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Réplique canadienne de 25% sur les véhicules construits aux États-Unis importés au Canada

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Moins de 24 heures après la « confirmation » et la mise en place des tarifs douaniers de 25% sur tous les véhicules construits à l’extérieur des frontières étasuniennes, le Canada réplique. Le premier ministre, Mark Carney, vient d’annoncer que le Canada instaure aussi un tarif douanier de 25% sur les véhicules construits aux États-Unis et importés au Canada. On vise précisément les véhicules qui ne sont pas conformes à l’Accord Canada/États-Unis/Mexique (ASEUM).

Avec ces tarifs, le gouvernement canadien estime être en mesure de récolter quelque 8 milliards de dollars. Cette somme servira à compenser financièrement les acteurs négativement touchés par cette crise des tarifs. Il est extrêmement important de souligner que les pièces automobiles sont exclues de la tarification. Le gouvernement Carney admet que cette mesure permettra d’amoindrir l’impact sur l’industrie automobile. Étant respectueux des accords signés, il n’y a évidemment aucun changement dans les relations commerciales avec le Mexique.

Protéger l’industrie canadienne

De plus, l’actuel gouvernement du Canada mettra en place des conditions plus favorables de même que des incitatifs supplémentaires pour les constructeurs automobiles qui assemblent des véhicules au Canada. Le but de cette opération est de contrecarrer la volonté de l’administration Trump de forcer les constructeurs automobiles à produire exclusivement aux États-Unis.

En parallèle, le chef conservateur Pierre Poilièvre suggère d’abolir la TPS sur l’achat de véhicules construits au Canada. Sa réaction sur la décision du gouvernement libéral n’est pas encore connue au moment d’écrire ces lignes.

Dans cette même veine, l’industrie automobile canadienne commence à subir des contrecoups comme l’annonce de Stellantis qui met son usine de Windsor en pause pour deux semaines le temps de trouver une stratégie dans cette crise. Stellantis assemble dans ces installations les Chrysler Pacifica, Chrysler Grand Caravan et Dodge Charger. Pour le moment, on n’est pas en mesure de statuer sur les réactions des autres constructeurs en Ontario que sont Toyota, Lexus, Honda et GM.

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Quels sont les points positifs et négatifs du Hyundai Venue 2025?

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« Je souhaite remplacer ma Kia Rio 2012 que j’ai achetée neuve et qui a environ 100 000 km au compteur. Je regarde le Hyundai Venue et j’aimerais que vous me disiez ses points forts et ses points faibles. Je ne parcours que 10 km par jour, je ne recherche pas la puissance ni l’agrément, seulement un véhicule pour me déplacer et que je conserverais 10 ans. » — Sonia

Réponse

Bonjour Sonia,

Il faut savoir, à la base, que le Hyundai Venue a remplacé la Hyundai Accent au sein de la gamme du constructeur. Ce petit VUS a repris l’essentiel des composants de l’Accent, mais propose une configuration plus proche de celle d’un VUS. Ça donne des avantages certains, mais ça a aussi permis à Hyundai de monter le prix de son véhicule au même moment, pour le simple fait que c’est un « VUS ».

Aujourd’hui, le marché de l’automobile a évolué et il demeure l’un des véhicules les moins chers de toute l’industrie. J’en comprends donc que vous êtes attirée par sa simplicité, son faible coût d’achat et son style, ce qui est parfaitement compréhensible puisque vous ne parcourez pas une grande distance sur une base quotidienne.

Points positifs

Le premier point à souligner est le prix du véhicule. Il est élevé par rapport aux standards des sous-compacts d’il y a quelques années, mais demeure l’un des véhicules les moins chers sur le marché. En fait, seule la Nissan Versa est moins chère de quelques centaines de dollars.

Le deuxième point à soulever est l’espace qu’il donne. Même s’il demeure assez petit, sa toiture assez élevée donne un bon sentiment de dégagement à bord. De plus, son hayon dégage bien l’espace de chargement pour un côté pratique indéniable. Sa consommation n’est pas désavantagée par sa configuration de carrosserie ; il demeure économe de carburant.

Ensuite, il est couvert par une bonne garantie, de 5 ans/100 000 km. C’est un avantage par rapport à d’autres véhicules concurrents, comme la Nissan Versa ou encore le Nissan Kicks Play.

Pour finir, la fiabilité du modèle est bonne, jusqu’à présent. La simplicité de la mécanique est payante à ce niveau, puisqu’il n’est pas problématique.

Points négatifs

Évidemment, pour arriver avec un prix aussi agressif, le constructeur n’a pas accordé une importance débordante envers les caractéristiques de confort. De ce fait, l’insonorisation du modèle est plutôt faible, comme le confort des sièges et la qualité de finition. On n’achètera certainement pas ce modèle pour se faire dorloter. Ce n’est certainement pas pire que ses proches concurrents, qui adoptent à peu près tous la même position.

Sachez aussi que la portée du véhicule est plutôt sèche. Serait-ce une conséquence du fait que Hyundai souhaite améliorer le comportement routier et, donc, ajoute une suspension plus ferme? Peut-être, mais il reste que le véhicule demeure assez ferme sur la route.

Malgré ces points négatifs, et surtout considérant les besoins et les attentes que vous avez, j’estime que le Hyundai Venue est un bon choix. Il est même plus intéressant, je trouve, que le Nissan Kicks Play puisque plus compact, ce qui semble être un critère pour vous.

Plus de détails :

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Rachèle CORMIER (1959-2025)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 29 mars 2025, de madame Rachèle Cormier. Elle était âgée de 65 ans et originaire de Havre-Aubert, aux Îles-de-la-Madeleine.

Elle était la fille de feu Ernest Cormier et feu Julienne Poirier, la mère d’Olivier Renaud (Laurence), la sœur de Diane (Louis), Jeanne-D’Arc (Paul), Fernande (Carol) et Denis (Diane). Rachèle est partie rejoindre Marie-Paule, Yves, Georgine, Jean-Pierre et Donald. Elle laisse aussi dans le deuil ses neveux, nièces et ami-e-s.

Une célébration commémorative aura lieu à l’église Saint-Pierre de La Vernière, le jeudi 7 août 2025, à 13h30. L’inhumation suivra au cimetière Notre-Dame de la Visitation de Havre-Aubert. Familles et amis seront présents à l’église à compter de 12h30.

Vos marques de sympathie peuvent se traduire par un don à la Fondation Santé de l’Archipel.

La famille souhaite remercier bien sincèrement toute l’équipe du CISSS des Iles pour les soins apportés à Rachèle durant sa maladie.

Un poisson d’avril qui fait des vagues !

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Les Îles-de-la-Madeleine ont été le théâtre d’un événement aussi spectaculaire qu’inattendu ce 1er avril. Une vieille rumeur locale, celle d’un homard gigantesque rôdant sous l’ancien pont de Havre-aux-Maisons, a pris vie de manière spectaculaire… grâce à une mise en scène aussi brillante qu’inventive orchestrée par Le Portail des Îles-de-la-Madeleine.

Dès le matin, la nouvelle a pris d’assaut les réseaux sociaux : un homard hors du commun aurait été capturé par des plongeurs téméraires, et l’événement aurait même été relayé par CNN International. Avec des images impressionnantes et des témoignages fictifs, l’histoire était trop belle pour être vraie. Et pourtant, plus de 100 000 interactions plus tard, on peut dire que le canular a fait sensation !

L’idée derrière ce poisson d’avril ? Célébrer l’imaginaire et la richesse maritime des Îles, tout en offrant un moment de légèreté et de rire à la communauté. Rapidement, les réactions ont afflué : certains y ont cru, d’autres ont flairé la supercherie, mais tous ont partagé l’amusement et l’originalité de cette mise en scène.

Un engouement viral
L’histoire du « homard légendaire » a dépassé toutes les attentes. Les commentaires fusaient : « Mais c’est énorme ! » « Où peut-on le voir ? ».

Comme quoi, même à l’ère de l’information instantanée, les légendes ont encore le pouvoir de captiver et de faire rêver… surtout quand elles sont bien orchestrées !

Bravo à tous ceux qui ont contribué à cette farce mémorable ! Qui sait ? Peut-être qu’un jour, un vrai homard géant se cachera sous les eaux du pont de Havre-aux-Maisons…

Et vous, l’avez-vous cru ?

LA UNE : Généré à l’aide de l’IA

Patrice Bélanger: «Je ne peux pas ne pas regretter ces moments-là»

C’était au tour du sympathique Patrice Bélanger de passer à la casserole, ou plutôt au bol de ramen, dans la série d’entrevues d’Étienne Marcoux.

Le tout s’est déroulé dans une ambiance aussi savoureuse que relevée, alors qu’Étienne s’est fait un malin plaisir de taquiner l’animateur de Survivor Québec sur une foule de sujets.

À la toute fin, l’ambiance a basculé vers quelque chose de plus intime. Lorsque Étienne lui a demandé s’il acceptait désormais le père qu’il est, en écho à ses touchantes confidences sur le balado de Marie-Claude Barrette, Patrice s’est ouvert en toute franchise.

«Non (…) c’est une corde sensible (…) je m’étais promis que je n’aurais pas de regret et j’en aurai plein. Je n’ai assurément pas été assez présent physiquement, en temps et en qualité avec mes boys. Parce que… j’ai été supra gâté par la vie professionnelle. Heureusement, la vie m’a gâté de la meilleure partner ever (…) je sais que quand je laissais mes boys, ils étaient avec la personne qui les aime le plus au monde. Ça me déclenche automatiquement parce que, avec le recul, je ne peux pas ne pas regretter ces moments-là (…)», lance-t-il, visiblement submergé par les émotions.

Capture Instagram @eomarcoux

Des confidences qui ont laissé place à un instant émouvant, bien loin du ton habituellement plus léger, et franchement hilarant, des capsules d’Étienne.

Et vous, vous sentez-vous comme Patrice?

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Virginie Ranger-Beauregard veut-elle des enfants? Elle répond!

Virginie Ranger-Beauregard était récemment de passage au podcast On s’connait pas tant que ça, animé par les anciens candidats d’Occupation Double, Sansdrick et Pézie. La comédienne s’est ouverte avec franchise sur plusieurs sujets fort intéressants, notamment son désir d’avoir des enfants.

C’est alors que les animateurs et leur invitée discutaient de leur implication à rester informés sur les enjeux économiques et politiques qui préoccupent présentement bien des gens, que Sansdrick a demandé à Virginie si elle désirait avoir des enfants.

«(…) Je veux des enfants, mais pas à tout prix. Donc, genre, je ne me ferais pas inséminée et élever des enfants toute seule. Dans le sens de ce que je trouve trippant là-dedans, c’est le projet comme familial. Et j’avoue que là, de ce temps-là, toutes ces questions-là me… m’inquiètent quand même (…) j’ai des moments où est-ce que je suis comme: C’est-tu pas une bonne idée? En fait, c’est-tu ne pas rendre service à ces gens-là? Mais en même temps, ma sœur a deux enfants de qui je suis ultra proche et pour qui je donnerais ma vie (…) je me tuerais pour eux (…)», explique-t-elle, en précisant qu’elle souhaite vivre cette expérience elle-même, mais que si ça ne se produit pas, elle pourra toujours combler son cœur avec les enfants de sa sœur.

Capture YouTube @On s’connait pas tant que ça

Un dilemme auquel beaucoup de gens font face, alors qu’ils jonglent entre le désir de fonder une famille et les incertitudes d’un monde en constant bouleversement.

Peu importe ce que l’avenir lui réserve, on souhaite à Virginie tout le bonheur du monde, avec ou sans enfants.

Vous êtes-vous déjà questionné sur les enjeux liés au fait d’avoir des enfants, avant de franchir le pas?

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Melford RICHARD (1954-2025)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 28 mars 2025, de monsieur Melford Richard. Il était âgé de 70 ans, originaire de Grande-Entrée et résident de l’Étang-du-Nord, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il était l’époux de madame Marjolaine Miousse, le père de Mylène (Joël), Geneviève (Steeve), Marc-Édouard (Émilie) et Jean-Denis (Ariane). Il avait huit petits-enfants : Samuel, William, Michaël, Taïna, Maélie, Lily-Rose, Jasmine et Anthony, et une arrière-petite-fille Sophia. Il laisse aussi dans le deuil son frère Philippe (Jacinthe), ainsi que ses beaux-frères, belles-sœurs, neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Grande-Entrée, le samedi 12 avril 2025, à partir de 13h30. Suivra une célébration de la Parole, à 15h30, à l’église Sacré-Cœur de Grande-Entrée.

Vos marques de sympathie peuvent se traduire par un don à la Fondation Santé de l’Archipel (pour l’Unité d’un jour).

La famille désire remercier sincèrement les docteurs Noël et Dansereau, l’équipe de l’Unité d’un jour et celle des prélèvements pour les bons soins apportés à Melford tout au long de sa maladie.

Les équipements d’Écofaune boréale vont demeurer aux Îles

Un groupe d’hommes d’affaires des Îles-de-la-Madeleine composé de Marc-Olivier Corbeil, Charles Couturier et Jean-Gabriel Deraspe vient de se porter acquéreur des équipements industriels qui serviront à produire une huile de phoque de qualité pharmaceutique.

 

Le centre collégial de transfert de technologie (CTTT) Écofaune boréale, qui était propriétaire depuis avril 2024, cherchait des partenaires locaux depuis quelques mois et craignait de devoir sortir ceux-ci de l’archipel. Le directeur d’Écofaune boréale, Louis Gagné, est avec nous pour nous en dire davantage. 
LA UNE : Le directeur du CCTT Écofaune boréale Louis Gagné. PHOTO : Écofaune boréale

[VIDÉO] La grande histoire de la Baie!

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Savais-tu que la chaîne de grands magasins La Baie est la plus vieille compagnie en Amérique du Nord? Et aujourd’hui, elle risque de fermer ses portes… Plongeons dans la longue histoire de ce très vieux magasin!

AS

 

Les as de l’info est un quotidien spécialisé pour enfants et une initiative des Coops de l’information. Ce contenu est partagé avec le portail régional ilesdelamadeleine.com, grâce au financement du gouvernement du Canada.

Tu veux lire encore plus de nouvelles? Viens nous voir sur lesasdelinfo.com
Psst! On a aussi une section spéciale pour les profs!

Jacob Fowler pencherait finalement vers un try-out à Laval

Il y a moins de 48 heures, Cam Robinson (Elite Prospects) rapportait que le jeune gardien de 20 ans du Canadien, Jacob Fowler, penchait vers un retour dans la NCAA. Ce tweet, considéré comme le résultat d’une tentative de tactique de négociation du clan Fowler, a été décortiqué de A à Z depuis.

Voilà qu’à minuit, hier soir, ce même Robinson y est allé d’une mise à jour.

Il note qu’il est maintenant « hautement probable » qu’il optera pour un ATO (amateur try-out) avec le Rocket de Laval, qu’il rejoindrait dès son retour de son voyage sur la route.

Le Rocket ne joue pas à la maison avant le 16 avril, mais il a une pause de 4 jours après son match de dimanche à Abbotsford. 

« La complexité de la position de gardien rend très difficile de sauter des étapes. Ça rend la décision acceptable pour le clan Fowler de renoncer à l’année brûlée du contrat d’entrée qui aurait accompagné un contrat dans la LNH ce printemps », a tweeté Robinson.

Considérant qu’il a lui-même parlé d’un retour à Boston College, ce dernier a réitéré que la décision du jeune espoir du Canadien n’était pas encore prise, plus tôt cette semaine, et qu’une troisième saison avec son équipe universitaire était réellement considérée.

S’il s’agissait réellement de pression dans les négociations, le clan Fowler aurait donc perdu, non? Peut-être s’agissait-il d’autre chose, tout simplement. 

Notons que Jacob Fowler s’est déplacé au premier match dans la LNH de ses coéquipiers Ryan Leonard (Washington) et Gabe Perreault (NYR) cette semaine. Il est peut-être difficile pour lui d’accepter le fait qu’il commencera à Laval, mais il doit aussi être conscient qu’il est un gardien et que son développement est plus compliqué, long et précieux que celui d’un attaquant.

La course aux séries du Canadien change aussi la donne.

prolongation

– Notons que dans un tel scénario (celui où il irait à Laval pour finir la saison 24-25), Fowler signerait un contrat d’entrée de trois ans, valide de 2025 à 2028.

Attendez-vous à revoir David Reinbacher cette saison

David Reinbacher est revenu au jeu il y a un mois et demi, soit le 19 février. C’était plus tôt que prévu.

Depuis ce temps-là, on a vu un défenseur qui paraissait vraiment bien sur la patinoire, mais on a aussi vu un défenseur qui avait besoin de journées de congé ici et là.

Le voir manquer un match une fois de temps en temps – surtout dans les dos à dos – n’était pas inquiétant. Mais de le voir rater 12 jours, entre le 7 et le 19 mars, l’a été.

Et depuis? Il a joué le 19 mars et le 21 mars, mais rien depuis. Et comme il n’est pas sur la route avec les autres en ce moment, son prochain match ira, au mieux, à la semaine prochaine.

Forcément, cela fait en sorte que des questions se posent. Est-il revenu trop tôt? Est-ce normal, tout ça? A-t-il simplement besoin d’un peu de temps? Est-ce que le Canadien est inquiet?

Guillaume Lefrançois (La Presse) rapporte que Pascal Vincent, l’entraîneur du Rocket, n’exclut pas un retour cette saison. Et de son côté, Renaud Lavoie (TVA Sports) affirme aussi qu’il faut s’attendre à revoir l’espoir du CH au jeu cette saison.

Le plan est toujours de le voir jouer d’ici la fin du calendrier régulier du Rocket.

Reinbacher est «chanceux» dans un sens puisque l’attention médiatique n’est pas vraiment sur lui en ce moment. Sa situation peut donc passer sous le radar un brin, quand on y pense.

Pourquoi je dis ça?

Parce que la course aux séries du CH fait jaser et parce que la situation de Jacob Fowler est aussi dans l’actualité. C’est aussi le cas pour le temps de jeu d’Ivan Demidov ou pour le cas Oliver Kapanen.

Mais disons qu’il serait rassurant pour bien des gens de revoir Reinbacher en action la semaine prochaine.

en rafale

– En parlant du Rocket.

– Qu’en dites-vous?

– Intéressant.

– Flyers : il était temps de passer à autre chose derrière le banc. [98.5 FM]

– Bonne écoute.