17 mai 2025
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Cole Hutson : l’espoir des Caps supporte le Canadien et son frère Lane

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Cole Hutson : l’espoir des Caps supporte le Canadien et son frère Lane

J’ai toujours aimé voir des frères sportifs supporter leur famille.

Mais j’ai toujours détesté voir un frère sous contrat avec une autre équipe supporter la formation de son bro rendu en séries avec du linge aux couleurs d’une équipe adverse. La nuance est importante entre supporter son frère… ou l’équipe de son frère.

Brady Tkachuk qui supportait les Flames quand son frère Matthew était en séries, ça passait puisqu’il n’avait pas de chandail des Flames en tant que tel. Mais Jason Kelce qui porte une salopette des Chiefs pour son frère Travis avant de prendre sa retraite, c’est trop, à mes yeux.

 

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Et voilà qu’un autre exemple vient de s’ajouter.

Cole Hutson, qui est un espoir des Capitals de Washington, était au Centre Bell hier pour encourager son frère. Il était là avec sa mère et il a publié une story à ce sujet.

Aucun problème jusque là : le club qui l’a repêché et son frère Lane sont sur la glace.

Mais mon problème, c’est que grâce à une photo publiée par P.K. Subban (et republiée en story par Cole), on voit que l’espoir des Capitals porte un chandail aux couleurs du… Canadien.

 

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Et ça ne passe pas, à mes yeux.

Tu peux encourager ton frère si tu veux, mais tu ne peux pas porter le chandail de l’équipe qui affronte ton organisation en séries. C’est un manque de respect envers ta formation.

Si je suis un dirigeant des Capitals de Washington ce matin, je suis en beau fusil. La série est si intense et en tant qu’espoir important du club, tu décides de prendre pour l’adversaire?

Come on!

prolongation

Et notons que non, cela ne peut pas être un autre des frères de Lane. Subban a identifié Cole, l’espoir des Capitals a republié la photo et les deux autres frères de Lane, Quinn et Lars, ne ressemblent pas à ça.

Et si les Caps sont fâchés de ça au point de l’échanger, le jeune a (littéralement) déjà annoncé ses couleurs. #Hehe

Séries en bref : les Oilers et les Devils réduisent l’écart dans leur série respective

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Séries en bref : les Oilers et les Devils réduisent l’écart dans leur série respective

La première ronde des séries éliminatoires de la LNH se poursuivait de plus belle hier soir, alors que trois séries présentaient un match #3.

Évidemment, comme vous le savez tous, un de ces matchs a été l’éclatante victoire de 6 à 3 du Canadien de Montréal face aux Capitals de Washington, dans un match complètement fou.

Et maintenant, voici ce qu’on retient des matchs #3 des deux autres séries.

Les Oilers trouvent le moyen de respirer un peu

Après avoir perdu les deux premiers matchs de la série à Los Angeles, les Oilers n’avaient tout simplement pas le choix de rebondir chez eux lors du match #3.

Les finalistes de la Coupe Stanley ne pouvaient tout simplement pas se permettre d’accuser un retard de 0-3 de la série.

Pour cette rencontre, les Oilers ont choisi de changer de gardien en envoyant Calvin Pickard dans la mêlée à la place de Stuart Skinner, qui a vraiment été très ordinaire dans les deux premiers matchs de la série.

Malheureusement pour les Oilers, Pickard n’a pas été tant que ça meilleur, mais heureusement, cela n’a pas coûté le match aux Oilers.

Ce fut un match complètement fou, alors que les deux équipes ont eu l’avance à différents moments dans le match.

Les Oilers ont d’abord rapidement pris une avance de 2 à 0 en première période grâce à Ryan Nugent-Hopkins et Evan Bouchard, mais Adrian Kempe a réduit l’écart avant le premier entracte.

Kempe connaît toute une série avec neuf points, dont quatre buts, en trois matchs. C’est vraiment un gars de séries.

Ensuite, en deuxième période, les Kings ont bénéficié de l’avantage numérique pour prendre les devants dans le match grâce à Kevin Fiala et Drew Doughty.

Quelques minutes plus tard, Connor Brown a égalé la marque, mais cela n’aura duré que neuf secondes, alors que Trevor Moore a inscrit un superbe but à une main dès la reprise du jeu.

Les Oilers sont donc rentrés au vestiaire en retard 4 à 3 dans le match.

Heureusement, la troupe de Kris Knoblauch est revenue fort en troisième période, alors qu’elle a joué le même tour aux Kings avec deux buts en dix secondes.

Evander Kane a marqué son premier des séries, but qui a été contesté par les Kings sans succès, permettant aux Oilers d’amorcer un avantage numérique, et c’est là qu’encore une fois, Evan Bouchard n’a pas perdu de temps.

Edmonton n’a plus regardé derrière après ce but, et a réussi à confirmer sa victoire avec deux buts dans un filet désert, gracieuseté de Connor McDavid et Connor Brown.

Les Oilers remportent donc le match #3 et réduisent l’écart dans la série.

Le match #4 aura lieu dimanche à Edmonton à compter de 21h30.

Les Kings mènent la série 2 à 1.

Simon Nemec donne la victoire aux Devils en prolongation

En voilà une autre série dans laquelle l’équipe avec l’avantage de la classe avait une avance de 2 à 0 après ses deux matchs à domicile.

Les Hurricanes de la Caroline ont su remporter deux gros matchs à domicile, et hier, ils cherchaient à pousser au bord du gouffre les Devils du New Jersey.

Les Devils avaient donc intérêt à prendre les devants dans ce match, et c’est ce qu’ils ont fait grâce à des buts de Nico Hischier et Dawson Mercer.

Cependant, ce n’est pas avec un retard de deux buts qu’il fallait compter comme battus les Hurricanes.

Ces derniers ont inscrit deux buts en avantage numérique en troisième période grâce à Seth Jarvis et Sebastian Aho afin de revenir à égalité dans le match.

Le match s’est donc transporté en prolongation, là où les Devils ont été tout simplement dominants.

Les Devils attaquaient de partout et cumulaient les excellentes chances de marquer, mais n’arrivaient pas à sceller le débat.

On a donc dû attendre à la deuxième période de prolongation pour que finalement les Devils concrétisent une de leurs mille occasions de marquer.

C’est le jeune défenseur de 21 ans, Simon Nemec, qui a donné la victoire aux Devils avec un superbe but.

Nemec est devenu le plus jeune joueur de l’histoire des Devils à inscrire un but gagnant en prolongation en séries.

Bref, les Devils avaient grandement besoin de cette victoire, et ils sont maintenant de retour dans la série.

Le match #4 aura lieu dimanche à compter de 15h30 au New Jersey.

Les Hurricanes mènent la série 2 à 1.

Prolongation

– Voici les résultats de la veille.

– Voici les meilleurs pointeurs de la veille.

(Crédit: NHL.com)

– Au programme aujourd’hui : trois matchs #4 et un match #3.

(Crédit: Google/NHL)

Blessure de Samuel Montembeault : Jacob Fowler ne peut pas être rappelé

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Blessure de Samuel Montembeault : Jacob Fowler ne peut pas être rappelé

Hier soir, Samuel Montembeault s’est blessé. Et c’est l’une des pires nouvelles que Martin St-Louis ne pouvait pas recevoir.

Après le match d’hier, le pilote n’a pas donné de détails sur la condition de son gardien. Mais le test de l’oeil nous rappelle que clairement, le Québécois avait mal devant son filet.

Se relever en deuxième période semblait vraiment difficile pour celui qui n’est normalement jamais blessé et Jakub Dobes l’a remarqué, lui qui est allé s’étirer au cas où le #1 devait quitter le match. Et c’est arrivé.

Est-ce que Montembeault sera en mesure de jouer demain? Est-ce qu’il sera en mesure d’être habillé? Qui sait. Les fans du Canadien ne peuvent qu’espérer, en ce moment.

Et si jamais le gardien #1 du club, qui a joué beaucoup cette année et sans qui les séries n’auraient été qu’un simple mirage, n’est pas en mesure de jouer demain soir, son ami Dobes devra, encore une fois, prendre sa place devant le filet.

Est-ce que cela vous inquiète de penser que le gars que le CH ne faisait jouer que lors des matchs de type «dos à dos» pourrait devoir devenir le sauveur du club en séries?

S’il joue, il devra se transformer en Jaroslav Halak pour aider son club, en tout cas.

Mais cela va plus loin que ça. Après tout, si Monty ne peut pas être habillé, le club ne pourra pas juste compter sur Patrick Chèvrefils pour être son adjoint, on s’entend là-dessus.

Il faudrait donc rappeler quelqu’un.

Ce qu’il faut savoir, c’est que les deux seules options de rappel sont Cayden Primeau et Connor Hughes. Ce sont les deux seuls qui ont un contrat valide avec le CH cette année.

Le contrat d’entrée de Jacob Fowler, il commence le 1er juillet 2025. Il peut jouer à Laval cette saison avec un contrat différent.

On s’entend que si rappel il y a, ce sera Primeau. Il a l’expérience de la LNH et contrairement à Connor Hughes, il n’est présentement pas blessé. C’est le choix logique dans les circonstances… si circonstances il y a.

Je serais vraiment, vraiment étonné du contraire, en tout cas.

Par contre, il faut se demander ce que cela aurait comme effet sur le Rocket de Laval. Après tout, si jamais Cayden Primeau, le gardien #1 en bas, devait être retiré de la formation, ce serait un dur coup pour Pascal Vincent.

Avec le Rocket qui est à quelques jours de commencer sa série de premier tour, ne pas avoir Dobes, Primeau ou Hughes (s’il est encore blessé à ce moment-là) ne laisserait qu’un seul gardien : Jacob Fowler.

Aurait-il le filet par défaut avec un gars rappelé de Trois-Rivières pour l’épauler? C’est un scénario possible, en ce moment.

Ce serait toute une expérience pour lui (comme pour Carey Price en 2007, une fois son stage junior terminé) et ce serait intense pour le Rocket. Mais en ce moment, la priorité est le Canadien.

C’est ça, le rôle du club-école.

Si jamais Samuel Montembeault ne peut pas jouer, au lieu de voir Monty en haut et Primeau en bas, ce serait respectivement Dobes et Fowler qui seraient les hommes de confiance. Ça peut changer vite, dans le hockey…

prolongation

Hier, après le match, Dobes a fait preuve de classe en disant espérer que Monty ET que Logan Thompson, qui s’est blessé (gravement?) pour les Capitals dans le gain du CH, soient de retour en santé.

Mais s’ils ne peuvent pas jouer, ce sera Dobes contre Charlie Lindgren. Qui avait prédit qu’un jour, ce gars-là jouerait en séries au Centre Bell?

Le premier portrait sous-marin date de 1899

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Le premier portrait sous-marin date de 1899

Voici le premier portrait sous-marin, une photo du scaphandrier roumain Emil Racovitza prise par Louis Marie Auguste Boutan et qui date de 1899.

photo_2

Louis Marie Auguste Boutan a inventé le premier appareil photo sous-marin en 1893 mais il a du peaufiné ses éclairages avant de réussir ce premier portrait sous-marin.

Vidéo hommage à Louis Marie Auguste Boutan (© Aquarium de Barcelone)

 

 

Source : PetaPixel

Partenaire du jour : Rachel Drouin Création

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Partenaire du jour : Rachel Drouin Création

Partenaire du jour : Rachel Drouin Création, sur ilesdelamadeleine.biz

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Téléjournal Acadie : Un pigeon relâché en Espagne fait fausse route et aboutit sur l’île de Sable

Radio-Canada
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Téléjournal Acadie : Un pigeon relâché en Espagne fait fausse route et aboutit sur l’île de Sable

Un pigeon voyageur relâché en Espagne s’est perdu en route lors d’un voyage qui était censé être court. Il a plutôt traversé l’océan Atlantique jusqu’à l’île de Sable, au large d’Halifax.

 
Ce pigeon voyageur a été relâché d’un camion sur l’île espagnole d’Ibiza en Méditerranée le 22 février. Il devait aller à l’Île de Majorque, vers le nord-est, toujours en Méditerranée.

Carte de la mer Méditerranée indiquant les deux îles près de l'Espagne.

 

Mais pour une raison inconnue, il est plutôt allé vers l’ouest. On l’a découvert un mois plus tard sur l’île de Sable, à plus de 5000 kilomètres d’Ibiza.

Une bandelette sur une patte indiquait qu’il était originaire d’Espagne.

Carte géographique indiquant la position respective des îles de Sable et d'Ibiza.

On ne s’attend pas à ce que ce pigeon se retrouve de l’autre côté du monde, affirme David Fernandez, colombophile espagnol.

Soigné sur l’île de Sable, puis sur le continent

Les employés de Parcs Canada sur l’île de Sable ont surnommé le pigeon Peter.

Il paraissait très faible après une journée près de nos bâtiments. Il n’avait pas bougé du tout, souligne Kristina Penn, coordonnatrice à la Réserve de parc national de l’Île-de-Sable.

Un groupe de chevaux sauvages sur une butte verdoyante.

 

Il est inhabituel de voir des pigeons sur cette petite île située à 300 kilomètres d’Halifax, indique Mme Penn.

Il est possible, selon elle, que Peter se soit posé sur un bateau pour se reposer en cours de route, par exemple sur un porte-conteneurs.

Kristina Penn interviewée par vidéoconférence.

 

Kristina Penn s’est occupée du pigeon pendant une semaine avant de l’envoyer à un refuge près d’Halifax. Il se portait plutôt mal à son arrivée.

Il était maigre. Il était clair qu’il n’avait pas mangé et qu’il était déshydraté. Il avait une blessure à un os, précise Brianna Bowes, spécialiste des soins de la faune au refuge Hope for Wildlife.

Peter se porte beaucoup mieux maintenant et il a repris du poids.

David Fernandez interviewé par vidéoconférence.

 

David Fernandez croit que le pigeon devrait pouvoir rester au Canada ou être ramené en Espagne, selon ce qui est mieux pour lui.

Il ajoute qu’on donne un nom à des pigeons voyageurs seulement lorsqu’ils ont accompli un exploit, et que Peter le méritait amplement.

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Slate présente officiellement sa camionnette électrique sans radio à moins de 30 000 $

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Slate présente officiellement sa camionnette électrique sans radio à moins de 30 000 $

Les véhicules abordables sont de plus en plus rares sur le marché, c’est plus particulièrement le cas des véhicules électriques. Cependant, un nouveau joueur risque de changer la donne. Il s’agit de la camionnette électrique Slate dont nous vous avons parlé la semaine dernière. Cette camionnette est produite par Slate Auto, une nouvelle entreprise dans le monde de l’automobile.

Une camionnette électrique abordable

Slate Auto vient de présenter le Slate, une camionnette électrique unique en son genre. Pourquoi? D’abord, son prix. Selon le site web de la jeune entreprise, le prix de départ visé serait d’environ 27 500 $ américains au moment de la commercialisation vers la fin de 2026. De plus, ce qui démarque cette camionnette électrique des autres véhicules sur le marché, c’est son caractère rudimentaire. Quand on regarde le Slate de plus près, on remarque qu’il est équipé de vitres avant à ouverture manuelle et de deux places assises seulement, et que sa finition intérieure est tout sauf luxueuse. Pour réduire les coûts, Slate Auto n’offre pas d’écran central pour l’infodivertissement ni même de radio. De ce côté, le constructeur mise plutôt sur la présence d’un support pour téléphone mobile qui fonctionne aussi pour une tablette électronique. On y retrouve également un emplacement qui permet d’y placer un haut-parleur Bluetooth pour la diffusion de la musique à bord, puisque le véhicule ne possède pas de haut-parleurs de série. On se retrouve donc dans un univers réellement basique.

La réduction des coûts passe aussi par certains choix techniques dont l’autonomie offerte de base. De série, le Slate devrait proposer une autonomie qui avoisine les 240 kilomètres. Cependant, on nous mentionne qu’une 2e option de batterie serait offerte moyennant un montant supplémentaire qui n’a pas été mentionné et qui assurerait une autonomie dans les 386 kilomètres. Les données préliminaires avancées par l’entreprise indiquent que la recharge sans une borne de niveau 3 munie d’un pistolet NACS permettra de passer de 20 à 80 % de charge en 30 minutes. Dans une borne de niveau 2, il serait possible de gagner entre 40 et 65 kilomètres d’autonomie par heure de recharge. Il faut aussi préciser que cette camionnette ne sera offerte qu’en propulsion, selon le communiqué de presse émis.

Un modèle compact

La camionnette électrique Slate est un modèle compact. Selon les données techniques, on parle d’une longueur de 4 435 millimètres, d’une largeur de 1 793 millimètres et d’une hauteur de 1 760 millimètres. La taille de la caisse sera, quant à elle, de 5 pieds. À titre de comparaison, il s’agira d’un véhicule plus court qu’un Ford Maverick 2025 et à peine plus long qu’une camionnette Toyota SR5 de 1985. Comme c’est le cas de plusieurs véhicules électriques, la camionnette Slate bénéficie d’un coffre de 198 litres à l’avant sous le capot.

Assemblage requis

Slate Auto se démarque par son approche « le faire soi-même ». Cela signifie qu’il est possible de rehausser le niveau d’équipement du véhicule ou de le modifier selon ses goûts et ses besoins, mais il faudra effectuer les modifications soi-même à la maison, une fois les pièces acquises auprès de l’entreprise. À titre d’exemple, il sera possible de changer les garnitures à bord, remplacer les roues (choix multiple disponible), opter pour un autre modèle de pneu. Le jeune constructeur pousse même l’expérience plus loin et permet de convertir la camionnette électrique à 2 places en un VUS électrique à 5 places assises. Vous avez bien lu, il sera possible d’acheter un ensemble qui permettra de convertir la camionnette en VUS grâce à l’ajout d’une banquette, de barre de roulement, de coussins gonflables ainsi que d’un choix de 2 types de toits. Slate Auto prévoit d’ailleurs offrir plus de 100 accessoires lors de la mise en marché.

La camionnette électrique de Slate Auto sera assemblée aux États-Unis dans une usine déjà existante. Les précommandes aux États-Unis sont déjà ouvertes moyennant un dépôt de 50 $. Pour ce qui est du marché canadien, aucun détail n’a encore été annoncé à ce sujet au moment d’écrire ces lignes. Il faudra attendre que les choses se mettent en place pour cette jeune entreprise avant de voir quels seront leurs prochains plans de ce côté. Il est certain que la guerre tarifaire touchant le milieu de l’automobile entre le Canada et les États-Unis jette un peu d’incertitude sur la venue de la camionnette électrique de Slate chez nous.

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Survivor Québec: L’aventure s’arrête brutalement pour une joueuse

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Survivor Québec: L’aventure s’arrête brutalement pour une joueuse

Lors de l’épreuve du mercredi, Kathrine a reçu un violent coup à la tête, nécessitant son transport à l’hôpital pour passer des tests médicaux.

Le lendemain pour les téléspectateurs, la médecin de l’émission, Karine Gourd, s’est entretenue avec l’animateur Patrice Bélanger afin de lui transmettre les dernières nouvelles de l’état de santé de la joueuse.

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Inquiétude sur l’île d’Ugat

De retour sur leur île, les membres de la tribu Ugat s’inquiètent pour leur coéquipière et se demandent si elle pourra réintégrer le jeu. L’absence de Kathrine plane lourdement sur la tribu, affectant le moral de tous.

Capture Noovo

Une victoire difficile à savourer pour Malaki

Pendant ce temps, sur l’île de Malaki, les joueurs ont du mal à célébrer leur victoire. L’inquiétude pour Kathrine prend le dessus sur l’excitation habituelle d’un triomphe.

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Éric et André règlent leurs comptes

Les tensions continuent alors qu’Éric et André s’isolent pour discuter d’un malaise persistant. Éric tente de justifier pourquoi il a mentionné le nom d’André lors des discussions, mais en bout de ligne, il en vient à la conclusion qu’André ne souhaite plus s’allier avec lui.

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William orphelin d’alliée… et un retournement stratégique

Sur l’île d’Ugat, William vit difficilement l’absence de son alliée Kathrine. Toutefois, un rebondissement inattendu se prépare: Ashly et Florence décident de voter avec William contre Luc lors du conseil tribal, modifiant ainsi la dynamique du jeu.

Capture Noovo

Une annonce qui change tout au conseil tribal

Les Ugat se rendent au conseil tribal. Toutefois, juste avant de récupérer l’urne de votation, Patrice Bélanger est interpellé par la médecin. Celle-ci lui annonce que, pour la sécurité de Kathrine, l’équipe médicale a pris la décision de la retirer du jeu, suspectant une commotion légère.

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Luc, pour sa part, s’en sort donc indemne… pour cette fois. Mais pour combien de temps encore? Ses coéquipiers le redoutent de plus en plus, et son avenir au sein de la tribu semble plus incertain que jamais.

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Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Séries en bref : Les Leafs mènent la série 3-0 face aux Sens

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Séries en bref : Les Leafs mènent la série 3-0 face aux Sens

Hier soir dans la LNH, quatre séries se poursuivaient.

Deux équipes pouvaient prendre une avance de 3-0 dans la série : Toronto et Winnipeg.

Voici les résultats et faits saillants :

Victoire en prolongation : les Leafs mènent 3-0

Les Leafs ne sont pas une équipe de séries.

Du moins, ils ne l’étaient pas sous les ordres de Sheldon Keefe. Ça semble être différent sous les ordres de Craig Berube.

Hier, Toronto a gagné 3-2 en prolongation et mène donc la série 3-0. Ouch!

Les Sénateurs sont pourtant revenus de l’arrière grâce au but de Brady Tkachuk.

Son deuxième des séries.

Auston Matthews avait donné les devants aux Torontois un peu avant.

Quel jeu de Mitch Marner sur la séquence!

Ottawa n’a toujours pas gagné un match éliminatoire depuis mai 2017.

Les Leafs pourront mettre fin à la série dès demain.

Le match sera disputé dans la capitale nationale canadienne.

Les Panthers reviennent à la maison en avance 2-0

Les Panthers pouvaient faire très mal au Lightning avec une victoire.

La Floride a gagné 2-0 et le club mène donc la série 2-0. Il retourne à la maison pour les deux prochains matchs. En vue du match numéro trois, deux gros joueurs pourraient déclarer forfait : Brandon Hagel (suspension) et Aleksander Barkov (blessure).

Nate Schmidt a marqué le premier but des visiteurs.

Son premier des séries.

Et le but d’assurance a été inscrit par Sam Bennett, dans un filet désert.

Le club de Paul Maurice pourrait prendre une avance de 3-0 dans la série demain, chez lui.

La Floride mène la série 2-0, en ce moment.

Connor Hellebuyck n’est pas le même

À Saint-Louis, les Blues devaient gagner pour ne pas se trouver au bord de la falaise.

C’est de la convaincante façon que l’équipe a réduit l’écart dans la série. Victoire 7-2. Elle a même réussi à chasser le meilleur gardien au monde Connor Hellebuyck.

Celui-ci n’aurait pas eu une performance de la sorte en saison régulière : 19 arrêts sur 25 tirs.

Sa défensive n’a pas été parfaite, mais il ne s’est pas aidé, non plus…

Du côté des Blues, Pavel Buchnevich a inscrit le premier tour du chapeau des séries 2025.

Cam Fowler, lui, est devenu le premier défenseur de l’histoire de la concession à récolter cinq points dans un match éliminatoire.

Quand même!

Saint-Louis pourrait égaler la série dimanche, toujours chez lui.

Les Jets mènent 2-1.

Autre victoire de 5-2 du Wild

Lors du match numéro deux, le Wild a gagné 5-2.

Et dans le match numéro trois d’hier, le Minnesota a gagné par la même marque.

C’est Kirill Kaprizov qui a ouvert la marque.

Le duo qu’il forme avec Matthew Boldy est tout simplement sensationnel.

Il a déjà 13 points en trois matchs.

Pendant que Kaprizov et Boldy se sont chargés de l’attaque, Filip Gustavsson, lui, s’est occupé de préserver l’avance.

Les deux équipes recroiseront le fer demain au Minnesota.

Le Wild mène la série 2-1.

Prolongation

– Évidemment.

– Un premier point pour le jeune défenseur.

– Quel but!

– Adin Hill chassé.

– Bon.

– Fowler mène la charge.

(Crédit: NHL.com)

– Trois matchs à l’affiche ce soir.

(Crédit: NHL.com)

Anglo, franco, peu importe ta couleur de peau… tant que tu te forces

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Anglo, franco, peu importe ta couleur de peau… tant que tu te forces

En ce moment, Patrik Laine est LA cible des gens qui suivent le Canadien.

Autant les médias que les fans parlent de son manque flagrant d’efforts lors du match #2. Et Martin St-Louis doit aussi l’avoir remarqué puisque quand le pilote a coupé son banc, mercredi, Laine a écopé.

Encore ce matin, TVA Sports a partagé un article concernant Laine. Et on y voit Michel Therrien, qui a déjà coaché dans la LNH pendant de nombreuses années, dire que Laine est un mauvais coéquipier sur la patinoire.

Est-ce que Laine est blessé? Peut-être. Mais le CH n’a rien annoncé… et tout le monde est un peu blessé à ce point-ci… et Laine n’a plus le bénéfice du doute en raison de son passé de gars qui ne se donne pas toujours.

C’est pour ça qu’en ce moment, Laine est critiqué.

Et c’est ce qui nous amène à des gars comme David Savard ou Mike Matheson. Même s’ils ont déjà mieux joué par le passé que depuis deux matchs, ils ne sont pas autant critiqués. Et ils ne perdent pas de temps de jeu.

Est-ce que ces gars-là sont moins critiqués (ils le sont quand même, ceci dit) par les médias francophones parce que ce sont des Québécois d’ici qui parlent en français, comme on peut parfois le lire sur Twitter?

La réponse est non.

Ce qu’il faut comprendre, c’est que ces gars-là se forcent. Ils donnent ce qu’ils ont à donner en jouant un rôle que Patrik Laine ne voudrait jamais jouer, même s’il est le patineur le mieux payé de l’équipe.

À mes yeux, la nuance est grande.

Martin St-Louis a continué d’envoyer Matheson et Savard sur la glace dans les situations où ils doivent jouer parce qu’ils se forcent et parce que de les bencher serait mauvais pour le club. St-Louis a agi de façon différente avec Laine (six contre cinq à la fin du match #2) parce qu’il ne se force pas.

Ramener la langue dans tout ça, c’est de mauvaise foi. Mais je ne suis pas étonné que ça arrive.

Après tout, hier, il y a eu un débat linguistique en lien avec le CH (le fameux «Go Habs Go» sur les autobus) et cela fait toujours sortir le plus mauvais de tout le monde, ces débats-là.

Et ce, même si dans ce cas-ci, même les francos, on trouve ça majoritairement épais, comme situation.

Si le Canadien ne perdait pas 2-0 dans sa série, peut-être que l’ambiance serait différente en ville. Mais en ce moment, on dirait que bien des gens oublient les sages paroles de Loco Locass dans la chanson Le But.

Quand y’est question de hockey, nous on fait pas dans la dentelle, okayC’est plus qu’un sportC’est une métaphore de notre sortC’est ça qui nous ressembleC’est ça qui nous rassembleAnglo, franco peu importe ta couleur de peau

Peu importe leur couleur de peau ou leur langue, les fans du CH veulent des joueurs qui suent et saignent pour le chandail tricolore du Canadien de Montréal. Parce que c’est plus qu’un sport : c’est une métaphore de notre sort.

Laine ne fait pas ça, lui. Si un joueur ne se force pas, sa langue n’a aucune importance. Les fans du CH l’ont prouvé par le passé : tout le monde est propice à se faire huer.

Et c’est pour ça qu’au lieu de parler du premier match de séries depuis 2017 dans un Centre Bell plein, ce matin, on parle plus des passagers dans le club, dont Laine est devenu le visage par la force des choses.

Tout ce que les gens qui ont des billets pour le match de ce soir veulent, c’est que les gars sur la glace se donnent pour pouvoir améliorer leurs chances de voir le club gagner. Ainsi, dans le Temple, ça pourrait crier… Allez Canadiens!

en rafale

– Ah ben.

– Gros duel, ça.

– Une femme comme DG des Islanders? [JdeM]

– On s’en doutait, mais Tony Marinaro nous rappelle qu’il y aura une autre saison de la série sur le CH sur Crave.

L’actualité de la semaine – Omar & Oscar

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L’actualité de la semaine – Omar & Oscar

21 avril 2025 : La série «Détective Surprenant» poursuit son intrigue aux Îles

La série «Détective Surprenant» poursuit son intrigue aux Îles

Un Québécois entreprend la traversée du Canada en véhicule électrique

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Un Québécois entreprend la traversée du Canada en véhicule électrique

Un Québécois habitué aux véhicules électriques ainsi qu’aux longs trajets avec un tel type de véhicule vient de se lancer dans un nouveau périple pour les deux prochains mois approximativement. La mission? Parcourir plus de 15 000 kilomètres dans tout le Canada au volant d’un Hyundai IONIQ 5 2025. Durant cette aventure, il documentera ses déplacements ainsi que la réalité qu’il vivra. En plus, il recueillera des images pour une seconde mission en parallèle.

Traverser le Canada au volant d’un véhicule électrique

Ce n’est pas la première fois qu’une personne se fixe le défi de parcourir une grande distance en véhicule électrique. Cette fois-ci, il s’agit d’un Québécois, Patrick Nadeau, qui effectuera un trajet à partir de Markham, en Ontario, jusqu’aux rives de l’océan Arctique, dans les Territoires du Nord-Ouest, au volant d’un Hyundai IONIQ 5 2025. Comme il n’a effectué aucune modification technique sur le véhicule électrique utilisé, il devra planifier son périple minutieusement. En effet, à mesure que Patrick se dirigera vers le nord, l’accès aux bornes de recharge pour véhicules électriques deviendra de plus en plus difficile. De plus, il ne faut pas oublier les horaires et la disponibilité des traversiers qui sont également difficiles à prévoir en raison du fort débit des cours d’eau au printemps. Cela ne sera pas nécessairement évident dans un trajet où une planification précise est de mise.

Comme nous le mentionnions plus tôt, le véhicule utilisé pour entreprendre cette aventure est un Hyundai IONIQ 5 2025. La version retenue est la Preferred avec l’ensemble Ultimate qui est offert en option. En termes de caractéristiques techniques, ce modèle affiche une autonomie de 463 kilomètres. Selon Hyundai Canada, il est possible de passer de 10 à 80 % de la capacité de la batterie en 18 minutes seulement en utilisant une borne de recharge rapide à courant continu de 350 kilowatts. Bien sûr, en région plus isolée, le temps de recharge risque d’être plus long si les bornes sont moins rapides. À titre d’exemple, dans une borne de 50 kilowatts, le temps de recharge pour obtenir la même capacité passe à 1 heure et 21 minutes, et ce, dans des conditions optimales.

Un Québécois d’expérience

Patrick Nadeau, celui qui sera derrière le volant durant ce périple au Canada, n’en sera pas à son premier voyage en véhicule électrique. En effet, il y a environ deux ans, nous vous relations dans une actualité le périple que ce dernier avait effectué sur un trajet de 15 700 kilomètres, à bord de son Hyundai IONIQ 5. Le trajet à l’époque avait consisté à effectuer l’aller-retour Québec-Mexique. L’expérience qu’il a acquise dans la planification d’un long trajet et l’enjeu des stations de recharge parfois réduites lui seront d’une grande utilité dans ce nouveau défi.

Ce qu’il faut aussi noter dans ce voyage d’une durée d’environ deux mois dans tout le Canada, c’est la mission humanitaire en parallèle que Patrick Nadeau s’est donnée. Tout au long de ce périple, il aura pour mission de créer du contenu en réalité virtuelle qui sera ensuite offert gratuitement aux organismes de lutte contre le cancer pédiatrique dans de nombreux hôpitaux du pays. Cela permettra aux jeunes patients d’explorer virtuellement l’Arctique depuis leur chambre pendant leur traitement. Le lien avec Hyundai sur ce plan est le partenariat avec l’organisme canadien à but non lucratif appelé : l’espoir sur roues de Hyundai. Cet organisme est engagé dans la lutte contre le cancer pédiatrique.

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