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Audi dévoile l’A6 2026 et on prend le volant de l’A6 Avant 3.0TFSI

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Audi a présenté en première mondiale la 6e génération de l’A6, sa berline intermédiaire. Elle a donc pris la décision de conserver son appellation A6 qui devait, en principe, disparaître. On se souvient que la stratégie d’Audi consistait à nommer ses véhicules électriques en leur donnant un chiffre pair, alors que ses véhicules à essence devaient retenir les impairs. Toutefois, et à grands frais, Audi a reculé sur cette décision. De ce fait, l’A6 de nouvelle génération à motorisation thermique évoluera au sein de la même gamme que l’électrique A6 e-tron.

Purement Audi

En matière de style, Audi s’éloigne des traits plus sévères et angulaires que nous avons connus au cours des dernières générations du produit. Le constructeur renoue avec les rondeurs. C’est le cas du Q5, du Q6, de l’A5 et, maintenant, de l’A6. Plus souple, la partie avant demeure très massive avec une imposante grille de calandre « Single Frame ». Toutefois, il n’y a plus de cadre à proprement parler. On va même jusqu’à apposer l’écusson Audi à la jonction de la calandre et de la carrosserie. Le capot est profondément sculpté avec 2 grands traits. Même si les deux voitures sont différentes techniquement parlant, on peut dire que les liens entre l’A6 e-tron et l’A6 sont très puissants. C’est particulièrement probant avec les blocs optiques qui peuvent, en option, obtenir jusqu’à 7 configurations d’éclairage différentes qui comptent 48 diodes électroluminescentes (DEL) individuelles. Ces derniers permettent un éclairage matriciel de haut calibre.

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De profil, alors que l’A6 e-tron opte pour une configuration à hayon, cette nouvelle A6 conserve l’un de ses traits de caractère les plus forts, une configuration tricorps bien définie : le compartiment-moteur, l’habitacle et le coffre. On reconduit même l’arche de la partie supérieure de la ceinture de fenestration, un autre trait propre à l’A6. Sur cette version, le styliste, l’Italien Francisco D’Amore, insiste sur l’applique de chrome satiné au panneau de custode qui marque une évolution. Les jantes afficheront des dimensions qui vont de 18 à 21 pouces en fonction de la version et des options.

M. D’Amore nous a aussi longuement parlé de la conception du couvercle du coffre. Il forme un becquet dont le trait est si serré que les ingénieurs ont dû revenir à l’acier pour le construire plutôt que d’utiliser de l’aluminium, un métal plus fragile. Ces efforts paient bien puisque la berline affiche un coefficient de traînée de seulement 0,23. Pour ce qui est de l’arrière, comme les autres produits Audi, la technologie OLED est à l’honneur et compte jusqu’à 7 configurations différentes dans 198 panneaux. Pour un peu plus de distinction, Audi offre au lancement deux styles, le classique de base et le S-Line qui donne un ton un peu plus sportif.

Malheureusement, au Canada, nous n’aurons pas le plaisir de voir la version familiale Avant qui présente des lignes très profilées. On peut presque en parler comme étant un « Break de chasse » tant la lunette est couchée. Audi ne l’a pas confirmé, mais cette dernière pourrait bien venir au Canada en configuration allroad ou, encore, RS6.

Pareil pas pareil

Audi suit la même approche que la majorité des constructeurs d’automobiles en ce moment en adoptant une formule généraliste. Avec l’A6, comme l’A6 e-tron, le Q6 et l’A5, on obtient une collection de 3 écrans au maximum. L’instrumentation reçoit un affichage de 11,9 pouces et jouit d’un très grand nombre de possibilités de configurations. C’est là l’une des cartes de visite du groupe Volkswagen.

Au centre, l’écran, qui intègre le système multimédia MMI, passe à 14,5 pouces. Il demeure très convivial. Le fait qu’il soit incliné vers le conducteur lui confère une ergonomie appropriée. Toutes les commandes, à l’exception du sélecteur de modes de conduite « Drive Select », sont incluses dans l’écran. En option, le passager pourra également avoir droit à son écran de 10,9 pouces de son côté. Il s’agit d’un gadget, mais ça demeure intéressant.

Bien que l’assise soit basse, la visibilité est très bonne. En raison de l’énorme toit panoramique à réglage électrochromatique, la luminosité dans l’habitacle est agréable, et la visibilité est bonne. Il faut toutefois souligner que l’imposante applique noire qui supporte l’instrumentation et le MMI est très massive. Fort heureusement, avec l’A6, Audi relève la barre pour ce qui est de la qualité des matériaux et de la finition générale. C’est supérieur à ce que j’ai observé dans le Q6 ou l’A5. Même si la finition est supérieure, je pense que l’A6 devrait offrir plus de distinction dans sa présentation. Notez que le constructeur offrira une sélection de couleurs intérieures, dont quelques-unes par l’entremise du programme de personnalisation « Exclusive » d’Audi. Les mélomanes auront le choix de 2 chaînes audio de conception Bang & Olufsen. La première compte 16 haut-parleurs pour un total de 685 watts, alors que la seconde ajoute 4 haut-parleurs et atteint les 810 watts.

À l’arrière, la ligne de toit n’est pas trop compromettante pour l’accès à bord. L’empattement est exactement le même que celui de la génération précédente, mais un aménagement plus efficace permet d’avoir de meilleurs dégagements. Du côté du coffre, on parle d’un volume de 492 litres. Dans le cas de la BMW Série 5, on en est à 520 litres, alors que la Classe E de Mercedes-Benz est à 540 litres.

4-cylindres en ligne et V6, mais tous sous le signe de l’hybridation

Comme c’est le cas de chaque nouvelle génération, on se demande quels seront les choix de moteurs. Sur le plan technique, l’A6 est construite sur la plateforme PPC (Premium Platform Combustion) qu’on retrouve également sous l’A5 et le Q5. Il n’est donc pas très étonnant que la motorisation de base soit partagée avec les « 5 ». Il s’agit d’un 4-cylindres turbocompressé de 2 litres dont la puissance atteint les 261 chevaux. Pour ceux qui désirent passablement plus de puissance, le V6 turbocompressé de 3 litres est aussi de retour, mais cette fois, la puissance passe de 335 à 362/367 chevaux.

Dans les deux cas, la technologie à 48 volts du type hybride léger est maintenue. Pour cette génération, la capacité de la batterie lithium-fer-phosphate est de 1,7 kilowattheure. Le système est plus performant et permet plus de latitude dans son utilisation. Il contribue au fonctionnement de l’alternateur-générateur. De plus, comme il a une puissance qui va jusqu’à 18 kilowatts, il permet à la voiture de rouler à basse vitesse sur de très courtes distances, les manœuvres de recul, notamment, ou tout simplement de donner un zeste de couple supplémentaire si nécessaire. De plus, le système est en mesure de récupérer l’énergie cinétique jusqu’à 25 kilowatts.

Les deux motorisations sont jumelées à une boîte de vitesses automatique à double embrayage à 7 rapports S tronic qu’on connaît bien. En termes de mécanique, il n’y a pas de révolution, on maintient les acquis et on les améliore.

Une grande routière

Comment se comporte l’Audi A6 2026 sur la route? Au cours de la présentation, j’ai eu l’occasion de conduire une A6 Avant version familiale à motorisation V6. Cette version était complètement équipée de toutes les technologies livrables sur la voiture. Je dois admettre que j’ai été impressionné par la souplesse de cette motorisation. On peut jouer avec les modes de conduite qui permettent de réellement voir une différence dans la gestion de la puissance, mais aussi dans les paramètres du châssis. En configuration berline, cette A6 est très confortable grâce à des suspensions plus souples et une direction précise, mais plus aseptisée.

Pour réellement voir et éveiller l’A6, j’ai préféré le mode Dynamic qui resserre le châssis. Soutenues par une configuration à 5 bras à l’avant et à l’arrière, les suspensions pneumatiques adaptatives deviennent naturellement plus fermes et nous collent à la route. La voiture est naturellement plus de base de 20 millimètres que les A6 à suspensions traditionnelles. Cette calibration ne se fait réellement pas au détriment du confort. La direction gagne en lourdeur, alors que sa précision devient plus incisive. On jouit également d’un rouage à 4 roues directionnelles qui confèrent un peu plus de manœuvrabilité à cette grande berline, mais le changement demeure peu perceptible autrement qu’au diamètre de braquage plus court d’environ un mètre.

Pour pousser la voiture, elle peut aussi recevoir, en option, un différentiel arrière à configuration plus sportive qui peut faire varier la puissance d’une roue à l’autre. Grâce au freinage vectoriel qui ralentit la roue intérieure en virage, on peut facilement avoir une conduite très dynamique.

Toutes les A6 canadiennes viennent de facto avec le rouage intégral quattro. Même si la distribution régulière de la puissance est de 30 % à l’avant et de 70 % à l’arrière, ce ratio peut jouer en fonction des conditions, de la conduite, de la surface ou du mode de conduite. De plus, il est possible de découpler l’essieu arrière pour ainsi favoriser une plus faible consommation de carburant. Cette application arrivera surtout à vitesse de croisière.

Dans la continuité

Si vous considérez l’acquisition d’une A6 qui en est à sa 6e génération depuis 1994, vous trouverez qu’elle s’inscrit dans la continuité. Elle est plus perfectionnée et plus incisive tout en maintenant ses qualités de grande routière. La voiture sera commercialisée sur le marché canadien à la fin de l’année comme modèle 2026. Cette génération est encore jeune, on peut s’attendre à voir éventuellement arriver d’autres versions comme une motorisation hybride rechargeable et, bien sûr, les versions de performances S6 et RS 6. Les prix canadiens seront annoncés à l’approche de leur mise en marché.

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Mazda suspend temporairement la production de CX-50 pour le Canada

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Chaque constructeur d’automobiles est impacté par les décisions de l’administration Trump, notamment en raison des contre-tarifs douaniers qu’impose le Canada en réponse aux tarifs américains de 25 %. Le dernier constructeur à entrer dans la danse est Mazda qui vient d’annoncer qu’il arrêtait de manière temporaire la production des versions canadiennes du CX-50 à son usine de l’Alabama, impactant du même coup la disponibilité éventuelle du modèle en sol canadien.

Selon les informations obtenues, Mazda mettra en pause à compter du 12 mai prochain la production des exemplaires canadiens du CX-50 à l’usine de Huntsville, en Alabama. L’usine est détenue en parts égales par Toyota et Mazda, et les deux seuls modèles qui y sont assemblés sont les CX-50 et Toyota Corolla Cross, deux modèles destinés au marché nord-américain. Selon ce qu’avance Automotive News, qui a relayé la nouvelle d’abord, Mazda y a assemblé 88 336 CX-50 en 2024, et de ce nombre, 12,2 % étaient destinés au marché canadien.

La nouvelle tombe alors que le Mazda CX-50 a connu sa meilleure année en 2024 au Canada, avec des chiffres de vente qui sont doublés par rapport à l’année 2023. C’est presque la même situation au Québec, alors que le modèle a enregistré 3197 ventes en 2024, contre 1885 ventes en 2023. De plus, une version hybride a joint la gamme du modèle il y a quelques mois, offrant une plus grande variété aux consommateurs.

Sandra Lemaitre, porte-parole de Mazda Canada, a commenté en disant que quelques exemplaires étaient toujours disponibles chez les concessionnaires de la marque, et que certains véhicules produits étaient aussi en transit vers les détaillants. Selon ce qu’elle avance, il n’y a toujours pas de date prévue pour le retour à la production de ce modèle. Mme Lemaitre a affirmé qu’elle espérait « que la situation serait réglée rapidement ».

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Éphémérides : Concession des Îles-de-la-Madeleine à François Doublet

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16/04/1663 Concession des Îles-de-la-Madeleine à François Doublet.

En 1663, la Compagnie des Cent-Associés accorde la concession des Îles-de-la-Madeleine à François Doublet de Honfleur. Il y installera des hommes qui y passeront un premier hiver; cette entreprise sera cependant considérée un échec. La même année, la Compagnie des Cent-Associés est abolie par Louis XIV et le territoire du Canada redevient de ce fait possession directe de la Couronne de France. S’ensuivra la valse des concessions, sans projets de colonisation véritables cependant… tout au plus, une guérilla entre les divers prétendants au droit exclusif sur la chasse aux phoques et aux « vaches marines ». Honfleur aurait attribué le nom des « Îles de la Madeleine » à l’archipel, en voulant ainsi honorer son épouse Madeleine Fontaine.

 

Photo : Bibliothèque et Archives Canada

Éphémérides : Un incendie ravage le Château Madelinot

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16/04/1993 : Un violent incendie a éclaté en début d’après-midi, Fatima aux Îles-de-la-Madeleine.

Causant des dommages considérables à l’un des plus importants complexes hôtelier de l’archipel, le Château Madelinot. Les pertes matérielles sont évaluées à 1,5 millions $.

Les pompiers sont accourus de partout pour combattre les flammes qui ont aussi ravagé le restaurant P’tit Café et un salon-bar. Il a été possible de limiter les dégâts à une trentaine de chambres. Personne n’a été blessé dans cet incendie.

LA UNE : © Daniel Bouffard

Honda pourrait déménager son usine canadienne aux États-Unis

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Les tarifs douaniers du président américain Donald Trump n’ont pas fini de chambouler l’univers de l’automobile. En effet, après Stellantis et GM qui ont annoncé des arrêts de production au Canada, voilà que le constructeur japonais Honda envisage de transférer une partie de sa production d’automobiles du Mexique et du Canada vers les États-Unis. Cette nouvelle, rapportée par le quotidien japonais Nikkei, serait lié à la volonté du constructeur de produire 90 % des véhicules vendus aux États-Unis localement.

Une augmentation de production d’ici 2 à 3 ans

Le deuxième plus grand constructeur d’automobiles du Japon en termes de ventes prévoit augmenter la production de véhicules américains de 30 % sur deux à trois ans, selon l’information rapportée par le quotidien. Nikkei ajoute que cette stratégie est en réponse à la décision du président américain Donald Trump d’imposer une taxe de 25 % sur les véhicules importés.

Cette nouvelle fait suite à la rumeur de Reuters qui déclarait que Honda prévoyait fabriquer sa Civic hybride de nouvelle génération dans l’État américain de l’Indiana plutôt qu’au Mexique, afin d’éviter les droits de douane potentiels.

Dans le cas présent, selon Nikkei, Honda transférerait la production de son VUS compact, le CR-V, du Canada vers les États-Unis, et celle de son VUS sous-compact, le HR-V, du Mexique vers nos voisins du sud.

Un marché trop important pour Honda

Honda a pour le moment refusé de commenter la nouvelle rapportée par Nikkei et affirme que l’information n’avait pas été annoncée par l’entreprise.

Il est important de noter toutefois que les États-Unis ont été le plus grand marché de Honda l’an dernier, ce qui représente près de 40 % des ventes mondiales.

Le constructeur d’automobiles a vendu 1,4 million de véhicules aux États-Unis l’an dernier, ce qui inclut les chiffres de ventes de la marque de luxe de Honda, Acura. Selon les données rapportées par Nikkei, Honda aurait importé environ deux cinquièmes de ces voitures du Canada ou du Mexique.

Honda a enregistré une hausse de 5 % de ses ventes aux États-Unis pour atteindre près de 352 000 véhicules au cours des 3 premiers mois de l’année 2025. D’ailleurs, le constructeur ne le cache pas, le nouveau Honda Passport 2026 a été spécialement conçu pour plaire aux États-Uniens.

Cette nouvelle de Nikkei indique que, pour augmenter la production, Honda envisage d’embaucher davantage de travailleurs américains. Plus de détails suivront.

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Hyundai dévoile un premier aperçu de la nouvelle IONIQ 6 N

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L’équipe de RPM a découvert il y a quelques semaines la mise à jour esthétique de la Hyundai IONIQ 6, lors du Salon de l’automobile de Séoul. Sur place, Hyundai a présenté un style plus agressif et annoncé l’arrivée d’une variante N axée sur la performance. Voilà que le constructeur sud-coréen en ajoute une couche avec un premier aperçu.

Un style arrière plus agressif

C’est via une publication Instagram que le constructeur sud-coréen a laissé entrevoir une partie de la nouvelle Hyundai IONIQ 6 N.

Comparée à l’IONIQ 6 2026 régulière, qui vient tout juste d’avoir droit à une mise à jour esthétique, la version N reçoit un grand aileron arrière et un troisième feu d’arrêt trapézoïdal, monté en haut de la lunette arrière.

Aucune image de l’avant du véhicule n’a encore été dévoilée par Hyundai, mais nous pouvons nous attendre à un style plus agressif que celui du modèle N Line montré lors du Salon de l’automobile de Séoul. Comme c’est l’habitude pour les modèles N, la IONIQ 6 N pourrait aussi être munie de nouvelles jantes forgées, d’une hauteur de caisse abaissée, d’une voie élargie et d’autres améliorations matérielles similaires à celles que l’IONIQ 5 a reçues pour obtenir son badge N.

Plus de performance

Chose certaine, la Hyundai IONIQ 6 N sera la variante la plus performante du lot, étant donné que les modèles N le sont toujours dans la gamme Hyundai. Les détails mécaniques officiels n’ont pas encore été annoncés, mais on peut s’attendre à ce que cette IONIQ 6 N ait un groupe motopropulseur très proche de celui de la IONIQ 5 N, avec 641 chevaux et une suspension repensée.

C’est d’ailleurs la première fois que la IONIQ 6 reçoit le traitement N, Hyundai ayant attendu le restylage du véhicule pour le faire. Tous les détails seront présentés officiellement en juillet. À suivre!

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Lionel AUCOIN (1948-2025)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 10 avril 2025, de monsieur Lionel Aucoin. Il était âgé de 76 ans et originaire de Pointe-aux-Loups, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il était l’époux de madame Jeannine Leblanc, le père de Michel et Nathalie (Éric), le papy d’Élie et Samuel. Il était le frère de Jean-Paul (Lise), Yvon, Dorise (Roger), Gertrude (Réal), Marcel (Lina), Lucienne (Raphaël), Aline (Léger), Laurraine (Yves), feu Alfred et feu Donat. Il laisse aussi dans le deuil ses beaux-frères, belles-sœurs, neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules, le jeudi 24 avril 2025, de 19h à 22h. Les funérailles de monsieur Lionel Aucoin seront célébrées le vendredi 25 avril 2025, à 16h, à l’église Sainte-Madeleine de Havre-aux-Maisons et, de là, au cimetière de l’endroit.

Le jour des funérailles, le salon ouvrira à midi.

Vos marques de sympathie peuvent se traduire par un don à la Fondation Santé de l’Archipel pour de Fonds Francine-Daigle.

Mia d’OD souligne une date significative

Mia Bleu Voua, que vous avez découverte lors de l’édition d’Occupation Double en Andalousie, a souligné une date particulièrement significative en rendant hommage à sa grand-mère décédée.

C’est sur sa page Instagram que la jeune femme a partagé quelques stories touchantes pour souligner cette journée marquant le premier anniversaire du décès de sa grand-mère.

«Un an que ma grand-maman nous a quitté. Il n’y a pas une journée que je ne pense pas à elle. Prenez le plus de temps possible avec vos proches et chérissez chaque moment parce qu’aucun ne revient 2 fois», témoigne-t-elle, en offrant un message empreint de douceur et de sagesse.

«My 💙 Je t’aime gros comme le ciel», ajoute Mia.

Nos pensées l’accompagnent en cette journée certainement chargée d’émotions.

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Top-5 : Les Kings écrasent les Oilers avant leur affrontement en séries

Hier soir, le Canadien était en action contre les Blackhawks.

Mais cinq autres matchs étaient également présentés.

Voici les résultats et les faits saillants :

1. Les Kings écrasent les Oilers avant leur affrontement en séries

À Edmonton, les Kings étaient de passage.

Il s’agissait d’un préambule aux séries puisque les deux équipes vont encore s’affronter en première ronde. Avec une victoire, Los Angeles pouvait s’assurer de commencer les séries à la maison.

Et c’est exactement ce que la formation a fait. Victoire écrasante de 5-0. Jeu blanc combiné pour les deux gardiens des Kings David Rittich et Darcy Kuemper.

Kuemper a commencé le match, mais Rittich a pris la relève.

Pas que Kuemper est blessé, mais les Kings ont décidé de le retirer par précaution.

En attaque, Adrian Kempe a mené la charge avec un but et deux passes, dont le cinquième but des siens.

Ça promet (ou pas) pour les séries.

Je ne donne pas cher la peau des Oilers, en tout cas…

2. Les Canucks gagnent en prolongation

Du côté de Vancouver, les Sharks, la pire équipe de la ligue, était de passage.

Ils ont amené les Canucks en prolongation, mais les locaux ont gagné 2-1.

Dans la victoire, Quinn Hughes a inscrit son 409e point en carrière.

Dans l’histoire des Nucks, aucun défenseur n’a plus de points que lui.

À son premier départ dans la LNH, Nikita Tolopilo a gagné son match.

Il est devenu le sixième gardien de l’histoire de Vancouver à réaliser pareil exploit.

3. Les Panthers finiront au troisième rang dans la division

Avec une victoire, les Panthers avaient l’occasion de s’approcher du Lightning et du deuxième rang dans l’Atlantique.

Avec une défaite, cependant, la Floride devait se contenter de la troisième place dans l’Atlantique. La troupe de Paul Maurice s’est inclinée 5-3 face aux Rangers.

Elle affrontera Tampa Bay ou Toronto et commencera la série à l’étranger. Impossible pour les Chats de finir plus bas que le troisième rang de sa division.

Hier contre les Rangers, Sergei Bobrovsky a accordé cinq buts sur 25 tirs. Il a tout de même fait des arrêts clés pour garder son équipe dans le match.

Du côté des gagnants, Matt Rempe, Juuso Parssinen, J.T. Miller, K’Andre Miller et Chris Kreider ont mené la charge avec deux points chacun.

Les Blue Shirts termineront leur saison régulière décevante jeudi, contre Tampa Bay.

4. Un 1300e match pour Patrick Kane

Le match d’hier entre les Stars et les Red Wings n’avaient pas trop d’importance pour les deux équipes.

D’un côté, les Stars ont terminé deuxièmes dans la division et de l’autre, Detroit est éliminé depuis samedi.

Les Red Wings ont tout de même bien joué et ont gagné 6-4. Dans la victoire, à son 1300e match dans la LNH, Patrick Kane a récolté une mention d’aide.

Ce sont Lucas Raymond et Mortiz Seider qui se sont occupés de l’attaque.

Les deux jeunes étoiles ont chacun participé à trois des buts de leur équipe.

L’attaquant et le défenseur ont inscrit un but et deux passes.

Du côté des visiteurs, Jamie Benn a marqué son 400e dans la LNH.

Il n’est qu’à 496 d’égaler Alexander Ovechkin.

5. Utah écrase les Preds

Un autre match sans grande importance : Utah contre les Predators de Nashville.

Au final, la meilleure équipe l’a emporté : victoire d’Utah par la marque de 7-3.

Il n’y a pas eu de grandes histoires dans ce match. Le premier but des visiteurs a été inscrit par Michael Kesserling.

Quel tir!

Sinon, Clayton Keller a été fumant.

Il a terminé le match avec deux buts et deux passes. Il est maintenant rendu à 87 points, dont 60 mentions d’aide.

Ce sont des sommets personnels pour lui.

Il jouait en plus son 600e match dans la grande ligue.

Prolongation

– Quinton Byfield a quitté la rencontre avec une blessure au haut du corps. Selon Phillip Danault, les Oilers « avaient leur équipe B qui tentait de les blesser ».

– Les débuts de Quinn Hutson.

– Un autre qui faisait ses débuts.

– C’est évidemment Keller qui mène la charge.

(Crédit: NHL.com )

– On est tous des fans des Flyers et des Golden Knights, ce soir.

(Crédit: Google)

But en fusillade contre le CH : Elliotte Friedman explique ce qui s’est passé

Au cours d’une saison de hockey, il y a certains moments où des questions se posent sur les règlements.

Et hier, quand on a vu les Blackhawks se faire donner un but rétroactivement en tirs de barrage, disons que des questions se sont posées. Comment la LNH a-t-elle pu donner le but?

Évidemment, personne ne remet en doute le fait que ce soit un but. C’était tellement un but que la rondelle n’est jamais sortie du filet et les arbitres ont été en chercher une autre.

Mais ce qui est reproché, c’est que Patrik Laine a reçu une autre rondelle, a tiré… et là, la LNH informé les arbitres sur la glace que Frank Nazar avait marqué un but contre Samuel Montembeault.

Et là, rétroactivement, le but a été accordé. Le CH s’est donc retrouvé dans le trouble sans trop s’en rendre compte et les hommes de Martin St-Louis ont fini par perdre le match.

Mais que s’est-il passé?

Ce qu’il faut savoir, c’est que l’informateur Elliotte Friedman, hier soir, était dans la salle des révisions à Toronto. Il a pondu un court papier sur ce qui s’est vraiment passé pour mener à tout ça.

Dans la salle, une personne a vu qu’il y avait eu un but et a notifié les gens autour d’elle. Une révision a donc eu lieu sur le champ et clairement, l’erreur des arbitres présents à Montréal a été constatée.

Le problème? Personne n’a été en mesure d’avertir les gens à Montréal que le but était bon avant de voir Patrik Laine commencer à tirer, mais les gens à Toronto savaient qu’il y avait un but quand Laine s’est avancé.

C’est différent du temps régulier puisqu’une fois que la rondelle est sur la glace, on ne peut plus revenir en arrière.

Notons par ailleurs que si le Canadien avait réussi à pousser le tout après Cole Caufield, Patrik Laine et Nick Suzuki, qui a finalement mis fin au match en ne marquant pas, c’est Ivan Demidov qui aurait eu la chance d’y aller

prolongation

– À ce sujet :

– Pourquoi ne pas avoir repris le tir de Laine? Cela aurait été plus égal. Le CH l’a demandé, ça.

– Frank Nazar savait qu’il avait marqué.

Finalement, c’est peut-être Ivan Demidov qui va voler le Calder à Lane Hutson

Le Canadien n’est toujours pas qualifié en séries suite au match d’hier soir, que le club a perdu 4-3 face aux Blackhawks de Chicago. Au moins, ça s’est fini après 60 minutes. #UnPoint

Le temps commence à presser puisque la saison achève. Et même si les chances de se qualifier sont encore bonnes, il n’en demeure pas moins que ça ajoute du stress en ville.

Le Canadien peut se qualifier en allant chercher au moins un point demain, contre les Hurricanes.

Quant à eux, pour se qualifier, les Blue Jackets de Columbus devront espérer que le CH ne récolte aucun point de classement demain, mais la formation de l’Ohio doit aussi gagner ses deux derniers matchs à la régulière.

Résultat? La Flanelle peut se qualifier en séries dès ce soir si jamais les Blue Jackets ne gagnent pas en 60 minutes.

(Crédit: Sportsnet)

Mais on s’entend pour dire que ça aurait été mieux de le faire hier soir, alors que les pauvres Blackhawks de Chicago étaient en ville. Mais comme on le sait, ce n’est pas arrivé.

Le stress d’apprendre à jouer des matchs importants entre sans doute en ligne de compte. Jouer de tels matchs, ça s’apprend sur le tas.

Mais peu importe la façon dont ça s’est fait (oui, je fais ici référence aux tirs de barrage), le CH aurait dû se placer dans une positon de gagner le match et de se qualifier devant ses partisans.

Comme l’a dit François Gagnon, les fans ont fait leur travail, eux. C’est la même chose pour Samuel Montembeault, pour Ivan Demidov… et c’est pas mal ça parmi les joueurs qui ont vraiment fait leur travail.

 

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Parce que oui, il va sans dire que les distractions impliquant Ivan Demidov, elles sont hors de la glace – et hors de contrôle du Canadien ou même du joueur. Ce sont les circonstances qui en font une distraction.

Mais sur la glace? Aucun problème. Ça doit être à cause de son veston chanceux – ou pas.

Observation impertinente du jour: Ivan Demidov s’est présenté au Centre Bell avec le même complet qu’il portait au moment de son repêchage.

À savoir si c’est un habit chanceux ou c’est surtout parce qu’il ne possède qu’un complet!

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— Éric Martel (@eric-martel.bsky.social) 14 avril 2025 à 17:35

Hier, Demidov a eu besoin d’une période (de moins d’une période, à vrai dire) pour obtenir une superbe passe sur le but d’Alex Newhook et pour marquer son premier dans la LNH.

On a vu à quel point le talent lui sortait par les oreilles.

Mais c’est plus que ça. Parce que même s’il a des trucs à corriger, on a vu qu’à chaque fois qu’il avait la rondelle, il créait quelque chose sur la patinoire. C’était flagrant : il est le joueur le plus talentueux du club.

C’est peut-être lui, finalement, qui va voler le Calder à Lane Hutson. #OuPas

Évidemment, le Russe a été accueilli de la bonne façon par les amateurs et on n’a pas trop senti le stress ou l’effet du décalage horaire – surtout pas en début de partie.

Sans lui (qui a d’ailleurs été la première étoile de la rencontre), le CH a un point de moins au classement. Tout le monde s’entend là-dessus.

Le Canadien a amené Demidov et le jeune va brûler un an de contrat, mais le but est vraiment de participer aux séries pour que cette année-là ne soit pas en vain. Les chances sont encore bonnes de voir le CH se qualifier (93 %), mais rien n’est joué.

Le stress doit commencer à monter dans le vestiaire.

Mais bon. Le brio d’Ivan Demidov, qui était attendu de pied ferme en ville, n’est pas la seule chose à retenir du match d’hier pour le Canadien. D’autres joueurs méritent qu’on parle d’eux.

Qu’est-ce que je retiens du match d’hier?

1. Kaiden Guhle n’a pas connu son match le plus facile depuis son retour au jeu. Et la pénalité obtenue alors qu’il a frappé un adversaire qui n’avait pas la rondelle n’a pas aidé non plus.

Guhle joue de façon robuste depuis son retour au jeu. Mais hier, il a franchi la ligne, ce qui arrive parfois dans l’intensité du moment.

Mais cette situation-là, Martin St-Louis l’a soulignée après le match. Après tout, les Blackhawks ont profité de sa pénalité pour marquer leur premier but du match, ce qui a ouvert la porte à une remontée – contre un Canadien qui aime les remontées, mais en sa faveur.

On va mettre ça sur le compte de l’expérience.

2. On parlait de mener et de remontée. Mais quand tu as deux buts d’avance contre l’une des pires formations de la LNH, tu ne peux pas vraiment te permettre ce qui s’est passé hier. Ça prend une victoire.

Mais ce n’est pas arrivé.

3. 21 tirs au but en 65 minutes, c’est trop peu. Cinq tirs en troisième période, quand ça prend un but pour s’aider, c’est trop peu. Patrik Laine a tiré quatre fois au filet. Juraj Slafkovsky et Ivan Demidov? Trois fois chacun.

Mais ça prend de l’aide de tous les trios dans une course aux séries.

4. RDS a très bien fait de filmer Ivan Demidov pendant tout le match et de rendre le résultat disponible sur YouTube. On peut voir facilement ses 21 présences sur la patinoire.

Notons qu’il a joué pendant 16:56. C’est bien, à mes yeux.

prolongation

Ce matin, à 11h 30, le Canadien va s’entraîner à Brossard. Et même si le CH pourrait être qualifié ce soir si les Blue Jackets ne gagnent pas en 60 minutes, en date de ce matin, la Flanelle n’est pas officiellement en séries.

Le club doit donc s’entraîner en conséquence.

Si les Blue Jackets gagnent en 60 minutes ce soir, on va voir l’alignement A du Canadien demain. Mais sinon? Les Jakub Dobes, Michael Pezzetta, Arber Xhekaj et compagnie pourraient jouer afin de reposer des vétérans.

À suivre.