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La culture d’huîtres en mer aux Îles

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Notre collaboratrice aux Îles de la Madeleine est allée en mer avec un équipage de l’entreprise Les Cultures du Large pour récolter des huîtres élevées en haute mer.
Une levée de cage à huitres en mer.

L’entreprise Les Cultures du Large se spécialise dans l’élevage d’huîtres en haute mer.

 

LA UNE : Les Cultures du Large exploite un parc aquacole de 184 hectares.PHOTO : Radio-Canada / Frédéric Cammarano

RADIO-CANADA / STÉPHANIE BENOÎT

Sur les traces des monstres marins

En cette semaine d’Halloween, les histoires d’horreur abondent! Parmi les sources d’inspiration de légendes effrayantes, l’océan a toujours été une grande muse. Sous la surface miroitante de la mer se cachent des animaux qui se sont, à travers les récits, transformés en démons mythologiques. Partons à la découverte de l’origine des monstres marins les plus fascinants de la planète, qui ont souvent une inspiration bien réelle!

Le Kraken, l’incontournable

Un des monstres océaniques les plus connus, le Kraken, stimule toujours l’imaginaire humain. Son apparence se trouve à mi-chemin entre la pieuvre et le calmar, et son nom seul évoque aujourd’hui des tentacules prodigieux entrainant navires et matelots sous les flots.

Le Kraken a été dépeint très différemment au cours des siècles. À l’origine, il a été représenté comme un crabe ou un homard géant, par un colosse humanoïde ou encore un serpent de mer. Son apparence se serait stabilisée sous sa forme moderne, inspirée du calmar géant, suite au développement de la navigation en haute mer, qui aurait permis une hausse des observations fortuites de cette espèce. Ce céphalopode est, après tout, beaucoup plus présent au large que près des côtes. La taille réelle du calmar géant avoisine en moyenne dix mètres plutôt que les dimensions démesurées ayant fait sa légende.

calmar géantSpécimen de calmar géant© NOAA National Marine Sanctuaries (Gulf of Maine Cod Project)/Courtesy of National Archives

Le serpent de mer, le grand classique

Chez les Vikings, on l’appelle Jörmungandr. Au Japon, on le baptise plutôt Ikuchi. Et les Grecs, eux, le nomment Scylla. Le serpent de mer est présent dans une grande majorité des cultures du monde. Plusieurs origines distinctes pourraient expliquer son omniprésence dans les contes de marins. L’une d’elles proviendrait des baleines. Plus précisément, il s’agirait des pénis de ces animaux qui, lorsque exposés, sont assez longs et peuvent faire penser à des créatures serpentines.

Une autre explication serait, encore une fois, liée aux calmars géants et à d’autres grands céphalopodes. Il n’est pas nécessairement hors du commun de croiser des tentacules déchirés de ces animaux trouvés à la dérive, vestiges d’un repas de cachalots ou de requins. Ces restes, parfois très longs, auraient pu être considérés comme des animaux à part entière par un observateur mal avisé.

Au cours des deux derniers siècles, un nouveau phénomène aurait pu constituer une source «d’observations» de serpents de mer. Au début du 19e siècle, l’industrie de la pêche a déployé une très grande quantité d’engins de pêche dans des zones où ils n’étaient que peu ou pas présents. Il y aurait donc eu une forte augmentation de mammifères marins empêtrés. Des baleines traînant un long filet derrière elles pourraient donc avoir alimenté les histoires de serpents de mer de l’époque.

Enfin, une dernière théorie désigne les poissons de la famille des Regalecidae, qui possèdent un corps long et fuselé, s’apparentant à celui d’un serpent. Ceux-ci sont retrouvés dans tous les océans du monde, quoique plus rares en surface. Avec leur imposant 8 mètres de long et leur apparence sinueuse, il n’est pas surprenant qu’ils constituent environ 5,5% des témoignages historiques de serpents de mer.

Une maquette d’un poisson de la famille des Regalecidae © Udo Schröter (Flickr)

Mégalodon, le redoutable

Grand roi des requins, le mégalodon régnait autrefois en tant que prédateur suprême des océans. Long d’en moyenne 14 mètres, ce redoutable chasseur se nourrissait probablement de petites baleines. Bien que le mégalodon se soit éteinte il y a environ 3 millions d’années, ses dimensions hors normes occupent toujours une place importante dans la culture populaire, inspirant films et séries télévisées.

Des chercheurs croient que la disparition du mégalodon serait d’ailleurs liée au gigantisme des mysticètes. En absence de ce prédateur, les baleines à fanons auraient eu la possibilité d’atteindre les proportions énormes qu’elles possèdent aujourd’hui.

Une mâcheoire de mégalodon retrouvée au Baltimore National Aquarium © Wally Gobetz (Flickr)

Les créatures des abysses, des «monstres» à découvrir

Au plus profond des océans, des créatures vivent là où les rayons du soleil ne peuvent se rendre. Ces animaux vivent dans un habitat aux conditions extrêmes. La pression y est énorme, la température y est basse et l’oxygène s’y fait rare. Les espèces qui vivent dans cet environnement hostile ont poussé l’évolution vers de nouveaux horizons et semblent venir d’un autre monde! Leur apparence étrange aurait-elle le potentiel d’inspirer de nouvelles légendes?

méduse rouge

Crossota sp., une méduse rouge retrouvée au fond de l’océan, au large de l’Alaska © NOAA (Hidden Ocean 2005)

En savoir plus

Naufrages en images de Francesca Piqueras

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De 2011 à 2018, Francesca Piqueras a réalisé huit séries sur les structures marines et les architectures navales abandonnées.

Hautement métaphoriques, ces images sont une réflexion sur notre relation à la mer et un symbole puissant du passage du temps sur les oeuvres humaines.

« De cette rencontre entre un environnement naturel à la beauté éternelle et ces expressions d’une vaine volonté de puissance humaine surgit l’émotion. On est comme aimanté par ces images .» – Lorraine Rossignol, Telerama

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Source : francescapiqueras.com

Ford semble s’être retirée du projet de batteries à Bécancour

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Le géant américain Ford semble se retirer du projet d’usine de cathodes à Bécancour, un développement majeur pour la filière batterie québécoise. C’est du moins ce que dit l’information rapportée par La Presse. Initialement annoncé comme un partenariat avec les sociétés sud-coréennes EcoPro BM et SK On, ce projet de 1,2 milliard de dollars ne serait toutefois pas compromis.

Des preuves de plus en plus tangibles

Le retrait de Ford est de plus en plus évident. Le logo de l’entreprise a disparu du site du projet, et le communiqué de presse initialement présenté n’est plus visible sur le site web du constructeur.

Il faut savoir toutefois que le projet ne reposait pas uniquement sur les épaules de Ford, car les deux entreprises sud-coréennes, EcoPro BM et SK On, sont aussi impliquées. Le principal acteur, EcoPro BM, assure néanmoins que l’usine verra le jour.

Selon l’information rapportée par La Presse, le spécialiste des matériaux de batteries est en processus de négociations avec d’autres potentiels clients afin de remplacer Ford. Le média québécois a tenté d’avoir plus d’information sur les potentiels constructeurs d’automobiles en discussions, mais aucune piste n’a été dévoilée.

La firme National, qui agit comme porte-parole de l’entreprise au Québec, a témoigné à La Presse que « EcoPro poursuit ses négociations avec ses partenaires. Nous vous reviendrons avec plus d’information sous peu. »

Les gouvernements se font rassurants

Les retards et les arrêts de construction annoncés depuis le début du projet ont émaillé le projet ; mais malgré ces obstacles, les gouvernements québécois et canadien continuent de soutenir le projet, espérant attirer d’autres constructeurs d’automobiles pour remplacer Ford.

La date d’ouverture de l’usine a été également retardée d’un moins 1 an, passant de 2026 à 2027. C’est d’ailleurs le chef de la Direction d’EcoPro, Song Ho-jun, qui avait déclaré cette nouvelle lors d’une assemblée annuelle en Corée du Sud. L’échéancier n’est toujours pas connu aux moments d’écrire ces lignes.

L’usine devrait, théoriquement, créer 345 emplois, en plus de produire annuellement 45 000 tonnes de matériaux actifs de cathode. Il faudra attendre le communiqué officiel de Ford à ce sujet avant d’officialiser la disparition du constructeur du projet, et surtout, surveiller, dans un retrait officiel, quel constructeur remplacera le géant américain.

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Hyundai INITIUM, autonomie électrique visée : plus de 650 kilomètres

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Quelques constructeurs continuent de croire aux véhicules électriques alimentés par une pile à combustible à hydrogène, les fameux FCEV (Fuel Cell Electric Vehicle), plutôt que d’emmagasiner l’électricité dans une batterie (VÉB). C’est le cas du constructeur sud-coréen Hyundai qui vient de dévoiler l’INITIUM lors de son événement « Clearly Committed » qui s’est tenu à Séoul en Corée du Sud.

Le Hyundai INITIUM, dont le nom signifie « début » ou « premier », est, pour le moment, un véhicule concept, mais il offre un aperçu d’un futur véhicule de production chez Hyundai qui utilise la technologie de pile à combustible à hydrogène.

Pour les non-initiés, un véhicule à pile à combustible à hydrogène est en réalité un véhicule électrique. Il se distingue par la provenance de son énergie. Au lieu d’utiliser une batterie comme source d’alimentation principale, il utilise une pile à combustible qui produit de l’électricité grâce à une réaction chimique. Hyundai veut, avec le concept INITIUM, démontrer son engagement dans cette technologie qu’elle développe depuis 27 ans.

Une autonomie de 650 kilomètres

Hyundai a voulu se concentrer sur 3 aspects importants lors du développement du concept INITIUM, soit l’autonomie, la performance et un habitacle spacieux. Le constructeur veut en faire un véhicule idéal pour les familles, capable également d’alimenter une maison en électricité grâce à sa technologie V2L. L’INITIUM est conçu pour pouvoir être branché directement à une prise domestique à 220 volts, ce qui le fait passer de moyen de transport à fournisseur d’énergie.

L’un des plus grands avantages des véhicules à pile à combustible à hydrogène, c’est l’autonomie. L’INITIUM dispose de grands réservoirs d’hydrogène afin de maximiser son autonomie, elle est estimée à 650 kilomètres selon le constructeur. Non seulement l’autonomie est-elle au rendez-vous, mais le véhicule sera aussi performant, il pourrait être équipé d’un moteur électrique de 204 chevaux (150 kilowatts).

Un planificateur d’itinéraire

Le principal problème des véhicules à hydrogène en ce moment, c’est le réseau de ravitaillement qui est presque inexistant. Afin de limiter les effets, le véhicule concept propose un planificateur d’itinéraire spécifique qui permet de tenir compte des bornes de ravitaillement. Il faudra certainement que le réseau se développe un peu plus afin de hausser la pertinence d’une telle application.

En termes de style, le Hyundai INITIUM introduit également un nouveau langage de style baptisé « Art of Steel ».

« Notre défi a débuté dès le stade de la fabrication où nous avons repoussé la formabilité de l’acier à l’extrême afin de créer une forme d’art », a déclaré M. Lee. « Avec le prototype INITIUM, nous avons créé un design davantage similaire à celui d’un VUS, à la fois solide et sécuritaire, qui reflète notre dévouement envers nos clients grâce à un design centré sur le client ». Ce nouveau design fera partie intégrante du futur modèle de production.

Hyundai mentionne que la commercialisation de son prochain véhicule à pile à combustible à hydrogène débutera au 1er semestre de 2025. Quant au concept INITIUM, il sera présenté pour une première fois en Amérique du Nord dans le cadre du Salon de l’auto de Los Angeles qui se déroulera un peu plus tard en novembre.

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Mandat de grève au CHSLD Résidence Plaisance des Îles

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Les employés syndiqués du CHSLD des Îles ont voté à 93 % en faveur d’un mandat de cinq jours de grève à utiliser au moment jugé opportun.

Selon le Syndicat de la Résidence Plaisance des Îles-CSN, les travailleurs et travailleuses sont toujours sans convention collective, près de deux ans après le début des négociations.

Les membres ont participé massivement aux assemblées générales dans une proportion de 75 % et le résultat du vote est catégorique. Notre monde attendait ce vote avec impatience devant les nombreuses promesses non tenues de la part de l’employeur, en particulier l’enjeu de la rétroactivité salariale pour la période du 1er avril 2023 au 31 mars 2024, explique la présidente du syndicat, Monica Cormier-Boudreau.

Lors d’une rencontre avec la partie patronale, on nous avait confirmé que la rétroactivité de 6 % allait être versée aux employés et finalement, ils ont fait un virage à 180 degrés en nous informant que les fonds n’étaient pas disponibles, ajoute Mme Cormier-Boudreau.

Mardi, le CHSLD des Îles a été placé sous administration provisoire par le ministère de la Santé, en raison de problèmes financiers.

Le syndicat espère que l’intervention gouvernementale permettra un retour à la table des négociations et un dénouement du dossier.

Plus de 90 % des articles de la convention collective ont déjà été réglés, mais il reste encore un bout de chemin à faire pour en arriver à une entente globale, indique Monica Cormier-Boudreau.

Avec l’arrivée du Ministère et du CISSS des Îles dans le dossier, il y a certainement une occasion à saisir pour conclure une première convention collective.

Selon le syndicat, il n’y a pas eu de négociations depuis août.

 

LA UNE : Selon le syndicat, il n’y a pas eu de négociations depuis août. (Photo d’archives). Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

 

Jeannine BOURQUE (1932-2024)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 28 octobre 2024, de madame Jeannine Bourque. Elle était âgée de 91 ans et résidente de Fatima, aux Îles-de-la-Madeleine.

Elle était l’épouse de feu Emmanuel Gagnon, la conjointe de monsieur Léo Poirier, la mère de Gilles, Guy, Lise (Michel) et Michel. Elle avait sept petits-enfants : Martine, Florence, Pascale, Sabrina, Alexandra, Frédérick et Jérémy, et douze arrière-petits-enfants : Keli-Anne, Samuel, Maélie, Elliot, Benjamin, Abigail, Eloi, Laura, Alie, Matt. Stella et Manu. Elle était la sœur de feu Clary, feu Alex et feu Rita. Elle laisse aussi dans le deuil ses beaux-frères, belles-sœurs, neveux, nièces, parents et amis.

Les funérailles de madame Jeannine Bourque seront célébrées le mercredi 6 novembre 2024, à 14h, à l’église Notre-Dame du Rosaire de Fatima.

Vos marques de sympathie peuvent se traduire par un don à la Fondation Santé de l’Archipel pour le Fonds Eudore-LaBrie.

Semaine de l’horreur : Psychose et Massacre à la tronçonneuse

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Saviez-vous que le terrifiant Norman Bates de Psychose et Leatherface du Massacre à la tronçonneuse ont été inspirés par Ed Gein, un tueur qui déterrait des cadavres pour créer des objets macabres ?

Dans le cadre de la semaine de l’horreur, nous explorerons 15 films d’horreur ancrés dans des faits authentiques et des anecdotes effrayantes, pour une immersion glaçante dans des histoires qui ont réellement existé. Êtes-vous prêt à découvrir la fine frontière entre fiction et réalité ?

 

«Psychose et Massacre à la tronçonneuse… Ed Gein, un tueur en série ayant inspiré de nombreux films, a choqué les autorités par sa collection macabre de crânes et d’objets fabriqués à partir de restes humains, récoltés après avoir déterré des corps dans des cimetières.»

Le cinéma d’horreur, avec ses récits surnaturels et ses scènes macabres, sait comment captiver et effrayer le spectateur. Mais que se passe-t-il lorsque l’imaginaire cède la place à des événements réels ? Certains des films d’horreur les plus glaçants ne sont pas uniquement des fictions. Ils sont inspirés d’histoires vraies, d’événements terrifiants et de personnes réelles. De la poupée maudite à la possession démoniaque, en passant par des tueurs en série et des phénomènes paranormaux, ces films captivants nous plongent dans une réalité qui dépasse parfois la fiction.

Ces films d’horreur, basés sur des faits réels, montrent à quel point la réalité peut parfois dépasser la fiction. Leur ancrage dans des événements authentiques leur confère une dimension effrayante supplémentaire, captivant le public au-delà du simple divertissement.

Top-5 : Les partisans des Kings célèbrent la victoire des Dodgers en Série mondiale

Hier soir, il y avait six matchs au programme.

La soirée de hockey était peut-être dans l’ombre de la Série mondiale, mais on a eu droit à du beau spectacle, tout de même.

Voici les résultats et les faits saillants :

1. Les partisans des Kings célèbrent la victoire des Dodgers en Série mondiale

Hier soir, les Dodgers ont gagné leur quatrième match de la Série mondiale face aux Yankees par la marque de 7-6.

Les partisans au match des Kings ont vu passer le résultat et ont commencé à célébrer.

Pour ce qui est du match entre les Kings et les Golden Knights, c’est finalement l’équipe hôte qui a gagné par la marque de 6-3.

Dans la victoire, Brandt Clarke s’est illustré avec une superbe mention d’aide.

Parmi les défenseurs de la LNH, il est au quatrième rang pour les points.

Quant à Anze Kopitar, il a récolté sa 800e passe en carrière.

2. Jack et Luke écrasent Quinn

À Vancouver, les frères Hughes s’affrontaient.

Luke et Jack du côté du New Jersey et Quinn du côté des Canucks.

Victoire des Devils par la marque de 6-0.

Dans le gain, Jack a marqué un but.

Dans la rencontre, il est le seul des frères à avoir récolté des points.

Il a terminé avec une mention d’aide supplémentaire.

Mais le vrai héros de ce match, c’est Jacob Markstrom. Jeu blanc de 20 arrêts.

3. Un premier but pour Maveric Lamoureux ; un 1000e match pour Mikael Backlund

Dans le match entre les Flames et Utah, il s’agissait du 1000e match en carrière pour Mikael Backlund.

Il a eu droit à un tour de glace en solo.

Mais son beau plateau a été ruiné par une défaite écrasante par la marque de 5-1.

Dans le gain, le Québécois Maveric Lamoureux a marqué son premier but dans la LNH.

Ses parents sont sûrement en train de frencher dans un bar dans l’Utah, présentement…

Outre Lamoureux, Mikhail Sergachev a aussi trouvé le fond du filet.

Le Russe a terminé la rencontre avec un but et deux passes.

4. Trop facile pour Nikita Kucherov

La LNH est clairement trop facile pour Nikita Kucherov.

Regardez comment il s’est moqué de l’Avalanche hier :

Victoire de 5-2. Il s’agissait d’une troisième victoire consécutive pour la troupe de Jon Cooper.

Kucherov a terminé le match avec un but et deux passes.

Quant à Andrei Vasilevskiy, il a stoppé 33 des 35 tirs dirigés vers lui. Il n’est qu’à une petite victoire du plateau des 300.

5. Kyle Connor est en feu

Il y a Toronto il y a quelques jours, les Jets ont perdu leur premier match de la saison.

Winnipeg est toutefois de retour dans la colonne des victoires. Hier, le club a vaincu les Wings par la marque de 6-2.

Dans le gain, Kyle Connor a été le héros. Un but et deux passes : il est en feu.

Au cours des 10 matchs de suite avec au moins un point, il en a récolté 17.

Dans toute la LNH, il est au cinquième rang au chapitre des pointeurs.

Seuls Mark Stone, Cale Makar, Kirill Kaprizov et Nathan MacKinnon ont plus de points que lui.

Les coéquipiers de Connor, Neal Pionk (deux buts) et Gabriel Vilardi (un but et une passe), se sont aussi démarqués.

Prolongation

– Nico Hischier, le premier à 10 buts.

– Drôle de séquence.

– Une bagarre de poids lourds.

– Jeu blanc de 28 arrêts pour Elvis Merzlikins.

– Les meilleurs pointeurs de la veille.

(Crédit: NHL.com )

– Sept matchs au programme ce soir.

(Crédit: Google )

 

Au tour de Pascal Vincent de parler des rappels de Laval à Montréal

Ça va bien pour le Rocket de Laval.

Le club-école du Canadien, qui a gagné hier soir au compte de 3-2 contre les Comets de l’Utica (Riley Kidney, Jared Davidson et Florian Xhekaj ont marqué), a présentement une fiche de six victoires et d’un revers en sept matchs. Ça va bien, que je dis.

Visiblement, sous Pascal Vincent, les gars sont capables de gagner des matchs. Tant mieux!

Ce qui est intéressant, c’est que plusieurs joueurs se placent le nez dans la vitrine afin de se mériter, éventuellement, un rappel avec le Canadien. Et comme il pourrait y avoir de la place en haut…

À ce sujet, sans qu’il ne soit questionné sur les rappels, Pascal Vincent a jasé aux médias de ce sujet-là après la rencontre d’hier. Et ce qu’il avait à dire est assez intéressant.

En gros, on comprend que les discussions ont lieu pour amener du sang neuf à Montréal.

Est-ce que cela tourne autour d’Alex Barré-Boulet et de Joshua Roy, qui seraient mes choix? Est-ce que cela tourne autour de Lucas Condotta ou de Luke Tuch, par exemple? Qui sait.

Évidemment, il est facile de parler de la possibilité de rappeler des gars à l’attaque puisque c’est là qu’il semble y avoir de la place. Mais on peut aussi se demander si ce n’est pas ailleurs que le CH regarde.

Est-ce que le club voudra amener Gustav Lindstrom, William Trudeau ou Adam Engstrom en haut?

Est-ce que le Canadien, qui aime Jakub Dobes, voudra donner une chance au gardien de se faire valoir à court terme… tout en envoyant un message aux gardiens actuellement en place? Qui sait.

Mais ce que je sais, c’est que tout doit être sur la table. Et s’il faut rappeler des gars de Laval et utiliser le ballottage pour leur faire de la place, ça doit être une possibilité à évaluer.

En rafale

– En effet.

– À lire.

– Les Dodgers méritent leur victoire.

– Avis aux intéressés.

Salebarbes remporte le Félix de l’album country de l’année avec «À boire deboutte»

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Le groupe Salebarbes s’est illustré au Premier Gala de l’ADISQ en remportant le prestigieux Félix de l’« Album de l’année – Country » pour À boire deboutte.

Cette victoire, au cœur d’une soirée marquée par 47 récompenses, souligne l’empreinte du groupe sur la scène musicale québécoise.

Animé par Sarahmée, le gala au MTELUS a également offert des performances mémorables de Dominique Fils-Aimé, Ludovick Bourgeois et plusieurs autres, dans une célébration festive de la diversité musicale d’ici.

Source : ADISQ