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Angelbert RICHARD (1938-2025)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 13 avril 2025, de monsieur Angelbert Richard. Il était âgé de 87 ans et résident de Havre-aux-Maisons, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il était l’époux de feu Julienne Cyr, le père de Maurice (Adèle), Émile (Carole), Diane (Clément) et Angèle (Félix). Il avait sept petits-enfants : Corine, Anna, Noémie, Fanny, Olivia, Céline et Anick, et sept arrière-petits-enfants : Eliot, Théo, Matthis, Madelyn, Étienne, Ryan et Alexandra. Il laisse aussi dans le deuil ses frères et sœurs, beaux-frères, belles-sœurs, neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules, le jeudi 24 avril 2025, à partir de 14h. Suivront les funérailles à l’église Sainte-Madeleine de Havre-aux-Maisons, à 16h, et l’inhumation au cimetière de l’endroit.

Le Subaru Solterra revient en 2026 avec plus de puissance et d’autonomie

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La commercialisation du Subaru Solterra a été mise en pause pour l’année modèle 2025. Le constructeur a donc eu l’occasion d’écouler les stocks restants de modèles d’année 2024, mais aussi de mettre la table à l’arrivée d’une série de bonifications pour le modèle. De fait, à l’occasion du Salon de l’auto de New York, Subaru a dévoilé le Solterra 2026 qui arrive avec une puissance bonifiée et une autonomie maintenant plus concurrentielle.

Pour commencer, le modèle reçoit des modifications de style pour 2026. L’avant arbore des phares de jour avec 6 points chacun, en plus d’un logo illuminé, qui surplombe les phares maintenant intégrés plus bas. Il s’agit de la nouvelle signature visuelle que le constructeur souhaite mettre de l’avant pour ses nouveaux modèles électriques. Des roues de 18 ou 20 pouces sont installées avec un design repensé, et l’arrière change peu, même si le mot SUBARU est bien mis en évidence sur le hayon. Nouvellement, les arches de roues peuvent être peintes de la même couleur que la carrosserie, pour une apparence plus raffinée, comme sur le modèle actuellement illustré.

À bord, un nouveau système d’infodivertissement de 14 pouces, avec l’interface de Toyota, est présent. Certaines couleurs ont été modifiées pour améliorer l’expérience générale, mais l’essentiel demeure inchangé.

La vraie différence

À l’image des améliorations apportées au Toyota bZ4X pour le marché européen, les changements les plus importants touchent l’architecture électrique du modèle. Il repose maintenant sur une plateforme qui renferme une batterie lithium-ion de 77 kWh, une hausse par rapport au 72,4 kWh de la précédente batterie.

Cette dernière est désormais équipée d’un système de préconditionnement activable à la volée ou de manière automatique si vous entrez une station de recharge comme destination. Ceci permettrait au modèle de maximiser sa performance de recharge rapide, particulièrement par temps froids, et ainsi de passer de 10 à 80 % en 35 minutes avec une borne de recharge rapide adaptée. La puissance de recharge rapide acceptée culmine à 150 kW, tandis qu’elle est de 11 kW sur une borne de niveau 2.

De plus, le port de recharge NACS, popularisé par Tesla, est maintenant de série, permettant au Solterra 2026 d’avoir accès au réseau de recharge rapide de Tesla. D’ailleurs, le port de recharge a été déplacé sur l’aile avant droite, facilitant l’accès aux bornes Tesla qui sont typiquement munies d’un câble assez court.

De nouveaux moteurs sont aussi intégrés sous tous les Solterra 2026, générant une puissance totale de 338 chevaux, une augmentation de 57 % par rapport au modèle précédent. Le constructeur annonce une accélération de 0 à 100 km/h en 5,0 secondes, en faisant une fusée par rapport au modèle sortant.

Ces améliorations de technologies, en plus d’un design retravaillé, permettent au Solterra de voir son autonomie augmenter à 450 km selon les données préliminaires., une augmentation de 25 % par rapport aux 359 kilomètres annoncés pour le modèle 2024. De plus, elles permettent de corriger les lacunes du modèle notées lors de son lancement en 2023, lui qui faisait pâle figure aux côtés des Hyundai IONIQ 5, Tesla Model Y et Kia EV6 en matière d’autonomie, de recharge et de performance générale.

Néanmoins, le Solterra continue de mettre l’accent sur les capacités de franchissement, avec le rouage intégral de série et une garde au sol de 8,3 pouces, la plus haute parmi les concurrents. Le constructeur affirme avoir revu la calibration de la direction, de la suspension et du rouage intégral, pour une meilleure réponse et une plus grande douceur.

Disponibilité et prix

Pour l’heure, Subaru n’a pas donné de détails sur les prix du Solterra 2026. Difficile de se faire une idée, étant donné que le modèle 2025 est inexistant, mais le Solterra 2024 commençait à 59 159 $.

Le modèle sera officiellement distribué en cours d’année 2025. Impossible d’être plus précis pour le moment.

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Subaru lance le Trailseeker, un véhicule électrique destiné à la conduite hors route

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Il y a quelques jours, Subaru a annoncé qu’elle avait l’intention de lancer un nouveau modèle de véhicule électrique, nommé Trailseeker, destiné aux amateurs de conduite hors des sentiers battus. Cette annonce avait piqué notre curiosité, notamment parce que nous ne l’avons pas vu venir. Or, le constructeur vient de lever le voile, dans le cadre du Salon de l’auto de New York, sur ce nouveau modèle, nommé Trailseeker, qui dérive sans surprise du Subaru Solterra, l’autre véhicule électrique de la marque.

Comme son nom l’indique, le Trailseeker a pour but d’offrir aux consommateurs des capacités hors route plus grandes et une meilleure convivialité dans toutes les situations. Si la garde au sol du modèle demeure de 210 mm (8,3 pouces) comme le Solterra, il bénéficie néanmoins d’une mécanique plus puissante. En effet, il propose 375 chevaux, plutôt que les 338 chevaux proposés par le Solterra. De plus, il est équipé d’un X-Mode à double fonctions, du contrôle de l’adhérence et de l’assistant de descente en pente. Pour finir, il peut remorquer 681 kg (1500 lb), ce qui n’est pas possible avec le Solterra.

Même s’il a une devanture calquée sur celle du Solterra 2026, avec la nouvelle signature visuelle de Subaru pour les véhicules électriques avec les phares de jours avec 6 points chacun et les phares intégrés plus bas, le Trailseeker propose quelques changements. D’abord, ses ailes sont de couleur contrastante, ce qui n’est pas de série sur tous les Solterra. Ceci dénote le caractère un peu plus aventurier du modèle.

La partie arrière est, quant à elle, complètement différente. D’abord, le Trailseeker est plus de 150 mm (6 pouces) plus long que le Solterra, tandis qu’il est 25 mm (1 pouce) plus haut. L’effet direct est une apparence qui se colle à celle d’une familiale. En fait, on a presque l’impression que l’Outback pourrait porter ce design, tant la similitude en matière de format est grande.

De plus, l’espace amélioré pour les passagers arrière est amélioré et l’espace de chargement s’avère plus grand, plus une meilleure convivialité dans toutes les circonstances, même si Subaru n’a pas annoncé les chiffres de litrage. Aussi, le design de partie arrière est plus classique que le Solterra, avec un feu sur toute la largeur, lui procurant donc une apparence plus élégante. Les rails de toit sont de série, tandis que les roues de 18 ou 20 pouces selon la version sont proposées.

À bord, l’habitacle est virtuellement identique à celui d’un Solterra, avec un écran de 14 pouces au centre, accompagné de deux chargeurs par induction pour téléphone intelligent.

Une batterie bien à lui

Curieusement, il n’utilise pas la même batterie de 77 kWh que le Solterra 2026. Le Trailseeker propose plutôt une batterie lithium-ion de 74,7 kWh, dont l’autonomie prévue est de 420 kilomètres. Le système de préconditionnement de la batterie permet d’assurer une capacité de recharge de 150 kW dans la plupart des conditions. Ceci est suffisant pour proposer une autonomie de 420 kilomètres, selon les dires de Subaru. Le port de recharge NACS, celui qu’adoptent tous les constructeurs d’automobiles, est également de série, ouvrant la possibilité d’utiliser les bornes de recharge de Tesla.

Selon les informations fournies, le Trailseeker dispose d’une calibration de suspension qui lui est propre. De plus, des capteurs mesurant l’accélération de chacune des roues permettent de distribuer la puissance de manière adéquate pour améliorer la stabilité et la performance.

Disponibilité et prix

Il semble que le Trailseeker arrivera après le Solterra retouché. Selon les dires de Subaru, il faudra attendre l’année 2026 avant de voir débarquer le Trailseeker chez nous. Évidemment, compte tenu du délai qui nous sépare de l’arrivée du modèle, les prix ne sont pas encore dévoilés. Selon toute logique, ils devraient être légèrement plus élevés que ceux du Solterra, lesquels seront dévoilés à l’approche de la commercialisation, en cours d’année 2025.

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Hyundai dévoile le Palisade de 2e génération dans la Grosse Pomme

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Hyundai profite du Salon de l’auto de New York pour dévoiler le Palisade de 2e génération, son utilitaire sport intermédiaire à 3 rangées de sièges. Même si le public le voit pour la première fois, nous avons eu l’occasion de le voir en primeur quelques semaines avant dans la région de Los Angeles. On peut également souligner qu’il est, en termes d’esthétique, identique au modèle dévoilé pour le marché sud-coréen il y a quelques mois.

Pour cette 2e génération, Hyundai ne cherche pas à brasser les cartes ou à réinventer le segment, on joue la carte de la continuité et l’on améliore le produit en lui offrant de nouvelles motorisations plus modernes.

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Le style, toujours polarisant

Dès son introduction en 2020, le Palisade s’est défini par un style frappant, tout particulièrement en raison de la configuration de sa grille de calandre qui était pour le moins imposante. Pour cette 2e génération, on adopte une approche similaire avec un design frappant et certainement controversé. Cette fois, ce n’est pas la calandre qui retient l’attention, mais bien plutôt les imposants blocs optiques constitués de 5 bandes de DEL superposées à l’horizontale. Ils constituent à la fois les phares de jour et la signature visuelle du modèle. Il faut noter que, en fonction des versions, au nombre de 4, il y a une variation comme sur le modèle Ultimate Calligraphy dont les bandes sont argentées. Il faut regarder dans le rectangle noir vers l’intérieur pour découvrir les principaux éléments éclairants.

Au centre, on obtient un pont avec une fine bande de DEL mais, surtout, une collection de bandes superposées pour former la calandre et le pare-chocs. Encore une fois, en fonction de la version, il y aura une variation sur la thématique. Dans le cas du XRT Pro, on ajoute une applique grise contrastante au pare-chocs de même que des crochets d’ancrage orangés.

De profil, on suit la lancée de la 1re génération avec des traits très plats. Alors que l’IONIQ 9 joue de rondeurs, le Palisade reste fidèle aux lignes droites. Les ailes comportent une structure au-dessus des roues pour retenir le tout. Les longerons de toit sont noirs ou gris, selon la version, même approche pour la ceinture de fenestration ou les bas de caisse. En matière de jantes, le modèle pour l’aventure XRT Pro reçoit des jantes exclusives de 18 pouces équipées de pneus Continental CrossContact. Les modèles Preferred Trend et Luxury roulent sur des 20 pouces, alors que l’Ultimate Calligraphy opte pour des 21 pouces. Ces trois derniers sont équipés de pneus Kumho.

À l’arrière, il est impossible de ne pas y voir un Land Rover Range Rover dans la configuration des feux. Ces derniers sont constitués de 6 bandes de DEL qui adoptent la même approche qu’à l’avant. Le Palisade 2026 sera offert avec une sélection de 9 couleurs extérieures.

Un habitacle décevant

Dès l’ouverture de la portière, on remarque à quel point le tableau de bord est massif, trop. Il est constitué d’une imposante structure qui surplombe l’ensemble. Ça me fait étrangement penser aux vieux tableaux de bord des années 1970 qui englobaient tout. L’effet est accentué par le fait qui soit tout en rondeurs comme s’il était gonflé. Sur l’ancienne génération, la planche de bord était passablement plus basse, ce qui donnait une impression de dégagement, on recule sur ce point.

Devant le conducteur, le volant nous vient directement du Santa Fe qui, lui-même, l’avait copié de Land Rover. Sans surprise, on retrouve deux écrans de 12,3 pouces, un pour l’instrumentation, et l’autre, pour le système multimédia. Bien que ces applications fonctionnent bien, elles n’évoluent pas. Comme il s’agit du modèle le plus luxueux et le plus coûteux de la gamme Hyundai, il devrait apporter un vent de nouveauté à bord en matière de technologie, mais ce n’est pas le cas.

Les sièges offrent un bon confort, et la visibilité semble bonne. Alors que Hyundai maîtrise bien la conception des consoles centrales, dans le cas du Palisade, elle est inutilement énorme et prend beaucoup de place pour les volumes de rangement qu’elle accorde. Notez que l’habillage des sièges en cuir est différent d’une version à l’autre. À titre d’exemple, dans le cas du XRT Pro, on reproduit des silhouettes de montagnes. Trois couleurs de cuir seront livrables : noir, gris/bleu et brun. Avec les variantes du côté des appliques, le Palisade offre 6 ambiances différentes.

À l’arrière, l’accès est facilité par de grandes portières qui offrent un bon dégagement. Il est important de souligner que l’empattement est plus long d’un peu plus de 7 centimètres dont l’essentiel va aux passagers arrière. Il y a amplement de place. Selon la version, cette rangée sera équipée de 2 fauteuils individuels ou d’une banquette à 3 places. L’accès à la 3e rangée est étroit et ne satisfera que des enfants. Il faut noter que le mouvement du mécanisme pour déplacer le siège est efficace.

Du côté du coffre, il y a un gain sur toutes les mesures. Avec toutes les places en position, le coffre propose 540 litres. En configuration à 4 ou à 5 places, on passe à 1 310 litres et à 2 455 litres avec le dossier des sièges rabattu. C’est plus généreux que précédemment, mais on est encore loin du Honda Pilot qui excède les 3 000 litres.

Deux nouveaux moteurs

Pour ce qui est de cette nouvelle génération, Hyundai propose 2 nouvelles motorisations au Palisade. On délaisse ainsi le vieux V6 de 3,8 litres de 291 chevaux et de 262 livres-pieds. Le « nouveau » moteur de base nous vient directement de la Kia Carnival. Il s’agit d’un V6 de 3,5 litres qui développe une puissance de 287 chevaux et produit un couple de 260 livres-pieds. C’est un peu moins que le 3,8-litres, mais la différence ne devrait pas être perceptible. Cette mécanique est jumelée à une boîte de vitesses automatique à 8 rapports. Fait important pour les amateurs de camping, sa capacité de remorquage est de 2 268 kilos (5 000 livres). Il s’agit de la mécanique des modèles Preferred Trend, XRT Pro et Ultimate Calligraphy.

Vient la nouveauté, un 4-cylindres turbocompressé de 2,5 litres qui, jumelé à 2 moteurs électriques, affiche une puissance combinée de 329 chevaux. Dans son cas, le couple est de 339 livres-pieds. Hyundai n’a pas encore dévoilé tous les détails concernant la conception et la structure de ce système hybride. Sans surprise, quand on parle d’hybridation d’un VUS chez Hyundai, la boîte de vitesses automatique ne compte que 6 rapports. Il faut savoir que cette motorisation réduit la capacité de remorquage à 1 814 kilos (4 000 livres). Cette mécanique est livrable de série sur le modèle Luxury et elle est offerte en option sur l’Utimate Calligraphy.

Le XRT Pro propose quelques modifications techniques comme des amortisseurs plus longs de 1 pouce. Cela porte sa garde au sol à 8,4 pouces. Pour améliorer ses aptitudes hors route, il reçoit un différentiel arrière électrique à glissement limité.

Conclusion

Le Hyundai Palisade 2026 arrivera avec sa motorisation V6 au début de l’été 2025. On parle donc des modèles Preferred Trend, XRT Pro et Ultimate Calligraphy. Dans le cas de la motorisation hybride (Luxury et Ultimate Calligraphy), il faudra attendre au début de l’automne prochain. Hyundai Canada n’était pas en mesure de nous donner les prix pour 2026. On nous confirma toutefois qu’il y aura une légère majoration. Pour l’heure, les prix 2025 du Palisade évoluent entre 53 000 et 63 000 $.

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À New York, Kia présente l’EV4, sa première berline électrique abordable

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Contre vents et marées, les Sud-Coréens poursuivent leur offensive du côté des véhicules électriques. De cette manière, le constructeur vise toujours à rallier de plus en plus de consommateurs avec une stratégie élargie. Alors que Kia de ne propose actuellement que des VUS ou des multisegments en matière de VÉ, les choses changeront sous peu avec l’introduction de l’EV4, une première berline pour Kia. À l’international, le fabricant a déjà présenté la batterie ; c’est maintenant au tour du marché nord-américain de la découvrir, et ça se passe au Salon de l’auto de New York.

Les opposés réunis

L’équipe de Karim Habib continue sur ses élans d’audace en matière de style. Il n’y a pas de doute que la berline EV4 marque les esprits avec un style frappant et certainement inédit. Tout comme plusieurs autres modèles de la gamme, les blocs optiques optent pour une position verticale avec une collection de DEL. On retrouve aussi l’éclair « Star Map » de DEL qui sert de signature visuelle à la marque. En matière de calandre, elle est plutôt inutile, mais sur l’EV4, elle marque une nouvelle évolution du « museau de tigre » cher à Kia.

De profil, on peut dire qu’elle frappe. La voiture est assez haute en raison de la présence de la batterie dans le plancher. Comme il s’agit d’une berline électrique, les contraintes de configuration sont presque inexistantes. De ce fait, l’empattement est long et permet de courts porte-à-faux avant et arrière. Kia opte pour une impression de toit flottant, des arches de roues de couleur contrastante et, surtout, une ligne « fastback » pour le coffre. À la custode, on découvre des airs de famille avec la berline compacte K4. À l’instar de la K4 justement, les feux arrière ont une approche verticale et repoussée sur les extrémités. Le coup d’œil est singulier et distinctif. Les stylistes et les ingénieurs ont travaillé fort pour obtenir un coefficient de traînée de 0,23 seulement.

En matière de style général, il y aura initialement deux approches : les Light et Wind auront des jantes de 17 pouces, alors que les Wind Premium et les GT-Line seront équipés de 19 pouces. Les GT-Line auront naturellement une approche plus sportive. Kia produira une version à hayon de l’EV4, mais on ne sait toujours pas si elle sera commercialisée au Canada.

Habitacle spacieux et dégagé

Kia sait comment interpréter un habitacle de voiture électrique pour optimiser ses fonctions et son espace. Sans surprise, on retrouve une approche très connue chez les Sud-Coréens avec l’intégration de deux écrans de 12,3 pouces et d’un 3e écran de 5 pouces comme dans l’EV9 réuni sous une même plaque de près de 30 pouces. Le volant, comme les couleurs et les textures, sera différent, qu’on opte pour les GT-Line ou pas. Il s’agit là d’un trait habituellement réservé à des produits plus coûteux.

Comme toujours, les rangements sont très amples à la console qui est partiellement flottante. C’est d’ailleurs là et dans les portières qu’on découvre des surfaces texturées de matière recyclée du plus bel effet. Il reste à voir quel est le volume du coffre et son aménagement.

Plusieurs versions techniques

Comme c’est le cas des EV3 et EV5, l’EV4 est construite sur la plateforme e-GMP et sur une architecture à 400 volts et non pas à 800 volts comme les EV6 et EV9. C’est plus conservateur comme approche technique, mais cela cadre bien avec des visées plus urbaines et, surtout, permet d’amoindrir des coûts de production.

Deux batteries seront offertes. La version Light de base vient avec une pile de 58,3 kilowattheures. Une batterie plus généreuse à 81,4 kilowattheures est aussi livrable sur toutes les autres versions : Wind, Wind Premium, GT-Line et GT-Line Limited. En matière d’autonomie, les estimations de Kia prévoient des distances de 378, 531 et 482 kilomètres entre les recharges. Initialement, l’EV4 sera livrable en traction avec un moteur de 204 chevaux (150 kilowatts). Ultérieurement, un moteur électrique additionnel s’ajoutera à l’arrière et inclura un rouage intégral. Pour le moment, la puissance combinée n’est pas annoncée.

En matière de recharge, les EV4 arrivent de facto avec le port NACS qui se trouve sur l’aile avant gauche. Kia estime que la recharge de 10 à 80 % de la batterie de 58,3 kilowattheures sera l’affaire de 29 minutes, alors que pour la grosse batterie, on parle de 31 minutes pour le même exercice. Comme tous les modèles construits sur les plateformes e-GMP, on obtient la technologie V2L de série.

Quelles sont les versions de la Kia EV4 2026?

L’offre sera assez élargie pour répondre au plus grand nombre de consommateurs possible. Voici la gamme actuellement prévue pour le Canada :

  • Light à traction et autonomie standard
  • Wind à traction et autonomie prolongée
  • Wind intégrale et autonomie prolongée
  • Wind Premium à traction et autonomie prolongée
  • Wind Premium intégrale et autonomie prolongée
  • GT-Line à traction et autonomie prolongée
  • GT-Line intégrale et autonomie prolongée
  • GT-Line Limitée à traction et autonomie prolongée
  • GT-Line Limitée intégrale et autonomie prolongée

Construite à Autoland Gwangmyeong en Corée du Sud, les premiers exemplaires de l’EV4 2026 sont attendus au début de l’année 2026. La version à rouage intégral sera proposée ultérieurement. Comme c’est habituellement le cas, il faudra attendre à l’approche de la commercialisation pour connaître les prix des différents niveaux d’équipement de la voiture, et espérons que la version à hayon rejoindra la gamme au Canada.

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Genesis dévoile sa voiture de course qui participera aux 24 Heures du Mans

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Le Salon international de l’auto de New York regorge de nouveautés cette année, et le constructeur Genesis n’a pas raté l’occasion d’y exposer des bolides sublimes pour les yeux. En effet, le constructeur sud-coréen a exposé, pour la première fois, la voiture de course de son écurie Genesis Magma Racing (GMR). L’hypercar devrait, théoriquement, participer aux 24 Heures du Mans.

Genesis Magma Racing

La GMR-001 incarne, selon le constructeur Genesis, sa philosophie de design intitulé « Élégance Athlétique ».

La voiture a donc droit à un traitement particulier, soit des insertions de couleur orange qui rappellent la division Magma de Genesis. C’est d’ailleurs le point de départ de la création de Genesis Magma Racing, le programme officiel de sport automobile de Genesis.

L’équipe du constructeur fera ses tout premiers débuts avec l’Hypercar GMR-001 au Championnat du monde d’Endurance FIA (WEC) en 2026 et au Championnat IMSA SportsCar en 2027, propulsée par un moteur V8 nouvellement développé et inspiré de la technologie World Rally Championship (WRC) de Hyundai. Il faut d’ailleurs ajouter que le constructeur Hyundai s’est taillé une place importante dans la WRC, et que Genesis travaille en partenariat avec Hyundai pour le développement de ses voitures de course.

Genesis Magma Racing bénéficie de la vaste expertise et des capacités d’ingénierie de Hyundai en sport automobile. Ce partenariat reflète l’engagement de Genesis à allier performances de pointe et luxe, ce qui renforce son esprit de compétition sur la scène mondiale de la course.

Une voiture de course

L’Hypercar GMR-001 présente la signature lumineuse Two-Line de Genesis qui s’enroule horizontalement autour de l’avant et de l’arrière pour souligner la largeur et l’intention aérodynamique. L’inclusion de ce design assure une cohérence visuelle de la marque avec la gamme de voitures de route Genesis, selon le constructeur, sans compromettre la visibilité nocturne vitale en course d’endurance.

La carrosserie de l’Hypercar GMR-001, conçue chez Genesis Design Europe sous la direction du directeur créatif Luc Donckerwolke, présente une ligne parabolique fluide sur le profil latéral. Une plaque de soubassement plate favorise l’efficacité aérodynamique, tandis que des prises d’air soigneusement intégrées extraient l’air chaud pour améliorer les performances thermiques.

Même si les caractéristiques techniques finales restent secrètes, le groupe motopropulseur hybride et le châssis de l’Hypercar GMR-001 — développés en partenariat avec ORECA Motorsport — promettent d’offrir des performances et une vitesse hautement compétitive, selon Genesis.

Genesis Magma Racing a déjà entamé son parcours compétitif dans l’European Le Mans Series (ELMS) 2025 avec une participation en LMP2 soutenue par IDEC Sport, ce qui met en vedette deux pilotes, Jamie Chadwick (Royaume-Uni) et Mathys Jaubert (France).

Lors de la manche d’ouverture de la saison, les 4 Heures de Barcelone, l’équipe, complétée par Daniel Juncadella (Espagne), a remporté une victoire dès ses débuts dans la catégorie LMP2.

L’Hypercar GMR-001 sera exposée au kiosque de Genesis lors du Salon international de l’auto de New York 2025, dont l’ouverture au public est prévue le 18 avril au Jacob K. Javits Convention Center.

Subaru dévoile la septième génération de l’Outback, plus aventurière et plus spacieuse

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Depuis quelques mois, les images-espionnes de la Subaru Outback alimentent le moulin à rumeurs. Puisque ces images laissaient entrevoir une carrure plus assumée et plus proche d’un VUS, plusieurs avaient l’impression que l’Outback s’éloignerait de la familiale qu’elle était depuis ses débuts. À l’occasion du Salon de l’auto de New York, le constructeur a dévoilé en grande première l’Outback 2026, confirmant ainsi l’orientation plus VUS que prend la marque avec son populaire modèle.

Un style typique

Même si Subaru n’a pas encore dévoilé les dimensions de l’Outback 2026 par rapport à l’ancienne génération, l’œil ne ment pas. Dès le premier coup d’œil, les lignes frappent : la devanture est carrée, le toit est très plat et plus haut, tandis que l’arrière est affublé d’artifices plus agressifs. Le design général revêt donc une apparence similaire à celle d’un VUS, et plus loin de celle d’une familiale typique. Sans surprise, néanmoins, le constructeur continue de tabler sur les éléments qui ont fait la renommée du modèle et de la marque, notamment la garde au sol généreuse de 220 mm (8,7 pouces), meilleure que celle de nombreux VUS.

En ce sens, les artifices visuels ne manquent pas, avec une grille de calandre plus massive, des phares déstructurés avec phares de jours placés au sommet, et bien sûr l’imposant placage de plastique, maintenant plus résistant aux égratignures. Les roues, de 19 pouces sur certains modèles, arborent aussi un design repensé, tandis que la ceinture de fenestration est plus tranchée. Un nouvel empiècement de couleur carrosserie est placé au pilier C, pour accentuer l’aspect robuste du modèle.

Dans cette même veine, le modèle retient les barres longitudinales de toit, lesquelles peuvent accepter 363 kg (800 lb) en position statique, soit assez pour n’importe quelle tente de toit. Ces barres peuvent maintenant accepter une traction de 100 kg (220 lb), assez pour y accrocher une corde à linge temporaire, en camping par exemple. À l’arrière, les deux feux de position traversent le hayon pour rejoindre le logo en plein centre, juste au-dessus de l’inscription « OUTBACK ». Plus bas, le mot Subaru est embossé dans le parechoc, qui cache les embouts d’échappement.

Plus d’espace

En revanche, Subaru affirme que ce changement de style et ce repositionnement dans la gamme permettent d’améliorer la fonctionnalité du véhicule, notamment avec un espace intérieur amélioré. L’espace de chargement est 50 mm (2 pouces) plus haut, tandis qu’il s’étend en largeur sur 1100 mm (43,3 pouces), une amélioration notable. D’ailleurs, l’espace de chargement atteint 980 litres, une augmentation de 60 litres par rapport au modèle sortant.

L’espace amélioré n’est certainement pas le seul élément à souligner à bord. L’Outback 2026 arrive avec une nouvelle planche de bord plus proche de celle d’un VUS que d’une auto, avec deux écrans comme éléments principaux. L’instrumentation de 12,3 pouces, entièrement numérique, fait entrer Subaru dans l’ère moderne avec plusieurs tableaux, dont un tableau « calme » et l’intégration de la carte de navigation. Au centre se trouve un écran de 12,1 pouces, placé tout en haut de la planche de bord, alimenté par un nouveau processeur et une nouvelle interface. Le constructeur affirme que la performance est meilleure, de même que la navigabilité, pour une utilisation plus facile. Le système renferme d’ailleurs un système de reconnaissance vocale intelligent, de même que la possibilité d’utiliser Apple CarPlay et Android Auto sans fil.

Un peu plus bas se trouvent des commandes de climatisation physiques réelles qui ont pour but d’être faciles à manipuler avec des gants. L’habitacle promet plusieurs solutions de rangement, comme de l’espace pour des bouteilles de 32 onces dans les portes de même qu’un support pour le téléphone du passager avec ce qu’il faut pour gérer les câbles de recharge. De leur côté, les sièges sont maintenant fixés directement à la structure du véhicule et sont munis d’une mousse antifatigue qui vise à assurer leur confort.

Mécanique pour ainsi dire inchangée

Même si on espérait voir une mécanique hybride être introduite dans l’Outback, comme ce qui se trouve dans le Forester et le Crosstrek, il faudra plutôt se rabattre sur les mêmes mécaniques connues. D’entrée de jeu, les acheteurs pourront opter pour un 4-cylindres de 2,5 litres dont la puissance atteint 180 chevaux, et le couple, 178 lb-pi. La mécanique qui risque d’être plus intéressante est néanmoins celle qui équipera les versions XT. Il s’agit du 4-cylindres turbocompressé de 2,4 litres dont la puissance est de 260 chevaux et le couple de 277 lb-pi. Dans les deux cas, une automatique à variation continue (CVT) avec simulation de 8 rapports et le rouage intégral symétrique de Subaru sont de série.

Quelques nouveautés seront néanmoins offertes au chapitre des aides à la conduite. Un système EyeSight plus performant inclut maintenant un radar pour assister la vue des trois caméras typiques du système. De plus, la conduite mains libres, avec supervision du conducteur, jusqu’à une vitesse de 135 km/h est disponible sur certaines autoroutes.

Un nouveau système de surveillance de l’état du conducteur est aussi inclus avec le modèle, permettant au véhicule de reprendre le contrôle en cas d’absence de réponse de la part du conducteur lorsqu’il utilise le régulateur de vitesse adaptatif. Le véhicule pourra alors entreprendre un changement de voie dans le but de s’immobiliser sur l’accotement et d’activer les feux de détresse, en plus d’appeler les secours.

Et comme le X-Mode, qui contrôle le rouage intégral et améliore prétendument les capacités hors route, est cher à Subaru, il a été reconfiguré pour améliorer la performance, comme le rouage intégral qui dispose maintenant d’un différentiel central plus rapide.

Wilderness?

Quelques mots sur la version Wilderness qui fait un retour pour l’année modèle 2026. Le modèle est plus agressif que la version régulière, notamment avec une grille de calandre exclusive, garnie de noir. Les roues de 17 pouces sont aussi présentes, avec des pneus destinés à la conduite en hors route. De plus, les protections de plastique placées dans le bas de la carrosserie sont plus proéminentes, tout comme les accents dorés et les phares antibrouillard hexagonaux.

En matière de capacités, le modèle Wilderness ajoute 21 mm à la garde au sol, laquelle atteint 241 mm en raison d’une nouvelle suspension, maintenant adaptative. Le constructeur affirme qu’elle permet une meilleure stabilité et une meilleure performance hors des sentiers battus, notamment en raison de sa capacité à lire la route pour ajuster l’amortissement en temps réel. Des plaques de protection en sous-châssis sont présentes, ce qui permet de profiter des capacités plus élevées annoncées. Le constructeur affirme que l’angle d’approche de ce modèle est maintenant de 20 degrés, tandis que l’angle de départ est de 22,5 degrés, des données augmentées par rapport au modèle régulier.

Seul le moteur turbo est offert avec cette déclinaison. Il permet une capacité de remorquage maximale de 1588 kg (3500 lb).

Arrivée et prix

Selon les informations partagées par Subaru, le modèle régulier arrivera avant la fin de 2025, tandis que le modèle Wilderness foulera les routes du Québec au début de 2026. 4 versions, plutôt que 7 actuellement, seront proposées : Tourisme, XT Limited, Wilderness et XT Premier.

Les prix ne sont pas encore annoncés. On doit néanmoins s’attendre à une hausse du prix de toutes les versions, comme l’ont subi les Forester et Crosstrek lors de leur changement de génération. De plus, l’abandon du modèle Commodité laisse entrevoir une augmentation du prix de base du modèle.

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Survivor Québec: de nouvelles alliances bouleversent le jeu

L’aventure prend un nouveau tournant dans Survivor Québec alors que la toute nouvelle tribu Sapa, fraîchement formée, débarque sur son île. Pour ces naufragés recomposés, c’est le retour à la case départ: il faut bâtir un nouvel abri, rallumer le feu et, surtout, apprendre à collaborer avec de nouveaux coéquipiers venus d’anciennes tribus adverses.

Sapa: une alliance stratégique en formation

Dans cette nouvelle configuration, Kevin et Élodie se retrouvent isolés en tant que seuls anciens membres de Malaki au sein de Sapa, désormais dominée par quatre ex-Ugat. Rapidement, ils comprennent qu’une stratégie solide sera nécessaire pour survivre.

Andrée, tentant d’apaiser les tensions et d’instaurer une certaine équité, propose à Sarah une idée audacieuse: les anciens Malaki pourraient volontairement éliminer un des leurs, pendant que les ex-Ugat feraient de même. Une manière d’équilibrer les forces et de repartir sur de nouvelles bases.

Ugat: une percée stratégique… et une révélation risquée

Du côté de la tribu Ugat, un jeu parallèle s’installe. Kathrine, William et Léanne approchent Luc, longtemps mis à l’écart dans sa propre tribu, pour lui proposer une alliance. Luc, voyant là une opportunité d’infiltrer l’autre camp, accepte… du moins en apparence.

Il révèle ensuite à Florence et Ashly qu’il a accepté cette offre pour tenter de créer une brèche stratégique. Il va encore plus loin en leur dévoilant un avantage majeur: il détient un pouvoir qui lui permet de voler un vote au conseil tribal.

Une idole bien cachée… et bien trouvée

Alors que Kevin a fouillé activement l’île de Sapa en vain afin de trouver l’immunité cachée, c’est finalement Élodie qui met la main sur l’idole.

Un nom circule… et les alliances tremblent

Plus tard, Andrée et Myriam prennent les devants et approchent discrètement Marilou et Rayane. Leur proposition: éliminer Éric pour solidifier leur nouvelle alliance. Ce mouvement inattendu n’échappe pas à Sarah, qui voit d’un très mauvais œil cette proximité entre Marilou — sa plus fidèle alliée — et les stratèges du moment.

Kassandre de Survivor QC fait partie de cette autre télé-réalité importante!

C’est confirmé: l’année 2025 s’annonce grandiose pour les fans de Survivor, et encore plus pour ceux du Québec! Kassandre Bastarache, qui s’est hissé au top 3 de la deuxième saison de Survivor Québec, fera officiellement partie de la distribution internationale de la nouvelle édition spéciale intitulée Survivor: Australia V The World.

Diffusée en juin prochain sur la chaîne australienne Network 10, cette saison unique réunit des joueurs légendaires provenant d’un peu partout sur la planète. En tout, 14 anciens candidats issus des éditions australienne, américaine, sud-africaine, néo-zélandaise, finlandaise… et québécoise s’affronteront aux îles Samoa dans un combat intense de 16 jours.

Ce format plus court diffère des saisons traditionnelles australiennes qui s’étendent généralement sur 47 jours et mettent en vedette 24 participants. Ici, le niveau sera élevé et les enjeux tout aussi grands, avec un prix de 250 000 $ et, surtout, le prestigieux titre de Sole Survivor.

Kassandre fera partie de l’équipe Team World, aux côtés de grands noms du jeu comme Parvati Shallow et Tony Vlachos (Survivor US), Rob Bentele (Survivor South Africa), Tommi Manninen (Survivor Finland), Cirie Fields (Survivor US) et Lisa Holmes (Survivor New Zealand). Elle devra affronter les vétérans australiens comme David Genat, George Mladenov, Luke Toki et Shonee Bowtell, qui composeront l’équipe Team Australia.

L’émission sera, bien entendu, animée par le fidèle hôte Jonathan LaPaglia.

Ghislain RENAUD (1963-2025)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 13 avril 2025, de monsieur Ghislain Renaud. Il était âgé de 61 ans et originaire de Bassin, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il était le fils de feu Roland F. Renaud et de feu Juliette Lapierre, le conjoint de madame Chantal Jomphe, le frère de Serge (France) et Sylvie (Bruno). Il laisse aussi dans le deuil ses neveux : Félix, Mathieu, Bruno-Pier et Julien, ses petits-neveux : Émile et Laurent, sa belle-mère madame Marie-Anna Lebel, sa belle-sœur Line (Pierre), ses oncles et tantes, cousins et cousines, et ses amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Havre-Aubert, le jeudi 24 juillet 2025, de 19h à 22h. Les funérailles de monsieur Ghislain Renaud seront célébrées à l’église Saint-François-Xavier de Bassin, le vendredi 25 juillet 2025, à 11h. L’inhumation suivra au cimetière de l’endroit.

Le jour des funérailles, le salon ouvrira à 9h.

Nos remerciements les plus sincères à l’équipe d’oncologie et au personnel des soins à domicile du CISSS des Iles pour le travail exceptionnel effectué à chaque jour ; votre dévouement et votre professionnalisme dans les soins prodigués, apportent douceur et réconfort aux patients et à leur famille. Mille mercis !

Vos marques de sympathie peuvent se traduire par un don à la Fondation Santé de l’Archipel pour le Fonds Francine-Daigle.

Top-5 : Après s’être qualifié pour les séries, le Wild a permis à Fleury de jouer en prolongation

La soirée de mardi était chargée dans la LNH puisque 10 matchs étaient au programme.

Et il y a eu de l’action en masse.

Allons voir ce qui s’est passé :

1 : Bravo au Wild 

Le Wild n’avait besoin que d’un seul point face aux Ducks pour assurer sa place en séries éliminatoires.

C’est ce qu’il a été en mesure de faire grâce à un but de Joel Eriksson-Ek à 20 secondes de la fin du match. Le Wild a créé l’égalité 2-2 et la prolongation a été nécessaire :

Puisque le Wild avait donc obtenu son billet pour les séries, John Hynes a pris une décision.

Il a décidé d’envoyer Marc-André Fleury devant le filet pour la prolongation… parce qu’à la base, le plan était de le faire jouer hier soir. Mais le Wild devait absolument aller chercher un point et dans les circonstances, le club a fait confiance à son gardien numéro un.

Mais Flower a tout de même eu l’occasion de jouer quelques minutes et Matt Boldy l’a aidé à signer une dernière victoire en carrière dans la LNH (3-2) :

Après le match, les joueurs des Ducks ont fait la ligne pour serrer la main de Marc-André Fleury.

Il s’agissait de son dernier match de saison régulière à domicile en carrière et le Wild a fait les choses en grand.

Bravo :

2 : Belle soirée pour Marner et Matthews 

Les Leafs ont gagné par la marque de 4-0 face aux Sabres hier soir.

Mais ce n’est pas ce qui est important ici.

Dans la victoire, deux joueurs des Leafs ont atteint un plateau important.

On commence avec Mitch Marner… qui a récolté son 100e point de la saison hier soir. Il est devenu le 4e joueur des Leafs à faire une saison de 100 points dans l’histoire du club :

Auston Matthews, lui, a profité d’un filet désert en fin de match pour inscrire son 400e but dans la LNH.

Seulement Gretzky, Bossy, Lemieux, Hull et Kurri ont réalisé l’exploit plus rapidement que Matthews.

Pas pire… : 

Les gars étaient souriants dans le vestiaire après le match et on a senti qu’ils ont profité du moment.

Du moins, ils ont vraiment l’air heureux sur cette photo :

3 : Tour du chapeau pour Dylan Strome 

Alex Ovechkin a déjà battu le record de Wayne Gretzky. Il laisse donc ses coéquipiers marquer (hehe)… et hier soir, c’est Dylan Strome qui en a profité.

Le joueur de centre des Capitals a permis à son club de l’emporter par la marque de 3-1 face aux Islanders… en marquant trois buts.

Une vraie victoire signée Dylan Strome :

On n’en parle pas souvent, mais la saison de Dylan Strome mérite vraiment de l’attention.

Il a maintenant récolté 81 points (29 buts) en autant de matchs cette saison : il s’agit de sa meilleure production en carrière.

Strome a vraiment trouvé sa niche à Washington.

Tant mieux… parce qu’on savait que le 3e choix au total du repêchage 2015 avait le talent pour exploser dans la LNH.

4 : Connor Bedard s’occupe des Sens

Après avoir joué contre le Canadien lundi, les Hawks disputaient en deuxième match en autant de soirs.

Et dans le cadre de leur visite annuelle à Ottawa, Connor Bedard a mené la charge en inscrivant deux buts… à la Connor Bedard :

Les Sens se sont battus jusqu’à la fin et Drake Batheson a marqué en fin de match pour forcer la prolongation… mais Bedard ne voulait rien savoir.

Le jeune joueur des Hawks a mis la table pour Frank Nazar, qui a déjoué Anton Forsberg à l’aide d’un bon tir.

Victoire de 4-3 des Blackhawks… qui terminent leur campagne avec une récolte de trois gains en quatre parties.

Au moins, ils ont trouvé une façon de bien terminer leur saison :

5 : Les jeux sont faits dans l’Ouest 

Avec la victoire du Wild et celle des Blues face à l’Utah (6-1), on sait maintenant quels seront les affrontements pour les séries dans l’Ouest.

Ça va être bon :

  • Jets vs Blues
  • Wild vs Golden Knights
  • Kings vs Oilers
  • Stars vs Avalance

Les Flames ont gagné hier soir contre les Golden Knights (5-4) et ont tout fait pour obtenir leur billet… mais il était déjà trop tard :

(Crédit: )

Avalanche vs Stars… j’ai vraiment hâte de voir cette série-là. Surtout avec Mikko Rantanen à Dallas!

Notons aussi que c’est pratiquement joué dans l’Est.

On sait que ce sera…

  • Sens vs Leafs
  • Lightning vs Panthers
  • Devils vs Hurricanes
  • Capitals vs CH / Blue Jackets

Reste à voir si le CH pourra se qualifier à l’aide d’un seul point ce soir face à la Caroline…

Prolongation

– Bien joué.

– Beaucoup de respect pour Matt Martin.

– Beau jeu.

– Ça promet pour les séries.

– Les meilleurs pointeurs de la soirée :

(Crédit: NHL.com)

– Six matchs ce soir. Le CH devra être prêt…

(Crédit: Google)

Le Canadien va l’emporter ce soir (et faire les séries)

Depuis des semaines, on met le classement de l’Est chaque jour, quelque part dans un article, sur le site. Mais ce matin, nous n’avons pas besoin de le faire, à mes yeux.

Pourquoi? Parce que c’est simple : si le Canadien récolte au moins un point ce soir, il fera les séries et affrontera les Capitals en première ronde. Et s’il n’obtient pas de point ce soir et que les Blue Jackets battent les Islanders en 60 minutes demain, c’est le club de l’Ohio qui affrontera les Caps.

Pas plus compliqué que ça.

Ailleurs dans la LNH, c’est simple : 15 équipes sont éliminées, 15 équipes savent déjà qu’elles font les séries et 14 clubs sont déjà au courant de leur adversaire en première ronde. #Suspense

En gros, il n’y a que les Caps qui attendent, parmi les équipes qualifiées.

Le scénario catastrophe du CH (défaite à la régulière ce soir et victoire en 60 minutes des Blue Jackets demain) a présentement 15.4 % de chances d’arriver, selon le modèle mathématique de MoneyPuck.

Mais il n’arrivera pas.

Dans la dernière semaine, le Canadien a perdu ses trois derniers matchs, dont deux en prolongation. Mais ce soir, les gars vont comprendre l’urgence du moment face aux Hurricanes, qui auront bien des gars de la LAH en uniforme.

Comment je le sais? Parce que… parce que.

Ma prédiction, c’est que les joueurs en place vont apprendre des derniers matchs, où ça ne s’est pas super bien passé. Ils vont sortir plus fort que les Hurricanes, qui ne sont pas excellents sur la route et qui veulent simplement ne pas se blesser pour les séries.

Et ils gagneront à la maison ce soir.

On dit souvent que les meilleurs doivent être les meilleurs pour le CH et je pense que ce sera le cas. J’ai le sentiment que le premier trio roulera. Que Mike Matheson en jouera une grosse. Que Lane Hutson aura faim. Que Samuel Montembeault sera un mur.

Et qu’Ivan Demidov va encore être le joueur le plus visible sur la glaceReste juste à voir s’il jouera encore avec Joel Armia ou pas.

Parce que oui, Martin St-Louis devra aussi en coacher une grosse – et pas juste pour peut-être passer devant son collègue de Columbus au vote pour le Jack Adams en fin de saison.

Le pilote sait que son club doit prendre les choses entre les mains. Et il sait que pour la dernière fois ce soir, le club est en contrôle de son destin.

St-Louis sait que c’est excitant, tout ça, mais c’est aussi stressant. Après tout, si le Canadien devait rater les séries en 2025, ce ne serait pas vu, à ce point-ci, comme de la «progression normale» par rapport aux attentes du début de saison. #DansLeMix

Ce serait vu comme un échec. Comme un club qui s’est écroulé.

À Columbus, ne pas faire les séries serait vu comme une progression par rapport à octobre parce que personne ne voyait le club, qui venait de perdre Johnny Gaudreau, en séries. Et récemment, le club monte la pente au lieu de la débouler comme le CH. #QuestionDePerception

Les gens du Canadien savent aussi quelle est l’importance de voir le Canadien se qualifier. La vie à Montréal est différente quand la Flanelle est en séries puisque bien des gens comptent sur le CH pour aider leur business.

Les dernières fois que le CH était en séries, c’était en 2021 et en 2020… mais c’était en pleine pandémie. Sinon, il faut remonter à 2017. Montréal est une ville différente par rapport aux huit dernières années, les gens sont différents, mais ils ont besoin de la Flanelle en séries.

Et pour ça, il faut gagner sa place au soleil ce soir. Parce que sinon, vous savez très bien que les Blue Jackets ont de bonnes chances de gagner en 60 minutes demain contre les Insulaires et de doubler le Canadien au classement.

Les gars à Montréal ont démontré être capable d’y arriver. Il faut juste carburer à la pression (au lieu d’être étouffé par celle-ci) et les fans vont s’occuper de jouer le rôle de septième joueur.

Do your job, comme le dit Bill Belichick.

Patrik Laine doit marquer en avantage numérique. Samuel Montembeault doit se lever au bon moment. Nick Suzuki doit guider le club. David Savard doit être un maître à court d’un homme.

Si tout le monde amène sa game dans la game, ça va bien aller. Et j’y crois.

prolongation

– Les Flames sont éliminés et les Américains ont perdu à la Confrontation des quatre nations. Il y a des limites à ce que la magie de Johnny Gaudreau peut amener à un club. Est-ce que cela va se continuer ce soir au Centre Bell?

– Le débat des chefs, le match du Rocket pour permettre au club de finir premier de la ligue : tout ça va passer dans le beurre pour bien des gens, ce soir. Ça aurait été moins stressant si le Canadien était qualifié, mais c’est plus excitant comme ça.

– C’est le match le plus important du nouveau noyau de joueurs et de la nouvelle administration. Est-ce que tout le monde passera le test? Ne pas faire les séries pourrait nuire à Kent Hughes cet été quand viendra le temps de vendre sa salade à certains joueurs…

– Rappel : ce soir, Brendan Gallagher retrouvera son chandail «le hockey contre le cancer» grâce à Lucie Lachance.