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Semaine de l’horreur : L’Exorciste

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Saviez-vous que L’Exorciste est inspiré d’un véritable exorcisme pratiqué sur un adolescent après qu’il ait utilisé une planche Ouija ?

Dans le cadre de la semaine de l’horreur, nous explorerons 15 films d’horreur ancrés dans des faits authentiques et des anecdotes effrayantes, pour une immersion glaçante dans des histoires qui ont réellement existé. Êtes-vous prêt à découvrir la fine frontière entre fiction et réalité ?

 

«L’Exorciste raconte l’histoire de Rolando, un adolescent victime d’une possession démoniaque après avoir utilisé une planche Ouija. Les prêtres ont tenté de l’exorciser, croyant qu’il était habité par plusieurs démons.»

Le cinéma d’horreur, avec ses récits surnaturels et ses scènes macabres, sait comment captiver et effrayer le spectateur. Mais que se passe-t-il lorsque l’imaginaire cède la place à des événements réels ? Certains des films d’horreur les plus glaçants ne sont pas uniquement des fictions. Ils sont inspirés d’histoires vraies, d’événements terrifiants et de personnes réelles. De la poupée maudite à la possession démoniaque, en passant par des tueurs en série et des phénomènes paranormaux, ces films captivants nous plongent dans une réalité qui dépasse parfois la fiction.

Ces films d’horreur, basés sur des faits réels, montrent à quel point la réalité peut parfois dépasser la fiction. Leur ancrage dans des événements authentiques leur confère une dimension effrayante supplémentaire, captivant le public au-delà du simple divertissement.

Une sortie en famille pour Élyse Marquis et son ex Marc Déry

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Élyse Marquis, qui foule souvent les tapis rouges des événements et des premières médiatiques avec sa fille Alice Déry, était à la première du Matou non seulement aux côtés de sa fille, mais aussi avec le papa et son ex, l’auteur-compositeur-interprète Marc Déry.

Serge Cloutier

Rappelons que les parents d’Alice ne sont plus ensemble depuis de nombreuses années, mais il était toutefois agréable de les voir poser ensemble lors de cette belle soirée!

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Des commentaires douteux (et une cougar) au spécial célibataire d’Un souper presque parfait

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Cette semaine, Un souper presque parfait propose un spécial pour les célibataires de 45 à 60 ans, avec des candidats tout aussi divertissants les uns que les autres.

Hier, la soirée se déroulait chez Nathalie R., une maman énergique de grands enfants, qui a révélé son penchant pour les hommes plus jeunes et le surnom qu’on lui attribue souvent, soit le populaire terme cougar. Elle profiterait d’ailleurs parfois de ce fantasme que les jeunes hommes ont.

Capture Noovo

Bien que les célibataires soient tous différents et intéressants, un attire l’attention en particulier, et ce n’est pas nécessairement pour les bonnes raisons.

Il s’agit de Dominic, qui semble avoir beaucoup à dire, surtout en ce qui concerne le sexe, ce qui crée des moments quelque peu malaisants pour les dames qui partagent un souper en sa compagnie. Lors du dernier épisode, il ne s’est pas gêné pour aborder le sujet d’avoir une relation le premier soir, un aspect qui semble important pour lui.

«Moi, j’ai pour dire que si je vois un beau char à vendre, j’ai le goût de l’acheter… Je vais l’essayer pour que personne d’autre ne l’achète», témoigne-t-il sans filtre.

Karine lui a par la suite fait remarquer qu’il ne s’agissait pas de la même chose et qu’il fallait un contrôle du désir. Ce à quoi il a répondu qu’il ne contrôlait absolument rien en matière de désir.

Capture Noovo

Des propos qui ont d’ailleurs déplu à Nathalie M.!

«Moi, rencontrer un gars comme ça, trop axé sur le sexe, ça manque un petit peu de classe», confie Nathalie à la production.

Il a même ajouté, en se qualifiant d’homme pas facile, qu’il avait déjà refusé plusieurs personnes.

«Je vous invite à m’essayer d’abord, vous allez voir que je ne suis pas si facile que ça», lance-t-il, comme si on n’en avait pas déjà assez entendu.

Dominic a aussi laissé entendre qu’une des candidates, Karine, avait l’air sage, mais qu’elle était fort probablement dominante au lit. Il a voulu le savoir et a posé la question à table…

Une supposition à laquelle elle a toutefois acquiescé!

Ce n’est pas tout, puisqu’il n’a pas manqué de faire quelques blagues de type «mononcle».

Bien qu’il soit un divertissement pour le show en tant que personnage, il donne une impression de déjà-vu, et il faudrait peut-être lui rappeler que, s’il souhaite trouver l’amour, il s’y prend plutôt mal.

Une semaine à USPP qui risque de nous surprendre de jour en jour et pour ne rien manquer, rendez-vous dès 18h sur Noovo, et ce, jusqu’à vendredi.

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Guillaume Pineault confirme être en couple et revient sur la fameuse rumeur impliquant Korine Côté

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La planète vedettes a frétillé l’été dernier lorsqu’une publication artistique a rapporté une rumeur voulant que les humoristes Guillaume Pineault et Korine Côté formaient un couple.

Une idylle qui n’aurait pas été impossible, puisqu’on ne connaissait pas de nouvelle amoureuse à Guillaume depuis sa rupture d’avec Anne-Élisabeth Bossé, à l’automne 2022. Quant à Korine Côté, on apprenait en début d’année qu’elle était désormais séparée de l’auteur Simon Cohen, le papa de son fils de 5 ans. On sait par ailleurs que Guillaume et Korine se connaissent depuis longtemps; ils avaient notamment participé en duo à l’émission Les dieux de la danse, en 2018.

Or, Guillaume et Korine n’ont pas laissé les ouï-dire s’emballer très longtemps. Le 2 août, les deux artistes publiaient une rigolote vidéo sur Instagram, dans laquelle, lors d’une conversation en visioconférence, ils se moquaient de ladite «nouvelle» les unissant l’un à l’autre.

Toutefois, la fin de la capsule nous laissait sur une note ambiguë: les deux interlocuteurs laissaient entendre qu’ils se «rejoindraient au salon» une fois la conversation terminée.

Qu’en est-il exactement? Nous avons profité d’une entrevue récente avec Guillaume Pineault, sur le tapis rouge de la première du nouveau spectacle de son ami Louis T, Mâle alpha (voyez les photos ici et lisez la critique ici), pour faire la lumière sur cette affaire de la plus haute importance…

Et Guillaume a juré que «l’histoire de Korine, ce n’est vraiment pas vrai».

«Je ne sais pas d’où ça part», a-t-il ajouté. «Les gens ont viré complètement fous avec ça! La vidéo était un peu pour rire de ces gens-là… Mais je pense que ça les a encore plus mêlés! (rires) Je ne sais pas quoi dire…»

Dossier réglé?

Seulement, Guillaume nous a aussi informés, du même souffle, qu’il est quand même en couple actuellement.

«J’ai une copine», a-t-il échappé. Mais celle-ci ne serait pas connue, et Guillaume ne tient pas à la présenter publiquement pour l’instant.

Professionnellement, Guillaume Pineault surfe actuellement sur de très beaux projets. Sa tournée Vulnérable, entamée en mars 2024, va apparemment très bien. «Les billets se vendent et la réponse est bonne. Ça me touche au plus haut point.»

Celui qui collabore régulièrement à l’émission Véronique et les Fantastiques, à Rouge, songe en outre à un nouveau livre, deux ans après la sortie de son ouvrage Elle r’viendra pas, Camille: Journal d’un amoureux (un peu niaiseux). L’auteur a obtenu un joli succès avec le récit de ses anciennes histoires d’amour, et semble-t-il que la maison d’édition Cardinal serait intéressée à publier de nouveaux écrits de sa main.

«Les gens m’en parlent beaucoup. Je ne suis pas fermé à l’idée. J’ai des idées pour un prochain livre», a mentionné Guillaume… signalant au passage que ses anciennes flammes ne seront pas à l’avant-plan, cette fois!

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Top-5 : Marc-André Fleury célèbre sa victoire avec Crosby et Letang

Hier soir, il y avait sept matchs à l’affiche.

Le Canadien s’est incliné contre Seattle.

Voici les résultats et les faits saillants des six autres duels :

1. Marc-André Fleury célèbre sa victoire avec Crosby et Letang

Soirée très émotive à Pittsburgh!

En effet, Marc-André Fleury était de retour à Pittsburgh pour possiblement une dernière fois. Et il a terminé ça en beauté. Victoire de 5-3 dans laquelle il a réalisé 26 arrêts.

Après la rencontre, ses bons amis Sidney Crosby et Kris Letang l’attendaient pour célébrer avec lui.

Quel moment à Pittsburgh!

Après la rencontre, il a remercié les partisans.

Et en début de rencontre, ces mêmes partisans lui ont donné une ovation.

2. Un touché et une conversion de deux points pour les Sens

Les Blues ont eu de la difficulté samedi contre Montréal.

Et leur voyage cauchemardesque dans l’Est canadien s’est poursuivi. Hier, ils se sont inclinés par la marque de 8-1 à Ottawa.

Brady Tkachuk a marqué deux buts.

Et Tim Stutzle a démontré l’étendue de son talent.

Quel jeu!

3. Deux buts d’Alex Ovechkin

Comme on le sait tous, Alex Ovechkin est à la chasse aux records.

Hier, il a inscrit deux filets et s’est rapproché à 37 buts de Wayne Gretzky et du premier rang des buteurs de l’histoire.

Victoire des prochains adversaires du CH par la marque de 5-3 contre les Rangers.

En huit matchs cette saison, Ovi a déjà quatre buts. Il est en voie d’en marquer 41, ce qui dépasserait le record de Gretzky.

Espérons qu’il continue sur sa lancée.

Le capitaine est peut-être le principal contributeur de cette victoire, mais le gérant de l’équipement des Caps a presque récolté une passe, lui.

Dommage qu’Aliaksei Protas n’ait pas capitalisé…

4. Matvei Michkov essaye le Michigan

Incluant les matchs d’hier, Matvei Michkov a neuf points en 10 matchs.

Pas mal pour une recrue!

Hier, il était à l’aise, si bien qu’il a essayé le Michigan.

Cela n’a pas été trop concluant, mais au moins, il l’a essayé.

Les Flyers l’ont remporté malgré tout. Victoire de 2-0.

On ne peut pas dire que Joonas Korpisalo n’a pas essayé de garder son équipe dans le match…

Il a finalement terminé la rencontre avec 17 arrêts (sur 18 lancers).

Jeu blanc de 23 arrêts pour son adversaire Samuel Ersson.

5. Les Sharks en gagnent une deuxième consécutive

Après un très mauvais début de saison, les Sharks vont mieux dernièrement.

Ils ont gagné leurs deux derniers matchs et hier, ils ont défait les Kings par la marque de 4-2.

Qui d’autre que Tyler Toffoli pour marquer le but de la victoire en milieu de troisième période?

L’autre héros du match : Jake Walman.

C’est lui qui a ouvert la marque, premièrement.

Et il a finalement terminé la rencontre avec trois points.

C’est son deuxième match de trois points consécutif.

Prolongation

– Toute une séquence!

– Un 100e but pour Troy Terry.

– Brandon Montour, Stutzle et Chandler Stephenson mènent la charge.

(Crédit: NHL.com)

– Six matchs à l’affiche ce soir.

(Crédit: Google)

Au tour de Juraj Slafkovsky de faire preuve d’arrogance envers les médias

Parlons un peu de ce qui s’est passé après le match d’hier. On reviendra au match un peu plus tard.

Après la défaite de 8-2 du Canadien face au Kraken, plusieurs membres du Canadien se sont présentés devant les médias. Martin St-Louis, comme entraîneur, était évidemment du lot.

Et rapidement, on s’est rendu compte que son humour ne semblait pas avoir l’effet de 2022.

St-Louis n’avait pas l’air d’être lui-même après le match d’hier. Il a mentionné (après une bonne pause) avoir besoin de revoir le match à nouveau avant de l’évaluer devant les médias.

Ce n’est rien pour ramener de son bord ceux qui voulaient sa tête la semaine dernière, ça.

Quelques jours après avoir dit qu’il ne prend pas les critiques des gens vers qui il ne se tournerait pas pour avoir des conseils, St-Louis a pourtant perdu un autre match à fort pointage… en «oubliant» encore une fois de demander un temps d’arrêt à 3-0.

J’imagine que personne d’important ne lui avait dit de le faire la semaine dernière. 

D’ailleurs, Jean-Nicolas Blanchet a raison : si Patrick Roy ou Dominique Ducharme avait tenu de tels propos (sur les critiques et les conseils) la semaine dernière, ça n’aurait pas aussi bien passé.

Et peut-être que ça a paru, hier soir, dans la façon dont les gens ont perçu les commentaires d’après-match du pilote de la Flanelle. Parce que même s’il dit comprendre la frustration des fans, son étoile pâlit publiquement.

Je me demande aussi à quel point cette façon-là de répondre aux médias a inspiré Juraj Slafkovsky. Après tout, après le match, il a imité son entraîneur (et Cole Caufield) en faisant preuve d’arrogance.

Quand il s’est fait demander ce qui empêchait le club de garder son momentum, Slaf a répondu ne pas être en mesure de le dire… avant d’ajouter que les journalistes vont le trouver et l’écrire.

Slaf, qui n’a pas hésité à critiquer Hockey Slovaquie dans les dernières semaines, a été arrogant. Après tout, la question n’était pas exactement chienne, compte tenu du fait que le match a fini 8-2.

Mais tu sais quoi, mon Slaf? On va prendre la balle au bond et regarder ensemble ce qui s’est mal passé, hier. À ta demande!

1. On va même être de bonne foi et commencer avec un point positif : Slaf a sept points en sept matchs cette saison. Hier, il a récolté une sixième passe sur le but #9 (!) de Cole Caufield.

Le Slovaque n’a pas commencé le match sur le premier trio. Mais dès qu’il y a mis les pieds, en cours de match, ça a permis au CH de marquer. Clairement, il eu plus d’impact que Shane Wright… même si son club a perdu.

2. Samuel Montembeault a donné cinq buts en dix tirs. Il est facile de le pointer du doigt, lui qui est vraiment en train de faire oublier son bon début de saison des dernières semaines.

Il n’a pas fait tous les arrêts qu’il avait besoin pour garder son club dans le match et pour devenir un vrai #1 dans la LNH. Et c’est son bâton qui en a payé le prix, au final.

Cayden Primeau (trois buts en treize tirs) a été «meilleur» que Monty, qui était supposément dans sa zone avant la rencontre, mais… ça vaut ce que ça vaut.

Notons que Montembeault, au moins, a été imputable : il s’est présenté devant les médias après la rencontre. Et sans surprise, il n’avait pas exactement le sourire aux lèvres. Mais au moins, il n’a pas été arrogant, lui.

Ça va direct à la poubelle. – Samuel Montembeault sur son match

3. Surprise : les fans n’ont pas apprécié le spectacle.

Il faut vraiment considérer le fait que quelqu’un qui achète un billet pour un match du Canadien a des chances de voir un match de marde. Et il n’y a pas de remboursement dans ces cas-là.

4. Slaf a besoin de savoir pourquoi le club n’est pas capable de construire du momentum ou de faire preuve de constance? On peut penser qu’il y a un certain excès de confiance, dans tout ça.

Est-il possible que les gars aient pensé qu’ils avaient «tourné le coin» après les deux bons matchs de la fin de semaine?

5. Josh Anderson a marqué en fin de match. Je n’ai jamais vu un joueur aussi peu célébrer un but dans la LNH – et je dis ça en sachant que Christian Dvorak joue avec le Canadien depuis 2021.

Mais ça me va. Il n’y avait rien à célébrer, hier soir.

6. Encore une fois, Lane Hutson a joué en masse (seul Cayden Primeau a joué plus que lui) : le défenseur a été utilisé pendant 23 minutes et 27 secondes. Et il a été bon.

Il fait parfois des erreurs, mais ça fait partie de la game. Une chance qu’il est là… mais vivement le retour de Kaiden Guhle.

7. Marc De Foy a écrit, ce matin, que le CH manquait de cran, de chien ou de volonté. Il reste vraiment pas mal de trucs à corriger avant de devenir une bonne équipe… ou même une équipe #DansLeMix.

Mais heille : au moins, le club est léger sur X.

Prolongation

Ce matin, le Canadien va s’entraîner à Brossard à 11h. Je me demande sur quoi l’entraîneur du Canadien va mettre son emphase, compte tenu du fait que tout semble à travailler. À part le tir de Caufield, genre.

Mais en parlant de tir : demain, ce sont les Capitals de Pierre-Luc Dubois d’Alex Ovechkin qui sont au menu. S’il est mal surveillé, il peut vraiment battre la Flanelle à lui seul.

Que mangeait-on avant la déportation en Acadie

Comme à son habitude, Georges Arsenault a servi un menu copieux lors de sa causerie sur la nourriture en Acadie, le dimanche 27 octobre, dans le cadre du Festival de la citrouille de Summerside.  Voici un aperçu de ce qu’on trouvait sur les tables sous le régime français, qui a pris fin avec les déportations.

Comme l’explique Georges Arsenault, plusieurs livres de recettes acadiennes ont été publiés à partir des années 1970 mais les chercheurs disposent de très peu d’information pour la nourriture sous le régime français.

D’entrée de jeux, Georges Arsenault a avoué que trouver des descriptions de ce qu’on trouvait sur les tables avant la déportation n’est pas facile.  Si de telles descriptions existaient, elles auraient vraisemblablement été détruites lors des événements tragiques à partir de 1755.

Cependant, dans ses recherches, il a trouvé des descriptions faites par des personnes en visite en Acadie (Nouvelle-Écosse) dès 1708.

Selon les écrits de cet observateur, les Acadiens mangeaient surtout du «lard», de la viande de porc : «Ils en mangeaient deux fois par jour». 

Les Acadiens ne semblent pas manger de gibier, de viande des bois, mais ils pratiquent la chasse, pour faire du commerce. «Ils n’aiment ni le veau ni l’agneau et regardent les champignons comme les plus grands des poisons», cite Georges Arsenault.

Les choux et les navets sont cultivés et poussent en abondance et sont toujours cuits dans la même marmite, dans l’âtre de la cheminée. 

Les Acadiens mangeaient des fruits sauvages, des pommes, du sirop et du sucre d’érable, que les Acadiens ont appris à récolter et produire au contact des Mi’kmaq.  Il y avait également des citrouilles et du blé d’inde dans leur menu, mais pas de patates.  Ce n’est que plus tard que la patate, si précieuse aujourd’hui, a fait son entrée dans les cuisines.

Toujours selon les observations de ce visiteur venu de Normandie en France, les Acadiens n’avaient pas de poules pour les œufs, mais lorsqu’il fallait des œufs, ils allaient ramasser des œufs de goélands sur les dunes. 

Un autre document, datant d’une vingtaine d’années plus tard, vient d’un homme du Massachusetts, en visite à Beaubassin.  Il y décrit des repas où il y a de la «caillette», une sorte de yogourt épais à partir de lait caillé, de mouton et de mélasse.  «On faisait du commerce avec les Antilles et on ramenait de la mélasse.  Ça apparaît très tôt dans les menus», précise Georges Arsenault.

Pour ce qui est de l’île Saint-Jean, des documents décrivant les menus n’ont jamais été trouvés.  Par contre, le grand recensement de 1752 renseigne sur ce que les gens avaient dans leurs provisions.

Alexandre Richard qui vivait à Pointe aux vieux (Malpèque), possédait quatre bœufs, deux vaches, une taure, six brebis, quatre cochons, 17 oies (alors qu’il y en avait 19 dans tout le village selon ce recensement) et 20 poules.  Il avait aussi semé des pois, un aliment de base.

Dans une autre famille, les DesRoches, il y avait un bœuf, une vache, deux veaux, six moutons, deux brebis et une poule.  Il avait aussi semé du blé.

Les fouilles archéologiques faites à Pointe aux Vieux de 2008 à 2011 ont aussi permis d’identifier des aliments.  «On a trouvé des signes qu’il y avait des vaches, des cochons, des brebis, des lièvres, des morses, des bécasses, des tourtes, des restes de morue franche et de morue barbue, des coquilles de toutes les sortes de coquillages, incluant les pétoncles, ce qui est surprenant», a noté Georges Arsenault.

Il y aurait eu aussi des légumineuses (pois et haricots), mais pas de patates.

Dans une prochaine édition de La Voix acadienne, nous verrons que les années suivant les déportations ont été difficiles.

PAR : Jacinthe Laforest / La Voix acadienne

LA UNE : Le public s’est montré très intéressé au menu de la causerie de Georges Arsenault, tenue dans le cadre du Festival de la citrouille, en collaboration avec le Musée acadien de l’ÎPÉ à Miscouche. 

Semaine de l’horreur : Le Silence des Agneaux

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Saviez-vous que Hannibal Lecter, du Silence des Agneaux, est inspiré d’Alfredo Bali Trevino, un médecin mexicain devenu meurtrier, connu pour son charme troublant ?

Dans le cadre de la semaine de l’horreur, nous explorerons 15 films d’horreur ancrés dans des faits authentiques et des anecdotes effrayantes, pour une immersion glaçante dans des histoires qui ont réellement existé. Êtes-vous prêt à découvrir la fine frontière entre fiction et réalité ?

 

«Hannibal Lecter, l’iconique personnage du Silence des Agneaux, s’inspire du tueur Alfredo Bali Trevino. Ce médecin mexicain, après avoir assassiné son amant, s’est tourné vers des victimes innocentes, tout en maintenant une façade charmante.»

Le cinéma d’horreur, avec ses récits surnaturels et ses scènes macabres, sait comment captiver et effrayer le spectateur. Mais que se passe-t-il lorsque l’imaginaire cède la place à des événements réels ? Certains des films d’horreur les plus glaçants ne sont pas uniquement des fictions. Ils sont inspirés d’histoires vraies, d’événements terrifiants et de personnes réelles. De la poupée maudite à la possession démoniaque, en passant par des tueurs en série et des phénomènes paranormaux, ces films captivants nous plongent dans une réalité qui dépasse parfois la fiction.

Ces films d’horreur, basés sur des faits réels, montrent à quel point la réalité peut parfois dépasser la fiction. Leur ancrage dans des événements authentiques leur confère une dimension effrayante supplémentaire, captivant le public au-delà du simple divertissement.

Quelle voiture intermédiaire choisir pour obtenir de la puissance?

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« Je recherche une voiture intermédiaire pour remplacer mon Buick Encore actuel, avec lequel je manque de puissance. Je cherche d’abord la puissance, et ensuite la fiabilité et le confort. J’ai un budget de 35 000 $ et je suis ouverte aux voitures d’occasion de 2023 ou plus récentes. Que me suggérez-vous? » – Lorraine

Réponse

Bonjour Lorraine,

Les voitures intermédiaires performantes sont moins présentes qu’auparavant puisque plusieurs constructeurs ont choisi d’éliminer les variantes à moteur V6 pour ne conserver que les motorisations d’entrée de gamme. Même si le choix est moins grand, ça ne change rien aux qualités de ces voitures qui demeurent très bonnes, même si leur popularité a fléchi dans les dernières années.

Par exemple, la Toyota Camry est une très bonne voiture, qui parvient à combiner une bonne fiabilité avec une valeur de revente élevée et de faibles coûts d’entretien, mais le moteur V6 a été éliminé graduellement, tant et si bien que la dernière année de disponibilité dans une version autre que l’extrême TRD est 2022, dans la déclinaison XSE V6. Déjà là, il faut reculer plus que les années que vous avez en tête, et le prix demeure très élevé. Même d’opter pour une Camry hybride, à mi-chemin entre la version de base et celle à moteur V6 en matière de performance, est impossible, étant donné la forte valeur du modèle, qui dépasse votre budget pour l’année modèle 2023 ou plus récente.

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Du côté de la Honda Accord, à compter de 2023, il ne reste que la version à moteur 4-cylindres de 1,5 litre, dont la puissance est faible, et la version hybride qui elle, se débrouille bien en matière de puissance. Hélas, la valeur de revente élevée de cette variante hybride fait qu’elle dépasse allègrement votre budget.

Des modèles qui ont moins de valeur?

Parmi les intermédiaires restantes, il y a la Kia K5 et la Hyundai Sonata. Ces deux berlines sont sous-motorisées dans leur version de base, mais proposent la version GT pour la K5 et la N Line pour la Sonata. Elles sont munies d’un 4-cylindres turbocompressé de 2,5 litres d’une puissance de 290 chevaux. La transmission est automatique à double embrayage à huit rapports à embrayage humide, qui transmet la puissance aux roues avant. Notez que la dernière année de commercialisation de la Kia K5 était 2023, ce qui diminue d’autant plus vos possibilités.

Il y a aussi la Subaru Legacy en version GT, dont la dernière année de commercialisation est 2024. Sa puissance est bonne, comme sa fiabilité et son confort. Elle propose en plus le rouage intégral, ce qui est un gain dans nos conditions.

L’avantage de ces voitures est leur prix. Comme elles n’ont pas beaucoup de renommée dans le marché, leur valeur est affectée à la baisse. Ça vous permet d’obtenir une voiture récente à prix relativement attrayant, contrairement aux Japonaises susmentionnées. Hélas, la contrepartie est que la valeur ne sera pas bonne pour vous à long terme. Je conseille fortement de conserver la voiture à plus long terme pour éviter d’essuyer une trop grande porte financière.

Hélas, elles seront toutes très difficiles à trouver dans le marché de l’occasion, compte tenu de leur faible distribution.

D’autres options?

Hélas, il n’y a pas réellement d’autres options pour répondre à vos critères serrés. Est-ce qu’il serait pertinent d’allonger un peu plus d’argent pour avoir accès à une Hyundai Sonata N Line neuve, sans doute plus facile à trouver que sur le marché de l’occasion? Peut-être, d’autant plus que les taux d’intérêt au financement seront sans doute plus intéressants.

L’autre option serait d’ouvrir vos horizons en matière d’année modèle pour reculer un peu dans les années, ne serait-ce qu’en 2021 ou 2022. Vous pourrez ainsi opter pour une Toyota Camry hybride ou V6, ou une encore une Honda Accord 2,0T de précédente génération, qui respecteraient votre budget et qui demeurent d’excellentes voitures.

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La Plymouth GTX 1967 renaît, mais électrifiée

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Le concept Plymouth GTX Electromod 1967 représente une fusion audacieuse entre le passé et le futur de l’automobile, c’est du moins ce que MOPAR, la division de Fiat Chrysler spécialisée dans les pièces détachées et la personnalisation de véhicules, nous dit. Le véhicule, qui sera exposé lors du SEMA Show de Las Vegas, sert aussi d’étude pour l’entreprise qui tente de déterminer si les ensembles de conversion en véhicules électriques à batterie (VÉB) intéressent les passionnés.

Un style électrisant

Au premier coup d’œil, la Plymouth GTX Electromod 1967 séduit par son esthétique soignée. La carrosserie, habillée d’un bleu givré, arbore des lignes plus dynamiques que l’originale.

Les passages de roues élargis, les pare-chocs intégrés et les éléments en noir satiné confèrent au véhicule une allure à la fois rétro et contemporaine. Il faut d’ailleurs noter que MOPAR a produit une série de pièces sur mesure pour le véhicule, comme l’aileron en fibre de carbone sur le coffre, les feux de route à DEL et les bavettes de pare-chocs arrière et avant en fibre de carbone.

Cabine personnalisée

L’habitacle de la GTX Electromod a également été repensé pour offrir un mélange de confort et de sportivité, aux dires de MOPAR. Les sièges baquets, revêtus de cuir et de suède, ont été teints de couleur bleu indigo. La console centrale, le volant et les intérieurs de portières ont été spécialement conçus pour le Plymouth GTX Electromod 1967.

Le tableau de bord est doté d’une instrumentation numérique qui affiche toute l’information nécessaire au conducteur. Des pédales en acier inoxydable ont aussi été greffées aux véhicules pour créer une ambiance sportive, selon MOPAR.

Une mécanique électrique

Sous le capot en fibre de carbone, on découvre un compartiment moteur entièrement repensé pour accueillir le système de propulsion électrique. Le cœur de la GTX Electromod réside dans son module d’entraînement électrique à 400 volts et de 250 kilowatts. Selon MOPAR, le véhicule promet 335 chevaux. Il faut noter que l’entreprise a choisi le même moteur électrique que celui utilisé dans le Dodge Charger Daytona EV.

Ce système puissant est associé à un système de 4 batteries aux lithium-ion qui promet 73 kilowattheures. Trois d’entre elles sont placées dans le coffre, une autre sous le radiateur l’avant. Nous n’avons pas les chiffres de poids du GTX Electromod ni sa vitesse maximale, mais les ingénieurs de l’entreprise nous ont confirmé que le véhicule peut atteindre plus de 160 kilomètres/heure.

L’autonomie est estimée à environ 400 kilomètres, selon MOPAR. Pour compléter le tableau, la voiture repose sur une suspension sport qui a été spécialement réglée pour le véhicule, et la GTX Electromod a droit à des freins à disque de hautes performances.

MOPAR ne le cache pas, l’idée du concept GTX Electromod consiste à ouvrir de nouvelles perspectives pour la restauration de voitures classiques. L’entreprise aimerait offrir à des clients bricoleurs et en recherche de technologies, un ensemble identique à celui de la GTX Electromod. Les prix ne sont toujours pas connus, MOPAR annoncera plus de détails au cours des prochains mois.

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Stellantis poursuit ses arrêts de production

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Le géant de l’automobile Stellantis fait face à une période de turbulences. Après l’arrêt de production de plusieurs modèles, c’est au tour du complexe d’assemblage de Detroit-Jefferson, un pilier de la production d’automobiles américaine, de connaître une interruption d’activité. Cette décision, annoncée par Stellantis, a suscité de vives inquiétudes chez les employés et les observateurs du secteur.

Des chaînes de production à l’arrêt

Selon un rapport de Mopar Insiders, les lignes de production seront à l’arrêt du 28 octobre au 1er novembre. Si aucune raison officielle n’a été avancée, il est clair que Stellantis cherche à ajuster sa production face à des défis économiques et de marché complexes.

Ce sont les Jeep Grand Cherokee et les Dodge Durango, deux piliers de la marque, qui seront directement impactés par cette pause. Parlant de la situation, il faut préciser que les difficultés de Stellantis sont multiples. Le groupe automobile fait face à une surproduction importante, notamment en Amérique du Nord, où les stocks de certains modèles, comme ceux d’Alfa Romeo, atteignent des niveaux alarmants. Bref, l’année 2024 n’aura pas été de tout repos pour le constructeur.

Cette situation est due en partie à une demande en baisse et à des problèmes d’approvisionnement en composants électroniques qui ont perturbé les chaînes de production ces dernières années. Stellantis doit aussi composer avec une concurrence accrue sur le marché des véhicules électriques, un segment où le groupe a été relativement lent à investir. Les consommateurs se tournent de plus en plus vers des modèles plus écologiques, ce qui met sous pression les constructeurs traditionnels.

Une stratégie à revoir

Le PDG de Stellantis, Carlos Tavares, a reconnu que le groupe devait revoir sa stratégie, notamment en Amérique du Nord. Une mauvaise exécution marketing et des problèmes de qualité ont été pointés du doigt. Tavares a également souligné la nécessité pour toutes les marques du groupe de démontrer leur viabilité dans les années à venir, sous peine d’être abandonnées.

Parlant du grand patron, celui-ci a annoncé la semaine dernière qu’il prendrait sa retraite en 2026, soit à la fin du mandat qu’il a accepté. La production du Jeep Grand Cherokee et du Dodge Durango devrait, en théorie, reprendre après le 1er novembre 2024.

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La pensée du crabe masqué

«Aimer une personne qui ne t’aime pas, c’est comme attendre un bateau à l’aéroport» – Robert Mugabe

 

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