Accueil Blog Page 28

L'entreprise Slate présente une première image de sa camionnette électrique

0

L’essor des véhicules électriques s’accompagne de l’émergence de nombreuses nouvelles entreprises qui tentent de se tailler une place dans ce monde sans pitié qu’est l’automobile. Tandis que certains réussissent, d’autres se sont plantés et ont déposé le bilan. Aujourd’hui, une nouvelle entreprise appelée Slate Auto pourrait prochainement faire ses débuts en nous présentant un premier véhicule. Selon les premières informations, il s’agirait d’une camionnette électrique aux prétentions d’abordabilité.

Une camionnette électrique

Selon les informations circulant sur le web, la jeune entreprise Slate Auto travaillerait en secret sur une camionnette électrique à cabine régulière 2 portes. À contre-courant de plusieurs autres constructeurs automobiles, elle miserait sur un premier véhicule qualifié d’abordable, plutôt que sur un véhicule de luxe au prix exorbitant. Bien qu’aucun prix n’ait été annoncé, plusieurs rumeurs font état d’un prix de départ qui pourrait tourner autour de 25 000 $ ou 30 000 $ américains.

De plus, The Globe and Mail a récemment rapporté que, depuis sa création en 2022, Slate Auto aurait embauché des employés provenant d’importantes entreprises telles que Ford, General Motors, Stellantis ou encore Harley-Davidson, pour ne nommer que celles-ci.

Nous sommes en droit de nous demander si cette entreprise offrira un véhicule électrique sous la barre des 30 000 $ avant Elon Musk. Rappelons que ce dernier promet depuis de nombreuses années un véhicule électrique abordable… qui se fait toujours attendre. Pour le moment, nous devrons être patients et attendre les détails à venir du premier véhicule de Slate Auto.

Qui est Slate Auto?

Nous avons vu de nombreuses « start-up » échouer dans les dernières années en tentant de percer dans l’industrie automobile. Alors, qui est Slate Auto, et pourquoi aurait-elle des chances de réussir là où d’autres ont échoué? La réponse réside dans la source de ses fonds. Selon plusieurs informations circulant sur le web, Jeff Bezos, fondateur du géant du commerce électronique Amazon, serait derrière cette nouvelle entreprise. Cela permettrait donc à Slate Auto de disposer d’une source de financement considérable.

Au moment d’écrire ces lignes, très peu de détails sont connus au sujet de Slate Auto. Même le site web mentionne : « Vous êtes à la bonne place, mais il est encore un peu trop tôt. » On nous invite à nous inscrire pour recevoir des nouvelles en temps et lieu de ce projet plutôt secret. Cependant, le fait que de premières images partielles d’un véhicule camouflé fassent surface pourrait annoncer un dévoilement d’ici la fin de l’année.

Il s’agit d’un dossier à suivre de près, et dont nous aurons fort probablement l’occasion de vous reparler.

Abonnez-vous à l’infolettre RPM pour recevoir chaque semaine tous les contenus automobiles qui vous intéressent. Retrouvez RPM sur Facebook et YouTube.

POURRAIT VOUS INTÉRESSER
[jwplayer key= »aYaTjCtG »]

Le Volkswagen ID.Buzz est-il un bon véhicule familial?

0

« Je suis à la recherche d’une fourgonnette, et l’ID.Buzz me parle beaucoup pour son style et le fait qu’il soit entièrement électrique. Comme j’ai 3 enfants de 7, 9 et 11 ans, je me demande s’il est bien adapté à la vie de famille. On fait rarement de longs trajets, donc l’autonomie n’est pas vraiment un enjeu pour nous. » — Carl

Réponse

Salut, le Volkswagen ID.Buzz est certainement l’un des véhicules les plus spectaculaires en matière de design actuellement sur le marché. On attend sa commercialisation depuis plusieurs années, donc la barre est haute en matière d’expectation. Volkswagen ne peut pas se permettre de manquer la cible de produire un véhicule avec une vocation familiale affirmée. Le constructeur y arrive-t-il? Malheureusement, pas complètement.

Pour l’heure, l’un des problèmes du Buzz est qu’il n’offre que deux versions en configuration 1re Édition. L’une est strictement à propulsion à 80 610 $, et l’autre intègre le rouage intégral 4MOTION à 86 110 $. On n’est donc pas vraiment dans le département des aubaines même si l’on considère le facteur électrification dans l’équation. Sur ce sujet, Volkswagen devra offrir des versions moins luxueuses et plus abordables.

Comme ce véhicule n’est livrable qu’en édition de lancement, on n’offre pour le moment que des modèles entièrement équipés. Le luxe est intéressant à bord avec une instrumentation numérique, un grand écran multimédia central de 12,9 pouces. Les sièges sont recouverts de similicuir, et, selon que vous optiez pour la version à 2 ou à 4 roues motrices, l’aménagement de la banquette centrale est du type 60/40 à 3 places ou à 2 fauteuils individuels. On retrouve une collection de prises pour la recharge un peu partout dans l’habitacle, c’est donc assez fonctionnel.

Ce qui est étrange, c’est qu’on ne retrouve pas de porte-gobelets pour toutes les places. Il y en a deux à l’avant et deux à la 3e rangée de sièges, mais aucun à la rangée médiane. Même si l’on déplace la console avant amovible à l’arrière, cette dernière n’a pas plus de porte-gobelets. Dans un véhicule à vocation familiale, c’est étrange. À titre d’exemple, une Toyota Sienna compte 18 porte-gobelets en tout.

L’un des points fantastiques à bord, c’est l’espace. L’ouverture des portières avant est énorme, et il en est de même pour les deux immenses portes coulissantes latérales. Elles dégagent très bien l’accès à la 2e rangée de sièges, et, pour accéder à la 3e rangée de sièges, il suffit d’avancer le siège pour obtenir un passage amplement suffisant pour les enfants et les ados.

Le confort général de l’habitacle est très bien, pourvu qu’on soit assis dans un siège de l’une des deux premières rangées. On peut jouer avec les dégagements puisque les assises sont sur glissières et on peut incliner le dossier. Là où c’est plus compliqué, c’est à la 3e rangée de sièges. Les appuie-têtes sont rétractables pour faciliter le rabattement. Cependant si une personne veut y prendre place, même en élevant les appuie-têtes au maximum, ils demeurent compromettants pour le confort.

Du côté du coffre, là aussi c’est compliqué. Comme il s’agit d’un véhicule électrique, il n’y a pas de sous-coffre très profond où l’on peut rabattre les sièges de la 3e rangée de sièges, ils demeurent donc en « surface ». En rabattant le dossier, on se retrouve avec une bonne dénivellation. Pour contrer cet aspect, Volkswagen ajoute une tablette dans le coffre pour permettre un plancher « plat ». Fort heureusement, cette tablette est amovible tout comme l’est la 3e rangée de sièges si vous n’en avez pas besoin.

Si vous prévoyez utiliser les 3 rangées de sièges sur une base régulière, il ne vous reste qu’un coffre difficilement exploitable de 306 litres. Si l’on fait abstraction de la 3e rangée, sans la retirer, on passe à seulement 1 340 litres. Encore une fois, en comparaison avec une Toyota Sienna, les mêmes mesures sont plutôt de 949 et de 2 129 litres. On peut donc dire que l’aspect pratique de l’ID.Buzz est limité, surtout si l’on considère son imposante taille.

En gros, c’est non

Le Buzz est spectaculaire à bien des égards, mais on réalise vite que ses fonctionnalités sont souvent limitées. Il est difficile de croire que des ingénieurs qui ont une famille ont participé au développement du modèle tant il y a des erreurs d’ergonomie frappantes. Ajoutez à cela une mauvaise exploitation du coffre, une autonomie plus ou moins intéressante de seulement 335 kilomètres en vertu de la taille de 91 kilowattheures de sa batterie. De plus, sa capacité de charge à 150 kilowatts ne permet pas de compenser rapidement pour faciliter les longs déplacements. Et enfin, les deux derniers clous, son prix très haut et sa fiabilité aléatoire.

Abonnez-vous à l’infolettre RPM pour recevoir chaque semaine tous les contenus automobiles qui vous intéressent. Retrouvez RPM sur Facebook et YouTube.

POURRAIT VOUS INTÉRESSER
[jwplayer key= »k74SK5te »]

Partenaire du jour : Pascan Aviation

Partenaire du jour : Pascan Aviation, sur ilesdelamadeleine.biz

https://www.ilesdelamadeleine.biz/carte/pascan-aviation/

Fais une différence en supportant les partenaires des Îles #ilesdelamadeleine #achatsauxiles #partenairesdesiles

Récit numérique : Des irréductibles perpétuent la Mi-Carême

0

Le village de Fatima, aux Îles-de-la-Madeleine, est le gardien d’une tradition de plus en plus rare.

Une vingtaine de jours avant Pâques, le village sort de sa torpeur hivernale pour devenir le théâtre de trois jours de festivités. La journaliste Isabelle Larose y a pris part.

 

LA UNE : Luv Manuel Sores
PAR : Isabelle Larose

Des déchets de plastique transformés pour une exposition aux Îles

0

Invité par le centre d’artistes AdMare, l’artiste montréalais Alex Côté termine une résidence de trois semaines aux Îles-de-la-Madeleine au cours de laquelle il a collecté des déchets de plastique et autres détritus sur les plages du territoire, une entreprise mise en œuvre comme une performance qu’il a documentée en vidéo.

Souhaitant créer un lien entre l’art et la science, il a également collaboré avec des organismes locaux pour mener à bien son projet Archipel.plastique, exposé à compter du 5 septembre 2025 dans l’espace Colis suspect.

LA UNE : L’artiste Alex Côté à l’œuvre sur une plage des Îles-de-la-Madeleine où il a récoltés divers déchets et détritus. PHOTO : Antonin Monmart

Au tour de MINI de retarder ses objectifs d’électrification

0

Les objectifs d’électrification des constructeurs automobiles sont de plus en plus modifiés. L’acceptabilité lente et l’engouement qui ne s’essouffle pas des acheteurs envers les moteurs thermiques poussent les fabricants à revoir leurs objectifs de transition énergétique. Voilà qu’une autre entreprise annonce revoir son échéancier. Effectivement, MINI a annoncé à Automotive News son désir de poursuivre la confection de moteurs thermiques après 2030.

Voiture à essence trop populaire

MINI avait déclaré, en 2021, vouloir passer à une gamme complètement électrique d’ici 2030. La marque, appartenant à BMW, va finalement faire un pas de recul et revoir son objectif initial.

Selon les informations rapportées par Automotive News, l’entreprise aurait pris conscience du fait que les voitures à essence règnent toujours en maître, et ce, pour un avenir prévisible. Michael Peyton, vice-président de MINI pour les Amériques, a admis que les ambitions initiales allaient être revues :

« Nous allons toujours dans cette direction [une gamme entièrement électrique], mais nous avons constaté, en particulier pour l’Amérique du Nord, que le moteur à combustion interne est toujours très présent et le restera dans un avenir prévisible. Nous avons donc légèrement modifié notre approche en tant que marque et continuerons à produire des véhicules à moteur à combustion interne plus longtemps. »

Autre élément important à noter, le vice-président a confirmé que MINI n’allait pas seulement étirer la sauce avec les groupes motopropulseurs disponibles, mais bien continuer à investir dans le développement des voitures à essence :

« Vous verrez des investissements dans de nouveaux produits à moteur à combustion interne. Nous allons continuer à nous assurer que nous construisons des produits pour ces clients. »

Nouveaux produits?

Lors de l’entrevue, Michael Peyton a évoqué l’idée qu’un nouveau multisegment à moteur à combustion interne serait dans les plans. L’idée serait de remplacer l’Aceman, un VUS électrique sous-compact, par le prochain VUS à essence.

Il faut savoir que l’Aceman n’est plus dans les plans de MINI pour l’Amérique du Nord, car celui-ci est actuellement assemblé en Chine et la guerre tarifaire actuelle ne permet plus à MINI d’importer le véhicule en sol nord-américain. Le constructeur avait annoncé son intention d’assembler l’Aceman à son usine d’Oxford, en Angleterre, en 2026, mais avait finalement annoncé une pause dans les investissements.

M. Peyton a également exclu de produire l’Aceman à l’usine BMW de Spartanburg, en Caroline du Sud, citant un manque de soutien des fournisseurs pour l’assemblage local du modèle.

La Cooper électrique à hayon, trois portes, n’arrivera pas aux États-Unis pour des raisons similaires. MINI avait même des projets pour un cabriolet électrique, mais cela n’arrivera plus non plus.

MINI est donc, aux dires du vice-président, en plein processus de restructuration de son plan stratégique. Plus de détails suivront dans les prochains mois.

Abonnez-vous à l’infolettre RPM pour recevoir chaque semaine tous les contenus automobiles qui vous intéressent. Retrouvez RPM sur Facebook et YouTube.

POURRAIT VOUS INTÉRESSER
[jwplayer key= »kQbI8cdM »]

Survivor Québec: Sapa face à la réalité du jeu

L’épisode du mercredi démarre alors que l’équipe d’Ugat est en pleine ébullition. Composée de trois anciens Malaki et de trois membres de la première version d’Ugat, la tribu doit trouver un équilibre. Au cœur de ces discussions, Kathrine veux convaincre Ashly de se joindre à son trio formé de Léanne et William.

Capture Noovo

Geneviève fait parler d’elle chez Sapa

Du côté de Sapa, la nouvelle tribu qui fait son entrée dans l’aventure dans l’épisode du lundi, un nom commence déjà à faire des vagues: Geneviève. Selon Élodie, elle se distingue comme une très bonne joueuse.

Capture Noovo

Une épreuve d’immunité sous haute tension

Les trois tribus se retrouvent pour une nouvelle épreuve d’immunité. Pour la première fois depuis la formation de la troisième tribu, il y a deux statues d’immunité à remporter. En plus de l’immunité, une récompense chocolatée est promise à la tribu victorieuse.

Capture Noovo

Malaki et Ugat assurent, Sapa au conseil

Malaki confirme sa force en remportant l’épreuve pour une deuxième semaine consécutive. Ugat décroche la deuxième immunité, laissant ainsi la tribu Sapa vulnérable pour la première fois. Direction le conseil pour cette nouvelle équipe, qui devra éliminer un de ses membres dans l’épisode du jeudi.

Capture Noovo

« Play hard, party harder » : Quel Alex Ovechkin le CH affrontera-t-il?

C’est le secret le moins bien gardé sur la terre : Alex Ovechkin aime faire la fête.

On l’a vu boire une bière après avoir égalé le record de Wayne Gretzky face aux Blackhawks… et on l’a vu faire la même chose face aux Islanders, alors qu’il venait de battre le record de La Merveille.

Il est aussi facile de se rappeler de son été 2018, alors qu’il venait de remporter la Coupe Stanley… hehe.

Ovi est une bête de la nature : malgré le fait qu’il aime faire la fête, il a toujours été en mesure de contribuer aux succès de son équipe sur la patinoire.

José Théodore, qui a joué avec lui à Washington, l’a bien expliqué à Mario Langlois sur les ondes du 98.5 FM :

Ovechkin, en anglais, permettez-moi l’expression : c’est play hard, party harder. – José Théodore

L’ancien gardien du Canadien a raconté que les joueurs des Capitals faisaient souvent la fête après avoir gagné un match.

Et évidemment, Ovechkin était au cœur du party!

(Crédit: Getty Images)

C’est ironique pareil.

Alex Ovechkin est l’un des athlètes les plus impressionnants de l’histoire parce qu’à son âge, il est encore l’un des meilleurs buteurs de la Ligue nationale.

Par contre…

Quel Alex Ovechkin le CH affrontera-t-il en séries?

Les Capitals arrivent en playoffs avec quatre victoires à leurs onze derniers matchs. Ça va mal dernièrement défensivement : l’équipe a accordé 87 buts à ses 26 derniers matchs (depuis la pause) et a des lacunes dans sa zone. 

Cela dit, il faut aussi rappeler que les Caps ont été distraits par la course au record d’Alex Ovechkin. Les gars, les entraîneurs et l’organisation voulaient le voir battre le record et ils savaient que c’était possible aussi.

Mais il y a quand même une seule question à se poser, au final : quel genre d’équipe va se présenter devant le Canadien au premier match de la série? 

Le genre de club qui joue ensemble… ou le genre de club qui n’était plus pareil depuis qu’on cherchait à battre le record pour Ovi? 

Prolongation

Évidemment, il faut quand même rappeler que les Capitals ont connu une grosse saison.

La formation de Washington est installée 2e rang du classement général de la LNH avec sa récolte de 111 points (51 victoires).

Le CH devra faire attention… mais peut-être qu’Ivan Demidov va aider le CH à battre Ovi et sa bande, hehe.

Le kid voulait affronter son compatriote et il aura l’occasion de le faire! 

Top-5 : Cinq des sept équipes canadiennes en séries

Le Canadien était en action hier soir et tous les partisans du club étaient tournés vers ce match.

Montréal a finalement gagné, mais il y avait d’autres matchs à l’affiche.

Voici les résultats et les faits saillants :

1. Cinq des sept équipes canadiennes en séries

Avec la victoire du CH hier contre les Hurricanes, il s’est qualifié pour le tournoi d’après-saison.

Ça veut dire que cinq des sept équipes canadiennes participeront en séries cette saison : Montréal, les Sénateurs, les Jets, les Oilers et les Maple Leafs.

Le Canada a rarement eu autant de chances de ramener la Coupe à la maison.

Ottawa et Toronto s’affronteront au premier tour, donc une équipe du nord verra son parcours se terminer dès le début. Mais pour les autres confrontations, Montréal jouera contre Washington et si tout va bien, le club n’affrontera Toronto ou Ottawa qu’en finale d’association.

Dans l’Ouest, les Jets affronteront les Blues et les Oilers joueront contre les Kings.

Si les deux formations canadiennes devaient s’affronter, ce sera également en finale d’association.

Pour ce qui est des Canucks et des Flames, ils sont les seuls clubs du Canada à ne pas participer aux séries. Vancouver a terminé à six points de Saint-Louis et du dernier rang donnant accès aux séries et quant aux Flames, ils n’ont terminé qu’à deux points.

Est-ce finalement l’année d’une équipe canadienne?

2. 100 points pour Connor McDavid

Parlant d’équipes canadiennes, les Oilers étaient en action et voulaient terminer leur saison sur le bon pied.

On devait surveiller Connor McDavid, qui avait 99 points avant la rencontre. Après le match, toutefois, il était à 100 points.

Celui qui a manqué 15 rencontres cette saison a réalisé l’exploit en 67 matchs.

C’est sa cinquième saison consécutive d’au moins 100 points et sa huitième saison du genre en carrière.

Edmonton a finalement défait les Sharks par la marque de 3-0.

Blanchissage de 18 arrêts pour Stuart Skinner.

Après la rencontre, les joueurs d’Edmonton sont allés serrer la pince de Logan Couture, qui a annoncé sa retraite plus tôt dans la semaine.

La troupe de McDavid affrontera les Kings au premier tour.

3. 47e victoire de Connor Hellebuyck

Les Jets de Winnipeg sont déjà assurés de terminer au premier rang de l’Ouest depuis quelques jours et malgré tout, ils continuent de faire jouer Connor Hellebuyck.

J’espère qu’il ne sera pas trop fatigué dans les séries.

Hier, il a battu les Ducks d’Anaheim et grâce à une performance de 30 arrêts dans une victoire de 2-1, il a récolté sa 47e victoire de la saison.

Pour la deuxième saison consécutive, il gagnera le trophée William M. Jennings en raison de son petit nombre de buts accordés.

C’est Mark Scheifele qui a marqué le but gagnant en période de prolongation.

Winnipeg a donc terminé sa saison avec 56 victoires.

Le club canadien affrontera les Blues au premier tour.

4. Bon retour, Tyler Seguin

Après une longue absence, Tyler Seguin était de retour au jeu.

Il n’avait pas joué un match depuis le 1er décembre dernier.

Et Seguin a mis son empreinte sur la partie dès le début de la rencontre. Dès la 16e seconde, il a inscrit une passe sur le but de Mason Marchment.

Malheureusement, il s’agissait du seul but des Stars dans ce match.

Nashville a inscrit cinq buts sans riposte, en route vers une victoire de 5-1.

Le club du Tennessee a finalement terminé sa saison décevante avec 68 points.

Il aura les troisièmes chances les plus élevées de remporter la loterie Matthew Schaefer.

Quant aux Stars, ils devront se préparer pour un affrontement contre l’Avalanche au premier tour.

5. Troisième victoire de suite pour les Wings

Les Devils terminaient leur saison régulière hier soir contre les Red Wings de Detroit.

Les Wings l’ont emporté par la marque de 5-2. La formation du Michigan, elle, jouera son dernier match ce soir.

Le New Jersey se tourne maintenant vers les séries éliminatoires.

Il affrontera les Hurricanes de la Caroline, qui ont et vont reposer des joueurs pour terminer la saison.

Dans le match d’hier soir, Moritz Seider, Lucas Raymond, Dylan Larkin, Simon Edvinsson et Jonatan Berggren ont récolté deux points.

Les Ailes n’ont peut-être pas fait les séries, mais ils ont gagné leurs trois derniers matchs.

Demain, à Toronto, ils auront l’occasion de terminer la saison avec quatre victoires consécutives. Ils ont même une chance de dépasser les Blue Jackets de Columbus au classement.

Prolongation

– Incroyable.

– Un premier point pour Ian Moore.

– Il vaut mieux tard que jamais.

– Une 50e victoire pour les Knights.

– Ryan O’Reilly mène la charge.

(Crédit: NHL.com )

– Dernière soirée de saison régulière.

(Crédit: Google )

«Pourquoi pas nous?» : Stéphane Robidas y croyait dès le mois d’octobre

Le Canadien de Montréal est officiellement qualifié en séries. Il affrontera les Capitals de Washington à partir du lundi 21 avril.

Forcément, l’ambiance vient de changer en ville. Le Canadien en séries, ça va frapper différemment et cela va permettre de voir un Centre Bell plein en séries pour la première fois depuis 2017.

Et ça va faire du bien de voir ça.

Évidemment, même si on se doutait depuis quelques semaines que le CH avait des chances de se qualifier, il n’en demeure pas moins que de voir la Flanelle en séries en se replaçant avant le début de la saison, c’est une surprise.

Le fameux #DansLeMix était donc bel et bien vrai. Plus que vrai, même.

Il est aussi intéressant de noter que chez le Canadien, Stéphane Robidas avait sorti, au premier jour de la saison, sa meilleure imitation de Jacques Demers en disant ceci à ses joueurs : pourquoi pas nous?

Il aura eu raison, au final : le Canadien, en quelque sorte, a surpris le monde du hockey. Pas autant qu’en 1993, bien entendu, mais bon.

Le Canadien, avant de commencer la saison, n’était pas exactement projeté comme un club de séries. C’est la même chose au moment de la Confrontation des quatre nations, où le club était dans le trouble et n’avait que 2 % de chances de faire les séries.

Mais here they are.

Le match d’hier, qui a été gagné au compte de 4-2 contre les Wolves de la Caroline, n’a pas toujours été parfait de la part des joueurs du Canadien, mais le club a été chercher la victoire.

Qu’est-ce que je retiens de ce 82e et ultime match de saison régulière?

1. Kaiden Guhle a marqué deux buts et à un certain point, Pierre Houde a dit que le défenseur est passé proche d’aller chercher son tour du chapeau. Cette phrase-là m’est restée en tête puisque c’était… inattendu, disons-le comme ça.

Après un match plus difficile contre les Hawks, le pilier défensif s’est levé et a connu un superbe match sur 200 pieds. Il est prêt pour les séries et c’est tant mieux pour son club.

2. Nick Suzuki, qui a une autre saison de 82 matchs derrière la cravate, a récolté un but et une passe, hier. Il a joué pendant plus de 21 minutes et il a été le joueur donc le CH avait besoin.

Il finit sa saison avec 89 points, dont 30 buts. Son différentiel de plus-19 est aussi révélateur.

3. Le fait que le CH ait relativement été en santé cette année a clairement aidé à se rendre jusque là. La formation d’hier devrait être celle du premier match des séries… et le seul gros absent est Carey Price Kirby Dach.

4. David Savard qui prend des photos avec sa famille au banc avant le match : un indice à ne pas sous-estimer. #RetraitePotentielle

5. Encore hier, le Canadien n’a pas été une machine en termes de tirs au but. 21 tirs seulement de la part des gars, ce n’est pas exactement la mer à boire, on va se le dire.

Contre Washington, c’est un élément qui fait peur.

6. 60 passes pour Lane Hutson, c’est quelque chose. Si on veut remettre les choses en perspective, on pourrait dire que même Nick Suzuki, cette saison, n’a pas atteint le plateau des 60 passes.

En fait, pour un défenseur recrue, c’est tout simplement historique.

en rafale

– À surveiller.

– Incroyable.

– Grosse soirée pour elle.

– Le Rocket n’a pas été en mesure de confirmer sa première place dans la LAH, hier. [RDS]

– Bonne écoute.

Soupers-bénéfice de la Fondation Madeli-Aide pour l’éducation

0

Un festin de homard les 27 et 28 mai pour soutenir le parcours éducatif des jeunes Madelinots

Un festin de homard les 27 et 28 mai pour soutenir le parcours éducaif des jeunes Madelinots Québec, le 17 avril 2025 – La Fondation Madeli-Aide pour l’éducation est fière de convier amis, partenaires et donateurs à ses tradi􀆟onnels soupers-bénéfice au homard, qui auront lieu le 27 mai à Québec sur le AML Louis Jolliet et le 28 mai à Montréal à bord du AML Cavalier Maxim. Présentés par Croisières AML, ces soupers fesifs se tiendront sous la coprésidence d’honneur de la Caisse Desjardins des Îles-de-la- Madeleine et de la Fondation Famille Léger qui s’unissent pour soutenir les jeunes Madelinots dans leur cheminement scolaire et leurs aspirations professionnelles.

Au programme : un souper-croisière inoubliable sur le fleuve avec du homard frais des Îles à volonté, accompagné de vin dans une ambiance chaleureuse et typiquement madelinienne. La soirée débutera avec un cocktail réseautage mettant en valeur les délicieux produits du terroir madelinot.

Dans un contexte économique où la commercialisation des produits de la pêche et du terroir comporte des défis particuliers, la Fondation est heureuse d’être une vitrine pour que les quelque 900 convives dégustent le homard fièrement pêché aux Îles, mais aussi le crabe, le fromage, les poissons fumés, les charcuteries, le loup-marin et la bière des Îles. Les bénéfices de ces événements contribueront directement à financer les bourses d’études ainsi que le Programme de soutien à la réussite et à la persévérance scolaires mis en place par la Fondation.

Les bénéfices de l’édition 2024 a d’ailleurs permis de remettre plus de 231 000 $ en bourses aux jeunes Madelinots l’an dernier.

« Je remercie nos coprésidents d’honneur, la Fondation Famille Léger et la Caisse Desjardins des Îles, de leur engagement fidèle pour la Fondation. En appuyant ensemble les jeunes des Îles dans leur cheminement scolaire, nous leur offrons les moyens de rêver plus grand et de bâtir un avenir à la hauteur de leur potentiel.» a souligné Denis Richard, président par intérim de la Fondation Madeli-Aide.

La Fondation Madeli-Aide pour l’éducation remercie chaleureusement ses autres partenaires qui rendent ces soirées possibles : Fasken, Sanimax, Groupe Mach, Plaza Reit, CTMA, Fruits de mer Madeleine, Les Entreprises Larebel, SAQ, Gemini Médias, ainsi que les pêcheurs de homard et les producteurs agroalimentaires des Îles.

Les billets sont disponibles dès maintenant ICI.

Portrait d’entrepreneurs : Clinique de Denturologie Audrey Bourque

Audrey Bourque

Originaire de la côte de l’Étang-du-Nord, Audrey Bourque est la fille de Suzanne Leblanc et de Bruno Bourque. Elle a grandi dans un environnement tissé serré, entourée de gens passionnés et engagés.

C’est à 25 ans qu’Audrey fait le saut. Elle rachète la Clinique de denturologie de Diane Leblanc. Une décision qu’elle n’aurait sans doute pas prise sans le soutien indéfectible de son mari, qu’elle décrit comme la véritable étincelle de son parcours entrepreneurial.

Si elle n’avait pas été denturologiste, Audrey se serait tournée vers la santé ou l’éducation. Elle aime les gens, les échanges, le contact humain. Et cela transparaît dans chaque aspect de sa clinique, où elle et son équipe offrent des prothèses dentaires complètes et partielles, avec une fierté particulière pour les traitements 100 % numériques.

Un article original


 

INSPIRANT PERSONNAGE
Elle a été marquée très tôt par l’exemple de son père et de son grand frère, tous deux entrepreneurs. Leur aplomb et leur audace l’ont toujours impressionnée, même si elle ne se voyait pas, à l’époque, suivre la même voie.

Une période préférée dans l’année?

Férue de toutes les saisons, avec un faible assumé pour les plaisirs d’hiver. «J’adore vraiment toute les saisons, je trouve que chacune d’elles apportent quelque chose de spécial. Ceci dit, même si j’adore le soleil et la chaleur, force est d’admettre que j’aime particulièrement l’hiver et ses sports.»

Entreprises chouchous des Îles?

    • Audrey admire aussi le travail des autres entrepreneurs de sa communauté. Elle cite notamment Jean-Bernard Leblanc, courtier immobilier et papa engagé, dont elle admire l’énergie et l’implication. Elle glisse aussi un mot doux pour son amie Marie-Pier Cormier, propriétaire de Domestica & Co, une entrepreneure qu’elle juge inspirante et dont le travail l’émerveille.

    SERVICES

    • À la clinique, nous offrons des prothèses dentaires complètes et partielles, et nous sommes fières d’êtres 100% numériques au niveau de certain traitements offerts.

    SON ÉQUIPE DE TRAVAIL

    • Les employés sont le cœur de l’entreprise, je pense entre autre à Chantal Poirier, notre force tranquille, qui tient la barre de la réception depuis bientôt 31 ans et Emilie Leblanc, ma moitié, mon bras droit, qui a coeur l’entreprise comme si elle lui appartenait.

     


Audrey Bourque incarne une génération d’entrepreneures enracinées et passionnées, qui portent fièrement leur métier tout en valorisant l’humain, la famille, et l’engagement dans leur communauté..