Ayant déjà effectué une visite sur le territoire français, les Madelinots ont reçu avec joie leurs cousins improvisateurs français
02/11/11: La LMI accueil les ALIBIS de Dijon
Le pain des Îles sur les tables du Québec
La petite entreprise vient de signer des ententes importantes avec trois entreprises. La boulangerie s’est ainsi entendue avec AOF Services Alimentaires qui a des clients à travers le Québec. Parmi les clients d’AOF, dont plusieurs hôteliers et institutions, la chaîne Second Cup a déjà indiqué son intention d’utiliser les produits de la boulangerie.Les muffins anglais de la boulangerie des Îles seront dorénavant disponibles aux tables des 40 restaurants Normandin. Les produits de la petite entreprise des Îles seront aussi offerts aux clients des épiceries Végétarien.Le directeur de la boulangerie, Gino Thorne, admet que cette percée sur le marché québécois est due au muffin anglais qui est devenu le produit vedette de l’entreprise. « On essaye toujours d’aller chercher les meilleurs ingrédients, exemple, nos huiles ce sont toutes des huiles d’olive, nos levures, ce sont des levures naturelles », raconte M. Thorne.Au total, chaque mois, quelque 8000 caisses de pains et muffins surgelés quittent les Îles pour être livrée aux 110 épiceries COOP des Maritimes et Métro GP de la Gaspésie.L’expansion de l’entreprise se poursuivra encore au cours des dix prochaines années, croit Monsieur Thorne. « Je vois une usine trois fois plus grande qu’on a ici avec présentement 30 employés, proche d’une centaine d’employés puis on continue à distribuer plusieurs produits que ce soit ailleurs dans le reste du Canada ou au Québec. On ne va pas s’arrêter là », indique Guy Thorne.La boulangerie compte se lancer dans la production de nouvelles tartes aux fruits de mer au printemps.
Photo : Gino Thorne et M. Daniel Benoît, Directeur des achats de AOF.
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L’illustrateur Rogé finaliste à la 75e édition des Prix littéraires du Gouverneur général
Il est en nomination dans la catégorie « littérature jeunesse – illustration » pour Haïti, mon pays, un recueil de poèmes d’écoliers haïtiens, publié aux Éditions de la Bagnole.Les prix littéraires nationaux du Canada, célèbrent l’excellence des auteurs, des illustrateurs et des traducteurs canadiens. Les prix sont décernés à des ouvrages en langue française et en langue anglaise dans les catégories romans et nouvelles, essais, poésie, théâtre, littérature jeunesse (texte et illustrations) et traduction. Dès son jeune âge, Rogé (Roger Girard) savait ce qu’il ferait dans la vie: dessiner. Aussi, après avoir obtenu un baccalauréat en communication graphique de l’Université Laval, il travaille dans le domaine de la publicité pendant cinq ans, puis fait une pause pour tenter l’aventure de la coopération internationale en République dominicaine. Pendant son séjour dans l’île, il réalise de grandes murales dans un village. Il revient à Montréal, marqué par cette expérience, et décide de se consacrer à l’illustration. Depuis, si ses images ont illustré campagnes publicitaires, affiches et magazines, c’est l’univers de la littérature jeunesse, ainsi que son absence de contraintes, qui lui a permis de retrouver sa liberté de créer et d’imposer sa signature. Finaliste aux GG 2002, Rogé remporte son premier GG. Rogé est résidant des Îles-de-la-Madeleine.« Les GG engendrent toujours l’enthousiasme », dit Robert Sirman, directeur et chef de la direction du Conseil des Arts du Canada. «Le Conseil des Arts gère ces prix depuis maintenant plus de cinq décennies et nous sommes heureux de célébrer le talent créateur des Canadiens. Les livres finalistes et gagnants ont eu un impact important non seulement au Canada, mais partout dans le monde. » Les lauréats seront connus le 15 novembre prochain et la remise des Prix GG se fera le 24 novembre, à Ottawa. Chaque récipiendaire recevra 25 000 $ et un exemplaire de son livre spécialement relié par un maître relieur. Chaque finaliste non lauréat pour sa part, recevra 1 000 $. Les éditeurs des livres gagnants recevront chacun 3 000 $ pour les aider à faire la promotion de ces livres.
Photo : Jean-François BriereSource : Conseil des Arts du Canada
GG. : Prix littéraires du Gouverneur général
Le Cirque Éloize dans la revue Les Affaires
LE CIRQUE AU CARRÉ par Marie-Claude Morin.«Le Cirque Éloize passe en vitesse supérieure, multipliant les tournées à l’étranger et produisant lui-même ses spectacles. Pour réaliser cette ambition, il s’est trouvé un partenaire de taille : le Cirque du Soleil. Comment faire pour qu’un mariage de raison devienne heureux et fructueux.»À peine nous sommes-nous serré la main que Jeannot Painchaud nous entraîne dans les dédales de l’ancienne gare Dalhousie, dans le Vieux-Montréal. Les exploits passés du Cirque Éloize, les 420 villes visitées par sa troupe, la tournée actuelle du spectacle ID en Europe et le retour de Rain à Montréal peuvent attendre. Le PDG du cirque veut nous parler de ses projets. Tout en arpentant une salle au plafond d’une hauteur vertigineuse, d’où pendent une multitude de câbles, il décrit ce à quoi ressemblera le siège du deuxième plus grand cirque du Québec, une fois le projet de rénovations de 12 millions dollars terminé. Une salle de répétition format théâtre, des équipements de cirque à la fine pointe de la technologie, un salon pour les artistes, de nouveaux bureaux, un quai de chargement… le lieu qui a vu naître le cirque québécois – l’École de Cirque y était installée de 1986 à 2003 – doit évoluer au rythme endiablé d’Éloize. Car pour l’ancien artiste du vélo, il n’y a pas de doute : le cirque qu’il a fondé en 1993 en compagnie d’autres Madelinots doit grandir. Encore. Une affirmation qui est tout sauf anodine, quand on sait qu’elle a causé le départ de deux associés en 2010 et amené Jeannot Painchaud à signer un partenariat inimaginable pour lui il y a cinq ans à peine. Pour racheter les parts de Daniel Cyr et de Julie Hamelin, qui souhaitaient que le Cirque Éloize garde une taille modeste, il a frappé chez celui dont il s’est tant défendu d’être le petit frère : le Cirque du Soleil. »C’est le fruit d’une longue réflexion », dit celui qui a quitté la scène en 1998 pour se consacrer à plein temps à la gestion d’Éloize. Vêtu d’un t-shirt, de jeans et de souliers pointus, avec ses boucles et sa barbichette, il ne donne pas ses 45 ans. Si son style décontracté rappelle celui de Guy Laliberté, Jeannot Painchaud a dès le départ choisi pour son cirque un créneau différent de celui de l’ancien échassier.Dans les spectacles d’Éloize, présentés en salle plutôt que sous le chapiteau, les artistes doivent jongler, non seulement avec des balles, mais aussi avec le chant, la danse et le théâtre. « Éloize, ce n’est ni une copie, ni un cirque en réaction au Cirque du Soleil. Éloize, c’est Éloize », observe Stéphane Lavoie, directeur général de la Tohu et du festival Montréal Complètement Cirque.
Photo : Martin Flamand
Claude Cormier en nomination aux prochains Prix de musique folk canadienne
Le comité de direction des Prix de musique folk canadienne a dévoilé les noms des finalistes de la septième édition de remise de prix. Les artistes en nomination viennent de toutes les régions du Canada, de l’Atlantique au Pacifique. Le Madelinot Claude Cormier est en nomination dans la catégorie Auteur-compositeur francophone de l’année aux prochains Prix de musique folk canadienne. Il est en nominé en compagnie de :
Jean-François Lessard – Jean-François Lessard
Alexandre Poulin – Une lumière allumée
Les Surveillantes – La racine carrée du coeur
Le gala bilingue aura lieu le aura lieu le dimanche 4 décembre prochain au Théâtre Isabel-Bader de Toronto sera animé en français par Benoit Bourque, membre de La Bottine Souriante, et en anglais par Shelagh Rogers, animatrice à la radio de la CBC et décorée de l’Ordre du Canada.Claude Cormier a grandi au bord de la mer, dans ce coin du Québec appelé les Îles-de-la-Madeleine. Pêcheur de métier, il est fasciné par la musique depuis bien des marées. Auteur-compositeur-interprète « de la relève » ayant déjà 10 ans de tournée et de travail en studio derrière lui, il écrit les événements du quotidien et les chante merveilleusement bien. En mars 2011, il offre un album tout en douceur et simplicité, intitulé … Acoustique. Claude vous donne un rendez-vous aux saveurs folk, teinté de la couleur chaleureuse et dynamique des Acadiens, avec la poèsie qui caractérise l’insularité des Madelinots.La mission des Prix de musique folk canadienne est de souligner et mettre en valeur la musique folk canadienne sous toutes ses formes. Jusqu’à leur création en 2005, il n’existait pas de prix pour reconnaître la richesse et l’importance de la musique folk canadienne. D’autres prix nationaux et régionaux (Juno, East Coast Music Awards, Western Canadian Music Awards, Félix…) proposent un nombre limité de catégories qui sont peu représentatives de la diversité de ce genre musical. La procédure d’attribution des prix est semblable à celle utilisée pour les prix Junos, soit une élimination en deux étapes faite par un jury composé de gens du milieu folk canadien.
Source :Canadian Folk Music Awards | Prix de musique folk canadienne
Photo : claudecormier.ca
le campus des Îles se mérite la plus haute distinction en environnement au programme ICI ON RECYCLE!
Madame Laurence Leduc-Primeau, présidente du conseil d’administration d’Actions RE-buts, a remis officiellement la plus haute distinction au programme ICI ON RECYCLE!, soit l’Attestation de performance de niveau 3 au Campus des Îles-de-la-Madeleine. La cérémonie s’est déroulée hier, aux Îles, dans le cadre de la semaine québécoise de réduction des déchets.Il s’agit d’une reconnaissance officielle du gouvernement du Québec, instaurée par RECYC-QUÉBEC afin de souligner les efforts remarquables des industries, des commerces et des institutions (ICI) qui ont implanté, dans leur établissement, des mesures permettant la gestion responsable de leurs matières résiduelles, effectué diverses activités de sensibilisation et atteint un taux global de récupération et de mise en valeur en diminuant leurs réels déchets d’au moins 80 %. Le Campus des Îles-de-la-Madeleine a dépassé ce niveau notamment par le réemploi (tablettes recyclées) et le recyclage du papier, le compostage des résidus organiques de la cafétéria et de tout le papier à mains des toilettes et laboratoires, par le recyclage des batteries, des cartouches d’encre, des cannettes, conserves et autres contenants de verre et de plastique. Des campagnes de sensibilisation de type Lunch zéro déchet, réduction d’emballages, achat de produits en vrac et locaux ont également pris place, de même que l’évaluation du milieu de vie comme celle de l’eau de ses fontaines et robinets. Pour le campus des Îles, l’obtention de cette distinction est un élément de fierté confirmant son engagement en faveur de la protection de l’environnement. Comme le précise la responsable du comité environnement du Campus, Lucie d’Amours : « Nous sommes très heureux d’avoir obtenu cette attestation qui reconnait ainsi le travail de toute l’équipe du Campus des Îles. Nous nous devons d’être exemplaire comme institution d’enseignement et sommes ainsi très fiers d’être le premier établissement des Îles et la première institution d’enseignement de la région Gaspésie-les Îles à obtenir ce niveau 3 ». Sur la photo, de gauche à droite en avant: Laurence Leduc-Primeau, présidente du conseil d’administration d’Action RE-buts, Lucie d’Amours, responsable du comité environnement, Annie Landry, enseignante (et ses 2 enfants), Cyrice Jomphe, concierge, Alexandra Arseneau, membre du comité environnement et responsable des communications à l’association.
Crédit photo : Michel Papageorges
Vers une stratégie énergétique pour l’archipel
Le maire des Îles-de-la-Madeleine, Joël Arseneau, annonce le lancement d’une démarche visant à doter l’archipel d’une stratégie énergétique territoriale. Cette initiative s’inscrit dans un contexte où plusieurs projets liés à la mise en valeur des ressources naturelles du territoire et à l’alimentation en énergie se confondent et se confrontent dans la communauté insulaire.« L’objectif que nous poursuivons, explique le maire Arseneau, consiste à développer un consensus et une vision d’avenir en matière énergétique garantissant l’approvisionnement à moyen et long terme du territoire, une plus grande autonomie, une réduction de notre empreinte écologique et des conditions de développement socioéconomiques favorables pour notre communauté. »Le développement d’une stratégie énergétique fait partie du plan de travail de la Municipalité/Agglomération depuis quelques années. Dans un rapport déposé en juin 2007, une commission indépendante* sur le développement éolien aux Îles avait recommandé que la Municipalité des Îles se dote d’une stratégie énergétique visant à mieux orienter ses choix en la matière. La recommandation des commissaires servira de base à la mise en oeuvre du projet :« Cette stratégie devrait comprendre un état de situation (besoins actuels et réponses à y apporter), une estimation des moyens à prendre pour réduire la consommation d’énergie, une exploration de toutes les sources d’énergie potentiellement utilisables pour le milieu et, enfin, des recommandations pour un développement énergétique respectant prioritairement les aspects suivants : sécurité d’approvisionnement et exigences environnementales versus coûts de production. »*Ce chantier de travail devient particulièrement pertinent alors qu’Hydro-Québec poursuit avec la Municipalité l’élaboration d’un projet de couplage éolien-diesel, que la société d’État analyse par ailleurs les coûts de remplacement de sa centrale thermique au mazout par un câble sous-marin avec la Gaspésie et qu’un projet de forage exploratoire de gaz naturel fait l’objet de vives discussions.Par cette initiative, la Municipalité/MRC réaffirme sa volonté de mener un débat profond et respectueux sur l’avenir énergétique de son territoire menant à des décisions éclairées par les autorités compétentes. La Municipalité confiera le pilotage du dossier au comité aviseur éolien, dont le nom et le mandat seront révisés afin de refléter son rôle plus global en matière de développement énergétique. Le Forum intersectoriel sur les ressources naturelles du territoire sera l’instance privilégiée de concertation de cette démarche alors que le Centre de recherche sur les milieux insulaires et maritimes (CERMIM) devrait en assurer la réalisation.« Notre Municipalité/MRC fait encore une fois preuve d’avant-gardisme et de leadership en entamant une initiative qui transcende largement les compétences municipales strictes pour développer une vision d’avenir par et pour notre communauté » de conclure le maire Joël Arseneau. La démarche devrait s’étaler sur une période de 8 à 10 mois et comportera des audiences publiques.
Source : Municipalité des Îles-de-la-MadeleinePhoto : Elena Haratsaris
* Rapport sur la consultation publique sur le développement de l’énergie éolienne aux Îles-de-la-Madeleine, Aucoin L., Fournier L., Miousse A, juin 2007.
Air Canada et ses agents de bord iront en arbitrage
Air Canada et le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) ont accepté d’aller en arbitrage pour dénouer l’impasse entourant le renouvellement de la convention collective des 6800 agents de bord, selon des communiqués émis jeudi par les deux parties.Le conflit est depuis la semaine dernière devant le Conseil canadien des relations industrielles (CCRI). C’est d’ailleurs lors d’une réunion devant le CCRI, une agence fédérale quasi-judiciaire, que les deux parties ont opté en faveur de cette solution, vue comme la « meilleure voie vers une résolution de leur litige », selon le syndicat.Les parties se rencontreront à nouveau pour choisir un arbitre. Si elles ne s’entendent pas, il sera désigné par le CCRI. Les audiences doivent débuter le 28 octobre. La décision de l’arbitre, qui sera obligatoire, sera rendue d’ici le 7 novembre.Se déclarant « heureux » d’avoir convenu d’une procédure, Air Canada et le syndicat ont aussi accepté de retirer leurs plaintes pour pratique déloyale de travail, déposées respectivement les 12 octobre et 19 septembre.Selon la direction du transporteur aérien, en vertu de cette entente, les parties acceptent de se conformer à l’exigence du Code canadien du travail selon laquelle il ne peut y avoir ni grève ni lock-out.Le président national du SCFP, Paul Moist, a pour sa part rappelé que « les négociations ont été ardues, tout particulièrement, en raison de la menace d’une loi fédérale de retour au travail et de la décision de la ministre du Travail [Lisa Raitt] de confier le dossier au CCRI ».Le renvoi du dossier devant le CCRI a suspendu le déclenchement de la grève des agents de bord, qui était prévu mercredi dernier à minuit.Le geste d’Ottawa suivait le rejet d’une deuxième entente de principe par les membres du SCFP, même si leurs négociateurs leur avaient recommandé de l’accepter. La ministre avait invoqué la nécessité de « protéger l’économie et les emplois du Canada ».Les pourparlers achoppent sur les questions touchant les salaires, le régime de retraite, les périodes de repos de l’équipage, les conditions de travail et les règles concernant l’exécution du travail.En juin, les préposés du service à la clientèle d’Air Canada avaient fait la grève pendant trois jours avant de s’entendre avec leur employeur sous la menace de l’adoption d’une loi spéciale pour forcer leur retour au travail.
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Deux étudiantes des Îles récipiendaires aux Bourses Gérard-D.-Lévesque
Deux jeunes étudiants madelinots figurent parmi les treize récipiendaires des bourses 2011 du Fonds Gérard-D.-Lévesque.
Josiane Bourgeois-Marcotte de Havre-Aubert reçoit une bourse de mille 500 dollars. Étudiante au baccalauréat en sciences du langage à l’Université Laval. Josiane achève cette année un baccalauréat en sciences du langage. Elle souhaite ensuite entreprendre une maîtrise en orthophonie. Parfaitement consciente des efforts et du temps requis dans le cadre de ce domaine d’études, elle demeure très motivée. La persévérance dont elle fait preuve et ses bons résultats scolaires la mèneront certainement au succès. Efficace et organisée, Josiane s’est impliquée de différentes manières en enseignement ou en relation d’aide ces dernières années. Après ses études, elle souhaite retourner s’établir aux Îles afin de continuer d’aider les gens dans le besoin, en tant qu’orthophoniste. D’ici là, sa bourse lui permettra de concentrer son énergie sur ses études.
Jessica Harvie de Fatima, reçoit quant à elle une bourse de mille dollars. Jessica poursuit ses études en hygiène dentaire au Collège François-Xavier-Garneau de Québec. Elle compte cet hiver revenir aux Îles-de-la-Madeleine pour effectuer un stage au CLSC, qui lui fera mieux connaître la santé dentaire publique. Jessica adore le côté accueillant et chaleureux de la population des Îles. Elle compte retourner s’y établir une fois ses études complétées, afin d’y fonder une famille. Devant assumer seule les coûts reliés à ses études, Jessica est heureuse de pouvoir compter sur une bourse du Fonds pour poursuivre son rêve.
Le Fonds Gérard-D.-Lévesque, dont le capital est de 500 mille dollars, a été créé en 2007. Ces bourses sont remises à des étudiants de 35 ans et moins en fonction de la qualité de leur dossier scolaire, de leur engagement dans le milieu et de leur persévérance dans le cadre de leurs études.
Source : Fondation Gérard D. Levesque
20/10/11: Semaine de la coopération
À l’occasion de la Semaine de la coopération, les caisses Desjardins des Îles soulignent leur distinction coopérative.
Un madelinot à la direction de l’AHRQ
Alyre Jomphe, un madelinot d’origine, s’est vu confier le poste de directeur général de l’Association hôtelière de la région de Québec (AHRQ). Il remplacera ainsi Brian Aubé, qui occupait cette fonction depuis 2004.M.Jomphe a étudié en administration des affaires et en pédagogie à l’Université de Moncton de même que des diplômes en linguistique appliquée et en marketing international à Paris. Il possède un bon bagage dans le domaine du tourisme après avoir occupé des postes de direction, comme celui de la Commission canadienne du tourisme en France et Tourisme Charlevoix.« Homme de marketing et de communication, Alyre Jomphe est très orienté vers des résultats mesurables et quantifiables. Son vaste réseau de contacts professionnels, tant dans le secteur privé que public, sera très utile à notre association », de dire M. Stéphane Guy, président de l’association.
Photo : FacebookSource : HRI MAG
Un plan pour améliorer la santé des Madelinots
Le Centre de santé et de services sociaux (CSSS) des Îles-de-la-Madeleine dépose son plan d’action locale de santé publique.Il s’agit du premier CSSS de la région à s’attaquer de manière préventive aux problèmes de santé. Les maladies des Madelinots sont semblables à l’ensemble de la population du Québec, cancer du poumon, maladies cardiovasculaires, maladies respiratoires et diabète. Ainsi, 58 % des Madelinots souffrent d’un excès de poids ce qui se compare au 57 % de Québécois aux prises avec un problème d’embonpoint ou d’obésité.Comme dans l’ensemble du Québec, c’est un problème qui va en s’accroissant aux Îles comme ailleurs, souligne la directrice des services communautaires du CSSS des Îles-de-la-Madeleine, Lucie Ouellet.Le CSSS s’appuie sur une grande concertation avec tous les organismes communautaires des Îles et associations de tous genres pour intervenir entre autres sur les habitudes de vie des Madelinots ou sur leur santé environnementale.
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