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Manifestation contre la fermeture du Centre de recherche et de sauvetage de Québec

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Une manifestation a eu lieu lundi midi devant les bureaux de la Garde côtière canadienne à Québec. Les manifestants protestent contre la fermeture annoncée du Centre de recherche et de sauvetage de la Garde côtière canadienne à Québec, le seul centre francophone de sauvetage maritime au pays.Des travailleurs et des représentants syndicaux veulent sensibiliser la population à la menace du déménagement des activités du centre vers Halifax et Trenton, qui est prévu en avril 2013.Cependant, certaines activités pourraient être transférées dès cet automne, ce qui n’est rien pour rassurer l’Union canadienne des employés des transports, l’Alliance de la fonction publique du Canada et le conseil régional de la FTQ.Les syndicats réclament le maintien du centre et de ses activités. Selon eux, la fermeture mettra en péril la sécurité des usagers qui circulent sur le fleuve Saint-Laurent entre le lac Saint-François et Blanc-Sablon. De plus, rappellent-ils, le centre de Québec est le seul à offrir des services bilingues.Selon le député néo-démocrate de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, Philip Toone, la fermeture du centre pose un risque pour la sécurité des pêcheurs francophones du fleuve. « Je ne comprends juste pas leur plan de match, à part le fait qu’ils pensent peut-être que cela va donner quelques petites jobs dans un comté conservateur, mais ce n’est certainement pas pour défendre les pêcheurs et les marins de notre région », a-t-il affirmé.Actuellement, une centaine de municipalités riveraines et de nombreuses associations de plaisanciers dénoncent la fermeture du centre.Le Nouveau Parti démocratique (NPD) a aussi lancé une pétition, à l’échelle du pays, pour dénoncer les compressions prévues dans les services de la garde côtière canadienne.

 

 

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Rencontre du Conseil canadien des ministres des pêches et de l’aquaculture de l’Atlantique

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Le député des Îles-de-la-Madeleine et adjoint parlementaire au ministre de la Santé et des Services sociaux, M. Germain Chevarie, a représenté le gouvernement du Québec lors de la rencontre du Conseil canadien des ministres des pêches et de l’aquaculture de l’Atlantique qui s’est tenue, le 9 mars dernier à Halifax, en Nouvelle-Écosse. Les représentants du Québec, du Nunavut, des provinces de l’Atlantique et du gouvernement fédéral se sont réunis pour discuter, en prévision de la saison de pêche qui débutera au cours des prochaines semaines, des enjeux préoccupants pour l’industrie des pêches et de l’aquaculture commerciales. M. Chevarie a présenté les priorités du Québec et défendu les intérêts des pêcheurs et des aquaculteurs au nom du ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, ministre responsable des régions de l’Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec et député d’Abitibi-Est, M. Pierre Corbeil, qui mène actuellement une mission économique en Asie afin d’y appuyer la commercialisation des produits bioalimentaires québécois.La chasse aux phoques, la pêche au homard et la santé des animaux aquatiques marins étaient à l’ordre du jour de la rencontre. « La chasse aux phoques est au cœur des traditions des Îles-de-la-Madeleine, et la pêche au homard produit des retombées économiques d’importance autant dans l’archipel qu’en Gaspésie. Malgré l’appui considérable du gouvernement du Québec au développement de nouveaux produits et de nouveaux marchés, ces deux secteurs de l’industrie rencontrent des difficultés qui nuisent à la santé économique de ces régions », a précisé M. Chevarie. La santé des animaux aquatiques a également retenu l’attention du député, qui a rappelé au gouvernement fédéral sa responsabilité à cet égard.Le député des Îles-de-la-Madeleine a donc profité de cette rencontre pour réitérer l’engagement du Québec d’appuyer les démarches du gouvernement fédéral visant à contester les embargos sur les produits du phoque mis en place au cours des dernières années. Il a aussi souligné aux ministres des pêches et de l’aquaculture de l’Atlantique l’importance de s’attaquer aux problèmes de gestion des pêches, entre autres, à celui de la mise en marché de homards de petite taille et de faible qualité, qui nuit à la viabilité de l’industrie du homard. M. Chevarie a également fait connaître les préoccupations du Québec face à l’initiative de modernisation des pêches amorcée par Pêches et Océans Canada. « Il est essentiel que Pêches et Océans Canada maintiennent les politiques du propriétaire exploitant et de la séparation des flottilles; des mesures qui garantissent l’indépendance des pêcheurs côtiers du Québec, ceux-là mêmes qui fournissent des milliers d’emplois dans nos communautés maritimes, a plaidé le député des Îles-de-la-Madeleine, ajoutant que : « nous avons aussi rappelé au gouvernement fédéral qu’à titre de gestionnaire de la ressource, il doit assumer ses pleines responsabilités en matière de soutien scientifique à l’industrie de la pêche et de l’aquaculture commerciales ».L’industrie de la pêche et de l’aquaculture commerciale au Québec fournit de l’emploi à plus de 3 000 pêcheurs et aides-pêcheurs, 300 aquaculteurs et 4 000 employés d’usines. Elle génère des retombées économiques d’environ 300 millions de dollars. Les activités de pêche et d’aquaculture commerciales représentent un axe de développement économique prioritaire pour les régions maritimes du Québec. 

Sur la photo : L’honorable Darrin T. King, ministre des Pêches et de l’Aquaculture, Terre-Neuve-et-Labrador, l’honorable Michael Olscamp, ministre de l’Agriculture, de l’Aquaculture et des Pêches, Nouveau-Brunswick, Germain Chevarie, membre du Bureau de l’Assemblée nationale du Québec, l’honorable Keith Ashfield, ministre des Pêches et des Océans, et l’honorable Sterling Belliveau, ministre des Pêches et de l’Aquaculture, Nouvelle-Écosse

Source : CNW

 

Hugo Barrette à la porte du top 10

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Hugo Barrette a terminé au onzième échelon du sprint individuel, dimanche, aux Championnats panaméricains de cyclisme sur piste, disputés à Mar del Plata, en Argentine.Classé 13e des qualifications, l’athlète de Cap-Aux-Meules, aux Îles-de-la-Madeleine, a ensuite remporté son premier duel de la ronde éliminatoire face à un Argentin.Au tour suivant, Barrette a été battu par Njisane Philip, de Trinité-et-Tobago.Relégué au repêchage, le cycliste de 20 ans devait terminer en tête d’un sprint à trois coureurs. Opposé au Vénézuélien Hersony Canelón et à l’Américain Michael Blatchford, il a vu sa journée se terminer en étant le dernier à franchir la ligne d’arrivée, ce qui lui a fait prendre le onzième rang du classement final.« Ç’a été une journée difficile pour moi, étant donné que le sprint par équipe d’hier (samedi) m’avait demandé beaucoup d’énergie », a expliqué le Québécois.Également en action, l’Albertain Travis Smith a terminé sixième et l’Ontarien Joseph Veloce septième.

 

Source: RDS.CA

 

 

Maisons d’hébergement menacées faute de financement

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Les cinq maisons d’hébergement multi-clientèles de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine lancent un appel à l’aide et annoncent des fermetures temporaires.Les maisons d’hébergement du territoire sont étouffées par le sous financement chronique et ne disposent pas des ressources financières nécessaires pour assurer leur mission de base.Le Centre Accalmie de Pointe-à-la-Croix a dû s’endetter de 160 000 $ en deux ans pour maintenir ses services selon la directrice générale, Dominique Bouchard : « On roule à crédit, c’est inadmissible parce qu’on s’enfonce. »L’Agence régionale leur reconnaît un financement de base de 500 000 $ annuellement, mais les maisons d’hébergement estiment en recevoir le tiers seulement alors que leur clientèle est de plus en plus lourde. La directrice générale du Centre Émilie Gamelin de Chandler, Johanne Bécu est décue.« Je pense qu’on est rendu à la troisième désinstitutionalisation. On les a désinstitutionalisés vers les ressources intermédiaires des établissements, vers des familles d’accueils, vers des maisons communautaires en santé mentale, l’argent n’a pratiquement pas suivi »Des organismes d’aide en santé mentale comme la Passerelle à New-Richmond craignent de devoir diriger leurs clientèles vers les hôpitaux. La directrice générale Carole Gauthier est inquiète.« Des personnes qui ont des difficultés en santé mentale qui doivent passer des heures à attendre à l’urgence souvent y s’en vont, souvent y sont pas vus parce que tu sais ils peuvent pas attendre alors y a un impact , risque de suicide, et leur santé se détériore »Pour éviter des fermetures, la directrice des services sociaux et organismes communautaires de l’Agence régionale Gaspésie-Iles-de-la-Madeleine Connie Jacques, précise qu’il faut avancer l’argent des prochains budgets.« Quant qu’on devance les fonds de l’an prochain vous comprenez qu’on fonctionne un petit peu sur la marge de crédit de 2012-2013, ça nous évite une rupture à court terme et ca nous donne une occasion de regarder avec les maisons comment qu’on peut trouver une solution qui est plus acceptable que la fermeture comme telle »Les organismes ont vainement demandé l’aide du ministre responsable de la région Yves Bolduc et de leurs députés. Ils invitent donc la population à porter plainte, au ministère de la Santé et à l’Agence.Les maisons d’hébergement multi-clientèles estiment qu’il en coûte quatre à cinq fois plus cher pour accueillir leur clientèle dans les hôpitaux. C’est pourquoi ces maisons espèrent que le prochain budget provincial va leur fournir l’argent nécessaire pour leur mission.

 

 

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40 ans de la traverse les Îles de la Madeleine – Souris

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Dans la foulée des célébrations des 40 ans de la liaison maritime entre les Îles et Souris, un évènement se tenait à bord du CTMA Vacancier.

Modernisation des pêches : un projet qui ne fait pas l’unanimité

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Les pêcheurs professionnels du Québec et de l’Atlantique se méfient du projet de modernisation des pêches du ministre Keith Ashfield.Selon eux, il n’y a pas un besoin urgent de réformer la gestion de l’industrie des pêches commerciales. Ils ne font surout pas confiance au gouvernement actuel pour le faire. Le vice-président de l’Alliance des Pêcheurs professionnels, O’Neil Cloutier soupçonne le gouvernement conservateur de vouloir reproduire le modèle tenté en 1997 en Colombie-Britannique. Selon lui, les règles du jeu avaient permis à un industriel d’accaparer plus de 60 % des permis et de détruire des communautés entières en les privant de leur gagne-pain traditionnel.O’Neil Cloutier craint maintenant que la culture et le patrimoine bâti à force de bras depuis 200 ans soient balayés par un gouvernement « qui n’en a rien à faire des petites gens ».Un front commun se dessine pour sauvegarder les intérêts des propriétaires exploitants.Pas de motivation secrèteLe ministre de Pêches et Océans Canada, Keith Ashfield se défend d’avoir des intentions inavouées. « Je veux avoir l’opinion des Canadiens et je crois fermement à l’utilité de ce genre de dialogue. C’est difficile, il est important d’entendre tous les points de vue même si cela amènera des choix difficiles », précise le ministre.Le gouvernement conservateur veut redresser la barre, devant une performance de l’industrie qui inquiète. Le Canada est passé de la deuxième à huitième place parmi les pays exportateurs. « Pêches et Océans Canada (POC) envisage une industrie canadienne compétitive et prospère », explique le document de discussions publié en janvier.Ottawa veut une gestion basée sur les principes de stabilité, de durabilité et de transparence.Le point de vue des industrielsLe directeur général de L’Association québécoise de l’Industrie de la Pêche (AQUIP), se dit plutôt d’accord pour dépoussiérer la réglementation. Jean-Paul Gagné souhaite ne plus avoir d’avis scientifique tous les ans et accueillerait avec beaucoup de bonheur un allongement de la période de validité des permis.L’AQUIP n’a pas toutefois encore pris officiellement position, mais Jean-Paul Gagné croit qu’il est temps d’agir et que le ministre ne devrait pas attendre qu’un consensus se dessine. « Je pense que cela devrait aller avec la majorité. Le consensus c’est très difficile d’y arriver. Satisfaire tout le monde dans une loi ou une politique cela n’arrive pas souvent », conclut-il.La consultation qui devait prendre fin le 29 février a été prolongée jusqu’au 14 mars.

 

Sur la photo: Le ministre de Pêches et Océans Canada, Keith Ashfield

 

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Le Sedna IV repart à l’aventure pour célébrer la biodiversité

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Cinq ans après avoir jeté l’ancre, le Sedna IV et son chef de mission, le biologiste Jean Lemire, entameront bientôt une expédition de trois ans consacrée à la biodiversité.Après avoir sillonné l’Antarctique pendant plus d’un an pour étudier les conséquences du réchauffement climatique, le voilier océanographique canadien est sur le point d’entreprendre un tour du monde, sur terre et sur mer, pour « découvrir l’extraordinaire diversité de la vie et témoigner de son fragile équilibre », selon le communiqué publié par Radio-Canada, partenaire du projet.L’équipage larguera les amarres ce printemps.La mission, intitulée 1000 jours pour la planète, s’inscrit dans la foulée de la Décennie de la biodiversité des Nations unies (2011-2020), officiellement lancée par le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, en décembre dernier. Le projet est d’ailleurs mené en partenariat avec le Secrétariat de la Convention sur la diversité biologique de l’ONU.« Nous proposons une grande expédition, un tour du monde à la voile pour dévoiler l’extraordinaire beauté du monde, pour comprendre le fonctionnement de nos milieux de vie et se questionner sur les grands défis de conservation auxquels nous sommes tous confrontés. » — Extrait du communiquéLes bouleversements environnementaux sans précédent, causés en grande partie par les activités humaines, provoquent la destruction accélérée de bon nombre d’habitats naturels et, donc, l’érosion de la diversité biologique. Selon la Convention sur la diversité biologique, les espèces disparaissent à un rythme 1000 fois supérieur au rythme naturel, et ce déclin risque encore de s’accentuer.À l’heure actuelle, environ 34 000 espèces de plantes et 5200 espèces d’animaux, dont un huitième des espèces d’oiseaux, risqueraient l’extinction pure et simple.Si rien n’est fait pour contrer ce phénomène, les scientifiques estiment qu’entre le tiers et la moitié des espèces connues pourraient disparaître au cours du prochain siècle.En 2010, 193 pays se sont engagés à ralentir la perte de biodiversité sur leur territoire.« Nous voulons célébrer la nature, sensibiliser le public d’ici et d’ailleurs sur l’importance de sauvegarder cette biodiversité qui supporte la vie », a soutenu Jean Lemire. 

Un périple à suivre sur plusieurs plateformes

Associée pour ce projet aux productions Glacialis, Radio-Canada offrira plusieurs façons de suivre la mission.Compilant un journal de bord, une carte interactive pour connaître le parcours du voilier, des dossiers thématiques, des photos et des vidéos, le site web Radio-Canada.ca/sedna permettra de suivre l’évolution de la mission au jour le jour. On pourra notamment y assister en direct à des diffusions depuis le bateau.Le site proposera également un volet éducatif destiné aux enseignants. Lors de ses missions précédentes, plus d’un million de visiteurs avaient suivi au quotidien les aventures de l’équipage sur la toile.L’émission Découverte diffusera trois documentaires d’une heure pendant la saison 2012-2013.À la fin de 2013, RDI présentera de son côté la série Le Sedna autour du monde – L’aventure humaine, qui sera rediffusée à la télévision générale de Radio-Canada.L’émission de radio Médium large suivra aussi de près la mission.À l’été 2012, Espace pour la vie, le plus grand complexe muséal en sciences de la nature au Canada, inaugurera en outre l’exposition interactive 1000 jours pour la planète dans le Centre sur la biodiversité de l’Université de Montréal. À cette occasion, le grand public pourra communiquer en direct avec l’équipage.Un long métrage documentaire, Requiem en bleu majeur, devrait par ailleurs être produit au terme de la mission.

 

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450 000 $ dollars pour le tout premier écomusée de la pêche au Canada.

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Le député des Îles-de-la-Madeleine, M. Germain Chevarie, annonce, au nom du ministre du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, M. Sam Hamad, le versement d’un montant non remboursable de 300 000 $ au Comité de développement de la Pointe de la Grande-Entrée et de 150 000 $, au nom du ministre de la Santé et des Services sociaux et ministre responsable des régions de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine et du Bas-Saint-Laurent, Dr Yves Bolduc. Ces sommes serviront à développer et à dynamiser le secteur de la pointe de la Grande Entrée, aux îles de la Madeleine, et d’y implanter le tout premier Écomusée des pêches au Canada.Ce projet de revitalisation comprendra, entre autres, la réorganisation de l’espace pour la création d’un lieu de services central, la relocalisation du Centre d’interprétation du phoque et l’aménagement d’une aire d’observation de la mise à l’eau des bateaux au port de pêche. Les travaux, dont le montant total est évalué à plus de 11,6 M$ en infrastructures et en développement d’attraits touristiques, se feront en deux volets. Le premier volet, dont les coûts sont estimés à 1,7 M$, comprend trois mandats : la planification, le design préliminaire et le design final. Le second volet, qui inclut la construction de l’Écomusée, est évalué à 9,9 M$. L’ensemble des travaux devrait être terminé d’ici mars 2013.« La région des Îles-de-la-Madeleine est déjà reconnue comme une destination touristique d’excellence. Avec le plus grand volume de débarquement de homard au Québec et le premier port de pêche des îles en terme de flottille et de valeur des débarquements, Grande-Entrée s’enorgueillit d’être la capitale québécoise du homard. Grâce à ce nouveau projet, le comité sera en mesure de se positionner avantageusement sur les marchés récréotouristiques. L’Écomusée des pêches pourrait ainsi devenir un pôle attractif pour la clientèle de tourisme international et un lieu privilégié pour des escales de navires de croisière », a affirmé M. Chevarie.Dans la phase préliminaire, l’intervention du ministère du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation permettra de réaliser les études nécessaires à la réalisation du plan d’aménagement. Ce projet s’inscrit dans le créneau d’excellence ACCORD Récréotourisme santé/nature.

 

« Pour les Madelinots, ce projet est jugé prioritaire dans le plan de développement de leur région. En misant sur l’intégration d’une vocation touristique aux activités commerciales, industrielles et culturelles, l’Écomusée réussit à mobiliser l’ensemble de la communauté autour d’une vision commune d’ouverture de la pointe de la Grande Entrée. Dans un contexte de mondialisation, chaque région gagnera à mettre en valeur son plein potentiel ainsi que les atouts dont elle dispose pour relever les nouveaux défis et saisir les occasions qui s’offrent à elle. La région des Îles-de-la-Madeleine possède de nombreux avantages sur le plan touristique, et l’appui gouvernemental viendra consolider l’offre touristique à une plus grande clientèle », a fait savoir M. Hamad.Pour sa part, le ministre de la Santé et des Services sociaux et ministre responsable des régions de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine et du Bas-Saint-Laurent, Dr Yves Bolduc, a mentionné que le gouvernement du Québec s’est doté d’outils pour soutenir financièrement la réalisation de projets novateurs et créateurs de richesse pour la région. « Du montant total de 450 000 $ annoncé par mon collègue député, 150 000 $ proviennent du Fonds d’intervention stratégique régional (FISR). Je suis convaincu que ces sommes contribueront au succès de ce projet, qui aura des retombées importantes pour les îles de la Madeleine », a précisé M. Bolduc.« Le Comité de développement de la Pointe de la Grande-Entrée est un organisme sans but lucratif qui a pour objectif de favoriser la concertation de la population de l’est des îles de la Madeleine afin de redynamiser la pointe de la Grande Entrée. Nous travaillons depuis plusieurs années, en partenariat avec l’ensemble des intervenants du milieu, à l’élaboration d’une vision d’avenir de la pointe, qui correspondra aux besoins et aux attentes de tous », a précisé le président du Comité de développement de la Pointe de la Grande-Entrée, M. Jonathan Lapierre.

 

Sur la photo: Jonathan Lapierre, Germain Chevarie et Joël Arseneau

 

Source: CNW

 

 

 

Les obsèques de Chantal Jolis ont lieu aujourd’hui aux Îles-de-la-Madeleine

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Les funérailles de l’animatrice Chantal Jolis ont lieu vendredi aux Îles-de-la-Madeleine, où elle a passé les derniers mois de sa vie. Elle sera enterrée à Havre-Aubert.La famille recevra d’abord les condoléances au salon funéraire de Cap-aux-Meules.La Maison funéraire Leblanc précise que des dons peuvent être versés à la mémoire de la disparue à la Société Parkison du Québec.Chantal Jolis est décédée lundi matin, à 64 ans. Elle souffrait de la maladie de Parkinson depuis quatre ans.D’origine française, Chantal Jolis est arrivée au Québec en 1980 dans le cadre d’un échange des radios francophones publiques.Passionnée de lecture, de cinéma et de musique, elle a animé plusieurs émissions à la radio de Radio-Canada, dont Bouchées doubles et L’oreille musclée. Elle a également coanimé l’émission culturelle À première vue avec René Homier-Roy, à la télévision de Radio-Canada.En 2009, Chantal Jolis a cependant dû renoncer à son émission sur les ondes d’Espace musique en raison de sa maladie.

 

 

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Buzz du web – Les traces de l’hiver

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Une façon originale de laisser sa trace en saison hivernale.

Old Harry: Corridor Resources se voit refuser l’extension de son permis

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La coalition Saint-Laurent se réjouit que la priorité soit donnée à l’environnementL’Office Canada-Terre-Neuve-et-Labrador des hydrocarbures extracôtiers a refusé à Corridor Resources une seconde extension qu’elle réclamait pour la durée de son permis d’exploration au site de Old Harry, dans le golfe du Saint-Laurent.La coalition Saint-Laurent salue favorablement la décision de l’Office Canada-Terre-Neuve-et-Labrador des hydrocarbures extracôtiers (l’Office) rendue hier par voie de communiqué. L’Office a refusé à Corridor Resources une seconde extension qu’elle réclamait pour la durée de son permis d’exploration au site de Old Harry, dans le golfe du Saint-Laurent. L’Office annonce du même coup que l’évaluation environnementale stratégique (ÉES) doit d’abord être complétée d’ici le début de 2013 et ses conclusions doivent être connues avant de procéder à une évaluation environnementale et à des consultations publiques sur le projet de forage de Corridor Resources.La coalition Saint-Laurent estime cette décision juste. « La compagnie Corridor Resources avait déjà obtenu un sursis de deux ans en novembre dernier, et voici qu’elle redemandait maintenant un nouveau sursis d’une durée illimitée. Cette façon de jouer avec l’avenir du golfe est tout à fait indécente. C’est plutôt le golfe du Saint-Laurent lui-même qui devrait bénéficier d’un sursis, alors que la menace d’un forage pétrolier est toujours présente », affirme Danielle Giroux, porte-parole de la coalition Saint-Laurent.De plus, la coalition Saint-Laurent réclamait depuis longtemps que l’ÉES sur la partie terre-neuvienne du golfe soit réalisée avant toute évaluation environnementale du projet de forage à Old Harry. Il est logique que les grands enjeux liés à l’exploration pétrolière dans la partie terre-neuvienne du golfe soient examinés avant de se pencher sur un projet de forage précis. La décision de l’Office vient confirmer cette séquence de consultations.Rappelons que la compagnie Corridor Resources détient un permis d’exploration sur la partie terre-neuvienne du gisement potentiel de Old Harry et qu’elle doit absolument débuter son forage avant le 15 janvier 2015 sous peine de perdre son permis exclusif. Toutefois, la compagnie n’a toujours pas obtenu l’autorisation gouvernementale pour procéder au forage. Il faudra d’abord procéder à l’ÉES dans la partie terre-neuvienne du golfe, puis à une évaluation environnementale du projet de forage lui-même avec une consultation publique dans les cinq provinces bordant le golfe.Ces évaluations environnementales auront lieu en réponse aux importantes préoccupations exprimées par de nombreuses communautés du golfe, des associations de pêcheurs, des nations autochtones et des groupes environnementaux. Ces évaluations environnementales risquent de se prolonger jusqu’en 2014, ce qui fait craindre à Corridor Resources de ne pouvoir débuter son forage avant la date butoir du 15 janvier 2015. C’est pour gagner du temps et éviter de perdre son permis que Corridor Resources a demandé un sursis à l’Office, ce qui lui a été refusé hier.« Cette décision pourrait à terme enlever l’épée de Damoclès qui pèse sur l’ensemble du golfe avec le projet de Corridor Resources. Si ce permis tombe, le contexte sera favorable à l’instauration d’un véritable moratoire sur tout le golfe, permettant une évaluation en profondeur du golfe et des risques reliés à tout projet d’exploration ou d’exploitation d’hydrocarbures », explique Christian Simard, directeur général de Nature Québec« Au-delà des intérêts privés de Corridor Resources et des traitements de faveur que la compagnie réclamait, il est impératif que la priorité soit donnée aux écosystèmes du golfe et aux communautés côtières si dépendantes de la santé du golfe », mentionne Sylvain Archambault, biologiste à la SNAP Québec.« Le golfe du Saint-Laurent est un écosystème unique et fragile qui mérite d’être adéquatement protégé avec une vision globale et unifiée. Étant sept fois plus petit que le golfe du Mexique, un incident pétrolier aurait des conséquences catastrophiques pour les centaines de communautés côtières des cinq provinces qui dépendent de la santé du golfe pour leur survie. Seule une gestion intégrée de l’ensemble du golfe, au-delà des découpages administratifs, peut fournir la vision qui fait cruellement défaut ces jours-ci », explique Jean-Patrick Toussaint, chef des projets scientifiques à la Fondation David-Suzuki.

 

Source : Coalition Saint-Laurent

 

 

 

Le maire de l’archipel brise le silence

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 Le maire des Îles-de-la-Madeleine, Joël Arseneau a rencontré la presse lundi pour la première fois depuis que des accusations de vol et de fraude ont été déposées contre lui par la Sûreté du Québec.Le maire a avoué vivre des jours pénibles, mais s’estime heureux d’avoir des appuis : « Je remercie les très nombreuses personnes qui spontanément m’ont témoigné leur indignation sur la façon dont les choses se passent, mais surtout leur appui et leur confiance. »Même s’il s’est retiré du conseil d’administration de la Fédération québécoise des municipalités, Joël Arseneau entend continuer d’assumer ses fonctions de maire des Îles.

« Toute hypothèse de retrait de mes responsabilités correspondrait à un aveu de culpabilité alors que les accusations qui sont portées contre moi sont sans fondement. » — Joël Arseneau, maire des Îles-de-la-MadeleineLe maire répète qu’il a remboursé les frais de voyage qu’il devait et que cette affaire administrative est réglée depuis juillet 2010. « Avec l’aval du conseil municipal sur la recommandation de la firme de vérification externe », ajoute l’élu.Les détails des accusations portées contre Joël Arseneau seront connus le 5 mars.Le maire sera défendu par l’avocat Karl Thibeau de Québec dont les honoraires seront payés par la municipalité des Îles.

D’après un reportage de Line Danis

 

 

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