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Exilda CHIASSON (1951-2025)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 6 mai 2025, de madame Exilda Chiasson. Elle était âgée de 74 ans, résidente de Cap-aux-Meules et originaire de Bassin, aux Îles-de-la-Madeleine.

Elle était l’épouse de monsieur Henri-Paul Vigneau, la mère de Sandra (Jean) et Dave (Marie-Line). Elle avait trois petits-enfants : Jérémie, Mégane et Annabelle. Elle était la sœur de Martin, Gilles et feu Lionel. Elle laisse aussi dans le deuil ses beaux-frères, belles-sœurs, neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules, le jeudi 15 mai 2025, à partir de 13h. Suivront une célébration de la Parole au même endroit, à 15h, et l’inhumation au cimetière Saint-François-Xavier de Bassin.

Vos marques de sympathie peuvent se traduire par un don à la Fondation Santé de l’Archipel.

Jean-Paul DEVOST (1932-2025)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 5 mai 2025, de monsieur Jean-Paul Devost. Il était âgé de 92 ans et résident de Fatima, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il était l’époux de feu Marie-Anne Bénard, le père de Rachelle (Yvon), Mario, Pierre (Lyne) et Nadine (Normand). Il avait six petits-enfants : Véronique (Francis), Marilyn, Francis, Guillaume (Camille), Frédérick et Noémie (Sam), et un arrière-petit-fils Olivier. Il était le frère de Almoza, Antoine, Odipha, feu Donat et feu Armand. Il laisse aussi dans le deuil ses beaux-frères, belles-sœurs, neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules, le vendredi 23 mai 2025, de 14h à 17h et de 19h à 22h. Les funérailles de monsieur Jean-Paul Devost seront célébrées le samedi 24 mai 2025, à 11h, à l’église Notre-Dame du Rosaire de Fatima. L’inhumation se fera à une date ultérieure.

Le jour des funérailles, le salon ouvrira à 9h.

Séries en bref : Calvin Pickard est toujours invaincu en séries

Hier soir, deux séries se poursuivaient.

Les Hurricanes et les Capitals ainsi que les Oilers et les Golden Knights disputaient leur match numéro deux.

Voici les résultats :

Les Oilers ont trouvé leur numéro un

Je ne crois pas que les Oilers vont remettre Stuart Skinner dans les filets lors de ces séries.

Calvin Pickard est trop bon pour être sur le banc. Ces séries, il a six victoires et aucun revers. Encore hier, il a aidé son équipe à gagner 5-4 en prolongation.

Bon, il n’a pas le meilleur pourcentage d’arrêts, mais il n’accorde pas beaucoup de buts et aide quand même son équipe à remporter des matchs.

Le match d’hier s’est terminé en prolongation, mais chapeau à Vegas de l’avoir forcée.

Le club perdait 4-2 et a remonté la pente.

Premièrement, Victor Olofsson a réduit l’écart.

Et Alex Pietrangelo a forcé la prolongation par la suite.

Le but gagnant a été inscrit nul autre par Leon Draisaitl.

Pas par Zach Hyman, Evander.

Les deux équipes renoueront avec l’action demain à Edmonton, dès 21h.

L’équipe canadienne mène la série 2-0.

Les Capitals égalent la série

À Washington, les Caps ne voulaient certainement pas retourner en Caroline en retard 2-0.

Grâce à une victoire de 3-1, ils ont égalé la série.

Connor McMichael a ouvert la marque en deuxième période.

Un peu plus tard, Anthony Beauvilier avait la chance de doubler l’avance des siens, mais il a raté un filet ouvert.

Ce n’était toutefois que partie remise.

En troisième, en avantage numérique, Washington s’est donné une priorité de deux buts.

Les Hurricanes ont réduit l’écart à un but plus tard, mais c’était trop peu trop tard.

Cette série, égale 1-1, s’en va en Caroline.

Le match numéro trois sera disputé demain dès 18h.

Prolongation

Bruce Cassidy n’était pas heureux avec le travail des officiels.

– Un geste stupide.

– Dans la défaite, Olofsson et Jack Eichel ont brillé.

(Crédit: NHL.com)

– Les Leafs peuvent pousser les Panthers au bord du gouffre.

(Crédit: NHL.com )

Même l’intelligence artificielle croit que les Maple Leafs vont s’écrouler

Présentement, les Maple Leafs mènent 2-0 en marge de leur série contre les Panthers.

Est-ce que cela veut dire que la formation de Toronto va finalement passer la deuxième ronde pour la première fois depuis des lunes? Ça ne veut pas dire que c’est encore fait, non.

Après tout, les Panthers n’ont pas encore perdu à la maison. Rien n’est joué.

Depuis le début des séries, je dis aux gens autour de moi qu’à mes yeux, si les Panthers ne se rendent pas en finale de la Coupe Stanley, c’est un échec pour l’organisation de Sunrise.

Pourquoi? Parce que les Panthers sont meilleurs que les autres équipes dans l’Est – à mon avis – et ils sont bâtis pour les séries.

Et vous savez quoi? Même Grok, le programme d’intelligence artificielle de X, considère que rien n’est joué. Je lui ai demandé, pour le plaisir, si les Maple Leafs allaient s’écrouler.

Pourquoi pas?

J’ai reçu une réponse complète avec une analyse sur les forces et les faiblesses des deux clubs… et ça se terminant par un Panthers en 7. On m’a aussi dit qu’un retour potentiel d’Anthony Stolarz pourrait aider la cause des Torontois.

Mais le constat est clair : à la surprise de personne, il ne faut pas enterrer les Panthers trop rapidement.

Mais sérieusement, même si on sent que les Maple Leafs sont plus solides cette saison, il n’en demeure pas moins qu’il est difficile de se sortir d’un cercle vicieux d’insuccès comme celui-là.

Demandez aux Sabres ou demandez aux Kings, qui sont incapables de battre les Oilers en séries, par exemple. Rob Blake en a même écopé.

Passer par-dessus des défis du genre, c’est difficile mentalement. Les Maple Leafs ont peu gagné de matchs leur permettant de passer à la prochaine ronde depuis que le noyau actuel est en place et à ce que je sache, le club n’a pas encore gagné quatre matchs contre la Floride.

Des avances échappées, il y en a eu à Toronto. #Remember2021

Le défi de Craig Berube, qui a changé la culture à Toronto, sera d’y aller un match à la fois. Par exemple, s’il gagne ce soir, ce sera un énorme pas dans la bonne direction pour son club.

Mais s’il perd? Les fantômes des Maple Leafs, qui ont moins de bagues que ceux du Forum de Montréal, vont commencer à hanter les joueurs actuel de la formation torontoise. Et ça, les gars le savent.

en rafale

– Ben Chiarot a 34 ans.

– Quel fiasco.

– Jacob Fowler aime la pression. [98.5 Sports]

– Intéressant.

Allvin’s goes into the JT Miller / Petey situation at the season ticket holders get together
byu/elrizzy incanucks

La cuisson du homard

Faites bouillir de l’eau ( 1 pouces au fond de la casserole).

Ajouter du sel de mer : 3/4 de tasse de sel pour 4 litres d’eau. (Il faut que l’eau soit un peu plus salée que ce que vous vous aimez habituellement. Certains utilisent simplement l’eau de mer.

Enlevez les élastiques de vos homards (il suffit de croiser les pinces au préalable pour faciliter).

Plongez les homards tête première dans votre eau salée bouillante et refermez le couvercle.

Lorsque l’eau bouille à nouveau, commencez à compter le temps de cuisson. (Voir la grille plus bas).

Quand le temps est écoulé, sortez vos homards et plongez-les dans un bassin d’eau glacée, afin d’arrêter la cuisson, permettant ainsi à la chair de se séparer plus facilement de la carapace au moment de déguster.

Attendre 2 minutes (pour manger chaud) Sinon refroidir complètement et réfrigérer en attendant le moment de servir.

« Temps de cuisson »


1-1¼ lb 15 min. 18 min.
1½- 1¾ lb 20 min. 25 min.
2- 2¼ lb 25 min. 28 min.
3- 3½ lb 30 min. 36 min.
4 lb 45 min. 50 min.

 

Pour vérifier si votre homard est assez cuit, il suffit de tirer sur les antennes.
Si elles cèdent facilement, le homard est prêt ! 

Gemini Médias souhaite à tous les travailleurs et travailleuses de la mer une saison abondante, sécuritaire et remplie de belles prises.

Toyota procède au rafraîchissement du Corolla Cross pour 2026

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Depuis son arrivée sur le marché, le Toyota Corolla Cross n’avait pas subi de transformations esthétiques significatives. Cependant, en 2026, le constructeur offre un premier rafraîchissement important à son VUS sous-compact. Malgré cela, le Corolla Cross restera facilement reconnaissable avec des changements extérieurs, principalement du côté de la grille et du pare-chocs pour certaines versions. D’autres changements sont aussi au programme sur les plans pratique et technologique à bord.

Un nouveau nez

Le premier détail qui saute aux yeux quand on voit les premières images du Toyota Corolla Cross 2026 est la portion avant retravaillée. Même s’il demeure facilement reconnaissable, le VUS sous-compact bénéficie d’une nouvelle grille de calandre sur les versions à essence. De leur côté, les versions hybrides bénéficient d’un carénage avant complètement revu, d’une nouvelle calandre et aussi d’un nouveau pare-chocs. D’ailleurs, la portion de grille monochrome avec le pare-chocs sur l’hybride n’est pas sans rappeler le design qu’on peut observer sur le Toyota Crown Signia.

En outre, deux nouveaux modèles de roues font leur apparition. La première est une roue de 18 pouces au fini métallisé gris foncé avec garnitures usinées sur le modèle XLE. La seconde est aussi une roue de 18 pouces, mais au fini noir lustré sur le modèle XSE hybride. L’autre changement extérieur notable est l’arrivée de la couleur extérieure bleu cavalerie. Toyota mentionne que cette dernière sera offerte en option sur les versions LE et XLE. Les versions hybrides auront aussi droit à cette peinture, mais dans un coloris à deux tons qui inclura le toit en noir.

Un habitacle un peu plus pratique et technologique

L’habitacle du Toyota Corolla Cross 2026 n’est pas laissé de côté puisqu’il bénéficiera également de quelques améliorations. On commence avec une console avant qui est redessinée pour toute la gamme. Selon le constructeur, ce changement permettra de maximiser l’espace utilisable sur tous les modèles. De plus, les versions LE Premium, XLE, SE et XSE hybride bénéficieront désormais d’un écran multimédia de plus grandes dimensions, soit 10,5 pouces. Les autres versions conserveront, quant à elles, un écran de 8 pouces.

Du côté de l’instrumentation devant le conducteur, les versions L, LE et SE hybride bénéficieront d’un écran multifonction de 7 pouces, tandis que les versions XLE et XSE hybride recevront un ensemble d’instruments numériques de 12,3 pouces. D’autres changements sont aussi soulevés par Toyota dans son communiqué de presse comme l’ajout de la couleur intérieure appelée Portobello sur le modèle XLE ; de plus, les sièges arrière sont désormais chauffants de série sur les versions XLE et XSE hybride.

Conserver ses acquis

Sur le plan technique, Toyota conserve les acquis du Corolla Cross et n’apporte aucun changement de ce côté en 2026. Les versions hybrides conservent donc le système hybride électrique de 5e génération de Toyota qui compte un moteur à 4 cylindres de 2 litres jumelé à 3 moteurs électriques et à la transmission à variation continue à commande électronique (eCVT). La puissance annoncée demeure à 196 chevaux, et le rouage intégral électronique demeure aussi de série.

Les modèles à essence conservent de leur côté le 4-cylindres de 2 litres qui développe une puissance de 169 chevaux et qui est jumelé à une transmission à variation continue (CVT). L’approche à deux rouages disponibles est aussi maintenue. Les versions L et LE seront offertes en traction ou en intégrale, tandis que les versions LE Premium et XLE seront munies du rouage intégral.

Pour le moment, la gamme de prix du Toyota Corolla Cross 2026 n’a pas encore été annoncée. Le constructeur mentionne que son VUS sous-compact 2026 devrait arriver dans les concessions Toyota du Canada au cours de l’année, et que les prix seront annoncés à l’approche de son arrivée sur le marché.

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Jeep dévoile l’extérieur et l’intérieur du nouveau Grand Cherokee 2026

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Introduit en 1993, le Jeep Grand Cherokee est l’un des véhicules précurseurs du marché des VUS. On connaît la suite, l’engouement des acheteurs envers les VUS n’a cessé de grandir au point où, de nos jours, les voitures disparaissent dramatiquement du marché.

Le Jeep Grand Cherokee demeure commercialisé dans sa 5e génération depuis 2021, mais le constructeur a décidé de lui apporter un léger rafraîchissement pour l’année modèle 2026. Afin de nous titiller les yeux un peu, Jeep vient de dévoiler les premières images officielles de son Grand Cherokee 2026.

Des changements assez discrets

Ces premières images présentent sans doute les changements les plus importants sur le véhicule. On peut y apercevoir la portion avant sans camouflage ainsi qu’une partie du tableau de bord. À l’extérieur, on peut voir que la partie avant du Grand Cherokee 2026 ne s’éloigne pas trop de celui de l’actuelle génération, mais on remarque que les feux de jour à DEL encadrent maintenant entièrement les phares. La partie inférieure de la calandre est désormais intégrée tout en largeur avec des prises d’air qui descendent un peu plus bas dans les côtés. La partie centrale de la grille est aussi assortie à la couleur du véhicule.

L’intérieur reprend une bonne partie de la présentation actuelle, mais on remarque quelques changements subtils, notamment le retour de certaines commandes classiques et un écran tactile plus imposants. C’est surtout la portion qui comprend les commandes du climatiseur qui a été modernisé.

Le Jeep Grand Cherokee 2026 sera dévoilé ultérieurement et devrait être commercialisé plus tard cet automne. Jeep a confirmé que le véhicule sera toujours proposé en version à 2 et à 3 rangées de sièges, le Grand Cherokee L. La motorisation hybride rechargeable 4xe sera de retour, mais il n’est pas impossible qu’elle soit optimisée. On espère sans aucun doute que l’autonomie électrique sera revue à la hausse.

Pour 2025, le Jeep Grand Cherokee est proposé au prix de base de 57 454 $. En version 4xe, sa motorisation hybride rechargeable procure une autonomie électrique annoncée de 42 kilomètres.

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Véhicules trop technologiques? La valeur moyenne des sinistres a doublé!

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On vous rapportait récemment que certains véhicules prisés par les voleurs ont vu leur prime d’assurance exploser au pays, ce qui rend plus alléchant l’achat du même modèle, mais légèrement plus âgé. Il n’y a pas que le vol qui contribue à hausser la valeur des réclamations et des primes d’assurance.

Les véhicules modernes sont beaucoup plus technologiques et facilitent la vie des conducteurs, mais ces ordinateurs sur roues sont devenus beaucoup plus coûteux à réparer. Phares intelligents à DEL, pare-chocs avec capteurs et radar, rétroviseurs comprenant des caméras, larges écrans numériques, tous ces composants ont fait exploser le coût moyen des sinistres au cours des dernières années.

Des coûts de réparation qui ont doublé

C’est ce que rapporte le Bureau d’assurance du Canada qui mentionne que, sans surprise, le coût pour réparer un véhicule ou pour le remplacer augmente année après année. Selon l’organisme, les véhicules modernes sont devenus de véritables ordinateurs sur roues, ils sont dotés d’une technologie de plus en plus sophistiquée, ce qui fait augmenter le coût des réparations ainsi que leur valeur. Il faut aussi ajouter en prime l’augmentation du coût des pièces et de la main-d’œuvre en raison de l’inflation.

Toujours selon le Bureau d’assurance du Canada, le coût d’un sinistre payé sous la garantie collision a doublé entre 2013 et 2023, passant de 4 000 $ en moyenne à 8 000 $. Il faut souligner que l’étude compile les données jusqu’à 2023 ; il est plus que probable que la hausse s’est poursuivie en 2024 et qu’il en sera de même en 2025.

Pour l’année 2023, il y a eu 558 252 sinistres au Canada, pour une fréquence de 10,19 %. On peut s’imaginer le montant global des réclamations annuellement.

La firme canadienne Morningstars DBRS, fournisseur de notations, notamment pour les compagnies d’assurances, laissait entendre il y a quelques mois que les acheteurs de véhicules électriques devraient s’attendre à payer davantage pour l’assurance puisque les assureurs ajusteront leurs modèles de tarification à mesure que davantage de données sur les réclamations liées aux véhicules électriques seront générées. Selon les données recueillies, les réparations et les pièces de rechange pour les véhicules électriques sont très coûteuses, ce qui incite certains assureurs à considérer les véhicules endommagés comme des pertes totales plutôt que de tenter de les réparer.

Une hausse importante des primes d’assurance

Bien entendu, cette hausse apporte des coûts d’assurances plus élevés pour tous les Canadiens. Au Québec, la prime moyenne en assurance automobile était de 897 $, soit 407 $ pour la responsabilité civile, 368 $ pour la collision et 209 $ pour la portion accident sans collision. Il s’agit d’une hausse importante par rapport 2020, alors que la moyenne se situait à 733 $. En 10 ans, les primes moyennes d’assurance pour un véhicule ont bondi de 557 $ à 897 $.

Malgré tout, le Québec demeure la province canadienne qui profite de la prime moyenne d’assurance la plus basse au pays selon les chiffres du Groupement des assureurs automobiles, et ce, même en ajoutant la portion pour les dommages corporels perçus par la SAAQ. Pour 2023, c’est l’Ontario qui menait le bal des primes les plus chères avec une moyenne de 1 826 $.

Voici le détail pour certaines provinces :

  • Ontario – 1 826 $
  • Alberta – 1 670 $
  • Colombie-Britannique – 1 461 $
  • Terre-Neuve – 1 329 $
  • Nouvelle-Écosse – 1 251 $
  • Nouveau-Brunswick – 1 177 $
  • Île-du-Prince-Édouard — 993 $
  • Québec — 960 $

Malgré cet écart, il devient de plus en plus difficile de trouver une assurance à un prix décent au Québec, et c’est encore plus vrai pour les jeunes acheteurs.

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Une influenceuse affirme avoir fréquenté un joueur du CH et estime qu’«il ne voyait pas juste une fille»

La sœur de l’ex-candidate d’Occupation Double Florence Belzile, la créatrice de contenu Françoise Belzile, a récemment partagé une vidéo dans laquelle elle affirme avoir déjà fréquenté un joueur des Canadiens de Montréal.

C’est dans une vidéo partagée sur TikTok que la jeune femme a allégué avoir fréquenté un joueur de l’équipe de hockey montréalaise, une idylle qui, selon ses propos, aurait malheureusement tourné au vinaigre.

En effet, elle raconte qu’après avoir lancé, à la blague, le souhait de sortir avec un joueur du Tricolore à Noël, elle aurait reçu un message privé de l’un d’entre eux… l’invitant carrément à le rencontrer.

Elle aurait finalement rencontré le joueur dans le cadre d’une double date, mais raconte que la soirée aurait pris une tournure étrange, lui laissant un goût amer.

Une semaine plus tard, il lui aurait réécrit pour l’inviter à un second rendez-vous, cette fois beaucoup plus agréable. Ce tête-à-tête aurait ensuite mené à plusieurs autres rencontres, jusqu’à ce qu’un silence d’un mois s’installe entre eux.

Finalement, le joueur l’aurait recontactée en lui proposant de partir une semaine en vacances avec lui à Tulum. Séduite par l’invitation, elle accepte… mais découvre rapidement qu’il fréquenterait en réalité… pas moins de sept autres filles en même temps, selon ses dires!

«(…) Tu te rends compte, pendant le voyage, que non seulement il ne voyait pas juste une fille, mais il en voyait sept (…)», affirme en effet Françoise.

Lorsqu’elle aurait abordé la situation avec lui, il lui aurait simplement répondu qu’elle devrait se sentir chanceuse d’être avec lui.

«(…) Lorsque tu abordes le sujet avec lui, à la place de dire: Ah, je m’excuse d’avoir vu six autres filles, il dit: Tu devrais vraiment être chanceuse d’être en voyage avec moi, c’est toi qui as gagné (…)», raconte-t-elle.

Elle aurait alors mis un terme à leur histoire, ne souhaitant pas poursuivre dans ces conditions. Elle affirme toutefois que, de son côté, le joueur continuerait de fréquenter certaines des autres filles.

@francoisebelzile

Anyway la saison est finie bonne fin de soiré à tous

♬ original sound – Françoise

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

We Will Rock You: Si Queen nous délivrait de «Mike chez Rona»

Imaginez un univers où tout le monde, à peu près dépouillé de son âme, sous le joug d’une intelligence artificielle, serait condamné à écouter sans arrêt une seule et même musique.

(Et imaginez combien d’autant plus pénible s’avérerait ce scénario si ladite musique était l’abrutissante ritournelle de «Mike chez Rona»… Au secours!)

Bon, oubliez la pub de l’heure, parce qu’on parle plutôt ici de We Will Rock You, pièce du Britannique Ben Elton rendant hommage à l’œuvre de Queen et portée par les tubes légendaires du mythique groupe de Freddie Mercury, laquelle vient de prendre l’affiche à l’Espace St-Denis, à Montréal.

Un énième blockbuster des planches né en Angleterre, applaudi dans une trentaine de pays depuis près de 25 ans et entériné ici par la vente de 25 000 billets en cinq mois, avant même la première médiatique, qui avait lieu mercredi devant un parterre d’artistes (incluant la récente cohorte de Star Académie) et de médias.

Annie Villeneuve dans une scène de la comédie musicale We Will Rock You / Crédit : Serge Cloutier

Dans We Will Rock You, les êtres humains sont désignés par des numéros et se «reformatent» à qui mieux mieux. La redoutable Killer Queen (Annie Villeneuve), androïde dominatrice, et sa méga corporation mondiale Globalsoft, veillent à garder le contrôle sur l’humanité – et ce que celle-ci écoute. Gare à ceux et celles qui oseront sortir du rang, penser par eux-mêmes, rêver à grand et… fredonner Oops!… I Did It Again.

Nous sommes dans le futur, quelque part dans les années 2300, dans une société dystopique (où Britney Spears est décédée!), sur fond de laquelle se dessine un combat épique entre le bien et le mal au nom de l’amour et la passion du rock’n’roll. Les rebelles Galileo (Pierre-Olivier Grondin) et Scaramouche (Frédérique Cyr-Deschênes), alias les Bohémiens aux noms rappelant une certaine Bohemian Rhapsody, n’entendent pas se laisser dicter leur existence et s’unissent pour faire triompher le pouvoir de la musique. De toutes les musiques.

Une scène de la comédie musicale We Will Rock You / Crédit : Serge Cloutier

Et leur lutte se ponctue de titres que vous connaissez bien : I Want it All, We Are The Champions, Under Pressure, Bohemian Rhapsody, Another One Bites The Dust, Crazy Little Things Called Love, Don’t Stop Me Now, Somebody To Love, The Show Must Go On, I Want to Break Free et… Devinez? Eh oui, We Will Rock You. Bref, une trame sonore 100 % Queen. Projetée en pistes enregistrées et non livrée par un orchestre en chair et en os.

Avec cette relecture québécoise de We Will Rock You, le metteur en scène Steve Bolton signe un spectacle particulièrement vitaminé, aux décors absolument magnifiques, entre des projections évoquant une cité urbaine scintillante fantasmée et un repaire aux airs de grenier dûment construit, avec échelles de bois et plateforme surélevée.

Costumes, chorégraphies, éclairages : visuellement, We Will Rock You en jette superbement. C’est beau, c’est léché, c’est coloré, c’est soigné. Chaque tableau comporte ses jolies surprises. Et Dieu sait qu’avec pareil cadre, c’aurait été facile de verser dans le ridicule.

Une scène de la comédie musicale We Will Rock You / Crédit : Serge Cloutier

Pas de grande prestation d’acteurs-chanteurs à signaler (ils sont 16 sur scène). Chacune des voix brille au moment qui lui est propre, sans que quiconque ne vole la lumière. Pierre-Olivier Grondin suscite les rires lorsqu’il révèle toutes les chansons qui se bousculent dans sa mémoire (occasion de clins d’œil à Plume Latraverse, Richard Séguin, Ginette Reno, Gerry Boulet, à Agadou dou dou, au Bal masqué, à La Ziguezon, à Who Let The Dogs Out…)

La renaissance des Bohémiens au dernier droit du récit, avec la découverte émerveillée d’instruments de musique, et les numéros finaux sur We Are The Champions et Bohemian Rhapsody nous laissent sur une note pétillante.

Pierre-Olivier Grondin dans une scène de We Will Rock You / Crédit : Serge Cloutier

L’audacieux mélange de science-fiction et de comédie musicale sur lequel repose We Will Rock You recèle beaucoup de potentiel, lequel est très bien exploité. Il faut bien sûr jouer le jeu, l’histoire gagnerait à être mieux exposée dès le départ, et peut-être que le lien entre les mélodies de Queen et la fresque futuriste aux allures de dictature virtuelle est parfois ténu (il faut d’ailleurs attendre à la deuxième partie, beaucoup plus enlevante que la première, pour vraiment s’imprégner totalement de l’esprit de Queen). Mais…

Voilà pourquoi on parle de «jouer le jeu». Pourquoi bouder son plaisir? L’ambiance imaginaire que propose l’œuvre est somme toute crédible. En bonus, We Will Rock You nous balance toute la gamme des émotions, avec beaucoup d’humour en assaisonnement.

Annie Villeneuve dans une scène de We Will Rock You / Crédit : Serge Cloutier

Sinon, peut-être avez-vous déjà lu pareilles paroles en ces pages – et sûrement ailleurs aussi –, au sujet d’autres comédies musicales: le résultat est long (2 h 35 et des poussières, avec entracte) et pourrait aisément être resserré ici et là.

Pas qu’on ait si hâte de retourner à nos téléviseurs pour retrouver Mike chez Rona, pas que les spectacles trop longs nous donnent le goût de faire la grève comme «des jeunes» qui militeraient pour ravoir leurs cellulaires en classe…

Mais, avouons-le, très rares sont les productions du genre qui ne s’étirent pas. Ce qui gâte nécessairement un peu la sauce. The Show Must Go On, oui… Mais dans des temps raisonnables, s’il vous plait.

La pièce We Will Rock You tient l’affiche de l’Espace St-Denis, à Montréal,jusqu’au 18 mai,puis se transportera au Capitole de Québec du 20 juin au 13 juillet, à l’Amphithéâtre Cogeco de Trois-Rivières les 5 et 6 septembre, puis au Théâtre du Casino du Lac-Leamy, à Gatineau, du 2 au 19 octobre. Pour informations : gestev.com.

Quelques faits amusants sur We Will Rock You

Il faut 1 heure pour maquiller chaque artiste du spectacle…

Les décors ont pris 3 mois à construire…

La troupe a dû répéter pendant environ 4000 heures…

Les décors se déplacent dans 3 camions de 53 pieds chacun…

Et We Will Rock You exige l’utilisation de près de 200 costumes et accessoires!