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Une 150e saison de pêche lancée aux Îles-de-la-Madeleine

Les pêcheurs madelinots ont officiellement pris la mer pour la 150e saison de pêche au homard de l’archipel, accompagnés de feux d’artifice et de la frénésie d’un public matinal. Malgré l’ambiance de fête, les homardiers prennent le large sous le signe de l’incertitude économique.

Le temps est arrivé, il faut qu’on prenne le large, annonce le capitaine-propriétaire Germain Cyr, fébrile. Il y a une belle température, mais il faut être vraiment prudent aujourd’hui, indique pour sa part le homardier Lauréat Deraspe. Tous les bateaux sont pleinement chargés de cages.

Il s’agit de la quarantième saison de pêche pour Steeve Samson, bien excité, comme chaque année, se décrit-il.

On est libres, on est sur l’eau, on est bien.

Une citation de Steeve Samson, aide-pêcheur

Des feux d’artifice ont éclairé le ciel de Grande-Entrée pour l’occasion. Des Madelinots se sont massés en grand nombre sur les quais pour assister au spectacle. C’est féérique, c’est comme le Carnaval de Québec! raconte Claude Pelletier, venu de Berthier-sur-Mer, dans Chaudière-Appalaches.

Deux visiteurs venus de Berthier-sur-Mer.

 

La jeune Audrey Dixon s’est levée tôt pour soutenir son père pêcheur. Depuis que je suis toute jeune, je viens le voir à chaque mise à l’eau.

Le maire des Îles-de-la-Madeleine fait partie des lève-tôt qui ont assisté au départ des homardiers, devenu une tradition de longue date. Il y a 150 ans, c’était avant l’invention de la voiture, c’était huit ans après la Confédération, après la création du pays, raconte Antonin Valiquette. Donc, ça fait longtemps qu’on pêche le homard aux Îles-de-la-Madeleine.

Encore une fois, l’effervescence est au rendez-vous, avec les bateaux chargés de cages.

Une citation de Antonin Valiquette, maire des Îles-de-la-Madeleine
Le port de pêche de Grande-Entrée avant le départ des homardiers.

Une 150e saison dans l’incertitude économique

Malgré l’ambiance de fête, les homardiers restent préoccupés par le contexte économique actuel. La Chine a imposé des tarifs douaniers de 25 % sur les fruits de mer canadiens et la menace américaine plane toujours sur la tête des pêcheurs.

On n’a aucune idée du prix encore, indique le capitaine-propriétaire Lauréat Deraspe. Ça va dépendre de ce que Trump va faire de l’autre bord. Le prix à la livre du crustacé est connu après le début de la saison, une réalité unique pour ces pêcheurs, d’après lui.

On est rendus en 2025, on va chercher du poisson et on ne sait même pas le prix qu’on va avoir.

Une citation de Lauréat Deraspe, capitaine-propriétaire

Nous autres, on est à la merci, on investit des gros montants d’argent, mais on ne sait jamais, témoigne le capitaine-propriétaire Germain Cyr.

Germain Cyr, capitaine-propriétaire, devant des cages à homard.

 

Je suis convaincu que je vais perdre de l’argent, annonce-t-il avant de quitter le quai. Comme ça, je n’aurai pas de surprise!

Je suis confiant : le homard va être au rendez-vous. C’est juste que je ne sais pas ce qui va se passer pour le marché et les prix.

Une citation de Germain Cyr, capitaine-propriétaire

L’an dernier, les pêcheurs madelinots ont ramené à quai près de 7400 tonnes de homard, un record historique. La valeur totale des débarquements s’est élevée à 115 millions de dollars.

LA UNE : C’est sous les feux d’artifice que les homardiers ont pris la mer aux Îles-de-la-Madeleine samedi matin. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

PAR vec les informations d’Isabelle Larose

 

Comment se positionne le Subaru Solterra 2026 face à sa concurrence?

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« Le Subaru Solterra 2026 arrive avec une nouvelle motorisation, une meilleure autonomie et une capacité de recharge améliorée. Comment cette nouvelle édition se compare-t-elle avec les autres véhicules électriques établis sur le marché ? Est-elle avantagée? » – Sébastien

Réponse

Bonjour Sébastien,

Il est bien vrai que le Subaru Solterra 2026 est amélioré par rapport au modèle qu’on connait depuis 2023, lui qui faisait pâle figure par rapport à sa concurrence. Le constructeur a annoncé une puissance plus élevée, une autonomie améliorée et une recharge rapide accélérée, ce qui risque de corriger les plus grandes lacunes du produit face à la concurrence.

D’ailleurs, quelle est cette concurrence? On pense à des modèles populaires comme le Chevrolet Equinox EV, le Ford Mustang Mach-E, le Hyundai IONIQ 5, le Kia EV6 et le Volkswagen ID.4. Même si nous n’avons pas eu l’occasion de conduire le Solterra 2026, il est possible de comparer, sur le papier, ses caractéristiques techniques principales pour voir comment elles se comparent avec les autres modèles, tous de l’année modèle 2025.

Marque et modèlePuissanceAutonomiePuissance de rechargeTemps de recharge
Subaru Solterra 2024215 chevaux359 km100 kWau moins 60 minutes
Subaru Solterra 2026338 chevaux450 km150 kW35 min
Chevrolet Equinox EV AWD300 chevaux494 km150 kW38 min
Ford Mustang Mach-E LR AWD325 chevaux483 km150 kW35 min
Hyundai IONIQ 5 LR AWD320 chevaux463 km258 kW18 min
Kia EV6 GT-Line Land AWD320 chevaux475 km258 kW20 min
Volkswagen ID.4 Pro AWD335 chevaux423 km175 kW28 min

La première chose qui saute aux yeux est l’avancée du modèle 2026 par rapport au modèle 2024, lui qui était clairement moins attrayant que la concurrence.

La deuxième chose qui frappe est à quel point le duo de voitures sud-coréennes est avantagé en matière de capacité de recharge rapide. Il est presque 2 fois plus rapide pour l’IONIQ 5 et l’EV6 de passer de 10 à 80 % que tous les autres modèles, ce qui marque l’avantage de l’architecture à 800 volts de ces deux modèles. De son côté, le Solterra voit son temps de recharge rapide s’améliorer pour 2026 de quasiment 50 %, ce qui corrige l’une de ses lacunes. Néanmoins, il demeure parmi les plus longs dans les véhicules comparés, n’étant dépassé que par le Chevrolet Equinox EV.

Pour le reste, les spécifications techniques sont comparables. La puissance est la plus élevée du groupe, mais par une faible marge par rapport aux 335 chevaux du Volkswagen ID.4. Chose certaine, le faible écart dans la puissance entre tous les véhicules comparés fait que l’accélération sera vraisemblablement similaire d’un modèle à l’autre.

C’est la même chose pour ce qui est de l’autonomie. Avec 450 kilomètres annoncés par Subaru, mais pas encore confirmés par Ressources naturelles Canada, le Solterra 2026 se trouve presque en plein milieu de la catégorie.

Le test de la vraie vie

Toutes ces données permettent de dire que le Subaru Solterra 2026 a rejoint la concurrence en matière de puissance, d’autonomie et de capacité de recharge rapide, sans toutefois les dépasser. Il m’importe de préciser que tout ça doit être confirmé lors de conditions réelles, quand nous pourrons conduire le véhicule. Aussi, il faudra attendre de voir quelle sera l’autonomie homologuée par Ressources naturelles Canada, une donnée souvent légèrement différente de celle annoncée de manière préliminaire par les constructeurs.

L’autre aspect à considérer est le prix de vente. Subaru n’a pas encore donné une idée du prix de vente du modèle. Le 2024 n’était pas moins cher que les autres, même si ses performances étaient en retrait, il demeure donc possible que le modèle 2026 subisse une augmentation de prix. D’un autre côté, avec les turbulences dans le monde des véhicules électriques, il faut s’attendre à tout pour la structure de prix de ce modèle. Et vous savez que cet aspect peut avoir un impact réel sur l’appréciation, ou non, d’un modèle.

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Éphémérides : Diffusion du long métrage «Le Ponchon»

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04/05/1971 : Diffusion du long métrage «Le Ponchon» dans le cadre du mois culturel, les 4, 5 et 6 mai à l’auditorium de l’École Polyvalente. 

Film historique, relatant un des faits les plus importants de la vie des Madelinots : le lancement d’un «ponchon», ancêtre de tout notre réseau de communication actuel.

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Extrait du film «Le Ponchon» – Tiré de la programmation «Le mois culturel» – Mai 1971.

  • Réalisation : Rosaire Vigneault
  • Recherche : Sr Rose-D. Gaudet
  • Montage : Jean-Guy Chapdelaine
  • Son : Gaston Chiasson
  • Script : Micheline Décoste
  • Interviews : Roméo Ed. Vigneau

Quelques participants : M. Avila Leblanc, M. et Mme Jos Lebourdais, Mme Joseph Chevrier, M. Léo Vigneau et plusieurs autres…

 

LA UNE : Extrait du film «Le Ponchon» – Tiré de la programmation «Le mois culturel» – Mai 1971


Source : Centre d’Archives Régional des Îles (CARDI)

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Genesis : quand la Corée du Sud a l’Allemagne dans le viseur

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Le prestige, la réputation et la notoriété, ça s’acquiert, et ça s’entretient. Dans l’industrie de l’automobile, il y a bien sûr des marques comme Bugatti, Rolls-Royce, Bentley ou Ferrari, dont la réputation n’est plus à faire. Dans le domaine du luxe plus accessible, des marques comme Mercedes-Benz, Porsche ou BMW, ont un nom qui résonne encore fort pour un grand nombre d’acheteurs.

Il y a aussi d’autres marques de luxe, comme Acura et Lexus qui, après plus de 30 ans sur le marché, n’ont pas encore atteint l’aura des marques allemandes, mais qui ont néanmoins une place bien à elles dans le marché.

Finalement, il y a aussi des marques de luxe qui sont en déroute, ou qui sont en voie de l’être, comme Jaguar et Infiniti. Elles n’ont pas su se maintenir à flot avec des produits convaincants et une attitude correspondante.

C’est pourquoi je me suis toujours demandé comment Genesis allait finir par tirer son épingle du jeu dans cet univers.

Les petits pas

Il y a déjà plusieurs années, en blanc-bec que j’étais à l’époque, j’en étais venu à la conclusion que Genesis allait finir par percer en raison de la qualité de produits, mais aussi en raison de la machine qui la pousse. Le sérieux avec lequel Hyundai Motor Group gère ses opérations ne me laissait aucun doute sur le succès du lancement de sa marque de luxe.

7—8 ans plus tard, j’ai plus de recul et d’expérience dans l’industrie de l’automobile, ce qui me donne un regard plus profond sur la marque, mais aussi sur l’industrie. Au-delà de l’analyse plutôt superficielle que j’en avais faite à l’époque, je me rends bien compte que Genesis ne prend pas le même chemin que les autres constructeurs asiatiques nommés plus haut (Acura, Infiniti et Lexus), mais prend plutôt un chemin bien germanique, du moins, pour ses produits, comme je l’ai découvert à l’occasion d’un récent voyage en Corée du Sud.

1. L’importance du design

Si vous êtes de fidèles auditeurs de RPM, vous savez bien que j’accorde plus ou moins d’importance à mon appréciation personnelle du design d’une automobile. Je peux néanmoins reconnaitre l’importance qu’il occupe dans l’image d’une marque automobile.

Et la majorité des marques l’ont compris. Audi, BMW, Jaguar, Land Rover et Mercedes-Benz sont de bons exemples. Elles n’ont presque jamais négligé le design de leurs véhicules et quiconque en croise une sur son chemin peut la reconnaitre. Regardez presque n’importe quelle Audi ou n’importe quelle Jaguar de 20 ans d’âge et elles n’ont presque pas pris une ride.

Il m’apparait essentiel que les marques, particulièrement celles de prestige, aient une identité visuelle forte. Des lignes simples, bien définies, harmonieuses, constantes d’un modèle à l’autre. C’est d’ailleurs ce que Luc Donckerwolke, ancien designer de Bentley, Lamborghini et Audi et maintenant directeur de la création pour Genesis, tente de faire valoir. À son avis, quand les proportions sont claires et bien définies, il faut une quantité minimale d’ingrédients pour arriver au résultat final. « Quand le design est pur, la voiture n’a pas besoin de plus », a-t-il résumé. Et c’est précisément ce que les lignes des véhicules Genesis laissent voir, à mon sens.

2. Le choix des modèles

Pour une majorité d’acheteurs, la configuration de la plateforme utilisée revêt une importance plus que secondaire. En revanche, elle a certainement une incidence indirecte sur le produit final, ce qui fait une différence réelle aux yeux des acheteurs.

Rappelez-vous de la commercialisation des Mercedes-Benz Classe B, ou plus récemment des Mercedes-Benz Classe A. Ces modèles devaient permettre à Mercedes-Benz de conquérir une nouvelle clientèle qui voulait un véhicule portant l’étoile d’argent tout en payant moins cher, une chose rendue possible par une nouvelle architecture à traction plus abordable. Sur le papier, l’idée était géniale, mais dans les faits, ces voitures n’étaient ni de bonnes voitures d’entrée de gamme, ni de bonnes Mercedes-Benz.

Pourquoi? Parce qu’elles étaient technologiquement beaucoup plus proches de voitures d’entrée de gamme, ce qui ne colle pas avec la réputation de Mercedes-Benz. C’est d’ailleurs un segment que Mercedes-Benz n’a jamais maitrisé par le passé, et ça ne l’a certainement pas aidée.

Pour l’heure, Genesis a évité de tomber dans ce piège en misant sur des modèles dédiés, conçus sur une plateforme longitudinale, partagée avec aucun modèle d’entrée de gamme de Hyundai. L’exception est le Genesis GV60, qui partage son architecture E-GMP avec d’autres modèles Hyundai et Kia, un choix qui n’a pas d’impact compte tenu de la latitude que permettent ces plateformes modulables pour véhicules électriques.

Le fait d’avoir des véhicules dédiés et exclusifs à une marque peut paraitre banal, mais ça empêche tout lien direct avec un modèle Hyundai ou Kia, en plus de raffiner le comportement routier et le design des modèles. De plus, cette architecture s’approche certainement plus des modèles concurrents prestigieux que le fait n’importe quel véhicule avec architecture à traction. Et ça fait une différence pour les acheteurs, même s’ils ne saisissent pas toujours pourquoi.

3. L’attitude du constructeur

Ce n’est certainement pas pour les ventes innombrables que les constructeurs de véhicules de prestige mettent les efforts pour commercialiser des véhicules de grand luxe. Mais, l’impact est réel sur l’aura de prestige que dégage la marque. Ce n’est pas pour rien que Mercedes-Benz annonce la venue, par exemple, d’une AMG E 53 familiale sur notre marché, un véhicule qui se vendra au compte-goutte, mais qui ajoute un petit je-ne-sais-quoi à la marque, scellant son caractère exclusif.

C’est exactement ce que tente de faire Genesis avec le lancement de ses concepts X Gran Coupe et X Gran Convertible, deux modèles nichés de très grand luxe, dont la commercialisation est presque assurée. Ils n’ont pas la prétention de devenir des modèles populaires, ou de faire rentrer de l’eau au moulin. Ils ont comme but avoué d’agir à titre de porte-étendard, rehaussant le luxe et le prestige que dégage la marque. Tout ça a un impact sur la renommée de la marque et sur l’idée qu’on s’en fait.

Et comment ça se traduit pour les consommateurs canadiens?

L’impression de l’orientation bien germanique de Genesis que j’avais a été corroborée partiellement par Eric Marshall, directeur de Genesis Canada, lors d’un entretien que j’ai eu avec lui.

En effet, les produits visent presque directement les véhicules allemands dans leur conception et leur idéologie, comme discuté plus haut. Mais d’un autre côté, Genesis Canada tente de mettre en place une expérience client pensée ici, qui ne ressemble à aucune autre entreprise automobile, se comparant davantage à ce que propose un hôtel de luxe.

Selon Eric Marshall, c’est une stratégie purement canadienne qui a été mise en place dès le lancement de la marque, en 2016, et qui s’appuie sur le principe sud-coréen traditionnel « son-nim », qui réfère à l’hospitalité. Les grandes lignes les plus connues visent à faciliter l’expérience de magasinage : achat en ligne possible, prix unique pour tous les modèles, tous frais inclus, garantie générale de 5 ans ou 100 000 km, entretien compris pendant 5 ans ou 100 000 km et service de voiturier.

D’un point de vue plus philosophique et global, ça passe aussi par le choix des entreprises qui ont pignon sur rue et qui distribuent les produits. Ils sont au nombre de 6 au Québec (4 dans la région de Montréal, un à Sherbrooke et un à Québec), qui sont sélectionnés en fonction de leur capacité à répondre au principe de toujours mettre le client au centre des préoccupations. D’ailleurs, chaque aspect est réfléchi à l’intérieur des boutiques : odeur diffusée, design spécifique, des espaces pour travailler et cafés de spécialité.

Parallèlement, les distributeurs sont encouragés à toujours continuer de personnaliser l’expérience pour les clients, en fonction de leurs besoins et de ce qu’ils valorisent. L’idée est aussi d’éviter que le consommateur se sente envahi par une concession gigantesque, dans laquelle il est considéré comme un numéro. L’entreprise vise une approche plus intime avec ses clients.

C’est donc en portant une attention particulière à son image, des véhicules eux-mêmes jusqu’à l’expérience de possession, que Genesis tente de se rendre attirante pour les consommateurs. Concrètement, ce sont 1564 véhicules qui ont été vendus par Genesis dans La Belle Province en 2024, ce qui représente 22,2 % des ventes canadiennes de la marque.

On est encore loin d’Audi et ses 10 000 ventes, de Mercedes-Benz et ses 7600 véhicules vendus, ou encore de BMW avec 7500 véhicules livrés au Québec en 2024. Néanmoins, c’est un gain de 14,8 % des ventes par rapport à 2023, un chiffre auquel s’accroche le directeur de la marque et qui surpasse les gains effectués par les marques allemandes au cours de la même période.

Pour ce qui est des plans d’expansion pour le constructeur au Québec, Eric Marshall est clair : avant de penser à élargir le marché en ouvrant de nouvelles boutiques, il vaut mieux s’assurer de bien servir les clients aux endroits déjà en place. C’est d’ailleurs la principale considération de la marque sur notre marché.

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Téléjournal : 150e saison de pêche au homard dans l’archipel

Les quais des îles de la Madeleine fourmillent d’activité à la veille du début de la pêche au homard. L’événement est particulier cette année, puisqu’il s’agit de la 150e saison de pêche dans l’archipel.

 
Vendredi, la journée était consacrée aux derniers préparatifs et à plusieurs activités traditionnelles qui marquent, chaque année, le début de la pêche.

Le téléjournal Est-du-Québec

Séries en bref : les Blues forcent la tenue d’un 7e match grâce à trois buts en deux minutes

La première ronde des séries tire à sa fin dans la Ligue nationale de hockey, alors que seulement deux séries ne sont pas encore terminées.

Six équipes sont déjà qualifiées pour le prochain tour, et une septième pouvait se rajouter au groupe hier soir.

Voici le résumé du match #6 de la série opposant les Jets de Winnipeg aux Blues de Saint-Louis.

Les Blues forcent la tenue d’un match #7

On savait que ce ne serait pas une série facile pour les champions de la saison régulière, soit les Jets de Winnipeg, et on en a de nouveau eu la preuve hier soir.

Les Blues de Saint-Louis ont joué un autre fort match à domicile, ce qui leur a permis de remporter un troisième match à la maison, cette fois-ci, par la marque de 5 à 2.

Les deux équipes demeurent donc invaincues à domicile.

Donc, même si les Jets avaient la chance de mettre fin à la série et ainsi de passer au deuxième tour, ils n’ont pas réussi à mettre la pression sur les Blues.

Et l’histoire du match, encore une fois, c’est la tenue de Connor Hellebuyck, qui a encore une fois été TRÈS ordinaire.

Le meilleur gardien de la saison régulière montre encore une fois cette saison qu’il n’arrive tout simplement pas à bien performer en séries.

Il doit être meilleur, mais il n’y arrive tout simplement pas.

Hier soir, Hellebuyck a été chassé du match pour une troisième fois dans la série, alors qu’en saison régulière, il n’avait même pas été chassé une seule fois.

Tout allait pourtant quand même bien pour Hellebuyck et les Jets dans ce match jusqu’à ce que les Blues inscrivent trois buts en un peu plus de deux minutes en milieu de deuxième période.

Alexey Toropchenko a ensuite ajouté l’insulte à l’injure avec un quatrième but sans riposte pour les Blues.

Bref, le match s’est joué à ce moment-là, alors que les Blues n’ont plus jamais regardé derrière eux.

Les Blues demeurent donc invaincus à domicile depuis 15 matchs.

La série est désormais égale 3 à 3, alors que le match #7 aura lieu ce dimanche à Winnipeg à compter de 19h.

Les partisans des Jets sont clairement très inquiets de la tenue de Connor Hellebuyck qui n’inspire aucunement confiance présentement.

Les Blues devront en profiter et trouver le moyen de remporter un premier match à l’étranger.

Prolongation

– Cam Fowler connaît des séries exceptionnelles.

– Voici le résultat de la veille.

– Voici les meilleurs pointeurs de la veille.

(Crédit: NHL.com)

– Au programme aujourd’hui dans la LNH : le match #7 entre l’Avalanche et les Stars.

(Crédit: Google/NHL)

La Coopérative des pêcheurs des Îles prête pour la 150ème mise à l’eau

Les quais des îles de la Madeleine fourmillent d’activités à la veille du début de la pêche au homard. L’événement est particulier cette année, puisqu’il s’agit de la 150e saison de pêche dans l’archipel.

 

Olivier Renaud, Président de la Coopérative des pêcheurs des Îles-de-la-Madeleine.
LA UNE : Les quais des îles de la Madeleine fourmillent d’activités à la veille du début de la pêche au homard.PHOTO : Radio-Canada / Isabelle Larose

Ford, Lincoln, Polestar et Volvo émettent un rappel pour un problème de caméra de recul

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https://rpmweb.ca/vehicules/po…Jadis, nous n’avions pas la caméra de recul sur nos véhicules. Aujourd’hui, les choses ont bien changé. En effet, de nos jours, la caméra de recul est désormais obligatoire sur tout véhicule de tourisme vendu à l’état neuf sur le territoire canadien. Alors, quand un problème majeur est soulevé sur cet élément de sécurité, un rappel est alors émis. C’est pour cette raison que Ford, Lincoln, Polestar et Volvo rappellent actuellement plus de 70 000 véhicules au Canada.

Un point en commun

Entre le 24 avril et le 1er mai dernier, 4 constructeurs d’automobiles ont émis des rappels de sécurité au Canada pour un problème de caméra de recul. Dans tous les cas, le problème soulevé est le même : la caméra de recul pourrait ne pas s’afficher quand le véhicule passe en marche arrière. Du côté de Ford, les Bronco de 2021 à 2023 ainsi que les Transit 2022 et 2023 sont visés. Pour ce qui est de Lincoln, seul le Navigator de 2018 à 2021 est touché. Ensemble, ces trois modèles totalisent 25 260 véhicules au Canada.

Du côté de Polestar, le rappel vise moins de véhicules soit 7 881 exemplaires. Seule la Polestar 2 est touchée pour les années de 2021 à 2025. Le constructeur qui compte le plus de véhicules visés parmi les 4 mentionnés plus haut est sans contredit Volvo avec 40 673 exemplaires touchés au Canada et répartis sur 9 modèles : C40 de 2022 à 2025, S60 de 2023 à 2025, S90 de 2022 à 2025, V60 de 2023 à 2025, V60 Cross Country de 2023 à 2025, V90 Cross Country de 2022 à 2025, XC40 de 2021 à 2025, XC60 de 2021 à 2025 et XC90 de 2023 à 2025.

Mesure correctrice en place

Chacun des constructeurs propose actuellement une mesure correctrice et avisera tous les propriétaires de véhicules touchés par voie postale. La solution est cependant différente d’une entreprise à l’autre. Du côté de Ford et de Lincoln, il faudra apporter le véhicule à une concession pour permettre à un technicien de procéder au remplacement de la caméra de recul et de la modifier de la fixation du câblage, si nécessaire. Il est aussi mentionné que certains modèles de Ford Transit pourraient nécessiter également une mise à jour du logiciel.

Chez Polestar, le véhicule devra aussi être apporté à une un concession. Cependant, aucun remplacement de composant n’est à prévoir. Il n’est question que d’une mise à jour du logiciel du véhicule pour régler le problème.

Volvo, quant à elle, devrait offrir deux choix aux propriétaires concernés. Primo, ils pourront apporter leur véhicule à une concession pour permettre à un technicien de faire une mise à jour. Secundo, on pourrait acheminer par transmission sans fil à chaque véhicule admissible la mise à jour logicielle du véhicule. C’est du moins l’information qui est actuellement disponible sur le site web de Transports Canada.

Plus de détails :

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Éphémérides : Georges Preston, premier gardien régulier au Rocher-aux-Oiseaux

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03/05/1872 : Premier gardien régulier au Rocher-aux-Oiseaux, Georges Preston.

Il fut remplacé au bout de deux ans, car il avait sombré dans la folie.

  Découvrez un des joyaux du patrimoine des Îles de la Madeleine, le Rocher aux oiseaux.

Photo : Rocher-aux-Oiseaux avant sa modification en 1908 / Bibliothèque et Archives Canada

Partenaire du jour : IGA Coop L’Éveil

Partenaire du jour : IGA Coop L’Éveil, sur ilesdelamadeleine.biz

https://www.ilesdelamadeleine.biz/carte/iga-coop-leveil/

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Pauline PINTO (1948-2025)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 29 avril 2025, de madame Pauline Pinto. Elle était âgée de 77 ans, originaire de Montréal et résidente de Cap-aux-Meules, aux Îles-de-la-Madeleine.

Elle laisse dans le deuil sa fille Manon Chartrand (Pascal), sa sœur Danielle Pinto (Maurice), son ami Denis Pelchat, ainsi que ses cousins, cousines et amis des Iles et d’ailleurs.

Les rituels funéraires se vivront à Montréal à une date ultérieure et dans l’intimité de la famille.