Comme dirait mon ami français:
Les mauvaises langues c’est comme les criquets, on les entends sans les voir et se taisent dès qu’on s’approche… 🙂
Comme dirait mon ami français:
Les mauvaises langues c’est comme les criquets, on les entends sans les voir et se taisent dès qu’on s’approche… 🙂
Voyez les Îles en direct avec notre webcam sur le port de Cap-aux-Meules
La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès le 02 juillet 2016 de Monsieur Walter Cyr, il était âgé de 87 ans et résident de Cap-aux-Meules, aux Iles-de-la-Madeleine.
Il était l’époux de Madame Lucille Guay et le père de Jocelyne et Jocelyn. Il était le frère de feu Cordélia, Yvon, Noëlla, feu Maurice, Jérôme, Cécile, Marie-Anna, Louise, Louisette, Marie-Paule. Il laisse aussi dans le deuil ses beaux-frères, belles-soeurs, neveux, nièces, parents et amis.
La famille recevra les condoléances au salon funéraire de Cap-aux-Meules, mercredi le 06 juillet 2016 de 19h00 à 22h00.
Le service religieux de Monsieur Walter Cyr sera célébré, jeudi le 07 juillet 2016 à 11h00, à l’église St-André de Cap-aux-Meules et de là au cimetière de l’endroit.
Jeudi le 07, jour des funérailles, le salon ouvrira à 09h00.
Planifier vos sorties cinéma aux Îles grâce à la section Cinéma publiée sur le portail ilesdelamadeleine.com
https://www.ilesdelamadeleine.com/a-laffiche-au-cinema-cyrco/
À l’automne 2013, le Comité ZIP des îles-de-la-Madeleine entreprenait, en étroite collaboration avec Merinov et Pêches et Océans Canada, un projet d’intervention ciblée pour lutter contre la dispersion et l’établissement de l’ascidie jaune aux Îles-de-la-Madeleine.
Un article original INFOCÉANS
Bulletin d’information pour le Québec – Juin-juillet 2016 / volume 19 / numéro 3
Pour le moment, ce tunicier envahissant a été observé seulement au quai de Cap-aux-Meules, en grande abondance, fixé sous les quais flottants. Cet animal à l’aspect inoffensif a toutefois causé d’importants dommages à l’industrie mytilicole à l’Île-du-Prince-Édouard. C’est pourquoi il est important d’éviter qu’il se disperse et s’établisse ailleurs sur l’archipel.
C’est pour tenter de l’éliminer que 40 quais flottants, situés au quai des pêcheurs à Cap-aux-Meules, ont été traités avec une peinture antisalissure. L’intervention a commencé par un inventaire en plongée sous-marine afin de déterminer l’abondance de l’ascidie jaune sous les structures. Les quais ont ensuite été retirés de l’eau, puis nettoyés afin de les débarrasser de toutes les salissures présentes. Ils ont finalement été recouverts de peinture antisalissure avant d’être remis à l’eau.
Jusqu’à présent, les observations laissent croire en des résultats prometteurs. En effet, aucune ascidie jaune n’a été observée sur les surfaces traitées et très peu d’autres salissures s’y sont installées.
En complément à ces travaux, un volet de sensibilisation visant les utilisateurs des ports et marinas de l’archipel (plaisanciers, pêcheurs et gestionnaires) a été mis en place afin de démontrer l’importance et l’efficacité d’un bon entretien des structures, qu’il s’agisse de quais ou d’embarcations. De nombreux carnets d’identification des espèces envahissantes ont été remis aux utilisateurs rencontrés au cours du projet. De l’information sur les déplacements et l’entretien des bateaux de ces utilisateurs a pu être recueillie, permettant ainsi de détecter ou de suivre les activités d’éventuelles sources d’introduction ou de propagation d’espèces envahissantes sur le territoire madelinot.
Cette initiative a été mise en œuvre grâce à la contribution du programme Interactions communautaires lié au Plan d’action Saint-Laurent 2011-2026 des gouvernements du Canada et du Québec, et avec l’aide de nombreux autres partenaires financiers et techniques : le Centre local de développement des Îles, la Conférence régionale des élus Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, les caisses populaires Desjardins des Îles, Pêches et Océans Canada, Merinov, le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (Innovamer et bureau local) ainsi que la Municipalité des Îles-de-la-Madeleine.
La première espèce envahissante observée aux Îles-de-la-Madeleine fut l’algue codium fragile, en 2003. Depuis, d’autres se sont introduites dans l’archipel, dont l’ascidie jaune (Ciona intestinalis) originaire d’Europe du Nord que l’on a recensée pour la première fois en 2006. Ces organismes indésirables sont habituellement introduits par les bateaux commerciaux et de plaisance qui les transportent dans leurs eaux de ballast ou accrochés à leur coque.
L’ascidie jaune, Les envahisseurs aquatiques : Carnet d’identification
LA UNE : Le dessous du quai flottant est envahi par des ascidies jaunes.
Source : Comité ZIP des Îles-de-la-Madeleine / Pêches et Océans Canada / Merinov
Planifiez vos prochaines vacances aux Îles de la Madeleine
Le ministre des Affaires municipales, Martin Coiteux, était aux Îles-de-la-Madeleine jeudi pour participer à l’inauguration de la nouvelle mairie de l’archipel. Le ministre a aussi profité de l’occasion pour montrer l’effet de la reconnaissance spécifique des Îles en décrétant officiellement leur nouvelle appellation de Communauté maritime des Îles-de-la-Madeleine.
Cette dénomination a été adoptée la semaine dernière dans la loi 83 par les députés de l’Assemblée nationale. Elle vient renforcer le décret du premier ministre Couillard qui confirmait le statut d’insularité de l’archipel il y a quelques semaines.
« Tous les ministères, tous les organismes doivent désormais se poser la question si le programme atterrit bien aux Îles-de-la-Madeleine, dans la Communauté maritime ou s’il doit être modifié pour tenir compte des particularités des Îles-de-la-Madeleine », soutient M. Coiteux.
«La reconnaissance du caractère spécifique des Îles aura des conséquences dans tous les ministères.» – Martin Coiteux, ministre des Affaires municipales
« Aux Îles, c’est pas pareil »
Le maire Jonathan Lapierre a salué l’initiative de Québec. « Des fois on se faisait dire « on le sait bien qu’aux Îles c’est pas pareil », et on s’est dit qu’il faut trouver une autre façon de démontrer que c’est vrai que « c’est pas pareil » », illustre M. Lapierre.
«Au Québec, il y a 87 MRC, il y a des agglomérations, et il n’y aura une seule et unique communauté maritime et c’est celle des Îles.» – Jonathan Lapierre, maire des Îles-de-la-Madeleine
Par ailleurs, 15 ans après le regroupement municipal, l’ancienne mairie de Cap-aux-Meules a été agrandie et rénovée.
Le chantier de trois millions de dollars a été financé à 85 % par le gouvernement en vertu de programmes qui sont, depuis la reconnaissance du statut d’insularité de l’archipel, ajustés à la réalité des Îles où les travaux de construction coûtent souvent plus cher.
Tous les services administratifs de la municipalité des Îles sont désormais regroupés sous un même toit.
Le périple du bateau robot Solar Voyager a pris fin au large de la Nouvelle-Écosse.
Il est parti seul du Massachusetts, sans équipage, le 1er juin, et devait se rendre à Lisbonne, au Portugal.
La petite embarcation de quatre mètres s’est toutefois emmêlée dans un filet de pêche près de l’île de Sable, au large de la Nouvelle-Écosse, après seulement 1000 km.
L’équipage de la frégate NCSM St. John’s, de la Marine royale canadienne, est intervenu tôt mercredi matin pour lui prêter secours.
Le commandant de la Flotte canadienne de l’Atlantique, le commodore Craig Baines, indique que le navire se prêtait à des exercices, non loin du site de perdition du Solar Voyager.
«Nous avons discuté avec ses propriétaires et avons aussi déterminé qu’il représentait un danger pour la navigation. Nous l’avons donc monté à bord.» – Le commodore Craig Baines
L’embarcation du futur?
Solar Voyager est une petite embarcation de 4 mètres fabriquée en aluminium.
Il ressemble à un kayak surmonté de panneaux solaires.
Ses concepteurs utilisent les signaux de satellites pour envoyer des points de repère au bateau, mais ne peuvent pas le contrôler directement.
Solar Voyager met à jour son emplacement toutes les 15 minutes en utilisant la liaison satellite.
Son créateur et propriétaire, Isaac Penny, indique que son équipe avait ajouté des hélices au bateau pour éviter qu’il s’accroche dans les lignes de pêche et pour inverser sa direction s’il reste coincé.
L’ingénieur vante l’intervention de la Marine royale canadienne et est reconnaissant de l’intérêt qu’elle a démontré pour son projet.
Isaac Penny ne peut pas se prononcer sur l’état de l’embarcation sans avoir lui-même constaté sa condition. Mais pour l’instant, il n’écarte pas l’idée d’une autre tentative de traversée de l’Atlantique.
LA UNE : Des marins du NCSM St. John’s sortent le Solar Voyager de l’eau. PHOTO : DÉFENSE NATIONALE/LS PETER W. FREW
La société The Ocean Cleanup de Boyan Slat a déployé en mer du Nord une barrière flottante dont le but est de débarrasser les déchets plastiques des océans.
Boyan Slat, 21 ans, fondateur de la société The Ocean Cleanup (le nettoyage de l’océan), a déployé hier dans la mer du Nord son premier prototype pour récupérer les déchets plastiques présents dans les océans. La méthode utilisée est innovante, car elle utilise les courants marins pour piéger les débris. Plus besoin d’un bateau qui sillonne les mers.
Mercredi, lors de la conférence de presse au port de Scheveningen, près de La Haye, à l’ouest des Pays-Bas, il a déclaré avec une logique implacable :
« Pourquoi irions-nous vers les déchets alors que les déchets peuvent venir à nous? »
Comme l’a expliqué Bojan, c’est un projet ambitieux :
« En déployant un seul de ces systèmes durant dix ans, nous pourrions nettoyer la moitié de la grande plaque de déchets du Pacifique, ou davantage si nous déployons plus de systèmes. »
Cette expérience avec ce prototype est fondamentale. Elle doit permettre de le tester puis de l’améliorer. La zone de test a été choisie en raison de la puissance des courants liés à la marée.
« À la moindre tempête, nous aurons des forces plus puissantes que durant une tempête qui durerait une centaine d’années dans l’océan. Si le prototype peut survivre ici, il survivra partout. »
« Chaque année 8 millions de tonnes de plastique finissent dans les mers et les océans. C’est un vrai problème environnemental : au moins un million d’oiseaux et une centaine de milliers de mammifères, comme le phoque et les tortues meurent à cause des déchets. »
Nous avions déjà consacré plusieurs articles au projet de Boyan Slat. Bien sûr, nous continuerons et nous vous donnerons des nouvelles de l’expérimentation de ce prototype. Car on a envie de croire à sa réussite. C’est important pour nous, pour les animaux et pour notre planète.
Un article original de : +Positivr
En exclusivité sur ilesdelamadeleine.com
Deux Madelinots d’origine, Normand Lebel propriétaire de Chaussures POP Shoes Moncton et Sébastien Boudreau fondateur du cabinet de gestion et de finance ProActif Service CFO, font partie du groupe d’investisseurs derrière la construction d’un nouvel édifice commercial au centre-ville de Dieppe, au Nouveau-Brunswick. Situé au 50, rue du Marché (coin de la rue du Marché et du chemin Gauvin, en face de l’hôtel Wingate), le bâtiment sera moderne et comptera trois étages, pour un total de 16 425 pieds carrés, un stationnement souterrain et un stationnement extérieur. Le bâtiment écoénergétique sera muni d’installations de CVCA (chauffage, ventilation et climatisation d’air) et d’éclairage à la fine pointe de la technologie.
Les locataires de ce nouveau bâtiment seront des entreprises en pleine expansion qui ont un besoin d’espaces de bureaux ou de vente au détail pour loger leurs activités croissantes. Selon le président de la société d’investissement, M. Jeffrey Savoie, il est prévu que ces entreprises créent plus de 60 emplois dans le secteur au cours des trois prochaines années. Quant à lui, le maire de Dieppe, M. Yvon Lapierre, se réjouit du projet qui contribuera aussi à la croissance du centre-ville de Dieppe, déjà très dynamique.
La construction de cet édifice devrait être terminée au printemps 2017.
Les ossements découverts en septembre 2015 lors de travaux de réfection à la jonction de la route 199 et du chemin Cap-Rouge, dans le secteur de Havre-aux-Maisons, aux Îles-de-la-Madeleine, sont ceux de 17 individus inhumés dans l’ancien cimetière de Sainte-Madeleine, un site utilisé entre le troisième quart du 19e siècle et la première partie du 20e siècle.
Les spécialistes souhaitent maintenant que des analyses ostéologiques soient réalisées afin d’en connaître plus sur la biologie et la morphologie des Madelinots de cette époque. De même, le ministère recommande que des fouilles archéologiques précèdent tous les travaux d’excavation réalisés dans les limites du vieux cimetière.
LA UNE : L’Île de Havre-aux-Maisons aux Îles-de-la-Madeleine au printemps. Photo : Radio-Canada / Lisa-Marie Bélanger
Le ministre des Affaires municipales et de l’Occupation du territoire tiendra deux conférences de presse pendant sa visite. Une pour annoncer de l’aide financière au centre de récupération des Îles et une autre pour inaugurer les tout nouveaux locaux du centre communautaire et de l’hôtel de ville des Îles-de-la-Madeleine. Le ministre en profitera aussi pour faire l’annonce de la nouvelle désignation officielle de Communauté maritime des Îles-de-la-Madeleine.
LA UNE : Martin Coiteux, ministre des Affaires municipales et de l’Occupation du territoire, de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de Montréal Photo : Jacques Boissinot
INFOLETTRE « LE PONCHON »
Une façon efficace de se tenir au courant des nouvelles concernant l’archipel.
2024 © Tous Droits Réservés. GEMINI MÉDIAS