très certainement intéressant chez nous. Il est certain que ce n’est pas de la haute technologie en matière d’électrification, mais, pour un usage urbain, c’est suffisant. Il est équipé d’une petite batterie de seulement 43 kilowattheures. Comme il affiche une consommation estimée à 13,1 kilowattheures/100 kilomètres, il aurait une autonomie d’un peu plus de 325 kilomètres. En fonction des standards nord-américains d’aujourd’hui, c’est peu.

En termes d’autonomie, le Ford serait en décalage face au Kona électrique qui jouit d’une batterie de 64,6 kilowattheures qui lui assure une capacité de 418 kilomètres. Il ne serait pas très concurrentiel. En matière de capacité de recharge, c’est toutefois un match nul entre Ford et Hyundai puisqu’ils présentent tous les deux une capacité limitée de 100 kilowatts dans une borne de niveau 3.

Comme le Puma Gen-E devrait passer tous les tests d’homologation et n’afficherait probablement pas un prix concurrentiel, nous ne le verrons pas au pays. Peut-être à la prochaine génération, si elle est développée avec des visées internationales, mais pas pour l’instant. Vous pouvez donc vous tourner de nouveau vers le Hyundai Kona électrique. Il s’agit d’ailleurs d’un produit que nous recommandons. Pour un plan B dans le segment, son jumeau, le Kia Niro EV n’est pas à négliger.

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Le cyclone de Noël: Entrevue avec Véronique Cloutier!

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Le film Le cyclone de Noël fait présentement un tabac au box-office québécois, ayant déjà engrangé plus de 2 millions de dollars aux guichets. Sortie en salle le 8 novembre dernier – et toujours à l’affiche au cinéma – la comédie dérivée de l’émission L’œil du cyclone s’apprête déjà, ce mois-ci, à faire le saut sur ICI TOU.TV EXTRA (dans la section VÉRO.TV)!

Nous avons eu la chance, en marge du dévoilement du long métrage, de nous entretenir en tête-à-tête avec Véronique Cloutier, dont le personnage d’Éliane de L’œil du cyclone prend, dans Le cyclone de Noël, une grande importance, alors qu’elle aide sa sœur Isabelle (Christine Beaulieu) à réunir sa famille, laquelle compte s’éparpiller le soir du réveillon.

Rappelons que Louis Morissette nous racontait ici la genèse plutôt particulière du Cyclone de Noël (et nous annonçait un scoop sur son prochain film par la même occasion!) Vous pouvez également lire ou relire ici notre critique de la production.

Hollywood PQ: Véro, ton personnage d’Éliane dans L’œil du cyclone est toujours un peu éclaté, mais dans Le cyclone de Noël, elle va encore plus dans la folie pure…

Véronique Cloutier : «Oui, on y va vraiment dans le tapis! J’ai ajouté deux bûches! On m’a laissée aller et c’était le fun! (rires) Parce que, des fois, il faut me ramener!»

«Je suis vraiment super contente. Faire un film de Noël, c’est déjà un cadeau; mais de faire un film de Noël avec la même gang avec qui tu fais une série depuis quatre ans, c’est assez exceptionnel. Ça n’arrive pas souvent, dans une vie. Pour quelqu’un comme moi qui renoue avec le cinéma un peu sur la pointe des pieds, un peu traumatisée (rires) [NDLR : Véronique Cloutier fait ici référence aux Dangereux, film de 2003 dans lequel elle partageait la vedette avec Stéphane Rousseau, encore considéré comme l’un des pires bides du cinéma québécois], c’est un contexte idéal. Je me sens comme un bébé qui fait ses premiers pas avec des matelas tout autour! Il peut tomber, mais sans se faire mal. Moi, j’aime Noël, j’aime le temps des Fêtes. Je serais la cliente idéale pour ce film-là, au cinéma. En plus, j’ai le bonheur de jouer dedans. Je me demande même pourquoi on n’y a pas pensé avant, à faire un film de Noël avec L’œil du cyclone!»

HPQ: Après Les Dangereux, qui était ta première expérience au grand écran, avais-tu eu la chance de rejouer au cinéma?

VC : «J’avais fait un mini caméo dans L’Âge des Ténèbres, de Denys Arcand, avec Marc Labrèche. J’étais une des filles de la scène de speed dating. Ça ne compte pas comme une expérience de cinéma! Au fil des ans, beaucoup de projets se sont pointés, mais je suis comblée dans mon métier, je suis vraiment choyée. Le cinéma, quand ça se présente, c’est un bonus. C’est comme la sauce sur la dinde ou le ketchup sur la tourtière! Je ne courais pas après ça, et finalement, ça ne s’est jamais fait. Des fois, j’auditionnais, j’obtenais le rôle, mais le film ne se faisait finalement pas; d’autres fois, j’auditionnais, et je ne l’avais pas. D’autres fois, des gens m’approchaient pour écrire pour moi, et ça n’aboutissait pas. Si on croit au destin, on peut se dire que le chemin était tracé pour que je revienne au cinéma dans ce contexte-là, qui était parfait pour moi!»

Véronique Cloutier dans une scène du Cyclone de Noël / Crédit : Courtoisie Films Opale

HPQ : En te regardant t’amuser dans le film, on se dit que ça doit te manquer, de jouer dans le Bye Bye

VC : «Oui et non. Ça me manque de parodier, le trip de gang. Ça, j’aime ça. Mais je ne m’ennuie pas de le regarder, stressée, le 31! Le 31 décembre, maintenant, on regarde le Bye Bye comme tous les autres millions de téléspectateurs au Québec. Il y a quelque chose de vraiment plaisant là-dedans, d’avoir mon mari avec moi, reposé, de bonne humeur, dans le temps des Fêtes! Mettons qu’on y a goûté, pendant quelques années… Ça, ça ne me manque pas du tout. Mais j’ai tourné un sketch pour un projet récemment, qui n’est pas encore sorti, et on m’a mis une perruque, un costume, on m’a maquillée, et j’avoue que je me suis dit deux ou trois fois, dans l’après-midi, que les Bye Bye, j’aimais vraiment ça, que ça me manque! Mais ça va me passer! C’est comme quand je vois un bébé. Ça me passe! (rires).» [NDLR : Véronique Cloutier a participé à 6 éditions du Bye Bye, en 2003, 2008, 2010, 2011, 2012 et 2013].

HPQ : La cinquième saison de L’œil du cyclone arrivera sur ICI TOU.TV EXTRA en février, et la quatrième sera présentée à ICI TÉLÉ à compter de janvier. As-tu l’impression que ton personnage d’Éliane, qui est un peu frivole, évolue, d’une année à l’autre?

VC : «Elle commence, oui. Pendant longtemps, elle était le ressort comique des épisodes, mais là, on sent une évolution. On vient de terminer le tournage de la saison 5, et dans les dernières scènes qu’on a enregistrées, Éliane se pose des questions. Est-ce que c’est vraiment ce qu’elle veut, être constamment célibataire, ne jamais s’engager? Elle découvre que, peut-être, elle aurait aimé être en couple et amoureuse. Dans la saison 4, on voit qu’elle a peur de vieillir seule, quand elle se blesse et qu’elle va vivre chez sa sœur. Elle est vulnérable, mais elle a de la misère avec le fait de recevoir de l’aide de la part des autres. Dans le film, Éliane est touchée par le cri du cœur de sa sœur, qui veut tellement que les traditions aient lieu comme d’habitude. Elle offre son aide à Isabelle, mais à un moment donné, elle trouve que sa sœur va trop loin, et il y a un début de conflit entre elles, ce qu’on n’avait jamais vu à la télé. Mais Éliane va toujours rester l’effet drôle de L’œil du cyclone. C’est à ça que je sers, et je pense que je suis efficace dans ça.»

HPQ : C’était vraiment ce type de personnage que tu voulais jouer à la télé, la fille un peu fofolle, à la Sex and the City?

VC : «Oui. Je pense que c’est plus facile de me suivre dans ça. D’accepter ma proposition dans un personnage qui est vraiment dans la comédie pure, que dans le drame. Je n’aurais pas voulu et je n’aurais pas pu jouer le personnage d’Isabelle, qu’interprète Christine Beaulieu. Les gens m’ont tellement vu animer, en 30 ans, qu’il faut qu’il y ait l’espace mental pour accepter que je joue un personnage. Ç’a été long pour le public de s’adapter, et pour moi aussi. Dans la saison 1, je ne me trouve atrocement pas bonne! Je ne me crois pas du tout. Et dans la saison 2, j’étais un peu mieux, et dans la 3 aussi. Dans la 4, la 5 et dans le film, je pense que je commence à maîtriser cette affaire-là! Je ne pense pas que j’aurais pu jouer le rôle de Guylaine Tremblay dans Veille sur moi…»

Véronique Cloutier entourée de sa famille le soir de la première du Cyclone de Noël / Crédit : Serge Cloutier

HPQ : Tu as énormément de projets cette année (l’édition spéciale de La Fureur de samedi dernier, la troisième saison de Zénith débutant le 9 janvier à ICI TÉLÉ, le spectacle Zénith à l’été 2025, Véronique et les Fantastiques à Rouge, le Gala des Fantastiques à la Place Bell le 10 avril, la Fondation Véro et Louis, le magazine Véro…), et ta famille se porte aussi très bien. Ton garçon Justin vient d’ailleurs de célébrer ses 20 ans, ton aînée Delphine aura 22 ans en janvier, Raphaëlle a 15 ans…

VC : «Je trouve que j’ai de beaux jeunes épanouis. Je pense qu’ils sont heureux et intelligents. Ils sont en santé. Je n’ai pas de problème à les voir vieillir. Mais, honnêtement, je me dis souvent que je voudrais qu’on arrête là. Que ma vie gèle maintenant! Ce sont de jeunes adultes, mais ils sont encore proches de nous, ils n’ont pas encore leur propre famille. Ils sont indépendants, mais proches. On est dans le sweet spot, la zone sensible exactement parfaite. Mais ça ne restera pas ainsi, et il faut que je l’accepte! Que veux-tu…»

Le fils de Paul Daraîche, Dan, sera de nouveau papa

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Le fils de Paul Daraîche, Dan Daraîche, que nous avons découvert à l’émission La Voix, a toutes les raisons de célébrer les joies de la vie.

C’est sur les réseaux sociaux que le chanteur a annoncé une magnifique nouvelle, soit que lui et son amoureuse, déjà parents d’un petit garçon, attendent leur deuxième enfant. Un secret qu’ils avaient soigneusement gardé jusqu’à maintenant.

«Depuis quelque temps nous avons gardé un petit secret! Billy sera grand frère pour juin 2025 🍼 ❤ Croyez-vous que ce sera une fille ou un garçon?», dévoile Paul.

Toutes nos félicitations à Dan et sa famille, ainsi qu’à Paul, qui sera grand-papa à nouveau!

Top-5 : le gardien d’urgence des Sénateurs se rend à l’aréna à la course

Après un vendredi d’un match dans la Ligue nationale de hockey, on était gâtés hier soir, alors que 30 équipes s’affrontaient à travers 15 différents matchs.

Plusieurs éléments ont retenu l’attention, dont le bel arrêt de Matvei Michkov contre son équipe et le premier but en carrière de Lane Hutson dans la LNH.

Voici maintenant les autres faits saillants de cette journée.

1. Le gardien d’urgence court dehors pour arriver à temps au match

Une histoire complètement folle est survenue hier soir quelques instants avant le match des Sénateurs d’Ottawa face aux Penguins de Pittsburgh.

Anton Forsberg, le gardien auxiliaire des Sens pour le match, s’est blessé pendant la période d’échauffement, ce qui a forcé les Sénateurs à faire appel à un gardien d’urgence.

Ce gardien d’urgence, c’est Zach Dietz, un gardien de 22 ans qui joue pour l’Univerité d’Ottawa.

Ayant été appelé à la dernière seconde, Dietz a dû se dépêcher, ce qui a donné d’incroyables images de lui à la course sur l’autoroute avec tout son équipement de gardien, alors qu’il tente d’arriver à temps au match.

Bref, Dietz n’aura pas eu à venir en renfort dans le match, mais il aura tout de même tout fait pour ne pas manquer une potentielle chance de jouer dans la LNH.

Les Sénateurs l’ont emporté 3 à 2 en prolongation, et se retrouvent dans une place en séries après 30 matchs pour la première fois depuis huit ans, soit depuis la saison 2016-2017.

2. Nathan MacKinnon atteint le plateau des 50 points

Qui d’autre que MacKinnon pour atteindre ce plateau en premier dans la LNH.

L’Avalanche du Colorado l’a emporté 5 à 2 contre les pauvres Predators de Nashville hier soir, et MacKinnon en a profité pour s’amuser, alors qu’il a inscrit deux buts et une passe.

À noter que Mackenzie Blackwood a été excellent à son premier départ avec l’Avalanche, repoussant 37 des 39 tirs dirigés vers lui.

3. Jeff Petry inscrit ses deux premiers buts de la saison

L’ancien du CH ne rajeunit pas du haut de ses 37 ans, mais il parvient toujours à inscrire des buts de temps à autre.

D’ailleurs, hier soir, il a inscrit ses deux premiers buts de la saison dans une victoire de 4 à 2 des Red Wings de Detroit face aux Maple Leafs de Toronto.

Il a également inscrit le but de la victoire.

Dans la défaite, les Maple Leafs ont tout de même démontré un beau travail d’équipe, comme en témoigne cette séquence.

4. Nazem Kadri marque un autre superbe but

Après avoir marqué un superbe but plus tôt cette semaine en sautant par-dessus un défenseur du Lightning de Tampa Bay, Nazem Kadri s’est de nouveau donné en spectacle, cette fois contre l’autre équipe de la Floride.

En effet, dans une victoire de 3 à 0 face aux Panthers de la Floride, Kadri a inscrit un superbe but grâce à une très belle feinte.

Cela lui fait maintenant 11 buts et 20 points en 30 matchs cette saison.

5. Un arrêt sensationnel pour Marc-André Fleury

Il n’y a pas que Matvei Michkov qui s’est illustré comme gardien hier devant le filet du Wild du Minnesota.

En effet, Marc-André Fleury était en très grande forme, alors qu’il a repoussé 22 des 23 tirs dirigés vers lui, dont un sur lequel il a réalisé le superbe arrêt suivant.

Le Wild l’a emporté 4 à 1 afin de continuer sa domination cette saison.

En Rafale

– Premier but dans la LNH pour Declan Carlile.

– Voici les résultats de la veille.

– Voici les meilleurs pointeurs de la veille.

(Crédit: NHL.com)

– Au programme aujourd’hui dans la LNH : cinq matchs.

(Crédit: Google/NHL)

Près de 3 M$ pour développer la pêche au sébaste au Québec

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Québec et Ottawa versent près de 2,8 M$ à l’Association des capitaines propriétaires de la Gaspésie pour aider à la relance de la pêche au sébaste au Québec.

La division innovation de cette organisation agira comme tiers redistributeur de l’argent du Fonds des pêches auprès des entreprises qui voudront s’équiper et adapter leurs bateaux.

On va toujours être en communication avec les agents du Fonds des pêches pour déterminer l’admissibilité au programme. Quand ce sera fait, on pourra revenir sur une proposition aux pêcheurs selon les besoins qui vont nous avoir été formulés et les aider à s’équiper, explique le directeur général de l’ACPG, Claudio Bernatchez.

L’ensemble des détenteurs de permis de pêche aux poissons de fond à engins mobiles du Québec pourront avoir accès aux services de l’ACPG.

Cette formule permettra aux pêcheurs d’avoir rapidement accès à de l’aide financière. L’idée du projet n’aura pas à être validée 20 fois pour chacun des pêcheurs intéressés à se lancer là-dedans, fait valoir Claudio Bernatchez. Ça va accélérer le traitement.

Ce traitement accéléré est d’autant plus important qu’il ne reste que quelques mois pour obtenir de l’aide du Fonds des pêches, qui prendra fin le 31 mars  2026. Ça ne nous laisse pas beaucoup de temps, commente le directeur de l’ACPG.

Cette organisation pourra aussi guider les pêcheurs dans leur choix d’équipement, la préparation des documents et la formation technique. Selon la grosseur du bateau, la force du moteur, on va leur suggérer un modèle de chalut adapté. Ce ne sera pas seulement pour l’agrément de pêche, mais il y a aussi d’autres volets pour lesquels on va être en mesure de les conseiller ou de faire appel à des consultants.

Claudio Bernatchez est vêtu d'un imperméable et se tient debout devant le port de Gaspé.

Claudio Bernatchez, directeur général de l’Association des capitaines propriétaires de la Gaspésie, estime que la gestion de ce programme aidera l’organisation à conserver son expertise. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Stéphanie Rousseau

En effet, les fonds seront disponibles non seulement pour l’achat d’engins de pêche et la modification des bateaux mais aussi pour accroître l’efficacité de la pêche ainsi que la manutention et la conservation des poissons à bord des bateaux.

On est habitués à accompagner les entreprises de pêche dans leurs besoins, de se moderniser, de faire du transfert technologique, alors c’est vraiment intéressant pour nous. Puis en même temps, ça va dynamiser le milieu et apporter un petit peu de baume sur la situation actuelle, qui n’est pas toujours facile, souligne M. Bernatchez en référence aux turbottiers et aux crevettiers, deux pêcheries frappées par l’effondrement des stocks.

Jusqu’à un maximum de 100 000 $ pourra être versé à un pêcheur dont la contribution devra équivaloir à 10 % du coût total du projet.

Transition

Selon Pêches et Océans, il s’agit du premier projet d’envergure touchant le sébaste depuis l’annonce de la reprise de la pêche au sébaste, en janvier 2024. L’ensemble du projet, soit la contribution des gouvernements et celle de l’ACPG, est d’une valeur d’un peu plus de 3 M$.

Claudio Bernatchez estime que cette somme semble suffisante pour répondre aux besoins de ceux qui voudront bien se lancer dans la nouvelle pêche au sébaste. On sait que dans les conditions actuelles, il y a des pêcheurs qui ne sont pas en mesure d’investir même si les sommes sont au programme. Il y a des pêcheurs qui sont plus en mode sortie de l’industrie qu’autre chose.

Du sébaste à l’usine des Pêcheries gaspésiennes.

Du sébaste à l’usine des Pêcheries gaspésiennes, pour le moment le seul transformateur de sébaste au Québec. (Photo d’archives) Photo : Gracieuseté : Pêcheries gaspésiennes

Claudio Bernatchez croit qu’une dizaine, voire une quinzaine de pêcheurs profiteront de cette aide. Je m’attends à ce que la plupart des pêcheurs qui manifestent un intérêt vont le faire de façon prudente avec un investissement minimum.

De plus, ajoute le DG, le programme aidera l’ACPG à préserver son expertise en matière de fabrication d’engins de pêche. On était les seuls à être capables de le faire, puis ça, ça va venir rassurer notre monde aussi, comme de quoi on est partis pour quelques années.

Lent départ

Annoncée en janvier 2024, la relance de la pêche au sébaste dans l’unité 1, soit la zone du golfe, reste plutôt timide pour le moment. D’après Claudio Bernatchez, seulement trois pêcheurs au Québec sont sortis pêcher en 2024.

Le volume de débarquement jusqu’à maintenant ne permettrait qu’à un seul des trois pêcheurs d’en vivre, calcule le directeur de l’ACPG.

Ces observations correspondent aux données du ministère des Pêches.

Selon les données transmises par le ministère en novembre dernier, seulement 2058 tonnes de sébaste avaient été pêchées dans l’unité 1 sur le quota autorisé de 60 000 tonnes.

Un pêcheur déverse une caisse de sébastes sur un convoyeur près de son bateau.

La forte réduction des quotas de pêche à la crevette nordique touche fortement l’industrie des pêches de la région, ce que ne compense pas pour le moment la pêche au sébaste. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada

La pêche la plus considérable a été effectuée à Terre-Neuve avec 1358 tonnes.

Les données pour le Québec n’étaient pas disponibles en raison du trop petit nombre de pêcheurs. Le ministère a recensé 16 permis actifs au total pour l’ensemble des flottilles du golfe et des Maritimes.

De l’aide pour d’autres projets

Deux autres entreprises de pêche ont aussi reçu de l’argent du Fonds des pêches vendredi.

L’entreprise Lelièvre, Lelièvre et Lemoignan, de Sainte-Thérèse-de-Gaspé, reçoit 100 000 $ pour l’aider à améliorer ses viviers à homard. Le coût total du projet est évalué à 160 000 $.

Un homme tient un homard vivant.

Lelièvre, Lelièvre et Lemoignan achètera un appareil de filtration et de recirculation de l’eau pour avoir un vivier à la fine pointe de la technologie afin de répondre à la hausse des débarquements de homard et à la pénurie de main-d’œuvre. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Richard Cuthbertson

Enfin, l’entreprise Atkins et Frères, de Saint-Maxime-du-Mont-Louis, recevra elle aussi une aide financière de 100 000 $. Cet argent servira à commercialiser une saucisse fabriquée à base de flétan, de sébaste et de homard sur les marchés québécois et ontarien ainsi que dans les Maritimes.

Pour ces trois projets, la contribution d’Ottawa s’élève à un peu de 2 M$, tandis que celle du Québec est d’un peu moins de 900 000 $. Jusqu’à maintenant, 179 projets ont été financés par le Fonds des pêches du Québec, pour un total de 29,5 M$.

LA UNE : Un quota global de 60 000 tonnes a été autorisé en 2024. (Photo d’archives) Photo : Denis Éloquin

Éphémérides : Maxime Arseneau est élu ministre délégué au Tourisme

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15/12/1998 Maxime Arseneau est élu ministre délégué au Tourisme.

Élu en 1998, Maxime Arseneau a été tour à tour ministre délégué au Tourisme et ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation. Il s’est retiré de la politique en 2008.

Il a été ministre responsable de la Gaspésie et des Îles de 1998 à 2003.