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Un banc pour se faire des amis : une initiative bienveillante à l’école

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C’est dans un esprit de solidarité et de bienveillance que l’école a inauguré, la semaine dernière, un tout nouveau banc de l’amitié dans sa cour de récréation. Ce banc pas comme les autres est destiné aux élèves de la maternelle à la 6e année qui souhaitent indiquer, de façon simple et douce, qu’ils aimeraient jouer, parler ou même recevoir un petit câlin.

Le principe est simple : un enfant qui s’assoit sur le banc de l’amitié signale aux autres qu’il aimerait de la compagnie. Tous les élèves ont été sensibilisés à cette initiative et sont désormais invités à former une « brigade de l’amitié » afin d’aller vers ceux qui en ont besoin.

« Dans notre école, la bienveillance est une valeur fondamentale. Ce banc est un outil concret pour encourager l’inclusion et l’entraide entre les élèves », souligne l’équipe-école.

Ce projet a vu le jour grâce à l’implication précieuse de Les Constructions des Îles Inc., qui ont généreusement construit le banc sans frais. La touche finale a été apportée par Sara Vigneau, éducatrice, qui a guidé un groupe d’élèves dans la décoration colorée du banc, le rendant encore plus accueillant.

Une belle initiative qui prouve que l’amitié, ça commence souvent par un petit geste… ou un banc bien placé.

Quoi de neuf sur la Fiat 500e 2025?

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Introduite en 2024, la Fiat 500e est la plus récente génération de la petite citadine du constructeur italien. Malgré un design sympathique et un prix alléchant avec les promotions, les concessions semblent tout de même avoir de la difficulté à écouler les inventaires restants. C’est sans doute pour cette raison que c’est uniquement à la mi-année 2025 qu’on nous présente le modèle 2025. Comme cette nouvelle génération en est seulement à sa 2e année sur le marché canadien, les changements annoncés seront mineurs et ne toucheront pas le plan technique.

Qu’est-ce que la Fiat 500e apporte de nouveau en 2025?

Il aura fallu attendre presque à la mi-mai 2025 avant d’avoir des nouvelles de la Fiat 500e 2025. Les changements annoncés ne sont toutefois pas majeurs. La version La Prima, la plus équipée, ajoute 3 nouvelles couleurs à la palette disponible : vert océan, brume marine et balle de tennis. Fiat nous apprend aussi que cette version bénéficie maintenant d’un tableau de bord dont la couleur est harmonisée à celle de la carrosserie. On nous annonce aussi l’ajout de l’édition Giorgio Armani issue d’une collaboration entre le constructeur et le styliste italien. Pour le reste, la Fiat 500e conserve ses acquis, et les éléments techniques présents l’an dernier sont reconduits cette année.

Pourquoi la Fiat 500e ne se vend pas?

Fiat espérait frapper un grand coup en ramenant la 500 sur le marché dans une nouvelle génération sous la forme d’une voiture électrique cette fois. Cependant, certains problèmes de fiabilité lui ont fait de l’ombre, sans parler de la réputation du constructeur, jumelés à son autonomie restreinte de seulement 227 kilomètres. De plus, même si son apparence de voiture mignonne à un prix inférieur aux autres véhicules électriques aurait pu plaire à plusieurs, les chiffres de ventes parlent d’eux-mêmes, la clientèle ne répond pas présente. Ç’a été la même chose avec le Mazda MX-30 qui, lui aussi, était proposé avec de gros rabais à un certain moment donné, mais dont l’autonomie trop basse l’a rendu inintéressant aux yeux des consommateurs.

Il faudra donc attendre pour voir si la Fiat 500e réussira mieux à se vendre dans sa cuvée 2025, mais ce serait très surprenant. Après tout, ce n’est pas 3 nouvelles couleurs et une édition Giorgio Armani qui réussira à relancer les ventes.

Quelle est l’autonomie de la Fiat 500e 2025?

La Fiat 500e 2025 dispose d’une batterie d’une capacité de 42 kilowattheures. Son autonomie annoncée n’est que de 227 kilomètres. Sa vocation cible donc les déplacements urbains ou ceux qui désirent une petite voiture électrique pas trop chère comme second véhicule à la maison.

Quelle est la gamme de prix de la Fiat 500e 2025?

Même si nous sommes déjà bien avancés dans l’année 2025, le configurateur en ligne de la Fiat 500e 2025 pour le Canada n’est toujours pas à jour, au moment d’écrire ces lignes. Nous savons seulement que le prix de départ sera de 42 290 $, y compris les frais de transport et de préparation, pour la version RED. Il s’agit en fait exactement du même prix d’entrée qu’en 2024. On peut donc s’attendre à un prix très similaire pour la version La Prima ou peut-être même le même, qui correspondais à un surplus de 5 000 $, en comparaison avec la version RED, en 2024. Il reste donc juste à voir combien de dollars supplémentaires seront exigés pour la version Giorgio Armani.

Est-ce que la Fiat 500e 2025 est admissible aux rabais gouvernementaux?

Malgré le fait que le gouvernement fédéral ait mis un terme à l’incitatif à l’acquisition d’un véhicule électrique, le gouvernement provincial, de son côté, en offre toujours un. Au moment d’écrire ces lignes, le site web du programme Roulez vert du gouvernement du Québec indique que la Fiat 500e 2025 en version RED et La Prima sont toutes deux admissibles à un rabais pouvant atteindre 4 000 $. Cela permet de réduire le coût d’acquisition, après taxes, et d’en faire le véhicule électrique neuf le plus abordable sur le marché.

Est-ce que la Fiat 500e est un bon choix?

À lumière de l’essai effectué à l’émission RPM et considérant l’histoire de fiabilité catastrophique de la précédente génération, nous préférons garder le véhicule en observation. De plus, certains problèmes d’ordre électrique ont été observés sur cette nouvelle génération arrivée en 2024.

Est-ce que la Fiat 500e aura aussi une version hybride?

Le plus récent communiqué de presse de Fiat au Canada fait uniquement mention de la version électrique de la 500 pour 2025. Cependant, nous avons récemment appris que pour tenter de relancer le modèle sur d’autres marchés mondiaux, une motorisation thermique hybride sera glissée sous le petit capot de la voiture. On dit même que cette dernière pourrait être jumelée à une boîte de vitesses manuelle. Maintenant, est-ce que cet ensemble mécanique pourrait débarquer chez nous? Il faudra attendre de voir ce que les stratèges de Stellantis décideront de faire pour le marché nord-américain.

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C’est impossible à nier : la progression de Florian Xhekaj est impressionnante

Le Rocket de Laval a fait plaisir à ses partisans, hier soir.

La victoire de 4-1 signée aux mains des Americans permet maintenant au club d’avoir l’avance 2-1 dans sa série… et le Rocket est désormais à une seule victoire de la finale de conférence.

Dans le gain de l’équipe lavalloise, on retient la belle performance de Cayden Primeau, qui a été très solide devant son filet. Il avait besoin d’une belle performance et il a été en mesure d’en sortir une grosse. J’y reviendrai.  

Mais il faut aussi parler de Florian Xhekaj… qui a, encore une fois, connu un superbe match.

Le frère de l’autre s’est mérité la 2e étoile du match parce qu’il était partout sur la patinoire durant la rencontre. Il a créé des chances, il a frappé l’adversaire, il a été utilisé à des moments importants… et il a marqué un but de toute beauté.

Florian a profité de sa vitesse – comme il aime bien le faire – pour se détacher de son couvreur et pour battre le gardien à l’aide d’un tir tout simplement parfait :

Il faut le dire.

La progression de Florian Xhekaj est vraiment impressionnante. Et il est impossible de le nier.

Le voir marquer 24 buts à sa première saison dans la Ligue américaine, c’est quelque chose. On parle quand même d’un choix de quatrième tour en qui les attentes n’étaient pas nécessairement élevées lors de sa sélection au repêchage.

Mais le voir élever son jeu d’un cran à un moment important comme celui-ci de la saison, c’en est une autre.

Pascal Vincent lui a lancé des fleurs après le match et c’est mérité : 

C’est sûr que le petit frère d’Arber est en train de gagner des points aux yeux de la direction.

Et plus ça va, plus il donne l’impression que s’il arrive au camp l’an prochain et qu’il est excellent dès le Jour 1, on va commencer à se poser des questions. 

Il faut parler des gardiens 

Ça doit être un peu compliqué pour Pascal Vincent en ce moment.

Il a, dans une main, un gardien qui est excellent depuis le début des séries en Jacob Fowler. Un gars qui semble avoir faim et qui veut se prouver en ce moment.

Et, dans l’autre main, le pilote du Rocket a le gardien qui a amené le club là où il est aujourd’hui en Primeau. Ce dernier a de l’expérience en séries, il est un peu inconstant depuis l’amorce du tournoi éliminatoire… mais il a connu un superbe départ hier soir.

Que faire, donc? 

Depuis le début des séries, Cayden Primeau a joué trois fois.

Le 4 mai, le 14 mai et le 21 mai.

Ce que j’essaie de dire, ici, c’est qu’il n’a pas été surchargé jusqu’à maintenant. Et si Pascal Vincent veut lui faire confiance pour le prochain match de la série, qui s’annonce tout aussi important que le dernier… ce n’est pas l’élément de fatigue qui va l’arrêter.

Mais ecore là, la décision peut être difficile à prendre parce que Fowler est vraiment bon en ce moment lui aussi.

Le Rocket a le luxe de pouvoir compter sur un bon duo en ce moment devant le filet… mais ça complique aussi un peu le travail de l’entraîneur-chef.

J’ai donc hâte de voir, moi, quel sera le choix de l’entraîneur pour la prochaine rencontre, qui sera disputée demain soir (vendredi) à la Place Bell. 

En rafale

– La beauté du sport!

– Tranquille. 

– 😂😅

– Ça commence demain!

– Yes!

Le nouveau Honda Passport 2026 subit une hausse de prix

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Le Honda Passport passe à une nouvelle génération qui met l’accent sur l’aventure hors route en 2026. Les premiers essais du modèle ont été complétés il y a déjà plusieurs semaines, mais nous ne connaissons toujours pas les prix, compte tenu que Honda Canada tentait toujours de figurer quel serait l’impact des tarifs douaniers américains, mais surtout des contre-tarifs canadiens pour ce véhicule assemblé aux États-Unis. L’information vient de tomber et, sans surprise, le Honda Passport 2026 subit une hausse de prix.

Le Passport 2026, qui est déjà prêt à la livraison dans plusieurs concessionnaires au pays, pourra maintenant être livré aux consommateurs puisque le prix est connu.

VersionPrix de détailPrix avec frais ajoutés
TrailSport56 990 $60 158 $
TrailSport Blackout58 190 $61 359 $
TrailSport Touring60 540 $63 708 $
TrailSport Touring Blackout61 740 $64 908 $

Le Passport 2026 commence donc à un prix de 60 158 $, alors que la version d’entrée de gamme, nommée Sport, du Passport d’ancienne génération commençait plutôt à 53 503 $. Pour une comparaison plus juste, il faut comparer avec le modèle TrailSport 2025, dont le prix était, avec tous les frais inclus, de 57 003 $. Il faudra donc débourser 3100 $ de plus pour passer à la nouvelle génération du Passport.

Rappelons que, pour cette nouvelle génération, le Honda Passport change d’approche pour mettre l’accent sur les aventures hors des sentiers battus. En effet, toutes les versions portent le nom TrailSport, avec des déclinaisons qui viennent ajouter de l’équipement, comme la version TrailSport Touring, ou encore un style plus sportif avec les deux versions TrailSport Blackout.

Tous les Passport sont équipés d’un V6 de 3,5 litres à doubles arbres à cames en tête dont la puissance est de 285 chevaux. La transmission automatique à 10 rapports est de série, comme le rouage i-VTM4 de nouvelle génération. La nouvelle génération propose aussi plus d’espace à l’intérieur et plus de capacités, notamment en raison de la présence de plaques de protections en acier sous le véhicule et d’un nouveau mode de remorquage. L’attelage de remorquage est de série sur tous les Passport, ce qui n’était pas le cas précédemment.

Le Honda Passport 2026 est disponible actuellement chez les concessionnaires Honda.

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Sonia Vachon: «J’ai été obligée d’être réconfortée par mes enfants»

Sonia Vachon était récemment de passage à l’émission Salut Bonjour, où elle discutait de son aventure à Sortez-moi d’ici!, puisque, rappelons-le, elle a été, bien malgré elle, éliminée lors du dernier gala de la jungle.

Capture TVA

C’est lors de sa présence sur le plateau d’Ève-Marie Lortie qu’elle s’est confiée sur son expérience, mais aussi sur les difficultés émotionnelles qu’elle a rencontrées lors du visionnement de son départ.

«Moi, j’ai pleuré, là, dimanche. J’ai été obligée d’être réconfortée par mes enfants, qui étaient toutes les deux en train de me dire: Tu es-tu correcte, maman? Tu es-tu correcte? Ça va? Ça m’a remis dans toutes ces émotions. Parce que, bizarrement, on est déçus quand on part (…) Ça fait de quoi et, automatiquement, tu sais, dimanche soir, j’ai pensé à Kim, je pensais à Chloée, je pensais à Pascal. Je me suis dit: C’est quelque chose, partir», dévoilait Sonia, qui a visiblement aimé son aventure malgré les chaleurs, la faim, l’émotivité et l’épuisement, comme elle le témoigne.

Captur TVA

On peut dire que la comédienne s’est surpassée lors de son aventure dans la jungle, et les téléspectateurs ont pu découvrir une Sonia vulnérable et attachante.

Auriez-vous souhaité qu’elle reste plus longtemps dans l’émission?

Pour ne rien manquer des aventures de Sortez-moi d’ici!, rendez-vous les dimanches dès 19 h 30 sur les ondes de TVA!

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Julie Le Breton révèle la personnalité idéale pour une nuit torride

Julie Le Breton se trouvait en compagnie de l’animatrice Mélanie Maynard sur le plateau de Sucré Salé, un moment que Mélanie attendait avec impatience depuis quelque temps.

C’est dans le cadre de son entrevue à l’émission estivale qu’elle s’est confiée sur les covedettes avec lesquelles elle a déjà travaillé, le tout dans un jeu à saveur humoristique. Mélanie lui présentait des photos de personnalités masculines avec qui Julie a partagé le petit et le grand écran, et elle devait répondre à des questions du style: Qui embrasserais-tu? Avec qui elle sortirait pour son argent?

Le tout avait pour but de découvrir l’homme parfait parmi eux, pour elle!

Capture TVA

La comédienne souhaiterait ainsi flasher sur un tapis rouge avec Éric Bruneau, voir un coucher de soleil avec son grand ami François Létourneau, sortir avec Martin Matte pour son argent, choisir Patrice Robitaille pour potiner sur le milieu artistique, mais aussi comme le meilleur partenaire pour s’obstiner en sa compagnie, et faire un road trip avec James Hyndman.

Une question était d’ailleurs plus croustillante que les autres!

«Le meilleur pour une nuit torride?», demandait Mélanie.

«Je vais y aller avec mon fantasme d’adolescence. Je vais y aller avec Roy. On salue Christine Beaulieu, Kim Lizotte et toutes les blondes», répond rapidement Julie, tout en montrant la photo du comédien Roy Dupuis, qui était son amoureux dans le film Maurice Richard.

Capture TVA

Au final, après toutes ces questions, l’homme idéal pour Julie, comme le conclut Mélanie, serait un mélange entre Martin Matte, Patrice Robitaille et Éric Bruneau.

Et vous, avec quelle personnalité souhaiteriez-vous avoir des rapprochements?

Capture TVA

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Karine Vanasse: «Ce n’est pas juste mon chum de la fin de semaine»

Karine Vanasse était récemment invitée sur le plateau de fin de soirée Bonsoir Bonsoir, où elle se confiait notamment sur sa carrière, en plus de sa vie amoureuse.

Rappelons que la comédienne et animatrice avait dévoilé, sur ses réseaux sociaux il y a quelques mois, être en amour depuis longtemps avec le blogueur, voyageur et chroniqueur Guillaume Duranceau-Thibert.

C’est suite à une question de celle qui remplace Jean-Philippe Wauthier au talk-show, Marie-Claude Barrette, qui voulait savoir si Karine s’était sentie libérée de l’annoncer de cette façon, que la comédienne s’est confiée.

Capture ICI Télé

L’animatrice des Traîtres explique notamment qu’ils sont amoureux depuis deux ans et qu’ils étaient souvent en voyage, donc personne ne les voyait réellement ici. Mais, à long terme, le secret était moins bien gardé.

«Quand je croisais des gens, les gens nous disaient: Ah, vous êtes ensemble? Ah, c’est nouveau? Et là je faisais: Non, ça fait deux ans. On dirait que j’étais rendue triste que les gens ne le sachent pas et que ça ait l’air d’une petite amourette, admettons. Ça fait qu’on dirait que j’avais envie que les gens nous croisent, puis qui sachent que ce n’est pas juste mon chum de la fin de semaine (…)», dévoile Karine.

Capture ICI Télé

Nous souhaitons aux tourtereaux le meilleur pour la suite des choses!

Séries en bref : Ça va prendre plus que Draisaitl et McDavid pour battre les Stars

Pour qu’ils soient en mesure de battre les Stars, les Oilers doivent voir Connor McDavid et Leon Draisaitl briller.

Et c’est ce qui est arrivé hier soir.

Mais, pourtant, cela n’a pas été suffisant…

En première période du premier match de la série entre les deux clubs, McDavid et Draisaitl étaient partout sur la patinoire.

Ça avait même l’air facile pour le capitaine des Oilers… qui a commencé la rencontre en force :

Les deux vedettes des Oilers ont aussi combiné leurs efforts pour marquer le premier but de la série.

De McDavid, à Nurse, à Draisaitl… et boom : 

Même en deuxième période, on a vu les gars être vraiment solides.

Draisaitl a récolté deux passes sur les deux buts de son club, tandis que McDavid s’est fait complice du premier but des Oilers dans la période.

Quelques instants après la moitié du match, Draisaitl avait déjà trois points au compteur. Et McDavid en avait deux…

Mais c’est exactement à ce moment-là, alors que le pointage était de 3-1, que les Stars ont compris certaines choses.

Je ne sais pas ce qui s’est dit sur le banc, mais ça a fonctionné, parce que McDavid et Draisaitl ont connu des moments plus difficiles par la suite.

Et les Stars en ont profité en troisième période pour marquer pas une, pas deux, pas trois, pas quatre… mais bien cinq fois.

On a vu le Stuart Skinner que les Oilers n’espéraient pas voir. 

Les trois premiers ont été inscrits en avantage numérique… et le quatrième des Stars dans la période portait le pointage à 5-3.

Ah, et Esa Lindell a complété la marque dans un filet désert pour planter le dernier clou dans le cercueil des Oilers. 

Ça revient donc à ce que je disais un peu plus tôt.

Sans le brio de McDavid et Draisaitl… les Oilers ont souvent de la difficulté à être constants. Ce qui est normal, dans un sens, parce que les deux gars ont la capacité de changer un match à eux seul.

On l’a déjà vu dans le passé, après tout. Quand Draisaitl et McDavid sont en forme en même temps… c’est dangereux.

Il faut donner du crédit aux Stars parce qu’ils ont été en mesure de neutraliser deux des meilleurs joueurs au monde.

Et clairement, ce sera la clé de leur plan de match d’ici la fin de la série s’ils veulent passer au prochain tour. 

Notons aussi que la suite de cette série-là risque vraiment d’être intéressante parce qu’à la fin du match #1, on a vu les deux clubs se donner de l’amour.

Ça a brassé pas mal… et vous l’aurez deviné : Corey Perry était au cœur de cette belle petite mêlée.

Du grand Perry : 

Prolongation

– 15 joueurs ont récolté au moins un point hier soir :

(Crédit: LNH.com)

– Ce soir, les Panthers et les Hurricanes disputeront le deuxième match de leur série.

La rencontre sera présentée en Caroline et s’amorcera à 20h. 

Le père de Slaf a donné de la marde à un partisan du CH qui insultait son fils sur X

Le père de Juraj Slafkovsky est actif sur les réseaux sociaux.

En faisant un tour sur son compte X, on voit qu’il suit les activités de son fils parce qu’il partage ses faits saillants. 

Mais… il est plus engagé qu’on le pense.

Je dis ça parce qu’hier, papa Slaf est venu à la défense de Slaf fils après avoir vu une critique sur X.

Un compte a partagé une vidéo d’Ivan Demidov qui s’entraînait à Brossard et dans la publication, le compte en question soutient que Slaf aurait dû être là lui aussi.

Et dans les commentaires de ladite publication, un autre compte est venu dire que Slaf a décidé de ne pas participer au Championnat du monde cette année même s’il est en santé (comparé à Crosby, qui a 37 ans et qui se défonce pour le Canada), ce qui en dit long sur son caractère.

C’est là que le père de Juraj Slafkovsky est intervenu pour lui donner de la marde… et pour lui dire qu’il aimerait le voir pour qu’il lui dise en pleine face. 

(Crédit: Reddit)

Le tweet auquel le père de Slaf a répondu n’est plus là… mais la réponse du père l’est encore, elle : 

Le père de Slafkovsky avait le droit de ne pas être content. Mais… sa réaction est un peu forte aussi.

Parce que de voir le père d’un joueur agir comme ça sur les réseaux sociaux, c’est toujours un peu bizarre. Ça envoie des fois le mauvais message.

De l’autre côté, des commentaires négatifs sur les réseaux sociaux, il y en a partout. Que ce soit à l’endroit de Slaf ou de n’importe quel autre joueur.

Ça ne doit certainement pas être le premier qu’il voit et c’est peut-être aussi pour cette raison-là que le père a perdu patience un brin.

Rappelons toutefois qu’on avait déjà vu le joueur du Canadien y aller d’une sortie sur les réseaux sociaux qui avait fait jaser sur en 2023.

Slaf avait critiqué Air Canada – un commanditaire du Canadien – dans une story sur Instagram… et ça avait mal passé.

Peut-être que Slaf et son père devraient se faire un group chat pour chialer ensemble, à la place… Hehe. 

En rafale

– Bien fait!

– Absolument.

– C’est la bonne mentalité.

– Bon visionnement.

– Faut le faire!

Barcelone, un tremplin vers l’Europe pour les produits marins

L’industrie des pêches canadiennes n’échappe pas au protectionnisme économique du président Donald Trump. Même si les poissons et fruits de mer d’ici sont toujours épargnés par des tarifs douaniers américains, les transformateurs sont bien conscients que la menace plane et qu’ils doivent s’y préparer.

Vendre plus de poissons et fruits de mer en Europe pour se sevrer des États-Unis, c’est ce que tentent des entreprises de produits marins de la Gaspésie et d’ailleurs au Canada. Plusieurs étaient à Barcelone au début du mois pour développer ce marché.

À deux pas de la mer et de la plage, le restaurant Salamanca, de Barcelone, apprête le traditionnel riz au homard espagnol chaque jour depuis son ouverture en 1969. Toutefois, depuis quelques années, le homard n’est pas espagnol, mais canadien.

Deux restaurateurs devant un étalage de poissons.Silvestre Sanchez et son fils Javi Sanchez, propriétaires du Restaurant Salamanca à Barcelone qui offre du homard canadien. Photo : Radio-Canada / Martin Toulgoat

Le crustacé canadien se démarquerait notamment par son goût et ses pinces plus grosses que le homard bleu européen. Il se distinguerait aussi par son prix concurrentiel. Le homard canadien a une réputation internationale, il est vendu à un bon prix et il est surtout de très bonne qualité, c’est ça qui est le plus important, explique le fils du propriétaire, Javi Sanchez.

En fait, le homard vivant canadien est présent sur le marché espagnol depuis plus de 20 ans et le homard cuit depuis une quinzaine d’années, grâce notamment aux liens d’affaires créés par Marc-Lionel Gagnon.

Le homard demeure l’espèce la plus exportée en Europe et la plus prisée des restaurateurs ou grandes chaînes d’alimentation.

Le Québécois et expert en développement des affaires, établi à Madrid, est embauché par les transformateurs de poissons et fruits de mer canadiens pour y développer de nouveaux marchés. L’Europe a les mêmes problèmes que nous au Canada, soit la pénurie de main-d’œuvre en cuisine dans les restaurants, alors on recherche des produits qui se rapprochent le plus de l’assiette du consommateur et qui aura besoin du moins de transformation possible en cuisine, explique l’Hispano-Canadien.

Marc-Lionel Gagnon au Salon mondial des poissons et fruits de mer de Barcelone. Marc-Lionel Gagnon est établi à Madrid et conseille les entreprises québécoises qui souhaitent développer de nouveaux marchés en Espagne et au Portugal. Photo : Radio-Canada / Martin Toulgoat

Un marché à séduire

L’Europe représente un immense marché avec un potentiel évalué à 500 millions de consommateurs. Le Canada n’y exporte par contre que 6 % de ses poissons et fruits de mer.

Des gens qui marchent sur la rambla à Barcelone.L’Espagne est un des plus grands producteurs de fruits de mer de l’Europe, mais reste aussi un marché convoité. Photo : Radio-Canada / Martin Toulgoat

L’Espagne est à la fois le plus gros producteur, mais aussi le plus important importateur européen de poissons et fruits de mer.

Dans les dernières années, ils ont vraiment pris la place à la France et à l’Italie qui étaient les pays de prédilection.

Une citation de Olivier Christophe Pérez, attaché aux affaires économiques pour le bureau du Québec à Barcelone

La demande pour des produits de qualité aurait donc largement dépassé l’offre en Espagne, mais aussi au Portugal, explique l’attaché aux affaires économiques.

Les producteurs locaux ne sont pas capables d’approvisionner la demande qui existe et ce, sur tous les canaux, observe M. Pérez. Il y a le canal de distribution et d’importation, mais il y a aussi le canal qu’on appelle ici l’HORECA, qui est hôtels, restaurants, cafétéria et qui est de faire voyager le produit vivant jusque dans l’assiette du consommateur.

80 pays représentés

Barcelone est devenue une plaque tournante du marché européen.

Ce n’est pas un hasard si le plus gros salon mondial des poissons et fruits de mer s’y tient chaque année, un événement de trois jours où sont présents plus de 80 pays et 20 000 acteurs de l’industrie.

Des poissons dans un étalage à Barcelone.Les pays scandinaves comme la Norvège et le Danemark sont parmis les plus importants producteurs présents au Salon international de poissons et fruits de mer de Barcelone. Photo : Radio-Canada / Martin Toulgoat

La présence des transformateurs canadiens était particulièrement incontournable cette année en raison de toute l’incertitude créée par le protectionnisme économique de Donald Trump.

J’étais à Boston au salon des poissons et fruits de mer américain et il y avait un vent de panique, raconte Marc-Lionel Gagnon. On s’attendait à ce qu’il y ait 25 % de tarifs sur tous les produits canadiens. Maintenant, heureusement, ce n’est pas le cas, mais les sociétés canadiennes ont une certaine inquiétude.

Les entreprises canadiennes, poursuit M. Gagnon, comprennent qu’il faut absolument diversifier leurs marchés en Europe. La majorité de ces sociétés exportent 90 % de leur production aux États-Unis.

L’exemple néo-brunswickois

C’est le salon le plus gros au monde, si on veut « taper » sur tous les continents.

Une citation de Paul Farrah, président de Partner Seafood
Paul Farrah, Partner SeafoodPaul Farrah est le président de Partner Seafood de Dieppe au Nouveau-Brunswick, un exportateur bien présent en Europe, mais aussi en Asie et en Afrique avec des produits comme le homard vivant. Photo : Radio-Canada / Martin Toulgoat

Au cours des dernières années, Partners Seafood, de Dieppe au Nouveau-Brunswick, a diminué sa dépendance aux marchés américains et chinois, avec des ententes commerciales en Afrique, au Moyen-Orient et même en Australie.

L’exportateur avait déjà compris, avant l’élection de Donald Trump, que les pêches ne sont pas épargnées par les bras de fer commerciaux et les joutes politiques mondiales.

Homard vivant dans une boîte.Durant la période de pêche, un avion débarque du homard vivant chaque jour en provenance des Maritimes à l’aéroport de Barcelone. Photo : Radio-Canada / Martin Toulgoat

La Chine vient d’imposer des tarifs douaniers de 25 % sur les produits de la mer canadiens. Des turbulences qui pourraient se faire sentir davantage à moyen, qu’à court terme.

On n’est pas trop inquiets pour nos produits de homard et de crabe parce que la demande est forte aux États-Unis ou en Asie actuellement. Par contre, on est inquiets pour la suite. L’incertitude est toujours un frein pour le développement et pour des investissements supplémentaires, commente Paul Farrah de Partner Seafoods.

Une femme prépare une guédille au homard.Les provinces maritimes ont été très visibles lors du dernier Salon mondial des poissons et fruits de mer de Barcelone en faisant découvrir des mets typiques comme la guedille au homard. Photo : Radio-Canada / Martin Toulgoat

La faiblesse du dollar canadien permet, pour l’instant, de sauver la mise, malgré les turbulences sur les marchés américains et chinois.

ll y a aussi tout le côté macroéconomique du dollar canadien versus le dollar américain, ajoute Paul Farrah. Nos coûts de production sont en dollar canadien, notre prix de vente est en dollar américain et aujourd’hui le taux de change est favorable pour des exportations canadiennes.

Du homard canadien chez les Bretons

Basé à Lorient en Bretagne, le transformateur 5 degrés ouest importe notamment du homard canadien et le transforme avec un système innovateur de haute pression, qui consiste à extraire la chaire crue pour la surgeler à l’azote.

Deux hommes discutentÀ droite, le fondateur de l’entreprise bretonne 5 degrés ouest, discute avec un partenaire dans le cadre du Salon mondial des poissons et fruits de mer de Barcelone. Photo : Radio-Canada / Martin Toulgoat

Importer du homard canadien lui permet d’en offrir toute l’année et, surtout, de rentabiliser ses opérations. Nous travaillons du homard européen, nous travaillons des huîtres, nous travaillons des coques par exemple et nous avions besoin d’ajouter du volume dans l’usine pour apporter au modèle économique une stabilité et une profitabilité , expose Alexis Taugé, le fondateur de 5 degrés ouest.

Si on enlève le homard canadien, l’usine aurait sans doute de la difficulté à être rentable.

Une citation de Alexis Taugé, fondateur, 5 degrés ouest

Pas les seuls à flairer la bonne affaire

Le Canada est loin d’être le seul à avoir flairé le potentiel du marché européen.

Deux représentantes d'une entreprise coréenne derrière leur kiosque.Des représentants de partout sur le globe, notamment de l’Asie, convergent vers Barcelone pour prendre part au Global Seafood Expo 2025. Photo : Radio-Canada

Les pays asiatiques ont été très visibles à cette grand-messe annuelle. Comme au Canada, les tarifs douaniers américains les forcent à diversifier leurs marchés. C’est le cas de l’entreprise vietnamienne NGHI Son Foods Group.

Avant les tarifs, on exportait 60 % aux États-Unis et au Canada et là on essaie de percer le marché européen.

Une citation de Minh Nguyen, directeur général, NGHI Son Foods Group
L'exportateur vietnamien Minh NguyenL’exportateur vietnamien Minh Nguyen sent l’urgence, comme d’autres, de se tourner vers l’Europe pour diversifier ses marchés, considérant l’énorme potentiel économique évalué à 500 000 consommateurs. Photo : Radio-Canada / Martin Toulgoat

Au sein de la délégation canadienne, le Québec ne joue pas à armes égales avec les provinces maritimes qui peuvent de leur côté exporter du homard vivant à partir de l’aéroport d’Halifax. Depuis peu, des viviers partent de l’aéroport de Moncton à bord d’avions-cargos qui assurent des vols directs vers l’Europe et par la suite l’Asie.

Par exemple, durant la saison de la pêche, un avion par jour livre du homard canadien à l’aéroport de Barcelone et le crustacé, pour la grande majorité, provient des provinces atlantiques.

Pour la directrice de la commercialisation chez Lelièvre, Lelièvre et Lemoignan de Sainte-Thérèse-de-Gaspé, Raphaëlle Lelièvre, la qualité des produits québécois permet de se trouver une niche et des parts de marchés, malgré la concurrence.

Je ne crois pas que ça joue du coude. Le monde des pêches est un petit monde aussi. Oui, c’est certain qu’on est tous compétiteurs et qu’on a chacun à faire notre place, mais je pense qu’il y a de la place pour tout le monde, analyse Mme Lelièvre.

Raphaëlle Lelièvre à Barcelone.Raphaëlle Lelièvre est directrice de la commercialisation chez Lelièvre, Lelièvre et Lemoignan, une entreprise familiale de Sainte-Thérèse-de-Gaspé en Gaspésie qui transforme du poisson de fond et du homard. Photo : Radio-Canada / Martin Toulgoat

Le transformateur gaspésien est déjà bien présent en Espagne depuis dix ans, mais a aussi développé des parts de marché en France, en Suède et même en Malaisie et au Viêt Nam.

Ça fait plusieurs années qu’on est dans la diversification de tous nos marchés, alors le salon de Barcelone, ça nous permet de rencontrer des gens d’un peu partout dans le monde, incluant nos clients de l’Espagne, mais aussi de partout en Europe et de partout en Asie, ajoute la Gaspésienne.

Cibler les supermarchés

Le rayon des produits surgelés haut de gamme représenterait un marché de niche pour le homard québécois cuit. On y trouve de plus en plus de homard gaspésien, ces dernières années.

Le Québec souhaite amener ces ventes à un autre pallier, selon l’attaché aux affaires économiques pour le bureau du Québec à Barcelone, Olivier Christophe Perez. Des démarches sont en cours. Je vous donnerais un exemple. Il y a la chaîne d’alimentation qui s’appelle La Sirena, c’est un magasin qui est spécialisé sur tout ce qui est produit surgelé et on compte entre 350 et 400 magasins en Espagne.

Olivier Pérez à BarceloneOlivier Christophe Pérez est attaché aux affaires économiques pour le gouvernement du Québec à Barcelone et accompagne les entreprises québécoises dans le développement de marchés en Espagne et au Portugal. Photo : Radio-Canada / Martin Toulgoat

L’organisme GIMXport, qui accompagne les entreprises de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine dans leurs efforts de commercialisation à l’étranger, est bien conscient du décalage entre les transformateurs du Québec et du reste du Canada.

Gino Cyr devant le kiosque présentant les produits marins du Canada.Le directeur général de l’organisme GÎMXport, Gino Cyr, était présent à Barcelone pour le Global Seafood Expo 2025. Photo : Radio-Canada / Martin Toulgoat

Il propose, notamment, qu’une certaine partie de la promotion à l’étranger se fasse sur une base générique à l’échelle canadienne, en faisant connaître toutes les entreprises du pays qui brassent des affaires dans le monde des pêches.

Il faut travailler en équipe pour développer ensemble de nouveaux marchés, mais c’est sûr qu’après, tu laisses place à la libre concurrence.

Une citation de Gino Cyr, directeur général de GÎMXPORT

Concurrencer les exportateurs asiatiques serait utopique selon les producteurs de poissons et fruits de mer canadiens. Par contre, chaque petite part de marché gagnée en Europe pourra faire la différence pour diminuer la dépendance des usines à l’endroit de leurs acheteurs américains.

 

LA UNE : Comme tous les salons de produits alimentaires, Barcelone est un endroit pour goûter et découvrir. Photo : Radio-Canada / Martin Toulgoat

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Audi rappelle le Q5 au Canada en raison d’un risque d’incendie

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Transports Canada a annoncé que le constructeur Audi (Volkswagen Group of America) rappellera au Canada 16 863 exemplaires de son populaire VUS compact de luxe, le Q5. Le rappel touche les Audi Q5 quattro et Q5 Sportback quattro produits en 2022, en 2023 et en 2024.

Selon l’information fournie par l’organisme gouvernemental, sur certains véhicules, les vis du couvercle de culasse pourraient se desserrer et causer une fuite d’huile. Cela pourrait entraîner un risque important pour la sécurité des occupants puisqu’une fuite d’huile sur des composants du moteur pourrait provoquer un incendie.

Aux États-Unis, ce sont plus de 89 000 Audi Q5 qui sont visés par le même rappel. Il s’agit du premier rappel fait au Canada par Audi en 2025.

L’avis indique que, bien que les fuites d’huile motrice « précoces » soient difficiles à détecter, les cas plus avancés peuvent répandre une odeur désagréable et de la fumée dans le compartiment-moteur. Si vous remarquez de la fumée, « le véhicule doit être stationné en toute sécurité immédiatement. »

Audi doit aviser les propriétaires par la poste et leur demander de passer à une concession qui procédera à une inspection et remplacera ou serrera les vis du couvercle de culasse si nécessaire.

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