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Éphémérides : Fondation de la Coopérative du Gros-Cap
12/11/1932 Fondation de la Coopérative du Gros-Cap.
Cette usine a fonctionné sous forme de coopérative jusqu’en 1988 alors qu’elle changea de statut pour devenir compagnie privée avec des actionnaires dont 22 étaient des pêcheurs commerciaux. Ce changement fut très bénéfique à l’entreprise en permettant l’agrandissement et la modernisation de l’usine augmentant ainsi la production et permettant de développer l’exportation.
En 2009, Cap-sur-Mer est née du regroupement des deux grandes usines de transformation de produits marins des Îles, Madelipêche et Pêcheries Gros-Cap. Les deux installations transforment principalement du crabe et du homard.
En 2014, les actifs seront vendus à l’entreprise de produits marins néobrunswickois L.A. Trading et devient La Renaissance des Îles.
Image tirée du documentaire réalisé par l’abbé Maurice Proulx – 1956
Entreprise du jour : Culture du Large
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Stéphane DERASPE (1977-2024)
La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 6 novembre 2024, de monsieur Stéphane Déraspe. Il était âgé de 47 ans et résident de Fatima, aux Îles-de-la-Madeleine.
Il était le fils de monsieur Fernand Déraspe et de madame Rita Harvie, le père d’Olivia et Alexia. Il laisse aussi dans le deuil sa conjointe Agathe Cyr et ses enfants : Flavie, Léa et Ophélie, la mère de ses enfants Marylin Lapierre, sa sœur et ses frères de cœur : Annick, Benoît et Jacky, ainsi que ses oncles, tantes, cousins, cousines et nombreux amis.
La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules le vendredi 15 novembre 2024 de 14h à 17h et de 19h à 22h.
Les funérailles de monsieur Stéphane Déraspe seront célébrées le samedi 16 novembre 2024, à 11h, à l’église Notre-Dame du Rosaire de Fatima et, de là, au cimetière de l’endroit.
Vos marques de sympathie peuvent se traduire par un don à Opération Enfant Soleil.
Jeannot ARSENEAU (1961-2024)
La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 9 novembre 2024, de monsieur Jeannot Arseneau. Il était âgé de 63 ans et résident de l’Étang-du-Nord, aux Îles-de-la-Madeleine.
Il était l’époux de madame Johanne Cyr, le père de Marie-Michèle. Il était le frère de Liette (Paul), Antoine (Chantale), Jocelyne (Michel), Jeanne (Jacques), Simone (Yves) et feu Wellie. Il laisse aussi dans le deuil son meilleur ami Jean-Yves, qui l’a accompagné durant sa maladie, ainsi que ses neveux, nièces, parents et amis.
Les funérailles de monsieur Jeannot Arseneau seront célébrées le jeudi 14 novembre 2024, à 11h, à l’église Saint-Pierre de La Vernière et, de là, au cimetière de l’endroit. La famille sera présente à l’église à partir de 10h pour recevoir les sympathies.
Un merci tout particulier au personnel du service de soutien à domicile du CLSC, du département d’oncologie du CISSS des Iles et du CIC de Québec.
Vos marques de sympathie peuvent se traduire par un don à la Fondation Santé de l’Archipel pour le Fonds Francine-Daigle (département d’oncologie).
Jusqu’à 30 % du homard pêché en Atlantique n’est pas déclaré, selon le fédéral
De 10 % à 30 % des homards pêchés au Canada atlantique ne seraient pas déclarés, selon une note interne envoyée en août au sous-ministre fédéral des Pêches et des Océans, et obtenue grâce à une demande d’accès à l’information.
La valeur déclarée des débarquements de homard ces dernières années en Atlantique a été de 1,2 milliard à 2 milliards de dollars par an.
En se basant sur l’activité économique générée par la pêche au homard dans la région de 2018 à 2021, les prises non déclarées pourraient valoir de 176 millions à 681 millions de dollars, selon le mémo interne.
Évasion fiscale et conservation des espèces
Le ministère des Pêches et des Océans (MPO) a décliné une demande d’entrevue.
Dans une déclaration, le MPO indique que le mémo a été rédigé par des économistes du ministère et remis à un comité d’orientation, qui a été incapable de déterminer immédiatement l’ampleur exacte du problème.
Le MPO dit maintenant s’affairer à identifier des réseaux criminels et détecter les cas de blanchiment d’argent dans le secteur des pêches.
Pour ce faire, on dit travailler avec l’Agence du revenu du Canada et le Centre d’analyse des opérations et déclarations financières du Canada (CANAFE).
Le CANAFE est l’unité du renseignement financier du Canada et le superviseur de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement des activités terroristes.
Les pêcheurs commerciaux doivent tenir au quotidien un registre et rapporter les dates et les lieux où ils ont pêché, les bateaux qui ont pris la mer, le nombre de casiers remontés et le poids du homard capturé.
Ces informations sont précieuses pour évaluer la santé de la ressource.
Les prises non déclarées peuvent contribuer de manière importante au déclin des stocks et à la fragilité de nos écosystèmes marins
, reconnaît Pêches et Océans dans une déclaration.
Elles affaiblissent aussi la stabilité économique et l’équité entre les participants à une pêcherie, et peuvent porter atteinte à la réputation internationale du Canada en matière de pêche durable
, écrit-on.
Un agent de Pêches et Océans Canada effectue une saisie de homard qui aurait été capturé illégalement, le 23 septembre 2023 à Saulnierville, en Nouvelle-Écosse. Photo : Pêches et Océans Canada
Depuis plusieurs années, des pêcheurs commerciaux dénoncent la pêche illégale et mettent en doute les efforts du gouvernement fédéral pour mettre fin à ces activités.
Le ministre des Pêches de la Nouvelle-Écosse, Kent Smith, a fait un lien entre pêche illégale et montée du crime organisé dans le sud-ouest de la province.
Ayant interpellé à plusieurs reprises la ministre fédérale des Pêches Diane Lebouthillier, Kent Smith se disait le mois dernier frustré
de son refus d’agir plus énergiquement.
LA UNE : De 10 % à 30 % des homards pêchés au Canada atlantique ne seraient pas déclarés. (Photo d’archives) Photo : Reuters / Brian Snyder
PAR Radio-Canada d’après le reportage de Richard Cuthbertson, CBC
Le MPO et le milieu de la pêche planchent sur la gestion future des engins fantômes
Des pêcheurs et des organismes environnementaux se préparent à donner leur avis sur l’avenir de la prévention et de la gestion des engins fantômes en Atlantique. Ils reviennent sur ce qu’ils ont réussi à faire pour s’attaquer à cette source de pollution marine grâce au fonds mis en place par Pêches et Océans Canada (MPO).
Depuis janvier 2020, le Programme d’engins fantômes du MPO a permis de récupérer plus de 37 153 engins fantômes, ce qui représente environ 2261 tonnes de débris marins.
De plus, 885 km de cordages ont été retirés des eaux côtières canadiennes, a indiqué le gouvernement fédéral.
Les lieux des engins perdus et engins de pêche récupérés sur la côte Atlantique du 1er janvier 2020 au 31 mars 2024. Chaque rapport d’engins perdus (point rouge) et chaque opération de récupération d’engins (point vert) peuvent inclure plusieurs unités d’engins. Photo : Pêches et Océans Canada
Une procédure simple
Dans l’est du Canada, l’Union des pêcheurs des Maritimes (UPM) a pu mettre sur pied deux projets de récupération d’engins de pêche dans les deux dernières années en collaboration avec l’Association des pêcheurs de l’Île-du-Prince-Édouard (PEIFA) grâce au financement de ce programme.
C’était un succès
, affirme Pierre Dupuis, directeur d’Homarus, la branche des recherches scientifiques de l’UPM. Dans notre cas, c’était vraiment axé sur les engins de pêche à homards […] 99 %, c’était tous des casiers à homards et 1 % des casiers d’autres espèces.
De retour au quai, la procédure est simple, explique Pierre Dupuis : les casiers ont généralement une étiquette qui y est apposée avec un numéro lié à son propriétaire. Ces informations sont ensuite transmises au MPO.
C’est eux qui font le travail pour trouver à qui appartient le casier
, résume Pierre Dupuis.
La valeur estimée d’un casier de homard est d’environ 250 $ à 300 $, précise Pierre Dupuis. Photo : Associated Press / Robert F. Bukaty
L’opération de restitution d’engins du MPO a commencé en mars 2024. Une fois le propriétaire de l’engin contacté, on lui demande s’il désire le récupérer et on lui alloue un temps pour le faire.
Dans le cas contraire, l’engin est donné à un autre pêcheur.
Jusqu’à maintenant, 2572 engins ont été restitués à leur propriétaire et 4293 ont été donnés à un autre pêcheur.
Recycler en deux temps
Les engins fantômes ont été identifiés comme une priorité clé des efforts d’Ottawa afin d’éliminer la pollution plastique. Lorsqu’ils sont récupérés du fond marin et en bon état, ils peuvent ainsi être redonnés aux pêcheurs.
Les engins qui ne sont pas réutilisables sont eux aussi recyclés. Sonia Smith, directrice de la Gear Coalition of Atlantic Canada, est l’une des personnes qui y travaillent activement depuis quatre ans.
Son programme de recyclage de casiers et cordages de pêches au homard a reçu un financement du programme pour les engins fantômes du MPO en 2020.
Nous ne récupérons que le matériel avec lequel il n’est plus possible de pêcher en toute sécurité
, précise-t-elle. Avec notre travail, on a réussi à collecter et recycler 3888 tonnes de ce matériel qui a été complètement recyclé.
La Gear Coalition of Atlantic Canada a plusieurs points de collecte dans les quatre provinces de l’Atlantique, ainsi qu’une au Québec. Photo : Fishing Gear Coalition of Atlantic Canada
Les casiers de homard collectés sont traités par l’entreprise canadienne American Iron & Metal (AIM), qui en fait un métal recyclé.
Le cordage est transporté au Danemark et recyclé par l’entreprise PLASTIX A/S. Ils ont été en mesure d’accepter tous les cordages et de les transformer en matière première pour la fabrication d’autres produits en plastique
, explique Sonia Smith.
Comme pour d’autres organismes environnementaux, le financement du programme pour les engins fantômes du MPO pour la Gear Coalition of Atlantic Canada s’est terminé le 31 mars 2024.
Depuis, Sonia Smith tente d’obtenir du financement de la part des différents paliers gouvernementaux pour aider la transition de son programme vers une formule autofinancée. On est un peu laissés en suspens
, dit-elle.
Se disant consciente que le fond du MPO avait une échéance, Sonia Smith croit que le succès de son programme mérite maintenant d’être soutenu.
L’idée, c’est vraiment de créer un système dirigé et soutenu par l’industrie des fruits de mer pour engendrer une économie circulaire
, dit-elle. Ce que ça veut dire, c’est que beaucoup de leur matériel pourra servir à en concevoir d’autres, qui pourront un jour leur revenir.
Pierre Dupuis croit aussi que la mise en place de système pour recycler les engins de pêche qui ne sont plus utilisables est primordiale.
C’est important de continuer, parce que ça bénéficie à tout le monde et toute l’industrie
, dit-il. Un des défis tout de suite, c’est vraiment le cordage. Après sa fin de vie, qu’est ce que tu fais avec? C’est toujours une grosse question.
Un sondage ouvert au public
Le MPO dit maintenant vouloir évaluer les connaissances du public sur les engins de pêche fantômes et recueillir des commentaires sur les plans, mesures et outils futurs visant à prévenir les engins de pêche fantômes et à y remédier.
Ainsi, le 28 octobre, il a lancé un sondage en ligne ouvert pour tous sur la gestion des engins de pêche du Programme d’engins fantômes au pays, accessible jusqu’au 30 novembre.
De son côté, l’UPM dit avoir entamé des discussions avec les pêcheurs pour tenter d’identifier les façons de diminuer la perte des engins. Ils donnent de bonnes idées
, dit Pierre Dupuis.
Majoritairement, les pêcheurs ne perdent pas leurs casiers, sauf si un bateau qui a passé a coupé la boîte et elle n’est plus trouvable
, note Pierre Dupuis. Même avec la technologie d’aujourd’hui, ce n’est pas toujours facile de trouver les engins fantômes dans le fond de la mer.
Au total, 70 % des engins de pêche perdue entre 2020 et 2024 étaient liés à l’industrie du homard et 28 % au crabe. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Jean-Francois Deschênes
Le plus gros défi dans la zone 25, poursuit le directeur d’Homarus, c’est que certains pêcheurs laissent parfois leurs casiers à l’eau, et donc plus d’éducation doit avoir lieu pour que la donne change.
L’UPM continue d’ailleurs ses sorties en mer à la recherche d’engins fantômes. Il y a quelques bateaux qui sont sortis cette semaine pour aller voir avec des sondeuses, voir si on avait des engins fantômes dans les régions où il y a eu des conflits
, note Pierre Dupuis.
Un sommet international en 2025
Des séances d’engagement nationales et régionales sont aussi organisées de juin à décembre 2024 afin de guider le MPO dans l’élaboration de son plan d’action pour les engins fantômes, en plus du sondage public.
Les commentaires, idées et recommandations seront résumés dans un rapport intitulé Ce que nous avons entendu, qui sera rendu public avant le 25 février 2025. À cette date, le 2e sommet international sur l’innovation en matière d’engins de pêche se tiendra pendant deux jours à Moncton, au Nouveau-Brunswick.
Le premier Sommet de l’innovation en matière d’engins de pêche s’est déroulé les 11 et 12 février 2020 à Halifax, en Nouvelle-Écosse. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Maryanne Dupuis
Sonia Smith croit qu’un des points à l’ordre du jour lors de ce sommet international sera les mesures de prévention du MPO face aux changements climatiques.
Nous allons assister à l’apparition de nombreux systèmes météorologiques susceptibles d’entraîner la perte d’engins de pêche pour certains membres de notre industrie, et cela va se produire plus fréquemment
, dit-elle. Le MPO a un plan et travaille sur un grand nombre de dossiers différents pour faire face à cet enjeu.
LA UNE : À ce jour, le Fonds d’engins fantômes du MPO a financé 143 projets pour un total de 58,3 millions $ et permis 3317 voyages en mer. Photo : Facebook : Fishing Gear Coalition of Atlantic Canada
Deux nouveaux rappels visent les Mazda CX-70 et CX-90
Depuis son arrivée sur le marché, le Mazda CX-90 cumule déjà trois rappels de sécurité, selon les informations répertoriées sur le site web de Transports Canada. Alors que ce nouveau VUS du constructeur japonais s’apprête à terminer sa première année modèle sur le marché, deux autres rappels font surface simultanément. Cette fois-ci, le CX-70 est également visé.
Deux rappels pour deux modèles
La première année modèle du Mazda CX-90 n’aura pas été sans accroc. Alors que le VUS à trois rangées de sièges de Mazda comptait déjà trois rappels, deux autres viennent s’ajouter à la liste. Le premier concerne la motorisation. Selon les informations disponibles, certains véhicules pourraient avoir un problème avec le logiciel du module de commande du groupe motopropulseur ainsi qu’avec le module de commande du moteur. Si l’un des deux modules est affecté, cela pourrait faire passer le véhicule en mode de sûreté intégrée, entraînant une perte de puissance aux roues en cours de conduite.
Le second rappel vise certains exemplaires en raison d’un problème logiciel lié à l’onduleur. Si cette problématique se produit, le véhicule pourrait également basculer en mode de sûreté intégrée, entraînant de nouveau une perte de puissance aux roues.
- À LIRE : Transports Canada et Mazda annoncent un rappel du CX-90 2024
- À LIRE : À peine arrivé, le Mazda CX-90 2024 est visé par un rappel
Comme le Mazda CX-90 partage la majorité de ses composants avec le CX-70, ce dernier est également concerné par les deux rappels mentionnés.
Informations limitées
Contrairement à d’autres rappels habituels, ces deux rappels s’adressant aux Mazda CX-70 et CX-90 des années modèles 2024 et 2025 fournissent très peu d’informations détaillées. On ne sait pas si cela concerne uniquement l’une des deux motorisations offertes ou les deux. Seules quelques lignes pour décrire sommairement la problématique figurent en ligne.
Cependant, le site web de Transports Canada indique que les propriétaires de véhicules concernés seront avisés par voie postale et invités à amener leur véhicule chez un concessionnaire. Celui-ci pourra effectuer la mise à jour des logiciels concernés. Cette solution est identique pour les deux rappels de sécurité.
En cas de doute, les propriétaires de l’un des deux modèles visés peuvent également entrer leur numéro d’identification du véhicule (NIV) sur le site web de Mazda Canada, dans la section « rappels. »
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- Consultez tous nos articles et vidéos sur le Mazda CX-90
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Maude d’OD craque et confirme la rumeur à son sujet
Ébranlée, Maude confirme finalement la rumeur qui circule à son sujet au Québec: elle entretenait bel et bien une relation sérieuse avant de rejoindre l’aventure OD Mexique.
Une rumeur qui circulait depuis plusieurs semaines, alimentée par des images où la jeune femme affirmait ne pas vouloir de rapprochement avec son partenaire de jeu, Mamadou, pendant l’aventure.
Plusieurs internautes avaient d’ailleurs suggéré que l’homme qui ferait battre son cœur à l’extérieur de l’émission pourrait être Mathieu Joseph, un joueur de hockey professionnel.
Les deux, qui se suivent mutuellement sur les réseaux sociaux, auraient d’ailleurs assisté au même mariage cet été, vêtus de manière assortie.
Dans ce cas précis, il semblerait que l’expression il n’y a jamais de fumée sans feu soit juste, puisque dans l’épisode du dimanche 10 novembre, Maude, rongée par les remords, a craqué et a fini par tout avouer.
Cependant, elle ne l’a pas avoué au principal intéressé, mais bien à ses amies…
C’est alors que Kristina exprimait ses sentiments pour son conjoint de jeu, Aleksa, que Maude a confié ressentir une connexion similaire à celle des deux tourtereaux d’OD, mais à l’extérieur de l’aventure.
«C’est tough de voir qu’est-ce que tu développes avec Aleksa, parce que moi j’ai développé ça à l’extérieur d’OD. Avant de venir… toi et Aleksa, le genre de coup de foudre, c’est exactement ce que j’avais avant. J’ai rencontré les parents, j’ai rencontré la famille, on s’est dit je t’aime», avoue-t-elle, ajoutant avoir de la retenue dans l’aventure parce qu’elle sait que la fameuse personne regarde l’émission.
«J’ai collé Mam, donc ça me fait peur qu’il pense que…», continue-t-elle, se souciant visiblement plus de ce que peut ressentir sa connexion à l’extérieur que celle qu’elle entretient dans le jeu.
Une connexion qu’elle pourra continuer à explorer, si tel est son désir et celui de l’autre personne puisque dans ce même épisode, Maude et Mamadou plient bagage et quittent l’aventure après une élimination décidée par des votes secrets, qui a d’ailleurs créée bien de la bisbille.
Ayant passé beaucoup de temps ensemble dans la maison des exclus, Mamadou et Maude ont probablement eu l’occasion de mettre cette histoire au clair, et soyons honnêtes, il est fort à parier qu’ils l’ont déjà mise derrière eux.
Sa carrière de mannequinat et son possible désir de devenir influenceuse ont-ils joué un rôle dans sa décision de participer à l’aventure, malgré sa relation déjà bien avancée? On aurait tendance à dire que oui.
Que pensez-vous de cette situation?
Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.
Chanteurs masqués: Des larmes et une performance explosive
La compétition de Chanteurs masqués progresse rapidement, et il reste de moins en moins de célébrités à dévoiler. Ce soir a eu lieu un autre moment haut en couleur pour les adeptes de l’émission en compagnie de Miss Maïs, le Cygne et le Rhino.
Il faut, en premier lieu, souligner qu’une fois de plus, les enquêteurs ont semblé mieux animer la soirée que l’animateur lui-même.
Une soirée cependant marquée par des performances excellentes, notamment avec celle du Rhino, qui nous a offert un numéro spectaculaire sur la chanson Uptown Funk de Bruno Mars. Mais aussi celle du Cygne, dont la voix incroyable a impressionné.
Nous avons également eu droit à un nouvel indice de Jack Spi-rat, son dernier trésor, soit un coffre contenant Marie-Eve Janvier, offrant ainsi une piste sur l’identité du Cygne. Par la suite, la populaire chanteuse a interprété la chanson Changer, en compagnie du joli oiseau blanc.
Un moment qui a ébloui les enquêteurs, et particulièrement Mélissa Bédard, qui a versé des larmes!
Malheureusement, il était temps de faire nos adieux à un ou une masquée, un moment toujours à la fois triste, mais aussi excitant à l’idée de découvrir la personnalité cachée.
Miss Maïs a ainsi révélé son identité, et il s’agissait de Martine St-Clair, une artiste que Stéphane Rousseau et Anouk Meunier avaient d’ailleurs devinée.
L’animateur Sébastien Benoit était d’ailleurs très fébrile en la voyant démasquée, car, et comme il l’a mentionné, elle faisait partie des icônes importantes de sa jeunesse.
Qu’avez-vous pensé de cette soirée?
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Chloée Deblois dans une publicité controversée
Une publicité du gouvernement du Québec mettant en vedette Chloée Deblois est actuellement pointée du doigt, et ce, pour de mauvaises raisons.
Le ministère de l’Éducation a déployé une somme de 1,5M$ afin de lancer une campagne visant à redorer l’image du métier d’enseignant.
Pour atteindre son objectif, plusieurs petites capsules humoristiques mettant en vedette Chloée Deblois, ainsi que des capsules plus sérieuses avec de vrais enseignants, ont été créées et partagées sur les réseaux sociaux, notamment sur YouTube.
Chloé est d’ailleurs un choix de personnalités judicieux si le but de la campagne était de séduire les jeunes adultes, parmi lesquels elle jouit d’une grande popularité.
Le Journal de Montréal rapporte que la créatrice de contenu n’a pas été engagée en tant qu’influenceuse, mais bien en tant que comédienne, selon son agente, Sylvie Savard.
Cependant, l’une des capsules humoristiques n’a pas eu l’effet escompté et semble avoir provoqué des réactions pour des raisons contraires à l’objectif que le ministère cherchait à démontrer avec ses capsules.
Dans la capsule en question, Chloée interroge une enseignante du primaire sur divers sujets, tout en utilisant de petites mains en plastique jaunes, installées sur le bout de ses doigts.
Plusieurs professeurs ont alors partagé leur malaise…
Dans les commentaires, plusieurs ont été forcés d’admettre que le contenu de la publicité était difficile à supporter et à prendre au sérieux.
Le journal de Montréal s’est entretenu avec Richard Bergevin, président de la Fédération des syndicats de l’enseignement, qui aurait affirmé croire que le gouvernement aurait manqué son coup avec cette publicité qu’il considère infantilisante.
Toutefois, malgré cette publicité controversée, le ministère n’aurait pas raté toutes ses capsules, car certaines, comme celle-ci, se révèlent très efficaces.
Que pensez-vous de la publicité?
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Un maire et deux conseillères élus sans opposition à Grosse-Île
Aux îles de la Madeleine, la Municipalité de Grosse-Île n’a pas eu besoin de scrutin pour composer son nouveau conseil municipal. Ce vendredi, Gordon Burke est devenu maire, sans adversaire pour ce poste.
Rachelle Clark et Marlene Boudreau sont élues aux postes de conseillères numéro 1 et 3.
Le poste de conseiller municipal numéro 4 est encore vacant, faute de candidature.
Une chose à la fois
, c’est la façon dont le nouveau maire, Gordon Burke, souhaite appréhender son mandat.
Lui qui est un travailleur de la construction, il explique avoir conscience que le poste de maire n’est pas convoité. Il trouve néanmoins important que quelqu’un représente la Municipalité.
C’est nouveau pour moi, cette position-là.
Les derniers mois plus difficiles
Depuis le mois d’octobre, la Commission municipale du Québec avait pris les rênes de l’administration de Grosse-Île, car le nombre d’élus était insuffisant pour permettre au conseil de siéger.
Plusieurs démissions dans l’assemblée municipale s’étaient succédé ces derniers mois. La Commission municipale avait également mis fin au mandat d’une conseillère.
Entre août et octobre 2024, la mairesse Diana Joy Davies et deux conseillères municipales ont démissionné. (Photo d’archives) Photo : Gracieuseté de Dereck Doherty
La directrice générale de la municipalité de Grosse-Île, Carole Lemieux, témoignait des tensions entre citoyens et élus dans une entrevue avec Radio-Canada en octobre. On ne se la cachera pas, les élus sont mis à mal
, avait-elle signalé.
L’hiver passé, le ministère des Affaires municipales s’était alarmé des tensions récurrentes dans les municipalités de la province.
Dans la loi visant à protéger les élus adoptée en juin, Québec suggère d’abaisser de six à quatre le nombre de conseillers dans les municipalités de moins de 2000 résidents.
En 2025, la municipalité de Grosse-Île, composée de 500 habitants, pourrait être concernée par cette mesure si son quorum devenait à nouveau incomplet.
Le conseil municipal de Grosse-Île, qui a maintenant le quorum, pourra recommencer à prendre des décisions une fois les élus assermentés.
LA UNE : Gordon Burke a été le seul à déposer sa candidature à la mairie, tout comme Rachelle Clark et Marlene Boudreau pour les postes des conseillers numéro 1 et 3. (Photo d’archives). Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose
à partir des informations d’Isabelle Larose
