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Valérie Roberts: «On n’était sûrement pas destinés à être ensemble»

De passage au balado Entre Elle et Lui, Valérie Roberts a abordé avec franchise plusieurs sujets personnels, notamment sa vie amoureuse.

Elle a avoué croire que son histoire avec Martin Juneau n’était peut-être pas écrite d’avance. Au moment de leur rencontre, Martin venait de fonder une famille ainsi que de se séparer et n’envisageait pas d’avoir d’autres enfants, tandis qu’elle, au contraire, aspirait à cette nouvelle étape.

«(…) Mon chum, quand je l’ai rencontré, ça ne faisait pas longtemps qu’il venait de se séparer. La dernière affaire qu’il souhaitait, c’était de se rembarquer avec quelqu’un de 10 ans plus jeune, qui voulait se marier, avoir une maison et des enfants (…) dernière affaire qu’il souhaitait (…)», lance-t-elle, en expliquant qu’elle a aussitôt exprimé clairement ses désirs et lui a offert le choix de mettre fin à leur histoire ou de la poursuivre.

«(…) Au bout du compte, on n’était sûrement pas destinés à être ensemble, Martin et moi (…) je ne pense pas pour de vrai (…)», continue Valérie, avant qu’on ne lui demande si elle pensait cela à cause du timing de leur rencontre.

Capture YouTube @Entre Elle et Lui Podcast

«(…) À cause de nos vies respectives, à cause que lui, il venait de se séparer, c’était compliqué, moi, je n’avais pas le goût d’embarquer dans cette dynamique familiale-là, finalement j’y suis et c’est parfait ainsi, tu sais, mais je pense (…) on était deux personnes au même moment qui n’étaient pas prêtes à vivre ce qu’on voulait vivre, mais qui se trippaient dessus suffisamment pour dire que ça allait être correct (…)», témoigne-t-elle.

Elle soutient croire qu’à partir du moment où quelqu’un affirme ne pas être prêt à s’engager, c’est probablement parce qu’il ne souhaite pas s’engager avec toi en particulier.

Rappelons que Valérie et Martin sont en amour depuis plusieurs années et qu’ensemble, ils ont une petite fille prénommée Lucie.

Nous leur souhaitons beaucoup de bonheur!

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Saison de pêche – Gestion des matières résiduelles

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L’arrivée du printemps aux Îles est synonyme du début de la saison de la pêche. La Municipalité demande la collaboration de tous les travailleurs de ce secteur pour assurer une bonne gestion des matières résiduelles tout au long de la saison.

Ça va où…?

Le carton
Dans les presses à carton sur les quais qui ont cet équipement, ou en petite quantité dans les conteneurs de recyclage (verts). Les grandes quantités de carton, séparées des autres matières, peuvent être apportées au CGMR. C’est gratuit.

Les gros volumes de déchets
Les cages à homard ou à crabe, les grandes quantités de cordage de pêche (enroulés), les bouées de pêche ainsi que les gros morceaux de bois ou de métal doivent être apportés au CGMR seulement. Ne jamais les jeter dans les conteneurs.

Les résidus domestiques dangereux
Les huiles, les solvants et l’antigel doivent être placés dans les endroits désignés sur les quais seulement. Les peintures, batteries, piles ainsi que les équipements électroniques doivent être apportés directement au CGMR (et c’est gratuit). Merci de ne jamais jeter ces matières dans les conteneurs à déchets sur les quais ou ailleurs!

Autres
Les films de plastique, les sacs à déchets, les petites quantités de fibre de verre ou de papier et les cartons souillés peuvent être déposés dans les conteneurs à déchets (bacs noirs).

Le cordage
Les cordages en vrac ne seront pas acceptés au CGMR. Seul le cordage en rouleau sera accepté. En effet, le cordage en vrac est difficile à traiter et forme des amas indémêlables. Pour faire un traitement efficace et à moindres frais, il est absolument nécessaire que le cordage soit en rouleau.

Votre coopération pour une bonne gestion des déchets sur les quais est très appréciée.

Source : L’Info-municipale

Séries en bref : Au tour de Gabriel Landeskog de critiquer l’arbitrage

Hier soir dans la LNH, deux séries se poursuivaient.

Les Stars accueillaient l’Avalanche et les Panthers pouvaient pousser le Lightning au bord du gouffre.

Voici les résultats et les faits saillants :

Gabriel Landeskog critique l’arbitrage

Dallas n’est plus qu’à une victoire du deuxième tour.

Hier, les Stars ont écrasé le Colorado et ont même chassé Mackenzie Blackwood de la rencontre.

Wyatt Johnston a parti le bal dès la neuvième seconde.

L’attaquant a terminé la rencontre avec deux buts et une passe.

Voici son autre but, qui a fait mal aux visiteurs.

L’ancien de l’Avalanche et des Hurricanes Mikko Rantanen a finalement marqué son premier but des séries, lui.

Il était temps.

À l’image de la série Canadien-Capitals, l’arbitrage ne fait pas l’unanimité.

Gabriel Landeskog n’a pas gardé la langue dans sa poche après la défaite. « Plusieurs appels de matchs préparatoires », selon lui.

Rappelons que Jakub Dobes et Martin St-Louis ne se sont pas retenus après la défaite des siens dimanche.

En tout cas, un gros match numéro 6 à prévoir, au Colorado, jeudi.

Dallas mène la série 3-2.

Les deux équipes de la Floride ont marqué deux buts en 11 secondes

Dans la bataille de la Floride, les Panthers pouvaient pousser leur adversaire au bord de la falaise.

Et c’est exactement ce qu’ils ont fait grâce à une victoire de 4-2. Hier, toutes les séries de l’Ouest étaient égales 2-2… et maintenant, toutes les séries de l’Est sont menées 3-1.

Dans la victoire, les deux équipes floridiennes ont marqué deux buts en 11 secondes. Tampa Bay a pris les devants 2-1, premièrement.

Et en fin de match, c’était au tour des locaux d’en marquer autant en 11 secondes.

C’est fou!

Dès demain, les champions en titre pourraient éliminer le Lightning à Tampa Bay.

La troupe de Paul Maurice mène la série 3-1.

Prolongation

– Ouin.

– Quand même.

– Les joueurs avec deux points ou plus.

(Crédit: NHL.com )

– Quatre matchs à l’affiche ce soir. Les Leafs et les Hurricanes peuvent éliminer les Sens et les Devils.

(Crédit: NHL.com )

Deuxième commotion cette saison? Alexandre Carrier doit être prudent

Le Canadien est au bord de l’élimination, en ce moment. Il doit gagner ses trois prochains matchs, dont deux sur la route, pour survivre et accéder à la deuxième ronde des séries.

Est-ce que c’est probable? Est-ce que c’est possible? Si les Libéraux ont battu les Conservateurs malgré leur avance monstrueuse dans les sondages dans les derniers mois, tout est possible, me direz-vous.

On va s’entendre sur le fait que c’est un défi de taille.

Ce qui joue contre le Canadien, en ce moment, ce sont les blessures. Outre Carey Price Kirby Dach, dont la saison est finie depuis plusieurs semaines, le Canadien doit jouer sans Patrik Laine et Samuel Montembeault pour le moment. Et il y a de l’incertitude concernant Alexandre Carrier.

Rappelons que les ajouts de Carrier et de Laine, en décembre, avaient dynamisé le Canadien. Je sais que la donne a changé depuis le temps avec Laine, mais quand même.

En ce moment, l’attention est tournée vers Carrier, le plus gros point d’interrogation à environ 36 heures du prochain match. Est-ce qu’il sera en mesure de jouer demain? On ne le sait pas.

On pourrait avoir des réponses aujourd’hui en marge de l’entraînement, mais ça reste à suivre. Après tout, comme vous le savez, il a été pas mal amoché lors du match de dimanche.

Mais même si la saison du Canadien est sur la ligne, il faut quand même jouer de prudence. Après tout, s’il a subi une commotion dimanche, il ne faudra pas le rusher, on s’entend.

On ne sait pas si c’est ce qu’il avait dimanche, mais la tête a souvent été le point de contact en lien avec le coup de Tom Wilson. Ce serait un miracle si la tête n’avait pas été affectée.

On dit aussi ça parce que plus tôt cette saison, Carrier a subi un coup de la part de Brady Tkachuk. C’était lors de son dernier match avec les Preds avant d’être échangé au Canadien.

En décembre, on disait que c’était probablement une commotion. Il a raté quelques matchs.

Donc oui, la prudence sera de mise pour Carrier (même s’il veut sans doute jouer demain) puisque pour sa santé à court, moyen et long terme, il ne peut pas risquer de jouer s’il a mal à la tête. Et il ne peut pas avoir un autre coup à la tête cette saison.

Évidemment, on ne sait pas exactement combien de commotions il a fait cette saison, ni à quel point cela a fessé fort pour lui. Mais comme le protocole des commotions a l’air lousse en séries et que l’arbitrage est… ordinaire, jouer avec un mal de tête, pour un gars de moins de six pieds, c’est un risque.

en rafale

– C’est notamment de ça qu’Alexandre Carrier doit se protéger.

– Oui.

– Avec raison.

– Ça se note.

– À surveiller ce soir.

Biscuit

Je vous présente Biscuit. Biscuit est un beagle curieux qui garde toujours son visage collé à la fenêtre… Gourmand, il mange de tout (y compris des paires de bas). Mais au-delà d’être le plus beau, Biscuit est le plus attachant des chiens. Il adore les câlins et les caresses. Ses humains préférés sont clairement Charles-Isaac et Jasmine.

Le Bloc québécois l’emporte dans Gaspésie—Les Îles-de-la-Madeleine—Listuguj

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Le Bloc québécois (BQ) a officiellement ravi la circonscription de Gaspésie—Les Îles-de-la-Madeleine—Listuguj aux libéraux. Alexis Deschênes a remporté son pari en éjectant de son siège la députée sortante et ex-ministre Diane Lebouthillier, qui sollicitait un quatrième mandat.

L’avocat gaspésien a remporté la lutte à deux qui l’opposait à son adversaire du Parti libéral du Canada (PLC) au terme d’une soirée en dents de scie et d’un dernier droit de dépouillement favorable. Sa victoire a été proclamée par Radio-Canada vers 22 h 30 alors qu’il cumulait déjà une avance de 3095 voix. L’écart avec sa principale rivale a néanmoins continué de se creuser par la suite.

Alexis Deschênes, durant son discours de victoire.

Résultats dans Gaspésie—Les Îles-de-la-Madeleine—Listuguj après le dépouillement de 336 des 337 bureaux de scrutin

  • Alexis Deschênes (Bloc québécois) : 45,9 %
  • Diane Lebouthillier (Parti libéral du Canada) : 38,2 %
  • Jean-Pierre Pigeon (Parti conservateur du Canada) : 12,3 %
  • Denise Giroux (Nouveau Parti démocratique) : 1,7 %
  • Shawn Grenier (Parti Rhinocéros) : 1,0 %
  • Christian Rioux (Parti populaire du Canada) : 0,8 %

Cette élection aura été la bonne pour M. Deschênes, qui a mordu la poussière à deux reprises au provincial par le passé alors qu’il portait les couleurs du Parti québécois. Le Gaspésien a été défait en 2022 dans la circonscription de Bonaventure par la caquiste Catherine Blouin. L’aspirant politicien avait également terminé deuxième aux élections provinciales de 2014, cette fois dans la circonscription de Trois-Rivières.

Je suis heureux, je suis content. Je suis vraiment touché que les Gaspésiens et les Madelinots m’aient fait confiance.

Une citation de Alexis Deschênes, député bloquiste dans Gaspésie—Les Îles-de-la-Madeleine—Listuguj

De façon bien personnelle, j’ai encore un peu de difficulté à y croire, mais ça va venir, a ajouté l’élu en riant. M. Deschênes a précisé avoir particulièrement aimé vivre la soirée électorale en compagnie de ses fils, témoins de sa défaite de 2022.

Je suis vraiment fier du courage, en quelque sorte, des électeurs gaspésiens et madelinots qui malgré une tendance qui était plutôt forte d’aller vers Parti libéral, ont été réceptifs à ce qu’on leur proposait : un député qui écoute, un député qui mobilise, un député qui agit.

Une citation de Alexis Deschênes, député bloquiste dans Gaspésie—Les Îles-de-la-Madeleine—Listuguj

Le député bloquiste aspire désormais à bâtir une équipe de comté solide qui pourra accompagner les commettants de sa circonscription lorsqu’ils vivront des difficultés reliées au fédéral. Mon but, c’est d’abord ça : que les gens sentent qu’on est là pour eux et qu’on va les défendre quand ils auront des problèmes.

Les militants bloquistes, quelques minutes avant l'annonce de la victoire d'Alexis Deschênes

Le retour progressif de VIA Rail à New Carlisle et les tarifs douaniers imposés par les États-Unis à l’industrie forestière constituent les dossiers prioritaires du nouveau député.

L’heure de la retraite pour Diane Lebouthillier

Élue pour la première fois en 2015, Diane Lebouthillier encaisse pour sa part un tout premier revers électoral. Elle a d’ailleurs confirmé qu’il serait également son dernier. C’est la fin de ma carrière en politique, ça je peux vous l’assurer, a-t-elle répondu aux journalistes qui l’ont interviewée au terme de la soirée.

C’est ça la démocratie. Les gens ont voté et je respecte ça.

Une citation de Diane Lebouthillier, candidate libérale défaite dans Gaspésie—Les Îles-de-la-Madeleine—Listuguj

Appelée à interpréter les résultats de lundi soir, l’ex-ministre des Pêches a nié que la perte de ce poste, tout juste avant le déclenchement de la campagne électorale, ait pu peser dans la balance. Mme Lebouthillier a par ailleurs indiqué qu’elle ne regrettait pas les décisions prises alors qu’elle était à la tête de ce ministère. Si j’avais à reprendre toutes les décisions que j’ai prises, je reprendrais exactement les mêmes décisions, a-t-elle lancé.

Diane Lebouthillier, en entrevue

Selon l’ex-députée fédérale, les investissements dans les ports pour petits bateaux et l’octroi de permis de pêche exploratoire au homard seront ses plus grands legs dans la circonscription qu’elle a représentée durant 10 ans à la Chambre des communes.

La candidate défaite a par ailleurs tenu à féliciter Alexis Deschênes, précisant qu’elle et lui avaient tous les deux sillonné l’immense territoire de Gaspésie—Les Îles-de-la-Madeleine—Listuguj durant la campagne.

Des militants libéraux réunis à Chandler pour soutenir la candidate et députée sortante Diane Lebouthillier

Lors des élections fédérales de 2021 dans Gaspésie—Les Îles-de-la-Madeleine, Diane Lebouthillier avait tenu bon devant Guy Bernatchez, qui représentait le Bloc québécois. Celle qui était à l’époque ministre du Revenu national avait mis la main sur 46,4 % des votes alors que son plus proche rival était parvenu à récolter 39,3 % des voix. La libérale avait 2617 voix d’avance.

Les électeurs de la circonscription voisine, Rimouski–La Matapédia, ont aussi opté pour le Bloc québécois en choisissant une nouvelle fois comme député Maxime Blanchette-Joncas.

Une carte illustre les victoires des bloquistes dans Gaspésie—Les Îles-de-la-Madeleine—Listuguj et dans Rimouski–La Matapédia.

Gaspésie—Les Îles-de-la-Madeleine—Listuguj constitue une nouvelle circonscription qui a été remodelée à la suite de la disparition d’Avignon–La Mitis–Matane–Matapédia. L’ancien comté regroupant la Gaspésie et les Îles-de-la-Madeleine a été détenu par le Bloc québécois pour la dernière fois entre 2004 et 2011. Raynald Blais, décédé en septembre 2023, représentait cette circonscription à la Chambre des communes.

 

LA UNE :  Deschênes embrasse sa conjointe Pénélope Garon dans les secondes suivant l’annonce de son élection. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

PAR

Toyota Land Cruiser ROX Concept : on le voudrait!

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Lors de notre visite au Salon de l’auto de New York, un véhicule concept a immédiatement attiré l’attention des membres de l’équipe RPM présents sur place. Il s’agissait du Toyota Land Cruiser ROX, un concept présenté initialement lors du SEMA à l’automne dernier et également exposé à New York.

Il faut mentionner que les concepts sont de plus en plus rares : non seulement ils sont coûteux à développer, mais les designers disposent aujourd’hui d’outils numériques leur permettant de donner libre cours à leur imagination sans passer par la fabrication physique. Les images de synthèse ont remplacé l’argile.

Un Toyota Land Cruiser sans toit

Les rares concepts que l’on rencontre aujourd’hui retiennent donc particulièrement notre attention, surtout lorsqu’ils sont réussis. Ce fut le cas lorsque notre chemin a croisé celui du Land Cruiser ROX, dont l’appellation est tirée de l’acronyme Recreation Open eXperience. Basé sur la version 250 du Land Cruiser, ce concept propose une interprétation encore plus extrême pour la conduite hors route. Selon Toyota, plus de 50 % de ses pièces sont inédites. Mais ce qui le distingue le plus, c’est sa configuration décapotable qui, à l’instar du Jeep Wrangler, permet de vivre une expérience sans toit.

Inspiré des véhicules de type safari, le Toyota Land Cruiser ROX arbore des lignes beaucoup plus extraverties. L’avant est équipé d’une imposante barre de protection de pare-chocs intégrant des phares auxiliaires, des crochets de remorquage peints en rouge et un treuil pour se sortir des situations difficiles. La teinte de carrosserie extérieure, inspirée du « Spring Green », rend hommage aux couleurs rétro du Land Cruiser et souligne l’héritage emblématique du modèle.

À l’arrière, la carrosserie est entièrement ouverte. Un des éléments les plus remarquables demeure les larges ouvertures sous les portes, laissant entrevoir l’intérieur. Les ingénieurs ont aussi installé une suspension indépendante aux quatre roues, développée sur mesure par l’équipe de TRD. Le véhicule a été surélevé de 102 millimètres (4 pouces) pour offrir davantage de débattement en conduite hors route. Sa largeur de voie a également été augmentée de 203 millimètres (8 pouces) grâce à des bras de suspension en aluminium forgé, à l’avant comme à l’arrière. Des ailes élargies sur mesure recouvrent d’imposants pneus montés sur des jantes de 18 pouces.

L’habitacle profite d’un traitement unique mettant en valeur l’héritage de la marque : sellerie en cuir brun, nombreux filets de rangement pour sécuriser l’équipement et tissus faciles d’entretien.

Le Toyota Land Cruiser ROX a définitivement capté notre attention. Toyota, voilà un véhicule unique qui mérite d’entrer en production!

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Quoi penser du Kia Sportage 2026?

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« Je m’intéresse au Kia Sportage 2026. Je sais qu’il est amélioré pour 2026, mais je me demande s’il est toujours concurrentiel dans cette catégorie qui évolue rapidement, soit celle des VUS compacts. » — Aziz

Réponse

Bonjour Aziz,

Effectivement, le Kia Sportage est amélioré pour l’année modèle 2026. Il faudra attendre quelque temps encore pour qu’il arrive en concession, mais les principaux changements touchent la présentation extérieure rafraichie et le tableau de bord renouvelé. Entre autres, le Sportage arrive avec une nouvelle interface multimédia plus moderne qui peut être connectée à Apple CarPlay et Android Auto sans fil. Il adopte, en gros, les écrans qu’on a vus dans d’autres modèles comme le Kia EV9 et le Kia EV6 2025.

Il n’y a pas beaucoup de changements mécaniques. En effet, le modèle conserve les mêmes moteurs et les mêmes transmissions. Le 4-cylindres 2,5 litres est le moteur de base qui continuera donc d’être plutôt faiblard pour le modèle. Même si sa puissance de 187 chevaux semble concurrentielle, sa transmission automatique à 8 rapports gomme les sensations, un état de fait que l’encombrement du véhicule (et son poids) ne font qu’empirer. C’est pourquoi je préfère la mécanique hybride pour ce modèle, mieux adaptée avec 268 chevaux et avec plus de couple.

Hélas, cette mécanique est difficile à obtenir, puisque Kia en importe peu sur le marché canadien. Si vous n’êtes pas pressé, c’est néanmoins la mécanique à favoriser parce qu’elle est mieux adaptée au modèle que le moteur de base.

Et face à la concurrence?

Même si ces changements ne modifient pas drastiquement la performance et la compétence du modèle, force est de constater qu’ils touchent les aspects principaux qui commençaient à montrer l’âge du Sportage. Les lignes sont plus modernes, de même que toute l’instrumentation et le système multimédia. Les qualités d’espace généreux, de confort général et de comportement routier bien calibré ne changent pas.

C’est donc dire que la position favorable qu’avait le Kia Sportage dans cette catégorie, soit à la deuxième marche de notre palmarès, ne devrait pas changer à court terme. Il faut néanmoins garder en tête que cette catégorie bouge rapidement. Le Subaru Forester proposera sous peu une mécanique hybride, et le Toyota RAV4 arrivera avec une toute nouvelle génération, lui qui commence à trainer de la patte. C’est donc dire que l’ordre établi pourrait être modifié par la venue de ces modèles améliorés.

À plus long terme, soit pour 2027, le Mazda CX-5 subira des changements d’importance également et bénéficiera d’une mécanique hybride éventuellement. Même son de cloche pour le Nissan Rogue qui bénéficiera d’une mécanique hybride et hybride rechargeable pour sa nouvelle génération.

Mais d’ici là, le Kia Sportage demeure un bon véhicule dans cette catégorie et il continue d’être recommandé.

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Le turbot de moins en moins présent dans les filets de pêche

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La pêche au flétan du Groenland n’attire presque plus de pêcheurs en raison d’une ressource dont le déclin s’explique encore très mal.

La saison s’annonçait déjà mal en juillet dernier, le cycle de gestion du turbot (flétan du Groenland), qui se terminera le 14 mai, dans deux semaines, viendra confirmer le brusque déclin d’une espèce qui a fait les beaux jours de la pêche au poisson de fond dans le golfe du Saint-Laurent.

Le MPO a dénombré 170 expéditions de pêche au turbot durant la période estivale de 2023.

C’était 17 en 2024, soit 90 % de moins.

La pêche, qui a démarré le 15 mai 2024, s’effectue en deux périodes, soit une pêche estivale qui s’est terminée le 31 octobre dernier et une seconde printanière, qui a démarré le 1er avril.

Moins de 12 pêcheurs ont été à la pêche au turbot en 2024, contrairement à environ 35 pêcheurs en 2023.

Les quantités débarquées sont à l’avenant. L’année 2024-2025, on parle de 11 tonnes seulement qui ont été débarquées. C’est du jamais vu dans l’histoire de cette pêcherie-là, indique Claudio Bernatchez, directeur général de l’Association des capitaines propriétaires de la Gaspésie (ACPG).

En comparaison, les pêcheurs avaient débarqué 122 tonnes de turbot en 2023.

Claudio Bernatchez ne cache pas son inquiétude. Ça nous fait quand même énormément peur pour l’état de cette biomasse. 

Une pêche moins rentable

D’autres données alimentent cette crainte. La quantité de poissons par expédition ou par pêcheur a baissé également de 70 % en 2024 par rapport à 2020, indique l’agent régional principal des pêches pour la région du Québec, Steve Trottier.

À titre de comparaison, le MPO a évalué que les débarquements étaient en moyenne de 225 kg par expédition de pêche en 2024 et de 750 kg par expédition en 2023. On a déjà eu des périodes où les rendements excédaient une tonne ou deux tonnes par expédition de pêche, souligne le responsable de la gestion des pêches du MPO.

D’autres facteurs expliquent aussi le manque d’intérêt des flottilles. Les pêcheurs, explique M. Trottier, ont beaucoup de difficultés à trouver les poissons plus gros, donc de taille commerciale, soit de plus de 44 cm. C’est un phénomène également qui explique le manque d’activité et aussi les rendements. 

Les sorties en mer sont donc de moins en moins rentables, et ce, dans un contexte où l’inflation pèse déjà sur les entreprises de pêche.

Au Québec, quelque 350 pêcheurs à engins fixes possèdent un permis donnant accès au flétan du Groenland. En moyenne, selon Steve Trottier, du MPO, entre 100 et 120 pêcheurs pouvaient participer à la pêche dans les années passées.

Ça vient fragiliser beaucoup nos entreprises de pêche, souligne Claudio Bernatchez, de l’ACPG, qui rappelle que si le turbot était une pêche secondaire, elle constituait néanmoins un revenu d’appoint qui venait consolider une saison de pêche et pouvait même être parfois le principal revenu de la saison.

Enseigne de l'usine de transformation Poissonnerie Blanchette avec installations en arrière-plan.

Pour la péninsule, ce sont aussi des emplois en mer et en usine qui ont carrément disparu en trois ou quatre ans.

C’est sûr que les pêcheurs de turbot ont des permis multiespèces, explique Samantha Bois-Roy, représentante des engins fixes à l’ACPG, mais ce sont des portefeuilles qui sont diversifiés avec de très petites quantités d’autres espèces. Ils sont rendus au point où il reste des grenailles de crabe, un peu de turbot et quelques livres de flétan. Ce n’est pas quelque chose qui permet d’avoir une entreprise viable.

Des données manquantes

Le quota, qui s’élevait à 4500 tonnes en 2016, est en diminution depuis une bonne dizaine d’années. En 2024-25, le total de captures autorisées (TAC) par le MPO était de 2000 tonnes.

Dans le prochain plan de pêche, le ministère recommanderait un TAC de 290 tonnes pour deux ans. C’est minime, mais c’est déjà 17 fois plus que ce qui a été pêché l’an dernier. Rendu au point, on est là, ce n’est pas les total des captures autorisées (TAC) qui déterminent vraiment les prises. C’est vraiment la ressource elle-même qui dicte l’effort de pêche, constate Claudio Bernatchez de l’ACPG.

Depuis 2020, la forte baisse des débarquements est, en fait, plus importante que la diminution de la biomasse.

Les modèles déployés par le MPO projettent plus de captures que les pêcheurs peuvent aller en chercher.

Une citation de Claudio Bernatchez, directeur général de l’ACPG

Malgré tout, la science s’explique mal le déclin abrupt de la ressource.

Des flétans au fond d'un bateau de pêche. Un pêcheur manutentionne un bac rempli de poisson.

Du haut de la zone de prudence en 2022, le stock de turbot est maintenant dans le bas de la zone de prudence.

Le biologiste responsable de l’évaluation des stocks de flétan du Groenland (turbot) au ministère des Pêches et des Océans (MPO), Jean-Martin Chamberland, souligne que le dernier bon recrutement de jeunes turbots remonte à 2019 et que cette cohorte ne s’est jamais rendue à la taille commerciale de 44 cm.

Les années 2021 et 2022 ont été les deux dernières où des cohortes ont laissé paraître un espoir de rétablissement des stocks. J’avais un certain optimisme à cette époque, admet le biologiste du MPO. Je ne m’attendais pas à ce que les cohortes disparaissent soudainement comme ça a été le cas, je m’attendais à ce qu’elles aient un taux de croissance normal.

Les biologistes savent que le flétan du Groenland est dans le golfe à la limite sud de son aire de répartition, mais il n’y a pas que le réchauffement de l’eau qui a un impact négatif.

L’analyse des estomacs des spécimens prélevés dans le nord du golfe démontre que les deux principales proies du turbot, le capelan et la crevette nordique, sont de moins en moins présents dans le régime alimentaire. On a remarqué que les individus de plus de 35 cm étaient très maigres ces dernières années, ils sont en mauvaise condition et sont plus sujets à mourir de façon naturelle.

Assouplissements

Samantha Bois-Roy, de l’ACPG, estime que le modèle d’évaluation du MPO n’est pas complet et que certaines données doivent être validées ou vérifiées, notamment celles de la taille à maturité des turbots, un peu comme c’est le cas du sébaste. Ce que nous on pense, c’est que justement le manque d’oxygène, le réchauffement de l’eau, le manque de nourriture font en sorte que les poissons ne grossissent plus, indique Mme Bois-Roy.

Flétan du Groenland, communément appelé turbot

C’est une hypothèse que le ministère examine, mais il serait encore trop tôt pour l’inclure ainsi que d’autres données dans les modèles d’évaluation des stocks.

« On va commencer à travailler dans la prochaine année sur un modèle mathématique pour prédire ce qui s’en vient dans le futur, puis ça va nous permettre de voir différents scénarios, pour voir s’il y a des chances que le stock se rétablisse ou pas. Ça va nous permettre aussi de départager l’effet de l’environnement de l’effet de la pêche sur ce qu’on observe », explique le biologiste Jean-Martin Chamberland.

Une des préoccupations des pêcheurs est la fermeture depuis trois ans de la zone de l’estuaire, considérée comme un des meilleurs secteurs de pêche. La zone a été fermée par le ministère en raison d’un trop grand nombre de poissons de petite taille.

Dans l’estuaire, on sait que c’est l’endroit où on trouve la plus faible concentration en oxygène dissous. On sait que ce n’est pas favorable, ces conditions environnementales là pour le turbot, mais on ne peut pas dire de manière quantitative dans quelle proportion, ça l’affecte, indique Jean-Martin Chamberland.

L’ACPG croit que si les zones près de Rimouski ou des Méchins peuvent ouvrir, plus de pêcheurs seront tentés par un retour à la pêche au turbot, ce qui aidera la science qui manque de données sur la ressource.

On va continuer à demander de la souplesse puis de l’ouverture de la part du ministère de la gestion des pêches pour permettre d’agrandir les territoires de pêche au turbot pour cette année, indique Samantha Bois-Roy.

L’ACPG veut aussi que le ministère lève la limite de profondeur sur la Côte-Nord et qu’elle ouvre les zones de l’estuaire fermées depuis trois ans. Ça va permettre d’être capable d’aller chercher des données pour poursuivre la réflexion, puis voir l’évolution de la ressource, ajoute Mme Bois-Roy.

Penser à l’avenir de la pêche

L’ACPG espère que quelques pêcheurs poursuivront les efforts de pêche et souhaite éviter l’imposition d’un moratoire, ce qui fermerait des portes difficiles par la suite de rouvrir. Un moratoire, ce n’est jamais la solution. Donc on va toujours demander à ce qu’il ait un quota minimal pour être capable d’aller chercher des informations, des données, pour être capable de faire les suivis avec les sciences, fait valoir Claudio Bernatchez

Le directeur de l’ACPG souhaite une transition vers un nouveau mode de gestion des pêches afin de s’adapter aux changements en cours dans le golfe. Dans une approche écosystémique, dit-il, on n’est pas obligé d’aller pêcher en grande quantité les différentes espèces émergentes. Si c’est pour seulement deux ou trois pêcheurs pour une espèce donnée et que ça permet de venir tonifier les revenus, de développer des marchés de niche. Une espèce à la fois, on aidera une poignée de pêcheurs, mais on aidera à passer au travers. 

Le flétan atlantique, le homard sont des ressources qui se portent bien. D’autres ressources comme la myxine du nord pourraient s’ajouter aux espèces du Saint-Laurent déjà pêchées commercialement.

Une myxine du nord. Cela ressemble à une anguille ou un serpent.

La myxine du nord, consommée notamment au Japon, fait partie de ce type d’espèces qui pourraient faire l’objet d’une pêche scientifique dès cette année. On a des projets qui se dessinent, d’autres qui sont prochainement déposés pour évaluer cette espèce pendant quelques années pour peut-être voir si elle est capable de supporter une pression de pêche et voir les possibilités que les marchés peuvent offrir, ajoute le directeur de l’ACPG.

D’autres espèces, comme le merlu argenté, qui est de plus en plus présent dans le relevé écosystémique du MPO, pourraient faire l’objet d’évaluations plus précises avec la collaboration des pêcheurs.

Mais une autre ombre se profile au tableau pour cette transition. Dans un contexte budgétaire gouvernemental difficile, le soutien financier reste difficile à obtenir, admet M. Bernatchez.

LA UNE : Le flétan du Groenland est de moins en moins présent dans les filets des pêcheurs du Saint-Laurent. (Photo d’archives) Photo : MPO- Claude Nozères

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[VIDÉO] Mélanie essaie de faire pousser ses propres légumes!

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Pour l’arrivée du printemps, Mélanie s’est lancé un défi: faire ses propres semis. Elle a testé 5 différentes techniques, et elle documente son expérience dans sa nouvelle vidéo!

AS

 

Les as de l’info est un quotidien spécialisé pour enfants et une initiative des Coops de l’information. Ce contenu est partagé avec le portail régional ilesdelamadeleine.com, grâce au financement du gouvernement du Canada.

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Yves BOURQUE (1962-2025)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 17 janvier 2025, de monsieur Yves Bourque. Il était âgé de 62 ans, résident de Lévis et originaire de La Vernière, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il était le fils de feu Nestor Bourque et de feu Olivine Gallant, le conjoint de madame Christine Landgon. Il laisse aussi dans le deuil son frère Claude (Nathalie), son oncle Robert (Rolande), ses tantes Sœur Gisèle et Sœur Lucille, ses cousins et cousines, ainsi que tous ses amis des Îles et d’ailleurs.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules, le lundi 4 août 2025, à partir de 14h. Suivront les funérailles à l’église Saint-Pierre de La Vernière, à 16h, et l’inhumation au cimetière de l’endroit.