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Toyota Land Cruiser ROX Concept : on le voudrait!

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Lors de notre visite au Salon de l’auto de New York, un véhicule concept a immédiatement attiré l’attention des membres de l’équipe RPM présents sur place. Il s’agissait du Toyota Land Cruiser ROX, un concept présenté initialement lors du SEMA à l’automne dernier et également exposé à New York.

Il faut mentionner que les concepts sont de plus en plus rares : non seulement ils sont coûteux à développer, mais les designers disposent aujourd’hui d’outils numériques leur permettant de donner libre cours à leur imagination sans passer par la fabrication physique. Les images de synthèse ont remplacé l’argile.

Un Toyota Land Cruiser sans toit

Les rares concepts que l’on rencontre aujourd’hui retiennent donc particulièrement notre attention, surtout lorsqu’ils sont réussis. Ce fut le cas lorsque notre chemin a croisé celui du Land Cruiser ROX, dont l’appellation est tirée de l’acronyme Recreation Open eXperience. Basé sur la version 250 du Land Cruiser, ce concept propose une interprétation encore plus extrême pour la conduite hors route. Selon Toyota, plus de 50 % de ses pièces sont inédites. Mais ce qui le distingue le plus, c’est sa configuration décapotable qui, à l’instar du Jeep Wrangler, permet de vivre une expérience sans toit.

Inspiré des véhicules de type safari, le Toyota Land Cruiser ROX arbore des lignes beaucoup plus extraverties. L’avant est équipé d’une imposante barre de protection de pare-chocs intégrant des phares auxiliaires, des crochets de remorquage peints en rouge et un treuil pour se sortir des situations difficiles. La teinte de carrosserie extérieure, inspirée du « Spring Green », rend hommage aux couleurs rétro du Land Cruiser et souligne l’héritage emblématique du modèle.

À l’arrière, la carrosserie est entièrement ouverte. Un des éléments les plus remarquables demeure les larges ouvertures sous les portes, laissant entrevoir l’intérieur. Les ingénieurs ont aussi installé une suspension indépendante aux quatre roues, développée sur mesure par l’équipe de TRD. Le véhicule a été surélevé de 102 millimètres (4 pouces) pour offrir davantage de débattement en conduite hors route. Sa largeur de voie a également été augmentée de 203 millimètres (8 pouces) grâce à des bras de suspension en aluminium forgé, à l’avant comme à l’arrière. Des ailes élargies sur mesure recouvrent d’imposants pneus montés sur des jantes de 18 pouces.

L’habitacle profite d’un traitement unique mettant en valeur l’héritage de la marque : sellerie en cuir brun, nombreux filets de rangement pour sécuriser l’équipement et tissus faciles d’entretien.

Le Toyota Land Cruiser ROX a définitivement capté notre attention. Toyota, voilà un véhicule unique qui mérite d’entrer en production!

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Quoi penser du Kia Sportage 2026?

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« Je m’intéresse au Kia Sportage 2026. Je sais qu’il est amélioré pour 2026, mais je me demande s’il est toujours concurrentiel dans cette catégorie qui évolue rapidement, soit celle des VUS compacts. » — Aziz

Réponse

Bonjour Aziz,

Effectivement, le Kia Sportage est amélioré pour l’année modèle 2026. Il faudra attendre quelque temps encore pour qu’il arrive en concession, mais les principaux changements touchent la présentation extérieure rafraichie et le tableau de bord renouvelé. Entre autres, le Sportage arrive avec une nouvelle interface multimédia plus moderne qui peut être connectée à Apple CarPlay et Android Auto sans fil. Il adopte, en gros, les écrans qu’on a vus dans d’autres modèles comme le Kia EV9 et le Kia EV6 2025.

Il n’y a pas beaucoup de changements mécaniques. En effet, le modèle conserve les mêmes moteurs et les mêmes transmissions. Le 4-cylindres 2,5 litres est le moteur de base qui continuera donc d’être plutôt faiblard pour le modèle. Même si sa puissance de 187 chevaux semble concurrentielle, sa transmission automatique à 8 rapports gomme les sensations, un état de fait que l’encombrement du véhicule (et son poids) ne font qu’empirer. C’est pourquoi je préfère la mécanique hybride pour ce modèle, mieux adaptée avec 268 chevaux et avec plus de couple.

Hélas, cette mécanique est difficile à obtenir, puisque Kia en importe peu sur le marché canadien. Si vous n’êtes pas pressé, c’est néanmoins la mécanique à favoriser parce qu’elle est mieux adaptée au modèle que le moteur de base.

Et face à la concurrence?

Même si ces changements ne modifient pas drastiquement la performance et la compétence du modèle, force est de constater qu’ils touchent les aspects principaux qui commençaient à montrer l’âge du Sportage. Les lignes sont plus modernes, de même que toute l’instrumentation et le système multimédia. Les qualités d’espace généreux, de confort général et de comportement routier bien calibré ne changent pas.

C’est donc dire que la position favorable qu’avait le Kia Sportage dans cette catégorie, soit à la deuxième marche de notre palmarès, ne devrait pas changer à court terme. Il faut néanmoins garder en tête que cette catégorie bouge rapidement. Le Subaru Forester proposera sous peu une mécanique hybride, et le Toyota RAV4 arrivera avec une toute nouvelle génération, lui qui commence à trainer de la patte. C’est donc dire que l’ordre établi pourrait être modifié par la venue de ces modèles améliorés.

À plus long terme, soit pour 2027, le Mazda CX-5 subira des changements d’importance également et bénéficiera d’une mécanique hybride éventuellement. Même son de cloche pour le Nissan Rogue qui bénéficiera d’une mécanique hybride et hybride rechargeable pour sa nouvelle génération.

Mais d’ici là, le Kia Sportage demeure un bon véhicule dans cette catégorie et il continue d’être recommandé.

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Le turbot de moins en moins présent dans les filets de pêche

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La pêche au flétan du Groenland n’attire presque plus de pêcheurs en raison d’une ressource dont le déclin s’explique encore très mal.

La saison s’annonçait déjà mal en juillet dernier, le cycle de gestion du turbot (flétan du Groenland), qui se terminera le 14 mai, dans deux semaines, viendra confirmer le brusque déclin d’une espèce qui a fait les beaux jours de la pêche au poisson de fond dans le golfe du Saint-Laurent.

Le MPO a dénombré 170 expéditions de pêche au turbot durant la période estivale de 2023.

C’était 17 en 2024, soit 90 % de moins.

La pêche, qui a démarré le 15 mai 2024, s’effectue en deux périodes, soit une pêche estivale qui s’est terminée le 31 octobre dernier et une seconde printanière, qui a démarré le 1er avril.

Moins de 12 pêcheurs ont été à la pêche au turbot en 2024, contrairement à environ 35 pêcheurs en 2023.

Les quantités débarquées sont à l’avenant. L’année 2024-2025, on parle de 11 tonnes seulement qui ont été débarquées. C’est du jamais vu dans l’histoire de cette pêcherie-là, indique Claudio Bernatchez, directeur général de l’Association des capitaines propriétaires de la Gaspésie (ACPG).

En comparaison, les pêcheurs avaient débarqué 122 tonnes de turbot en 2023.

Claudio Bernatchez ne cache pas son inquiétude. Ça nous fait quand même énormément peur pour l’état de cette biomasse. 

Une pêche moins rentable

D’autres données alimentent cette crainte. La quantité de poissons par expédition ou par pêcheur a baissé également de 70 % en 2024 par rapport à 2020, indique l’agent régional principal des pêches pour la région du Québec, Steve Trottier.

À titre de comparaison, le MPO a évalué que les débarquements étaient en moyenne de 225 kg par expédition de pêche en 2024 et de 750 kg par expédition en 2023. On a déjà eu des périodes où les rendements excédaient une tonne ou deux tonnes par expédition de pêche, souligne le responsable de la gestion des pêches du MPO.

D’autres facteurs expliquent aussi le manque d’intérêt des flottilles. Les pêcheurs, explique M. Trottier, ont beaucoup de difficultés à trouver les poissons plus gros, donc de taille commerciale, soit de plus de 44 cm. C’est un phénomène également qui explique le manque d’activité et aussi les rendements. 

Les sorties en mer sont donc de moins en moins rentables, et ce, dans un contexte où l’inflation pèse déjà sur les entreprises de pêche.

Au Québec, quelque 350 pêcheurs à engins fixes possèdent un permis donnant accès au flétan du Groenland. En moyenne, selon Steve Trottier, du MPO, entre 100 et 120 pêcheurs pouvaient participer à la pêche dans les années passées.

Ça vient fragiliser beaucoup nos entreprises de pêche, souligne Claudio Bernatchez, de l’ACPG, qui rappelle que si le turbot était une pêche secondaire, elle constituait néanmoins un revenu d’appoint qui venait consolider une saison de pêche et pouvait même être parfois le principal revenu de la saison.

Enseigne de l'usine de transformation Poissonnerie Blanchette avec installations en arrière-plan.

Pour la péninsule, ce sont aussi des emplois en mer et en usine qui ont carrément disparu en trois ou quatre ans.

C’est sûr que les pêcheurs de turbot ont des permis multiespèces, explique Samantha Bois-Roy, représentante des engins fixes à l’ACPG, mais ce sont des portefeuilles qui sont diversifiés avec de très petites quantités d’autres espèces. Ils sont rendus au point où il reste des grenailles de crabe, un peu de turbot et quelques livres de flétan. Ce n’est pas quelque chose qui permet d’avoir une entreprise viable.

Des données manquantes

Le quota, qui s’élevait à 4500 tonnes en 2016, est en diminution depuis une bonne dizaine d’années. En 2024-25, le total de captures autorisées (TAC) par le MPO était de 2000 tonnes.

Dans le prochain plan de pêche, le ministère recommanderait un TAC de 290 tonnes pour deux ans. C’est minime, mais c’est déjà 17 fois plus que ce qui a été pêché l’an dernier. Rendu au point, on est là, ce n’est pas les total des captures autorisées (TAC) qui déterminent vraiment les prises. C’est vraiment la ressource elle-même qui dicte l’effort de pêche, constate Claudio Bernatchez de l’ACPG.

Depuis 2020, la forte baisse des débarquements est, en fait, plus importante que la diminution de la biomasse.

Les modèles déployés par le MPO projettent plus de captures que les pêcheurs peuvent aller en chercher.

Une citation de Claudio Bernatchez, directeur général de l’ACPG

Malgré tout, la science s’explique mal le déclin abrupt de la ressource.

Des flétans au fond d'un bateau de pêche. Un pêcheur manutentionne un bac rempli de poisson.

Du haut de la zone de prudence en 2022, le stock de turbot est maintenant dans le bas de la zone de prudence.

Le biologiste responsable de l’évaluation des stocks de flétan du Groenland (turbot) au ministère des Pêches et des Océans (MPO), Jean-Martin Chamberland, souligne que le dernier bon recrutement de jeunes turbots remonte à 2019 et que cette cohorte ne s’est jamais rendue à la taille commerciale de 44 cm.

Les années 2021 et 2022 ont été les deux dernières où des cohortes ont laissé paraître un espoir de rétablissement des stocks. J’avais un certain optimisme à cette époque, admet le biologiste du MPO. Je ne m’attendais pas à ce que les cohortes disparaissent soudainement comme ça a été le cas, je m’attendais à ce qu’elles aient un taux de croissance normal.

Les biologistes savent que le flétan du Groenland est dans le golfe à la limite sud de son aire de répartition, mais il n’y a pas que le réchauffement de l’eau qui a un impact négatif.

L’analyse des estomacs des spécimens prélevés dans le nord du golfe démontre que les deux principales proies du turbot, le capelan et la crevette nordique, sont de moins en moins présents dans le régime alimentaire. On a remarqué que les individus de plus de 35 cm étaient très maigres ces dernières années, ils sont en mauvaise condition et sont plus sujets à mourir de façon naturelle.

Assouplissements

Samantha Bois-Roy, de l’ACPG, estime que le modèle d’évaluation du MPO n’est pas complet et que certaines données doivent être validées ou vérifiées, notamment celles de la taille à maturité des turbots, un peu comme c’est le cas du sébaste. Ce que nous on pense, c’est que justement le manque d’oxygène, le réchauffement de l’eau, le manque de nourriture font en sorte que les poissons ne grossissent plus, indique Mme Bois-Roy.

Flétan du Groenland, communément appelé turbot

C’est une hypothèse que le ministère examine, mais il serait encore trop tôt pour l’inclure ainsi que d’autres données dans les modèles d’évaluation des stocks.

« On va commencer à travailler dans la prochaine année sur un modèle mathématique pour prédire ce qui s’en vient dans le futur, puis ça va nous permettre de voir différents scénarios, pour voir s’il y a des chances que le stock se rétablisse ou pas. Ça va nous permettre aussi de départager l’effet de l’environnement de l’effet de la pêche sur ce qu’on observe », explique le biologiste Jean-Martin Chamberland.

Une des préoccupations des pêcheurs est la fermeture depuis trois ans de la zone de l’estuaire, considérée comme un des meilleurs secteurs de pêche. La zone a été fermée par le ministère en raison d’un trop grand nombre de poissons de petite taille.

Dans l’estuaire, on sait que c’est l’endroit où on trouve la plus faible concentration en oxygène dissous. On sait que ce n’est pas favorable, ces conditions environnementales là pour le turbot, mais on ne peut pas dire de manière quantitative dans quelle proportion, ça l’affecte, indique Jean-Martin Chamberland.

L’ACPG croit que si les zones près de Rimouski ou des Méchins peuvent ouvrir, plus de pêcheurs seront tentés par un retour à la pêche au turbot, ce qui aidera la science qui manque de données sur la ressource.

On va continuer à demander de la souplesse puis de l’ouverture de la part du ministère de la gestion des pêches pour permettre d’agrandir les territoires de pêche au turbot pour cette année, indique Samantha Bois-Roy.

L’ACPG veut aussi que le ministère lève la limite de profondeur sur la Côte-Nord et qu’elle ouvre les zones de l’estuaire fermées depuis trois ans. Ça va permettre d’être capable d’aller chercher des données pour poursuivre la réflexion, puis voir l’évolution de la ressource, ajoute Mme Bois-Roy.

Penser à l’avenir de la pêche

L’ACPG espère que quelques pêcheurs poursuivront les efforts de pêche et souhaite éviter l’imposition d’un moratoire, ce qui fermerait des portes difficiles par la suite de rouvrir. Un moratoire, ce n’est jamais la solution. Donc on va toujours demander à ce qu’il ait un quota minimal pour être capable d’aller chercher des informations, des données, pour être capable de faire les suivis avec les sciences, fait valoir Claudio Bernatchez

Le directeur de l’ACPG souhaite une transition vers un nouveau mode de gestion des pêches afin de s’adapter aux changements en cours dans le golfe. Dans une approche écosystémique, dit-il, on n’est pas obligé d’aller pêcher en grande quantité les différentes espèces émergentes. Si c’est pour seulement deux ou trois pêcheurs pour une espèce donnée et que ça permet de venir tonifier les revenus, de développer des marchés de niche. Une espèce à la fois, on aidera une poignée de pêcheurs, mais on aidera à passer au travers. 

Le flétan atlantique, le homard sont des ressources qui se portent bien. D’autres ressources comme la myxine du nord pourraient s’ajouter aux espèces du Saint-Laurent déjà pêchées commercialement.

Une myxine du nord. Cela ressemble à une anguille ou un serpent.

La myxine du nord, consommée notamment au Japon, fait partie de ce type d’espèces qui pourraient faire l’objet d’une pêche scientifique dès cette année. On a des projets qui se dessinent, d’autres qui sont prochainement déposés pour évaluer cette espèce pendant quelques années pour peut-être voir si elle est capable de supporter une pression de pêche et voir les possibilités que les marchés peuvent offrir, ajoute le directeur de l’ACPG.

D’autres espèces, comme le merlu argenté, qui est de plus en plus présent dans le relevé écosystémique du MPO, pourraient faire l’objet d’évaluations plus précises avec la collaboration des pêcheurs.

Mais une autre ombre se profile au tableau pour cette transition. Dans un contexte budgétaire gouvernemental difficile, le soutien financier reste difficile à obtenir, admet M. Bernatchez.

LA UNE : Le flétan du Groenland est de moins en moins présent dans les filets des pêcheurs du Saint-Laurent. (Photo d’archives) Photo : MPO- Claude Nozères

PAR

[VIDÉO] Mélanie essaie de faire pousser ses propres légumes!

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Pour l’arrivée du printemps, Mélanie s’est lancé un défi: faire ses propres semis. Elle a testé 5 différentes techniques, et elle documente son expérience dans sa nouvelle vidéo!

AS

 

Les as de l’info est un quotidien spécialisé pour enfants et une initiative des Coops de l’information. Ce contenu est partagé avec le portail régional ilesdelamadeleine.com, grâce au financement du gouvernement du Canada.

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Yves BOURQUE (1962-2025)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 17 janvier 2025, de monsieur Yves Bourque. Il était âgé de 62 ans, résident de Lévis et originaire de La Vernière, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il était le fils de feu Nestor Bourque et de feu Olivine Gallant, le conjoint de madame Christine Landgon. Il laisse aussi dans le deuil son frère Claude (Nathalie), son oncle Robert (Rolande), ses tantes Sœur Gisèle et Sœur Lucille, ses cousins et cousines, ainsi que tous ses amis des Îles et d’ailleurs.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules, le lundi 4 août 2025, à partir de 14h. Suivront les funérailles à l’église Saint-Pierre de La Vernière, à 16h, et l’inhumation au cimetière de l’endroit.

Pool de hockey • Classement final

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RÉSULTATS – POOL DE HOCKEY
CLASSEMENT FINAL – SAISON 2025


Les gagnants de cette saison sont :

1ère place : Sabrina Gagné-Leclerc*

  • Cartes d’une valeur de 100$ de Golf In Dooly’s
  • Bon d’achat RONA : 50$
  • Bouffe familiale Dixie Lee de 60$
  • Bon d’achat – Dépanneur DAJO : 50$
  • Bon d’achat COOP L’Éveil : 50$

2e place : Érika Chénard*

  • Carte de Golf d’une valeur 50$ de Golf In Dooly’s
  • Bon d’achat COOP L’Éveil : 50$
  • Bouffe familiale Dixie Lee de 60$
  • Caisse de 12 cannettes Budweiser

3e place : Marcel Guillemette*

  • Carte de Golf d’une valeur 50$ de Golf In Dooly’s
  • Bon d’achat COOP L’Éveil : 50$
  • Caisse de 12 cannettes Budweiser
Attention : Les gagnants doventt se rendre chez Gemini sur les heures de bureau pour réclamer leurs prix au plus tard le 10 juin 2025 avec une preuve d’identité à l’adresse : 224-C, Ch. Principal, Cap-aux-Meules. Après ce délai, les prix non réclamés sont remis dans la cagnotte.

 

PosParticipantPJBP1730PPts
1Sabrina Gagné Leclerc1536631937001721568
2Erika Chénard1535584981001591565
3Marcel Guillemette1549617938001711555
4Francis Lehoux1561621918001701539
5Steven Allen1551613925001631538
6Jean-Benoît Thériault1533596939001711535
7Stéphanie St-Amand1529619913001811532
8Alain Cadieux1538600928001691528
9Willie Turbide1568567954001781521
10Réal Lamirande1524602915001611517
11Myriam Vigneau1572572945001951517
12Luc Robitaille1549594922001811516
13Maxime Bélanger1528586929001561515
14Styve Lehoux1505611903001561514
15Michel Audette1546564946001621510
16Eric Théberge1540534975001681509
17Jacky Leblanc1505607901001411508
18Maxime Lehoux1500603904001731507
19Nancy Miousse1542567937001581504
20Armand Longuépée1533581919001621500
21Yoanna Poisson1542570929001471499
22Nicholas Landry Saint-Onge1521574923001351497
23Guylain Harvie1548595902001771497
24François Lapierre1543578918001801496
25Alexandre Noël1593584911001761495
26Keven Bourque1511603887001761490
27Edmond Cyr1508588901001781489
28Pierre-Luc Goulet1540565924001871489
29Serge Ménard1512605883001501488
30Jean-Michel Neveu1504605882001581487
31Sylvie Laverdière1521571916001691487
32Stella Landry1553570917001581487
33Dave Laflamme1514625861001531486
34Olivier Caron1545603880001671483
35Samuel Tremblay1491593888001791481
36Joe Militello1544531949001451480
37Denis Leblanc1558581898001581479
38Charles Thibault1536547931001521478
39Jonathan Gaudet1509597880001731477
40Serge Déraspe1501575900001391475
41Simon-Charles Cyr1506561913001621474
42Daniel Imbeault1550579893001581472
43Michel Petitpas1500584886001531470
44Alain Massé1527542927001541469
45François Bouchard1556560908001681468
46Mylène Fortin1560563904001671467
47Pierre-François April Grant1541570896001711466
48Réjean Leblanc1551559906001581465
49Sony Longuépée1566577888001681465
50Patrice Thériault1509557903001571460
51Jérémie Arseneault1514554906001601460
52J.C Déraspe1521564896001711460
53Michael Tucker1537513947001521460
54Henri-Paul Bénard1539576884001641460
55Benoit Cormier1551600860001691460
56Denis Michaud1534561897001571458
57Daniel Landry1510584873001571457
58Martin Thériault1524565892001611457
59Josiane Longuépée1530567888001631455
60Julie Miousse1506590864001671454
61Jean-Guy Vigneault1526577876001581453
62Jean-Bernard Leblanc1565539914001621453
63Jean-Louis Leblanc1495565885001511450
64Sylvie Boily1528555895001681450
65Jean Hubert1505577872001451449
66Jean-Charles Bénard1514559890001351449
67Crissy Goodwin1525581868001731449
68Steve Lapierre1534553895001531448
69Gaston Landry1507529917001561446
70Suzanne Walsh1516523922001641445
71Nick Brenczuk1533558887001701445
72Jean-Simon Renaud1541573871001741444
73Jacques Nadeau1528519923001551442
74Roland Cyr1479540901001571441
75Denis Chevarie1501531910001291441
76Gilles Franc1518568873001511441
77Ghislain Vigneau1504562878001621440
78Martine Vigneau1574545895001581440
79Alain Deveau1458561877001421438
80Réal Cloutier1504564874001511438
81Daniel Côté1518493945001761438
82Nicolas Gaudet1524539899001531438
83Longin Poirier1449567870001671437
84Madeleine Gaudet1500575862001391437
85Denis Ringuette1511574862001501436
86Carol D Boudreau1517487949001891436
87Leonille Walsh1519530906001661436
88Anthony Deveau1501592840001381432
89Jeanne Cyr1512560872001241432
90Cynthia Noël1510528903001581431
91Denis Chevrier1526592837001641429
92Jeannot P. Poirier1527556873001671429
93Lucille Vigneau1493518910001931428
94Nancy Richard1503533893001561426
95Sylvain Arseneau1470522903001521425
96Jacques Cummings1493521904001461425
97Serge Pelger1499556869001441425
98Omer Longuépée1511578844001611422
99Gilles Leblanc1492546875001381421
100Suzanne Leblanc1508542876001551418
101Zachary Roussy1481526891001401417
102Guy Rousseau1501583834001431417
103Guy Lachance1540610807001621417
104Cécile Vigneau1504495921001521416
105Yves Leblanc1513539877001781416
106Bernard Truchon1458549866001481415
107Annick Massé1467526889001361415
108Vianney Sabourin1531538874001661412
109Laurie Savage1509530881001591411
110Vincent Fournier1516560851001601411
111Kati Déraspe1528555856001461411
112Stéphane Bourque1472558852001571410
113Roger Simon1503553856001511409
114Carl Robin1529545864001601409
115Dany Petitpas1543582827001581409
116Pauline Miousse1581511898001841409
117Roger Groulx1485572836001651408
118Ghislain Cormier1493538870001641408
119Damien Boudreau1523576832001681408
120Rachelle Boudreau1532600807001921407
121Dougal Keating1536546858001591404
122Patrick Soumis1480523878001551401
123Sylvain Gosselin1508525876001421401
124Gislaine Lachance1519560841001591401
125Imee Padinit1520542859001601401
126Isabelle Chevrier1544546855001761401
127Gilberte Boudreau1497571829001901400
128Freddy Arseneault1525538862001731400
129Eric Robichaud1525526874001561400
130Robert Turbide1537553847001741400
131Olivier Tardif1497531868001411399
132Serge Leblanc1534521878001621399
133André St-Onge1534506890001711396
134Michel Cummings1495564831001831395
135Martin Jomphe1460555839001371394
136Claire Lavergne1523515879001571394
137Frédéric Déraspe1537529865001761394
138Arnaud Bobee1504566827001521393
139Christian Bussiere1399522870001481392
140Nicole Bénard1432537853001301390
141Denis Bombay1525564824001641388
142Yves Hachey1514508879001381387
143Mélanie Cummings1498560826001651386
144Hichem Zayati1521544842001481386
145Gaston Imbeault1474569815001501384
146Gaston Lapierre1551585799001581384
147Lucien Huet1457515868001541383
148Gilles Lefrançois1478556827001371383
149Obeline Leblanc1546528855001741383
150Normand Maheu1472565817001281382
151Eudore Turbide1496507875001531382
152Anne-Marie Hébert1532545837001401382
153Germain Cyr1555575805001721380
154Jocelyn1436573806001541379
155Gabriel Dugas1461544834001611378
156Jean-Guy Landry1502496880001621376
157Myriam Bénard1549552824001661376
158Monique Leblanc1460533842001511375
159Philip Boudreau1504527846001451373
160Patrice Boudreau1473556816001501372
161André Martinet1524521851001711372
162Marcel Boudreau1530525845001421370
163Colinda Déraspe1515546822001521368
164Carmelle Chevarie1467512854001611366
165Luc Richard1490534831001371365
166Denis Gilbert1546558807001651365
167Jacques Decoste1466497866001621363
168Edmond Bouchard1494566792001511358
169Denis Tardif1472539816001651355
170Jessica Leblanc1528499855001571354
171Danis Vigneau1451522831001561353
172Gabriel Harvie1454515838001581353
173Edith Lamothe1501505848001781353
174Jean-Yves Thorne1505499853001461352
175Joël Cummings1467532818001461350
176Guy Cormier1490536813001571349
177Daniel Sauvé1506543805001321348
178Jean-Yves Lamothe1513513835001481348
179Julien Bouchard1507521818001561339
180Clément Dumais1466550787001451337
181Georges Cyr1504565772001481337
182Jocelyne Boudreau1500518818001441336
183Marthe Petitpas1431535797001661332
184Jacques Vigneau1544534792001531326
185Jérémie Lapierre1403496829001201325
186Lysiane Vigneau1477541783001421324
187François Harvey1428536781001531317
188Addé Cyr1474518798001751316
189Louis-René Vigneau1570510806001451316
190Annie Turbide1477525790001261315
191Marc Raby1471476837001281313
192Mireille Leblanc1418525787001661312
193Yvon A Bourgeois1539503809001641312
194Michel Besner1505501809001291310
195Claudette Cyr1446517789001651306
196Pierrette Harvie1494526778001701304
197Jean-François Cyr1410539755001451294
198Yvon Boudreau1477559735001421294
199Emile Cyr1397459828001761287
200Frédéric Tanguay1469492794001331286
201Michel Arseneault1454470812001331282
202Jeannot Cyr1422481797001621278
203Anne-Maëlle Vigneau1458521754001641275
204Karine Cormier1461536726001241262
205Gérard Bénard1525514732001341246
206Alain Renaud1446487754001501241
207Monique Arseneau1518502731001621233
208Pierre Arseneau1490451720001601171
209Pauline Vigneau1328450717001291167


Lexique

Pos – Position / Participant – Nom du participant / PJ – Parties jouées  / B – Buts / P – Assistance – Passe / 1 – Nombre de points le dernier jour / 7 – Nombre de points dans la dernière semaine / 30 – Nombre de points dans le dernier mois / PPts – Points


Merci à tous les participants et à l’an prochain.


Mise à jour : Kevin Hubert

Ces personnalités veulent faire sortir le vote!

Le 28 avril marque une journée cruciale: celle où chaque citoyen est invité à aller voter et à influencer l’avenir du Canada.

Plusieurs vedettes québécoises ont d’ailleurs tenu à rappeler l’importance de faire entendre sa voix en se rendant à votre bureau de vote, et ce, jusqu’à 21 h 30!

Félix d’OD

Sansdrick d’OD

Mylène St-Sauveur

Maripier Morin

Screenshot

Rafaëlle Roy

Karine Vanasse

Catherine Brunet

Mélissa Désormeaux-Poulin

Cœur de pirate

Screenshot

Arnaud Soly

Screenshot

PL Cloutier

Mia d’OD

Géraldine Lamarche

Sarah-Jeanne Labrosse

Allez voter!

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

C’est parti pour MasterChef Junior Québec!

Dès ce lundi 28 avril, la compétition s’enclenche avec un premier épisode haut en saveurs. Une fois de plus, Martin Picard et Stefano Faita auront la délicate mission d’évaluer les plats imaginés par de jeunes cuisiniers talentueux.

La relève culinaire est prête! Serons-nous témoins de la naissance des grands chefs de demain?

Tout au long de la saison, ils devront relever des défis amusants et formatifs! Et bien sûr, quelques moments cocasses sont à prévoir, après tout, rien n’est plus spontané et authentique qu’un enfant!

Ils seront en compétition pour remporter le prix de MasterChef Junior Québec et partir avec une belle somme de 10 000$!

Vous pouvez écouter MasterChef Junior Québec, du lundi au jeudi à 19h, sur les ondes de TVA.

On a bien hâte de découvrir les plats et les personnalités uniques de ces jeunes cuistots!

Séries en bref : Les Oilers retournent à Los Angeles à égalité

En ce dimanche d’action dans la LNH, quatre séries se poursuivaient.

J’ai déjà fait un résumé du match des Jets et celui du Canadien.

Voici les autres résultats et faits saillants :

Les Oilers retournent à Los Angeles à égalité

Les Kings ont gagné les deux premiers matchs de cette série.

Et après une victoire des Oilers, ils pouvaient retourner chez eux en avance 3-1. Mais Evan Bouchard avait d’autres plans.

Il a marqué deux buts en troisième période pour forcer une prolongation.

Le but égalisateur, il l’a marqué en toute fin de match.

Et en prolongation, Leon Draisaitl a choisi le bon moment pour marquer son premier but des séries 2025. Il a récolté une passe sur les trois premiers buts de son équipe.

La série est égale 2-2!

En fait, toutes les séries de l’Ouest le sont.

Los Angeles et Edmonton renoueront avec l’action en Californie demain.

Frederik Andersen quitte la rencontre

Ce n’est vraiment pas les séries des gardiens numéro un. Connor Hellebuyck ne connaît pas de bonnes séries et Logan Thompson et Samuel Montembeault sont tombés au combat lors du match numéro trois de leur série.

Maintenant, c’est au tour de Frederik Andersen de quitter la rencontre. Hier contre le New Jersey, le Danois s’est blessé après une collision avec Timo Meier.

Le gardien sera réévalué aujourd’hui.

Quelques instants après, Meier en a profité pour réduire l’écart à un but sur le gardien numéro deux Pyotr Kochetkov.

Le New Jersey a cependant été incapable de freiner Andrei Svechnikov.

Le Russe a inscrit un tour du chapeau.

Victoire de 5-2 des Canes.

Ils pourraient éliminer les Devils chez eux, mardi.

La Caroline mène la série 3-1.

Prolongation

– Quel tir!

– Draisaitl mène la charge.

(Crédit: NHL.com)

– Deux séries se poursuivent ce soir.

(Crédit: NHL.com )

Tom Wilson : son coup sur Alexandre Carrier a fait basculer la série

Ne cherchez pas sur quel chandail les Capitals vont coller le «C» de capitaine quand Alex Ovechkin va quitter la LNH.

Plus que jamais, Tom Wilson démontre qu’il est le coeur et l’âme des Caps. Il est ce joueur que les équipes détestent affronter, mais qui devient indispensable pour sa propre équipe.

Pierre-Luc Dubois l’a dit, après le match : Wilson est un meneur important à Washington.

Mais bon. Évidemment, ce matin, les amateurs montréalais n’en sont pas exactement à l’étape de chanter ses louanges puisqu’il rend la vie des joueurs du Canadien très difficile.

En fait, non : il change carrément la donne en séries.

Wilson démontre deux choses. D’abord, oui, il démontre que l’arbitrage est à deux vitesses dans la série (les gens dans le vestiaire du Canadien sont d’accord avec ça, en tout cas), mais il démontre aussi que le CH a des croûtes à manger avant de pouvoir danser avec les grands en séries.

Et la défaite d’hier a été claire à ce sujet : le CH est trop petit. Physiquement, il se fait dominer.

Je sais que le CH ne doit pas devenir cette équipe qui y va de coups cochons à tout bout de champ, mais la façon dont les Caps contrôlent le jeu robuste place le club américain au-dessus du CH en séries.

Et le coup de Wilson sur Alexandre Carrier, aussi cochon soit-il, en est la preuve. Le fait que Carrier se soit relevé comme un homme (au lieu de faker) n’a sans doute pas incité les arbitres à sévir.

On parle de ce coup-là, mais on pourrait aussi parler du coup d’Alex Ovechkin sur Carrier, qui a eu une vilaine soirée de travail hier soir en termes de rester en santé. Espérons qu’il soit correct ce matin, mais j’ai le sentiment qu’il doit être mal en point.

Mais c’est aussi la mise en échec sur Jake Evans ou toutes ces petites tentatives des Caps qui ont sorti le CH du match. Parce que non, le Canadien n’était pas à «quelques minutes de revenir dans le match» de la façon dont il jouait.

Oui, les arbitres auraient dû sortir le sifflet pas mal plus souvent, mais les Capitals ont compris comment avoir du succès en séries. Et cela a pour effet de voir le Canadien au bord du gouffre.

Le club de Martin St-Louis sera-t-il capable de gagner trois matchs de suite, incluant deux à Washington? La question se pose.

Le momentum vient de changer suite au coup de Wilson. Le CH avait un certain momentum, mais cela a été tué par le jeu physique des Caps, dont le coup (de cochon dont le point de contact a été la tête) sur Carrier était la cerise sur le sundae.

En fait, non : la cerise sur le sundae, c’est ceci.

Et pour ce qui est de Carrier, dans tout ça? Le Canadien doit espérer que le défenseur, qui stabilise la ligne bleue, sera en mesure de jouer mercredi. Parce que sans lui, le club n’est pas le même.

On verra en temps et lieu.

Mais bon. Il ne faut pas simplement retenir le jeu physique de Wilson dans un revers de 5-2 (dont deux buts dans un filet désert) dans le match #4 du Canadien de Montréal.

Qu’est-ce que j’ai aussi noté?

1. Mike Matheson a passé 28 minutes sur la patinoire, incluant plus de huit minutes (8:06) en infériorité numérique. Sans Carrier pendant un bout, c’était clair qu’il allait jouer en masse.

Bien des gens aiment critiquer ses erreurs défensives, mais sans lui, le corps défensif du CH aurait l’air d’une poule pas de tête.

2. Le fait de voir Matheson manger des minutes de la sorte fait en sorte que Lane Hutson peut s’épanouir offensivement. Et hier encore, il a dirigé l’avantage numérique de main de maître.

Ses deux passes font en sorte qu’il en cinq en séries et 65 en incluant la saison. 65, c’est un record dans l’histoire de la ligue pour un défenseur recrue.

Ses deux passes ont été récoltées sur l’avantage numérique, qui va bien depuis que Patrik Laine a été remplacé par Ivan Demidov. Les cinq gars de la première vague sont jeunes et ils peuvent être là longtemps.

Ivan Demidov a aussi récolté deux passes et il a réussi son premier jeu «signature» en séries. #Wow

Trois des huit buts du CH depuis vendredi ont été marqués par la première vague de power play… et Alex Newhook, vendredi, a aussi marqué en avantage numérique. Rien de trop grave.

C’est positif, ça… et c’est justement le point que François Gagnon a soulevé à Martin St-Louis quand ce dernier a dit aux journalistes qu’il ne savait pas quoi dire à ses joueurs, après le match.

3. On parlait de temps de jeu, tantôt : en voici plus.

Ivan Demidov a joué pendant 13:38, ce qui n’est pas complètement vilain. Il a été le troisième attaquant le moins utilisé, devant Oliver Kapanen (5:33) et Emil Heineman (8:19).

Défensivement, Kaiden Guhle (22:45) et Lane Hutson (21:00) ont aussi beaucoup joué. Arber Xhekaj (12:51) et David Savard (14:49… dans ce qui était peut-être son dernier match au Centre Bell) en ont pris plus avec Alex Carrier qui n’a joué que pendant 13 minutes et 39 secondes.

Mais on voit quand même que les défenseurs du top-4 ont vraiment la confiance de l’entraîneur.

4. Le CH a tiré 18 fois seulement au filet des Capitals… dont neuf fois en troisième période. À un certain point, il n’avait que six tirs après 34 minutes de jeu, ce qui est trop peu.

Comment tu veux marquer (à cinq contre cinq, surtout) sans tirer?

5. Jakub Dobes n’a pas connu un vilain match. Il n’a pas été parfait sur les trois buts donnés, mais il a effectué de gros arrêts et a permis à son club de rester dans le match.

La défaite n’est pas de sa faute.

6. Alexandre Carrier… Samuel Montembeault… Kirby Dach… Patrik Laine… mine de rien, les blessures commencent à affecter le CH, qui s’est notamment qualifié en séries parce que le club a été relativement en santé.

Hum…

prolongation

Le Canadien profitera d’une journée de congé (ce qui laissera du temps aux Canadiens du club d’aller voter?), mais on peut quand même se demander si des gars comme Patrik Laine ou Samuel Montembeault seront en mesure de patiner.

Sûrement pas, mais bon.

Il y aura des conférences de presse à 13h au Centre Bell, mais ce sera une journée plus tranquille dans l’entourage du Canadien, qui devra gagner ses trois prochains matchs pour passer au prochain tour.

Le CH tirait de l’arrière 3-1 en 2021 contre Toronto, mais y croyez-vous en 2025?

Mike Sullivan n’est plus l’entraîneur des Penguins

Grosse nouvelle dans la LNH.

Mike Sullivan et les Penguins de Pittsburgh ont choisi de se séparer. Le club a annoncé que Sullivan, qui a gagné les deux dernières Coupes Stanley de l’organisation comme pilote, n’était plus en poste.

Ce n’est pas une énorme surprise, même s’il aurait pu rester. Peut-être pu rester, à vrai dire.

On se demande à quel point c’était la décision du club ou du pilote, à qui il restait encore deux ans de contrat. Après tout, même si je ne doute pas que les deux voulaient un changement, il y en a un qui a amené le sujet sur la table en premier…

C’est donc une grosse page d’histoire qui se tourne à Pittsburgh. Et je me demande vraiment comment Sidney Crosby, qui a joué longtemps pour Sullivan, voit le tout en ce moment.

Est-ce que cela lui donne envie de partir?

Cela fait donc en sorte qu’un autre poste s’ouvre, dans la LNH. Les Rangers, le Kraken et les Ducks se cherchent aussi un entraîneur tandis que les Bruins, les Flyers et les Blackhawks ont un pilote par intérim. Et les Canucks ainsi que les Islanders sont dans l’incertitude…

J’ai le sentiment que les Rangers sont à surveiller…

Mine de rien, sans Sullivan, qui est arrivé à Pittsburgh en décembre 2015, seulement quatre entraîneurs ont plus d’expérience que Martin St-Louis avec leur équipe actuelle.

  • Jon Cooper, Tampa Bay : mars 2013
  • Jared Bednar, Colorado : août 2016
  • Rod Brind’Amour, Caroline : mai 2018
  • André Tourigny, Arizona/Utah : juillet 2021

prolongation

Rappelons que Mike Sullivan était l’entraîneur américain à la Confrontation des quatre nations. Et il sera le pilote de la formation américaine en 2026, en marge des Jeux olympiques.

Il est respecté : il ne restera pas sans emploi trop longtemps.