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Des travaux bientôt sur le chemin du Gros-Cap

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L’entreprise madelinienne Larebel se chargera des travaux de protection contre l’érosion du chemin du Gros-Cap aux Îles-de-la-Madeleine.

Différents travaux d’enrochement seront réalisés sur deux tronçons de cette route, à la suite d’analyses faites par le ministère de la Sécurité publique cette année.

Une carte montre une côté, vue de haut, morcelée par l'érosion, avec des bandes de couleurs selon les niveaux de risque et trois résidences en rouge exposé à un niveau extrême.

La ministère de la Sécurité publique a analysé le risque d’érosion d’une partie du chemin du Gros-Cap. La bande violette représente la zone de risque extrême dans un horizon de 30 ans. Les deux tronçons de route en rouge seront protégés. Photo : Gouvernement du Québec/Municipalité des Îles-de-la-Madeleine

Le conseil municipal des Îles-de-la-Madeleine a octroyé le contrat mardi soir en séance extraordinaire. Ce projet est financé en totalité par le Cadre de prévention des sinistres du gouvernement du Québec.

Pour que les travaux soient conformes à la convention d’entente, ils doivent se réaliser pour le 31 janvier 2025, donc ça devenait assez [pressant] d’octroyer le contrat et c’est pourquoi on l’a fait dans une séance extraordinaire, explique le maire des Îles-de-la-Madeleine, Antonin Valiquette.

Antonin Valiquette photographié devant l'hôtel de ville.

Antonin Valiquette est maire des Îles-de-la-Madeleine. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

L’entreprise Larebel était la seule soumissionnaire pour cette deuxième ronde d’appel d’offres. Lors d’une résolution à la dernière séance ordinaire, le 8 octobre dernier, on a dû refuser les deux soumissions reçues, parce qu’elles étaient non conformes en raison d’une exigence technique du devis d’appel d’offres, précise le maire.

L’entrepreneur réalisera les travaux au coût d’environ 3,4 millions de dollars, selon M. Valiquette.

Des autorisations gouvernementales obligatoires doivent encore être délivrées avant le début des travaux, qui sont imminents.

LA UNE : Deux tronçons du chemin sont considérés à risque extrême, où il est probable que l’érosion affecte la route au cours des 30 prochaines années. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose.

Retour du Ivan-Quinn encore reporté : une situation qui « horripile »

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Alors qu’il devait reprendre du service le 19 octobre puis le 4 novembre, le NM Ivan-Quinn ne sera pas de retour pour assurer la desserte entre l’île d’Entrée et Cap-aux-Meules avant le 18 novembre. Des élus madelinots déplorent la situation, notamment le député péquiste Joël Arseneau, qui accuse la Société des traversiers du Québec (STQ) d’improviser.

Ce deuxième report est attribuable, selon la Société des traversiers du Québec (STQ), à des enjeux de moteur, toujours d’actualité.

Le NM Béatrice-Hubert, géré par une entreprise privée, sera utilisé comme navire de relève pour le transport de passagers. Dans une alerte envoyée aux résidents de l’île d’Entrée, la STQ précise que le NM JC Lapierre, qui appartient à la CTMA, sera quant à lui utilisé pour le transport de biens et d’équipement essentiels en fonction de la demande et des conditions météorologiques.

Un navire de petite taille, en mer avec quelques passagers à bord. En arrière-plan : la rive et des falaises de grès rouge.

Pour des raisons de sécurité et de capacité du navire, seules les petites marchandises sont acceptées à bord du NM Béatrice Hubert. (Photo d’archives) Photo : GRACIEUSETÉ/EXCURSIONS EN MER

Le JC Lapierre n’a toutefois été utilisé qu’une seule fois entre le 1er septembre, date du début de la cale sèche du NM Ivan Quinn, et le 19 octobre, en raison de travaux d’entretien.

Le premier report de l’entrée en service du NM Ivan-Quinn avait suscité de l’insatisfaction à l’île d’Entrée puisque le NM Béatrice-Hubert ne peut transporter de véhicules. Les usagers n’auront donc pas accès à un service équivalent à celui du Ivan-Quinn pour une période totalisant 11 semaines.

Je pense qu’il y a des explications à donner et surtout, il faut absolument s’assurer qu’il y ait un plan B, un plan de relève, pour le transport non seulement de marchandises, mais aussi de véhicules.

Une citation de Antonin Valiquette, maire des Îles-de-la-Madeleine et président de la Communauté maritime des Îles

Des arrêts techniques qui se prolongent comme ça, au-dessus d’un mois ou d’un mois et demi, ça commence à être très dur pour la population, déplore le maire Valiquette.

Antonin Valiquette photographié à l'extérieur.

Antonin Valiquette a été informé mercredi de cette situation par Radio-Canada. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

La prolongation de la cale sèche du NM Ivan-Quinn a pour conséquence de repousser la collecte des matières résiduelles sur l’île d’Entrée. Ce service n’a pas pu être offert depuis le début septembre puisque le camion-benne ne peut se rendre sur place. Des bacs supplémentaires ont été fournis aux résidents et un site de transbordement a été prévu.

Encore là, on est tributaires de la planification des travaux qui doivent être réalisés sur le Ivan-Quinn. C’est sûr que ça pose [problème], lance Antonin Valiquette.

S’il précise qu’il sera néanmoins possible d’aller chercher les matières résiduelles sur place ultérieurement, l’élu est d’avis que les citoyens, qui doivent eux-mêmes aller porter leurs bacs au site de transbordement pour l’instant, doivent composer avec un désagrément non négligeable.

Joël Arseneau ne décolère pas

Manque de rigueurirrespectgrand n’importe quoi : le député des Îles-de-la-Madeleine ne mâche pas ses mots lorsqu’appelé à commenter la gestion, par la STQ, de la desserte de l’île d’Entrée. Pour Joël Arseneau, ce nouveau report prouve que l’organisation considère ce service comme facultatif et qu’elle n’est pas en mesure de respecter ses engagements.

Joël Arseneau dans une mêlée de presse.

Le député du Parti québécois Joël Arseneau croit qu’aux yeux de la STQ, les gens de l’île d’Entrée sont des citoyens de seconde zone. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Sylvain Roy Roussel

C’est vraiment scandaleux, le fait qu’on ne puisse pas planifier un arrêt aux cinq ans et respecter les échéanciers qui ont été fixés. Je pense que c’est un manque de considération flagrant, un manque de fiabilité, d’organisation et de responsabilité, décrie le député péquiste. J’ai honte de la Société des traversiers du Québec, renchérit-il.

À tous égards, la Société des traversiers du Québec se comporte comme une espèce de société d’État voyou qui se moque un peu de la population qu’elle doit desservir. Moi, ça m’horripile, ça me choque!

Une citation de Joël Arseneau, député des Îles-de-la-Madeleine

M. Arseneau dit comprendre que les citoyens de l’île d’Entrée se sentent abandonnés et estime que l’état québécois, à travers la STQ, a bousillé l’automne de nombreuses personnes. Ça n’en restera pas là, promet le politicien, qui ne s’avance néanmoins pas sur les actions qu’il compte prendre.

Le député péquiste estime que la STQ doit des excuses à la population de l’île d’Entrée et que l’organisation doit à tout prix s’assurer de corriger le tir pour éviter qu’une telle situation survienne de nouveau.

La Société des traversiers du Québec n’a pas souhaité accorder d’entrevue à Radio-Canada.

 

LA UNE : Le traversier Ivan-Quinn est en cale sèche depuis le 1er septembre. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Jean-François Deschênes

 

Semaine de l’horreur : Scream

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Saviez-vous que le célèbre tueur masqué de Scream, Ghostface, a été inspiré par Danny Rolling, un véritable tueur en série qui a semé la terreur en Floride en 1990 ?

Dans le cadre de la semaine de l’horreur, nous explorerons 15 films d’horreur ancrés dans des faits authentiques et des anecdotes effrayantes, pour une immersion glaçante dans des histoires qui ont réellement existé. Êtes-vous prêt à découvrir la fine frontière entre fiction et réalité ?

 

«Ghostface dans Scream est inspiré par Danny Rolling, un tueur en série qui a terrorisé Gainesville en 1990. Il attribuait ses crimes à une personnalité alternative, bien que les experts soient convaincus de sa lucidité.»

Le cinéma d’horreur, avec ses récits surnaturels et ses scènes macabres, sait comment captiver et effrayer le spectateur. Mais que se passe-t-il lorsque l’imaginaire cède la place à des événements réels ? Certains des films d’horreur les plus glaçants ne sont pas uniquement des fictions. Ils sont inspirés d’histoires vraies, d’événements terrifiants et de personnes réelles. De la poupée maudite à la possession démoniaque, en passant par des tueurs en série et des phénomènes paranormaux, ces films captivants nous plongent dans une réalité qui dépasse parfois la fiction.

Ces films d’horreur, basés sur des faits réels, montrent à quel point la réalité peut parfois dépasser la fiction. Leur ancrage dans des événements authentiques leur confère une dimension effrayante supplémentaire, captivant le public au-delà du simple divertissement.

Volkswagen serait sur le point d'abolir des dizaines de milliers d’emplois

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Le géant automobile allemand Volkswagen traverse une crise sans précédent qui pourrait entraîner la suppression de dizaines de milliers d’emplois et la fermeture de plusieurs usines en Allemagne. C’est ce qu’a annoncé aujourd’hui le comité d’entreprise du fabricant qui représente les travailleurs. Selon les informations véhiculées, un plan de restructuration radicale serait sur le point d’être présenté, et ce dernier pourrait marquer un tournant dans l’histoire du groupe.

Des coupures drastiques

Selon les informations transmises par la direction, Volkswagen envisagerait de fermer au moins trois sites de production en Allemagne et de réduire les effectifs dans les autres usines du pays. Ces solutions drastiques s’accompagneraient d’une baisse de 10 % des salaires et d’un gel des augmentations salariales pour les deux prochaines années.

Le comité d’entreprise parle d’une action radicale sans précédent pour le groupe. L’objectif est d’économiser 4 milliards d’euros, selon les informations rapportées par le journal économique Handelsblatt. La nouvelle a suscité une vive opposition du comité d’entreprise et des syndicats. La présidente du conseil d’entreprise, Daniela Cavallo, a dénoncé cette « saignée » des sites industriels en Allemagne.

Le gouvernement allemand, par la voix d’un de ses représentants médiatiques du chancelier Olaf Scholz, a appelé à la préservation des emplois et a mis en garde contre les conséquences sociales de ces restructurations. Toutefois, le gouvernement attend de connaître les détails précis du plan de Volkswagen avant de prendre position. Le gouvernement a également ajouté que les travailleurs et le pays ne devraient pas payer pour les mauvaises décisions prises par la compagnie.

Les raisons de cette crise

Volkswagen a subi une baisse de la demande dans de nombreuses régions du monde, surtout avec les véhicules thermiques, notamment en Chine, son marché principal. L’entreprise a également connu plusieurs reculs dans la vente de ses véhicules électriques, dont les ventes patinent depuis des mois. La crise économique mondiale, marquée par une inflation élevée et une récession imminente, aggrave encore la situation du groupe.

Des dizaines de milliers de postes sont donc menacés par cette nouvelle. Face à la récession et la remontée du chômage, l’économie allemande bat de l’aile, et cette mesure inquiète plusieurs parties, dont le syndicat IG Metall. L’organisation, qui représente les salariés de l’industrie métallurgique, a d’ores et déjà appelé à la mobilisation pour défendre les emplois et les salaires.

Les prochains mois s’annoncent déterminants pour l’avenir de Volkswagen. Les négociations entre la direction et les syndicats vont être particulièrement difficiles. Les salariés, les politiques et les actionnaires attendent avec impatience de connaître les décisions finales du groupe.

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Canelo : Un court métrage touchant célèbre la fidélité d’un chien à son maître

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Les créateurs d’Animagic Studios viennent de dévoiler un court métrage poignant, inspiré d’une histoire vraie, qui met en lumière la fidélité exceptionnelle entre un chien et son maître. Ce film de quatre minutes raconte l’histoire de Canelo, un chien qui accompagnait chaque jour son maître sans-abri à ses séances de dialyse à l’hôpital de Cadix, en Espagne.

Canelo attendait patiemment à l’entrée de l’hôpital, comme à son habitude. Mais un jour, son maître n’est jamais revenu. Fidèle jusqu’au bout, le chien est resté sur place pendant des mois, attendant son retour. Malheureusement, Canelo a fini par être renversé accidentellement par une voiture. Son histoire a marqué les habitants de Cadix, qui ont érigé une plaque commémorative en son honneur près de l’hôpital.

Le court métrage, déjà salué pour son émotion et sa sensibilité, rend hommage à cette loyauté inébranlable. Vous pouvez découvrir cette œuvre émouvante sur le site officiel d’Animagic Studios, où d’autres créations tout aussi remarquables sont également disponibles.

 

 

LA UNE : Crédits : Animagic Studios
Source / Inspiration : CREAPILLS

Légende : Le naufrage du Granicus

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Autre cas de littérature inspiré par ces nombreux naufrages à Anticosti : le livre Ice-Bound or the Anticosti Crusoes d’Edward Roper. Il a d’abord été publié à Londres en 1902. Il y a eu une édition canadienne à Toronto en 1909. L’histoire raconte les aventures de jeunes immigrants britanniques qui profitent de l’échouement de leur bâtiment pour échapper à un capitaine les ayant séquestrés.

Printemps 1829 : Le naufrage du Granicus reste une triste histoire de massacre et de cannibalisme ancrée dans les légendes d’Anticosti. Elle a été racontée à Placide Vigneau1 par Basile Giasson, décédé à Natashquan en 1873 à l’âge de 93 ans. Le récit a également été relaté par Mgr Charles Guay dans Lettres sur l’île d’Anticosti2.

Au printemps 1829, le capitaine Giasson et son équipage étaient partis des Îles-de-la-Madeleine pour faire la chasse aux loups marins à Anticosti. Étant sur le point de manquer d’eau fraîche, il a décidé d’aller au poste de secours tenu par Olivier Godin à la Baie-duRenard. Il ignorait alors que Godin avait quitté le poste et que toutes les provisions destinées aux naufragés avaient été rapatriées à Québec. Sur le sentier conduisant à la maison, à l’intérieur de celle-ci et dans un hangar à proximité, ils découvrirent de nombreux corps mutilés. Dans une chambre, ils trouvèrent le cadavre d’un géant « mulâtre » à côté duquel un grand chaudron contenait encore des restes humains. Il semblait bien que ce grand gaillard avait assassiné tous ces pauvres gens et s’en était nourri.

En parcourant le carnet de bord du bateau, la dernière inscription du capitaine remontait à peine à quelques jours précédant le drame. L’équipage s’occupa de creuser une fosse commune et y transporta les restes de ces pauvres naufragés.

En 1849, Charles LEVER, un auteur de nouvelles irlandais bien populaire, aidé des illustrations de Hablot K. BROWN, a en quelque sorte récupéré ce personnage dans son récit intitulé The Confessions of Con Gregan.

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Placide Vigneau, vers 1920. PHOTO BANQ SEPT-ÎLES (P19, S1, SS1, P620). PHOTOGRAPHE NON IDENTIFIÉ.

 

: VIGNEAU, Placide, Le massacre de l’Anticosti – 1828 et Naufrage de 31 goélettes sur l’île Verte (Greenly Island) 1856, Document manuscrit conservé par la famille Gallienne, 11 pages.

2 : Mgr Charles Guay, Lettres sur l’île d’Anticosti, C.O. Beauchemin & Fils, Libraires-Imprimeurs, Montréal 1902, p. 131-140

Source : Le Bulletin des amis des phares – Hiver 2017


Sur le même sujet : Le Devoir : Un cas de cannibalisme

 

Vous pouvez maintenant acheter le surcompresseur du Dodge Demon 170

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En marge du SEMA 2024 qui se tiendra du 5 au 8 novembre, les constructeurs ont commencé à dévoiler les modèles et les nouveautés qu’ils y mettront en vedette. Alors que Mopar, la division de pièces et d’accessoires de Stellantis s’apprête à vendre des ensembles de conversion électrique pour ses « muscle cars », la division de performance de Dodge a décidé de son côté de commercialiser de nouveaux blocs-moteurs, mais surtout, des ensembles de compresseurs volumétriques.

Le plus intéressant, c’est que ce n’est pas n’importe lequel des compresseurs volumétriques, il s’agit de celui qui équipe la Dodge Demon 170, rien de moins. Ce compresseur volumétrique, baptisé Supercharger, peut être installé sur les moteurs HEMI V8 de 6,2 litres.

Baptisé Direct Connection 3.0L E85, l’ensemble de compression est issu du développement de la Dodge Demon 170, ce qui signifie qu’il peut atteindre une puissance de 1 025 chevaux et assurer un couple de 950 livres-pieds. Ce compresseur de 3 litres injecte un flux d’air supérieur de 30 % par rapport au compresseur de 2,7 litres qu’on retrouve sur le moteur Hellcat Redeye. Celui du Dodge Demon produit une pression qui va jusqu’à 21 PSI en suralimentation et il est également compatible avec les carburants flexibles.

Tout juste sous les 12 000 $

Cet ensemble permet ainsi à tous de transformer leur moteur Hellcrate Redeye équipé du moteur HEMI V8 de 6,2 litres en un monstre de plus de 1 000 chevaux. L’ensemble est proposé au prix de 11 995 $ US et il comprend tous les éléments suivants :

  • Compresseur volumétrique IHI à vis jumelées Direct Connection de 3 litres
  • Poulie de 3,02 pouces de diamètre offrant 14 % de surmultiplication par rapport au Hellcat Redeye
  • Corps de papillon (throtlle body) de 105 millimètres
  • Injecteurs à haut débit capables de fournir 620 litres par heure
  • Capteur d’éthanol
  • Courroie d’entraînement Gates pour le compresseur
  • Tous les joints et les accessoires nécessaires à l’installation
  • Instructions d’installation

Il est aussi possible de vous procurer deux autres ensembles de surcompression un peu moins puissants, mais beaucoup plus abordables. L’ensemble 2,4 litres permet d’aller chercher une puissance de 717 chevaux et se détaille au prix de 1 095 $ US.

Le dernier ensemble de 2,7 litres peut, quant à lui, hausser la puissance à 807 chevaux ; il est vendu au prix de 1 295 $ US. Les deux ensembles peuvent être ajoutés au moteur V8 HEMI de 6,2 litres.

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55 % des Québécois sont en désaccord avec l’interdiction de vendre des véhicules neufs à combustion après 2035

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Le secteur de l’automobile québécois est touché, depuis déjà quelques années, par plusieurs perturbations. Les nouvelles tendances et les réglementations transforment le paysage automobile. Pour bien comprendre comment les Québécois naviguent dans ses changements, Cogeco Media et Synopsis Recherche ont sondé les automobilistes. Les résultats sont éloquents et démontrent qu’une polarisation existe dans la population.

Selon vous, les gouvernements et les administrations mettent-ils trop, juste assez ou pas assez d’argent dans les infrastructures ou les moyens de transport suivants?

Le sondage Cogeco Media et Synopsis Recherche a mis en lumière la perception des Québécois sur la quantité d’argent dépensé par les gouvernements et les administrations dans les infrastructures et les moyens de transport au Québec. Les résultats montrent que 46 % des Québécois jugent que trop d’argent est dépensé sur les pistes cyclables, et que 62 % d’entre eux trouvent qu’il n’y a pas suffisamment d’argent investi sur les routes en général (les autoroutes non comprises).

Dans quelle mesure êtes-vous satisfait des aspects suivants reliés au transport dans votre ville, votre municipalité ou votre région?

L’étude s’est aussi intéressée à la satisfaction des Québécois à l’égard des aspects liés au transport dans leur ville, leur municipalité ou leur région. Même si la population estime que trop d’argent est investi dans les pistes cyclables, les Québécois sont plutôt satisfaits du réseau cyclable qui est actuellement développé (61 %). Les transports en commun sont, quant à eux, plus partagés, avec 46 % de la population satisfaite contre 38 % insatisfaite. Pour ce qui est de l’état du réseau routier, les données ne mentent pas, 63 % des automobilistes jugent que le réseau ne répond pas à leurs attentes.

Dans combien d’années pensez-vous changer votre automobile?

Cogeco Media et Synopsis Recherche se sont aussi penchées sur le nombre d’années avant que les Québécois remplacent leur voiture. Les résultats mettent en lumière que 35 % de la population ne sait pas quand elle prévoit changer de véhicule, et que plus de 25 % désireraient changer d’ici 4 ans ou plus.

Quel type de véhicule pensez-vous acheter?

Il n’est pas étonnant de lire que 41 % de la population québécoise envisagent l’achat d’un VUS. En effet, selon ce type de véhicule par lequel les Québécois envisagent de remplacer leur véhicule actuel, les véhicules utilitaires sport dominent. En additionnant toutefois les voitures sous-compactes, compactes et berlines, plus de 34 % de la population aimeraient posséder une voiture à la place d’un VUS, ce qui démontre encore l’amour des Québécois pour ce type de véhicules.

Ce véhicule sera-t-il à combustion (à essence ou diesel) ou électrique?

L’étude Synopsis Recherche pour le compte de Cogeco Media est allé un peu plus loin dans la question en demandant par quel mode de propulsion les Québécois envisagent de remplacer leur véhicule actuel. Les moteurs à combustion demeurent au-dessus de la liste avec 40 %, mais plus de 29 % des répondants aimeraient avoir un type de véhicule hybride et 21 % complètement électriques. En additionnant les deux, c’est néanmoins 50 % de la population qui remplacerait son véhicule actuel par un véhicule électrifié.

En 2035, les seuls véhicules autorisés à être vendus au Québec seront les véhicules électriques. La vente de véhicules neufs à combustion ou hybrides sera interdite. Êtes-vous en accord ou en désaccord avec cette mesure?

Cette épineuse question a permis au sondage de mettre en lumière que 34 % de la population est tout à fait en désaccord avec la mesure gouvernementale annoncée. En plus des gens plutôt en désaccord, c’est 55 % de la population qui est défavorable à la réglementation.

Actuellement, au Québec, la conduite avec les facultés affaiblies par l’alcool constitue une infraction criminelle. La limite est établie à 80 milligrammes d’alcool par 100 millilitres de sang (0,08), ce qui correspond, en moyenne, à 4 consommations pour un homme et 3 pour une femme en une heure. À votre avis, devrait-on abaisser, augmenter ou maintenir la limite actuelle?

50 % des Québécois désirent conserver la limite actuelle en termes de consommation d’alcool permise au volant. Le sondage pointe aussi que 37 % de la population aimerait faire diminuer cette limite, tandis que 8 % préféreraient l’augmenter.

Méthodologie

Cette étude a été réalisée auprès de 1 000 adultes québécois entre le 24 et le 28 octobre 2024. Elle présente un portrait représentatif des opinions des Québécois sur les habitudes automobiles. Les données ont été collectées en ligne auprès de panels représentatifs de la population québécoise, en français et en anglais. Afin d’assurer la représentativité des résultats, les données ont été pondérées en fonction de variables sociodémographiques clés.

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Une murale sur l’histoire acadienne dévoilée à Summerside

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Le vendredi 25 octobre, des membres de la communauté acadienne et francophone ont assisté au dévoilement d’une reproduction d’un tableau de Claude Picard intitulé L’ironie de l’histoire, Angleterre, Première nation saluant le drapeau acadien.

L’œuvre est installée sur le bâtiment d’une entreprise de Summerside. Honorine Ngountchoup s’est rendue sur place pour assister à l’évènement.

LA UNE : La reproduction du tableau de Claude Picard intitulé : L’ironie de l’histoire, Angleterre, Première nation saluant le drapeau acadien. PHOTO : Radio-Canada / Honorine Ngountchoup


Celebrate Acadian History with Summerside’s New Downtown Mural Unveiling! 🖼

Join us on Friday, October 25, at 12:00 PM…

Posted by The City of Summerside on Tuesday, October 22, 2024

Christiane VIGNEAU (1965-2024)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 28 octobre 2024, de madame Christiane Vigneau. Elle était âgée de 58 ans et résidente de Cap-aux-Meules, aux Îles-de-la-Madeleine.

Elle était la fille de feu Jean-Claude Vigneau et de feu Léona Leblanc, la sœur de Mireille, Jean-Yves, Lina, Bruno, Diane, Robert, Donald, Gaétan et Claudine. Elle laisse aussi dans le deuil ses beaux-frères, belles-sœurs, neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules le mardi 5 novembre 2024 à partir de midi. Suivront les funérailles à l’église Saint-Pierre de La Vernière, à 14h, et l’inhumation au cimetière de l’endroit.

Gérard LAPIERRE (1957-2024)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 28 octobre 2024, de monsieur Gérard Lapierre. Il était âgé de 67 ans et originaire de Bassin, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il était le conjoint de madame Carole Cyr, le père de Guillaume (Marie-Ève) et Stéphanie (Kevin). Il avait quatre petits-enfants : Emy-Rose, Joseph-Étienne, Jasmin et Gabriel. Il était le frère de Lorette, Julienne, Rose-May, Lise, Léo-Paul, Diane, Jean-Guy, Carmelle, Marie-Anne et Étienne, ainsi que de Denise, Lucille, Délima, Corinne, Marguerite, Denis et Mario, décédés. Il laisse aussi dans le deuil les enfants de sa conjointe Kaven et Vanessa,  la mère de ses enfants Solange, ainsi que ses beaux-frères, belles-sœurs, neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Havre-Aubert le dimanche 3 novembre 2024 de 14h à 17h et de 19h à 22h. Les funérailles de monsieur Gérard Lapierre seront célébrées le lundi 4 novembre 2024, à 14h, à l’église Saint-François-Xavier de Bassin et, de là, au cimetière de l’endroit.

Le lundi 4 novembre, jour des funérailles, le salon ouvrira à 11h.

Vos marques de sympathie peuvent se traduire par un don à la Fondation Santé de l’Archipel pour le Fonds Francine-Daigle.