Accueil Blog Page 27

VUS compacts puissants : 10 de perdus, 1 de retrouvé!

0

Qui ne se souvient pas du Toyota RAV4 V6, commercialisé entre 2006 et 2012? La troisième génération du populaire VUS compact avait gagné un V6 de 3,5 litres, portant la cavalerie à 268 chevaux, en faisant une véritable bombe pour les standards de l’époque.

Ce modèle venait fermer la trappe aux autres VUS mus par un V6, principalement lancés par les constructeurs américains. J’ai en tête le Ford Escape avec moteur V6 de 3,0 litres, les Chevrolet Equinox et Pontiac Torrent à moteur V6 ou encore le Jeep Liberty avec V6 de 3,7 litres, des modèles qui ont précédé le RAV4 et qui étaient moins puissants. Ce modèle a lancé une tendance, puisque d’autres véhicules ont aussi adopté des motorisations plus performantes par la suite. Je pense au 4-cylindres turbo de 2,5 litres du Subaru Forester XT, au Jeep Cherokee avec moteur V6 3,2 litres et même au Kia Sportage avec 2,0-litres turbo.

C’était une belle période parce que les consommateurs avaient du choix. Ils pouvaient acheter un 4-cylindres bien conventionnel, mais aussi se tourner vers des motorisations plus performantes, V6 ou turbo, s’ils voulaient. C’était d’autant plus agréable que ces motorisations arrivaient normalement avec une meilleure capacité de remorquage, permettant aux gens de remorquer leur bateau ou leur VTT la fin de semaine, sans forcément vivre avec un VUS intermédiaire ou une camionnette au quotidien.

La vague

Puis, graduellement, ces motorisations plus performantes ont été éliminées du catalogue. Ironiquement, le premier à l’avoir abandonné réellement est le Toyota RAV4 en 2013, disponible uniquement avec un 4-cylindres de 176 chevaux, jetant du même coup la capacité de remorquage de 3500 lb.

Il a fallu un peu de temps avant que les autres suivent. Quelques années plus tard, Volkswagen prenait un tournant pantouflard avec son Tiguan, qui abandonnait son vif moteur 2,0T et sa petitesse pour favoriser un énorme VUS compact, mu par un moteur n’ayant pour but que l’économie. Après, en 2019, Subaru a retiré le moteur turbo de son Forester. GM a également enlevé depuis 2021 toutes les options de performance de son Chevrolet Equinox ou de son GMC Terrain. Ensuite, Mitsubishi a éliminé le V6 de la gamme de l’Outlander, sans le remplacer directement, en 2022, tandis que Jeep a éliminé après 2023 le Cherokee, emportant avec lui le V6 et même le 4-cylindres turbocompressé. Au même moment, Kia coupait la tête au Sportage avec moteur turbo, mettant de l’avant le faiblard 2,5— litres pour la plus récente génération.

En lieu et place, dans les dernières années, les constructeurs comme Honda, Hyundai, Kia, Subaru et Toyota, ont misé sur des mécaniques hybrides ou hybrides rechargeables. Un choix certes logique en raison de l’économie de carburant, de l’engouement qui entoure ces mécaniques, mais aussi pour une question d’image.

Pour les acheteurs désireux de se tourner vers un modèle pratique, pas trop cher, et plus puissant, c’est néanmoins un échec. Parce que hormis quelques hybrides rechargeables puissants, comme le Toyota RAV4 PHEV, la tendance des dernières années, dans la catégorie des VUS compacts est plutôt vers l’ennui. Et même si la puissance d’un hybride rechargeable peut être élevée, la complexité de la réaction de la mécanique et le poids ajouté par la batterie altèrent la plupart du temps la sportivité des modèles.

Le retour d’eau

Il ne faut néanmoins pas mettre tous les constructeurs dans le même panier. Certains, comme Ford, n’ont jamais cessé d’offrir une option thermique plus puissante dans un VUS compact. Il y a aussi Mazda qui a implanté son 4-cylindres turbo de 2,5 litres dans le CX-5 depuis 2019, allant à contre-courant de l’industrie. Mais on s’entend que ça relève plus de l’exception que de la règle.

Mais l’annonce faite par Volkswagen dans le cadre du Salon de l’auto de New York montre qu’il ne faut pas cesser d’y croire. Cette version Turbo Highline R-Line, avec une motorisation turbo de 268 chevaux et 257 lb-pi, n’aura pas pour but de remplacer la version de base, ou encore de faire oublier une éventuelle version hybride ou hybride rechargeable, mais bien de donner un peu de pep aux gens à la recherche d’un peu de puissance à prix raisonnable.

Parce que bien que les motorisations hybrides soient pertinentes et nécessaires, et que les motorisations de base sont suffisantes pour la majorité des gens, elles ne remplacent certainement pas les versions dites « sportives ».

Accessoirement, on sent aussi que Volkswagen tente de se défaire un peu du conformisme ennuyant auquel elle adhère depuis quelques années, avec ses modèles américanisés, peu puissants et souvent déclassés. En ce sens, je ne peux que saluer l’initiative du constructeur, autant pour les acheteurs qui veulent du pep, que pour l’amateur de conduite que je suis.

Abonnez-vous à l’infolettre RPM pour recevoir chaque semaine tous les contenus automobiles qui vous intéressent. Retrouvez RPM sur Facebook et YouTube.

POURRAIT VOUS INTÉRESSER
[jwplayer key= »d6tsWKTS »]

Canadien vs Capitals : Pierre-Luc Dubois pourrait faire mal au CH

Comme tout le monde le sait, le Canadien de Montréal affrontera les Capitals de Washington au premier tour des séries éliminatoires.

Évidemment, le CH est extrêmement négligé dans cette série, étant donné que les Caps ont terminé au premier rang dans l’Est, alors qu’ils ont connu une saison régulière parfaite.

La bande d’Alex Ovechkin n’a pas vraiment eu de période creuse cette saison, et a toujours été une des formations les plus dominantes de la LNH.

Et quand on regarde leur alignement, on remarque une très belle profondeur autant à l’attaque qu’en défense, alors que tous les joueurs dans l’alignement ont un rôle et ont un apport important à l’équipe.

Parmi ces joueurs, on compte le fameux Pierre-Luc Dubois.

Depuis qu’il a été repêché, et même avant d’être repêché, Dubois est lié au Canadien pratiquement à chaque saison dans les rumeurs de transaction.

Souvent, on a cru que le Québécois aboutirait à Montréal, mais finalement ce n’est jamais arrivé.

Et voilà qu’après avoir connu une saison très difficile à Los Angeles, il s’est retrouvé à Washington, là où il vient de connaître sa meilleure saison en carrière avec 66 points en 82 matchs.

Dubois a donc vraiment relancé sa carrière avec les Caps.

Et maintenant, il est prêt pour les séries.

Dubois peut avoir un gros impact en séries comme il l’avait fait en 2019-2020 avec les Blue Jackets de Columbus.

En plus de cela, on sait que le Québécois performe toujours bien face au Tricolore et qu’il aime jouer contre le Canadien.

C’est donc clair que le numéro 80 des Caps sera un élément principal de l’équipe face au CH, alors que Dubois risque de faire très mal à la troupe de Martin St-Louis.

Ce sera vraiment intéressant de voir comment il performera dans ces séries, alors qu’il est au meilleur de sa carrière présentement.

Les Caps auront vraiment réussi un beau coup en mettant la main sur Dubois.

C’est fou de penser qu’il y a deux ans, lorsque Dubois a été échangé à Los Angeles, personne n’aurait cru que le CH affronterait le Québécois en séries, car cela aurait voulu dire que les deux équipes s’affrontaient en finale de la Coupe.

Mais voilà que les Kings ont abandonné sur Dubois, et que ce dernier se retrouve avec les Caps, plus prêt que jamais à avoir un impact significatif au sein d’une bonne équipe et face à l’équipe de son enfance.

À noter également que Dubois affrontera David Savard, soit son ancien coéquipier à Columbus, chez qui il avait habité en tant que recrue.

En Rafale

– Bien fait.

– Les Lions ont remporté le premier match de la série hier soir.

– À suivre.

– En effet.

– À lire.

Kent Hughes a demandé à Yvon Lambert s’il devrait aller chercher Sidney Crosby

Présentement, toute l’attention des partisans du Canadien de Montréal est tournée vers les séries éliminatoires, et ce, avec raison, alors que le club a surpris tout le monde en se qualifiant pour le tournoi printanier.

Même les dirigeants du CH, soit Kent Hughes, Jeff Gorton et compagnie, sont excités et ont sûrement leurs yeux rivés vers lundi pour le premier match de la série face aux Capitals de Washington.

Cependant, il ne faut pas oublier pour autant les gros dossiers qui seront à régler dès cet été dans l’entre-saison, dont l’acquisition d’un deuxième centre.

En effet, même si le Tricolore s’est qualifié pour les séries, l’équipe manque cruellement d’un joueur de centre pour son deuxième trio.

Kirby Dach n’a pas su faire le travail avant de se blesser, et Alex Newhook est plutôt un joueur de troisième trio.

Bref, plusieurs options s’offriront à Kent Hughes et au CH cet été pour venir combler ce trou au centre de la deuxième ligne, que ce soit via transaction ou via la signature d’un agent libre.

Un des noms qui ressort beaucoup comme l’option la plus plausible, c’est celui de Sam Bennett, mais le rêve de tous les partisans du CH c’est évidemment Sidney Crosby.

On voudrait tous voir le capitaine des Penguins jouer pour le Canadien, même Kent Hughes.

En effet, le directeur général du CH a demandé à Yvon Lambert, un ancien du Tricolore, s’il devrait aller chercher Crosby.

Wow.

C’est ce qu’a affirmé Yvon Lambert lors du dernier épisode du podcast « Ça sent la Coupe » animé par Mario Langlois au 98,5 dans les Amateurs de sport.

Pierre Gervais était également un invité. Je vous conseille vraiment d’aller écouter l’épisode.

Bref, pour revenir à Crosby, en fait, les anciens du CH sont invités à des 5 à 7 depuis trois ans, soit depuis l’arrivée de la nouvelle direction, et c’est dans le cadre d’un de ces 5 à 7 que Kent Hughes a questionné Yvon Lambert à ce sujet.

Yvon Lambert fermait la place avec Guy Lapointe lors d’un de ces 5 à 7 l’an dernier, et Kent Hughes en a profité pour demander à Yvon s’il devrait aller chercher Sidney Crosby.

« J’ai dit oui c’est sûr! Va chercher Sidney Crosby! » – Yvon Lambert

Malheureusement, cette conversation a eu lieu avant que Crosby ne signe sa prolongation de contrat de deux ans à 8,7M$ par année avec les Penguins de Pittsburgh.

Cependant, cela nous apprend que Kent Hughes était bel et bien sur le dossier et qu’il regardait l’option de mettre la main sur Crosby soit via transaction ou en le signant comme agent libre.

Maintenant que Crosby est de nouveau sous contrat avec les Penguins, les choses seraient plus difficiles évidemment, mais pas impossibles, selon Yvon Lambert.

L’ancien du CH croit que le capitaine des Penguins pourrait vraiment être tenté de venir gagner une autre Coupe Stanley, cette fois avec l’équipe qu’il adore, le Canadien.

Même si une transaction au CH demeure improbable, il est clair que l’arrivée d’Ivan Demidov à Montréal et la qualification du Tricolore en séries ne peuvent qu’aider les chances de voir Crosby être tenté par une transaction vers Montréal.

Le CH a clairement de bons arguments sur la table présentement, mais il reste à voir si Crosby veut partir de Pittsburgh où s’il souhaite finir sa carrière avec les Penguins.

Bref, c’est un rêve auquel on peut croire, et auquel Kent Hughes s’est déjà intéressé étant donné qu’il en a discuté avec Yvon Lambert.

Imaginez simplement Sidney Crosby sur le deuxième trio du Canadien avec Ivan Demidov. Wow.

Et que j’en vois pas un dire qu’il est trop vieux et qu’il a ralenti.

Crosby a fini dans le top-10 des meilleurs pointeurs de la LNH avec ses 91 points, dont 33 buts, en 80 matchs cette saison.

En Rafale

– Bonne fête Patrik!

– Très bonne nouvelle !

Partenaire du jour : Camping Barachois

Partenaire du jour : Camping Barachois, sur ilesdelamadeleine.biz

https://www.ilesdelamadeleine.biz/carte/camping-barachois/

Fais une différence en supportant les partenaires des Îles #ilesdelamadeleine #achatsauxiles #partenairesdesiles

Ford Canada surprend un fanatique de Mustang âgé de 83 ans

0

Les nouvelles automobiles sont lourdes depuis plusieurs semaines, mais il y a parfois des nouvelles positives qui se glissent dans l’actualité. À preuve, pour célébrer les 61 ans de la Ford Mustang, Ford Canada a organisé une journée surprise à un fanatique du produit qui a soufflé ses 83 bougies.

Une histoire de passion

L’histoire se déroule dans la ville de Belle River, en Ontario. C’est à cet endroit que réside Paul Mailloux, âgé de 83 ans. L’homme est un fanatique de la Ford Mustang ; il en a d’ailleurs possédé une dizaine dans sa vie.

Il a commencé avec un modèle de 1966, et c’est à partir de ce moment que la passion s’est installée. M. Mailloux a d’ailleurs possédé une Mustang Shelby de 1968 équipée d’un moteur 428 Super Cobra Jet – un véhicule qui occupe toujours une place spéciale dans son cœur.

Sa plus récente obsession était la Mustang Dark Horse, et Ford Canada a décidé de faire une surprise à l’un de ses plus fidèles amateurs de Mustang au pays.

En effet, Sandy Ilievski, la directrice de l’usine de composants Ford, à Rawsonvilley, a été mise au parfum de l’histoire de Paul Mailloux par son fils Tony, infirmier auxiliaire à la résidence pour retraités Seasons Belle River où vit M. Mailloux.

M. Mailloux avait aperçu la Mustang de Tony sur le stationnement et s’était empressé de se renseigner pour trouver son propriétaire. De là, les deux hommes ont créé des liens autour de leur amour commun pour la voiture et échangé des anecdotes sur leurs modèles et leurs caractéristiques préférés, et une amitié intergénérationnelle est née.

Juste à temps pour la Semaine mondiale de la Mustang et le 61e anniversaire de la Mustang, les équipes de Ford du Canada et de Seasons se sont réunies pour organiser un moment inoubliable pour Paul et les autres résidents.

L’idée consistait à surprendre Paul avec une promenade dans la voiture de ses rêves.

Parade et promenade

Le 15 avril, l’équipe de Ford a surpris M. Mailloux avec une exposition de Mustang classiques et une promenade nostalgique – gracieuseté de la communauté passionnée de Mustang de Windsor.

Des membres locaux se sont joints au constructeur avec leurs voitures anciennes – dont un cabriolet rouge de 1966, une Mustang GT décapotable de 2023 et un cabriolet rouge de 2015.

M. Mailloux était d’ailleurs très ému lors de l’événement « Personne n’a jamais rien fait de tel pour moi. La Mustang Dark Horse est ma voiture préférée. Ç’a été l’une des expériences les plus spéciales de ma vie, et je ne l’oublierai jamais. »

Paul Mailloux a pu également profiter d’une promenade dans la Mustang Dark Horse dans les rues de Belle River. Il est d’ailleurs possible de voir des images de l’événement dans l’article.

Abonnez-vous à l’infolettre RPM pour recevoir chaque semaine tous les contenus automobiles qui vous intéressent. Retrouvez RPM sur Facebook et YouTube.

POURRAIT VOUS INTÉRESSER
[jwplayer key= »daOvMHbF »]

Kris Letang en convalescence après son opération au cœur

Gros coup dur pour les Penguins de Pittsburgh: leur vétéran défenseur Kris Letang a récemment subi une opération au cœur afin de refermer un foramen ovale perméable découvert à la suite d’un AVC survenu en janvier 2014.

Âgé de 37 ans, le défenseur entame maintenant une période de repos et de convalescence estimée entre quatre et six semaines, une pause essentielle pour revenir au sommet de sa forme.

Letang a donc manqué le dernier match de la saison régulière, alors que les Penguins affrontaient les Capitals de Washington au PPG Paints Arena.

Rappelons que les Penguins de Pittsburgh ne participeront pas aux séries éliminatoires pour une troisième saison consécutive, après avoir pourtant pris part au tournoi printanier pendant 16 saisons d’affilée.

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Top-5 : Ovi peut dire merci à Crosby et Malkin pour sa nouvelle Rolex

C’était la dernière journée du calendrier régulier de la LNH, hier.

Et pour l’occasion, sept matchs étaient présentés aux quatre coins de la ligue.

Allons voir ce qui s’est passé :

1 : Une nouvelle Rolex pour Ovi 

Les Capitals étaient en visite à Pittsburgh pour y affronter Sidney Crosby et sa bande.

Le capitaine des Penguins a aidé son club à gagner par la marque de 5-2 en inscrivant un but et une passe… mais ce n’est pas cela qui a retenu l’attention dans le match.

C’est plutôt le 897e but de la carrière d’Alex Ovechkin :

Après la rencontre. Crosby et Evgeni Malkin ont rencontré Ovi pour lui donner un cadeau.

Ils ont voulu le féliciter pour avoir battu le record de Wayne Gretzky : Malkin et Crosby ont offert une nouvelle Rolex au capitaine des Capitals.

Ça se prend bien :

À 39 ans, Ovi termine la saison avec une impressionnante récolte de 44 buts et 73 points en 65 matchs.

Ce n’est vraiment pas mauvais. Et les Caps auront besoin de lui s’ils veulent battre le CH en première ronde…

2 : Une chance que le CH a gagné mercredi 

Le Canadien a obtenu son billet pour les séries éliminatoires mercredi en battant les Hurricanes.

Il a bien fait de gagner le match… parce que derrière, les Blue Jackets soufflaient dans le cou du CH.

Et les Jackets ont terminé leur saison en beauté hier soir en démolissant les Islanders par la marque de 6-1.

Une chance que le CH a gagné mercredi…

Évidemment, les Blue Jackets ont gagné hier et on peut penser qu’ils auraient « encore plus gagné » s’il y avait une place de séries en jeu.

Le Canadien a donc bien fait de gagner mercredi.

Et ça fait en sorte qu’aujourd’hui, le CH s’en va en séries… tandis que les Blue Jackets, eux, s’en vont jouer au golf.

3 : Matvei Michkov domine à son dernier match de la saison 

Lane Hutson a terminé la saison au 1er rang des meilleurs pointeurs (66) chez les recrues. #Calder

Derrière lui se retrouvent Macklin Celebrini et Matvei Michkov… qui ont tous deux récolté 63 points cette saison.

Michkov a été en mesure de finir la campagne au 2e rang des meilleurs pointeurs chez les recrues (à égalité avec Celebrini) à l’aide d’une performance de trois points hier soir.

Le joueur des Flyers a notamment inscrit ses 25e et 26e filets de la saison :

Malgré tout, le brio de Michkov n’a pas été suffisant… parce que les Flyers ont perdu par la marque de 5-4 face aux pauvres Sabres de Buffalo.

Il était temps que la saison finisse à Philadelphie. 

4 : Tim Stutzle rappelle à quel point il a du talent

Au début de la 3e période du match Sens vs Hurricanes, la formation d’Ottawa perdait 5-3.

Mais les Sens ont marqué quatre buts sans riposte lors du troisième engagement pour se sauver avec la victoire par la marque de 7-5.

Notons que Brady Tkachuk n’a pas été en mesure de terminer la rencontre du côté des Sénateurs. Mais il sera à son poste pour le premier match des séries :

C’est Tim Stutzle qui a terminé la soirée en beauté et qui a fait plaisir à ses partisans à la fin du match.

Il restait un peu plus d’une minute à jouer… et le jeune joueur des Sénateurs a marqué un but de toute beauté :

Sa saison est passée sous le silence, mais Tim Stutzle a quand même récolté 79 points en 24-25.

Il est l’un des raisons importantes des succès et de la première participation de son club en séries éliminatoires depuis 2017.

5 : Quand Philippe Myers se prend pour Bobby Orr

On n’entend pas souvent le nom de Philippe Myers.

Le défenseur des Leafs a trouvé sa niche à Toronto après des années plus difficiles… et il est encore capable d’avoir un impact sur la patinoire.

Par exemple?

Myers s’est donné des airs de Bobby Orr hier soir face aux Red Wings. Ce but-là mérite de l’attention :

Les Leafs ont gagé le match par la marque de 4-3 et Auston Matthews a marqué son 33e but de la sison dans la victoire de son club.

Direction les séries pour les Leafs… qui vont justement affronter les Sens en première ronde.

Ça va donner un bon show. 

Prolongation

– Wow.

– Bien fait.

– Il est trop fort.

– Hein!

– Les meilleurs pointeurs de la soirée :

(Crédit: LNH.com)

– Aucun match ce soir dans la LNH. Les séries commencent demain :

(Crédit: Google)

– Et puisque la saison est terminée… voici le classement final dans l’Ouest et dans l’Est :

(Crédit: LNH.com)
(Crédit: LNH.com)

Canadien : 1.7 M$ en bonis à ses jeunes joueurs (sur le plafond de la prochaine saison)

Le fait de voir le contrat de Carey Price être placé sur la liste des blessés à long terme fait mal au CH à quelques niveaux. Heureusement, le contrat est à un an de se finir.

L’un des niveaux? Quand un joueur obtient des bonis à la performance, ils ne peuvent pas être calculés sur le plafond de la saison en cours (si le club est au maximum du plafond, évidemment) : ils s’en vont sur le plafond de la saison suivante.

Les bonis sont (notamment) accordés aux joueurs sur leur contrat d’entrée et aux vétérans de 35 ans et plus qui ont ces clauses-là dans leur entente. Et comme le CH a le contrat de Price ET des bons jeunes qui poussent, c’est le mélange parfait pour avoir de gros bonis à reporter.

Il faut savoir que sur le plafond de cette année, le CH a un peu plus d’un million de dollars (1.022 M$) en raison de la saison 2023-2024. Mais en 2025-2026, les bonis de 2024-2025 feront encore plus mal.

Dans les faits, le montant en 2025-2026 pour les performances de 2024-2025 sera (pour le moment) de 1 727 500$. Une chance que le plafond salarial va monter et que des contrats quitteront les livres comptables du CH…

À part les Blues de Saint-Louis, dont le montant sera de plus de deux millions de dollars, c’est un sommet dans la ligue. Notons aussi que 11 clubs (12 si Ryan Leonard gagne le Conn Smythe) devront reporter des bonis à travers la LNH.

Voici le portrait complet chez le CH.

  • Lane Hutson : 750 000$ (vous ne serez pas surpris d’apprendre qu’il a maximisé ses bonis)
  • Juraj Slafkovsky : 500 000$
  • Kaiden Guhle : 420 000$
  • Jayden Struble : 57 500$

L’an passé, Slaf avait fait parler de lui en marquant son 20e but de la saison au match #82, ce qui lui avait permis d’aller chercher 250 000$ de plus – un montant qui compte sur la masse de 2024-2025.

Ça avait fait jaser, ça.

Cette année, ses 18 buts et ses 33 passes font en sorte qu’il est passé à deux buts et deux passes d’avoir 500 000$ de plus (250 000$ pour 20 buts et le même montant pour 35 passes) dans son compte.

C’est cependant moins grave : l’an passé, à pareille date, il n’avait pas encore signé à long terme… et il n’était pas en séries.

Notons aussi que le montant de 1.7275 M$ pourrait monter si le CH devait faire un bout de chemin en séries. Pourquoi? Parce qu’Ivan Demidov a des bonis liés aux série dans son contrat.

Si le Russe joue cinq matchs en séries, il touchera 25 000$. S’il joue 10 matchs en séries, il touchera 30 000$. Et s’il gagne le Conn Smythe, il touchera 525 000$ en bonis.

en rafale

– Wow.

– À noter.

– Il fait bien.

– À surveiller.

– Coupe Stanley : le CH fortement négligé. [98.5 Sports]

– Rappel : le scénario le plus probable, pour le CH, est de repêcher au 16e et au 17e rang. #ChoixDesFlames

(Crédit: Tankathon)

Identité insulaire: Entre buttes légendaires et cantons d’appartenance

Les buttes et les cantons des Îles-de-la-Madeleine racontent l’histoire d’une terre façonnée par le vent, la mer et les générations de Madelinots qui l’ont habitée. Qu’ils soient le décor de légendes, des repères pour les marins ou des lieux de vie pour la communauté, ils sont au cœur de l’identité insulaire.

Des hauteurs imposantes de la Big Hill aux contours légendaires de la Butte-du-Mort, en passant par les reliefs emblématiques des Demoiselles, les buttes des Îles-de-la-Madeleine ne se contentent pas de façonner le paysage. Elles nourrissent l’imaginaire collectif, témoignent d’un riche héritage culturel et servent de repères pour marins et habitants. 

Les cantons, eux, ancrés dans la mémoire des Madelinots, sont bien plus que de simples divisions géographiques. Ils représentent le premier repère d’appartenance, une toile de fond indissociable du quotidien insulaire.

Les buttes : sentinelles du paysage et gardiennes d’histoires 

Sur l’Île d’Entrée, la Big Hill domine l’archipel du haut de ses 174 mètres. Visible dès l’arrivée en bateau, elle offre un panorama à couper le souffle et un havre de paix aux troupeaux de vaches qui y paissent en liberté.

Non loin, sur l’Île Brion, la Butte-du-Mort alimente les légendes. Anselme Chiasson rapporte qu’un naufragé y monta la garde avec la cloche du navire, guettant une voile à l’horizon. Il ne redescendit jamais, son corps retrouvé au pied d’un arbre, renforçant le mystère qui entoure ce lieu.

À Havre-Aubert, les Demoiselles incarnent l’histoire maritime de l’archipel. Ancien point de refuge pour les navigateurs, elles se composent d’une butte plus élevée, la demoiselle, et d’une plus petite, la Butte de la Croix, où trône une croix bénie en 1811. Ce site offre une vue privilégiée sur l’Île d’Entrée et le site historique de La Grave.

Plus au nord, à L’Étang-du-Nord, la Butte du Vent s’impose comme l’un des sommets les plus élevés de l’archipel. Abritant des tours de communication, elle attire les randonneurs en quête d’un panorama unique sur Havre-aux-Basques, Fatima et Havre-aux-Maisons. On y trouve également une source où certains viennent encore cueillir l’eau de Pâques, perpétuant une vieille tradition.

À Havre-aux-Maisons, la Butte Ronde, surplombant le phare du Cap Alright, est auréolée de mystère. On raconte qu’un trésor y serait enfoui, à un endroit d’où l’on peut voir les sept îles de l’archipel. Près d’elle, les Buttes Pelées, rongées par l’exploitation d’une carrière, ont fait l’objet de nombreuses mobilisations citoyennes pour la préservation de leur richesse naturelle.

Enfin, à Grosse-Île, la Rock Forest et le Cap Dauphin sont des lieux prisés des amateurs de plein air, rappelant que les buttes des Îles sont aussi des terrains de jeux naturels pour les randonneurs, skieurs et amoureux de la nature.

Les cantons : des territoires d’appartenance encore bien vivants

Si les buttes sont les gardiennes des paysages madelinots, les cantons en sont l’âme vivante. Loin d’être de simples repères administratifs, ces territoires portent une identité propre, transmise de génération en génération.

Des noms comme Portage-du-Cap, Gros-Cap, Cap-Vert, Pointe-aux-Loups ou Dune-du-Sud évoquent non seulement des lieux, mais aussi des modes de vie, des souvenirs et un attachement profond à la terre et à la mer. Chaque canton possède sa butte, son étang, sa plage, des éléments naturels qui définissent son caractère unique.

Les cantons sont aussi marqués par l’histoire humaine. Les maisons y sont dispersées sur des îlots rocheux, préservant ainsi les espaces naturels. Les noms de famille y dessinent encore des «renclos», ces regroupements familiaux qui témoignent d’un passé où les liens de parenté dictaient l’organisation du territoire.

Ils sont aussi synonymes de rassemblements. L’étang du canton servait jadis de terrain de hockey en hiver et accueillait au printemps les oiseaux migrateurs qui, le temps d’une saison, devenaient eux aussi résidents du territoire. Le bord de mer, quant à lui, fut le témoin de l’époque où les quais grouillaient d’activité et où le travail des pêcheurs dictait le rythme de la vie locale.

Aujourd’hui encore, alors que certains sites disparaissent sous l’effet de l’érosion ou de l’activité humaine, il devient essentiel de préserver ces joyaux naturels et de perpétuer leur histoire. Car si les paysages évoluent, l’attachement des Madelinots à leurs buttes et à leurs cantons, lui, demeure intact.

Incroyables photographies sous-marines de Bastien Soleil

0

Originaire de Volvic, dans une région volcanique de France, Bastien Soleil n’a pas toujours été photographe mais son art s’est naturellement imposé à lui. D’abord designer, expert en marketing et en communication, l’artiste a changé de vie et de vision. C’est lors d’une première plongée en apnée en Thaïlande il y a six ans, que l’histoire d’amour entre lui et le monde sous-marin a commencé.  Trois ans plus tard, il investissait dans un appareil photo et un boîtier adéquat, qui lui permettait d’en capturer la beauté. En résulte des clichés saisissants, qui appellent au lâcher prise, à l’abandon et à la foi. « Je crois en la Liberté, non pas la liberté d’agir de manière insensée, mais la Liberté d’être libéré de son propre passé et de son histoire, de tout ce que l’on pense qui nous limite. Avec l’aide de l’Eau, j’ai réalisé que nous sommes illimités, c’est une question d’énergie et de lâcher prise. », explique-t-il.

Son univers artistique reconnaissable offre à voir un monde rempli de merveilles, où les chatoyants rayons du soleil épousent et subliment les corps qu’il photographie. Le gracieux mouvement des modèles, en apesanteur, est saisie par l’appareil photo sans pourtant donner l’impression d’être figé. Les œuvres de Bastien Soleil rappellent souvent l’esthétisme des peintures classiques, avec un aspect parfois dramatique. Toutes ses photographies sont réalisées en apnée et sans assistance aérienne ni masque pour les modèles. Une véritable performance qu’il accomplit avec brio et qui nécessite un travail rapide puisque le temps de prise de vue dure moins de 30 secondes. Son travail a été exposé en France et dans le monde et sa vidéo Tang’o, également relayée de façon internationale, vient de recevoir le prix du « meilleur court métrage étranger », qui lui a été décerné par le London Independant Film Awards.

Pour découvrir plus de son poétique travail, rendez-vous sur son site internetson Facebook  ou son compte Instagram.

BS1-3

BS3-1-639x958

BS6

BS4-1-639x959

BS5

 

Source : FUBIZ