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[VIDÉO] Qu’est-ce que la famille?

Cette semaine, c’est la semaine de la famille. Toi, est-ce que ta famille ressemble à celle de tes amis? C’est possible que non. Parce que tout le monde a une famille différente et unique! Dans sa vidéo de la semaine, Mélanie te fait découvrir tout plein de différents modèles!

AS

 

Les as de l’info est un quotidien spécialisé pour enfants et une initiative des Coops de l’information. Ce contenu est partagé avec le portail régional ilesdelamadeleine.com, grâce au financement du gouvernement du Canada.

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Psst! On a aussi une section spéciale pour les profs!

Éphémérides : Construction d’une éolienne sur le site de La Cormorandière

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Darrieus-windmill

Wikipedia

18/05/1977 Construction d’une éolienne à axe vertical de type Darrieus de 37,27 mètres, la plus haute du monde à l’époque.

Hydro-Québec, avec la collaboration du Conseil national de recherches Canada (CNRC) et l’Institut de recherche électrique d’Hydro-Québec (IREQ), a procédé à l’installation de cette éolienne expérimentale de 230 kW sur le site de La Cormorandière. Le projet a toutefois été abandonné et cette éolienne n’est plus en fonction.


Darrieus est un type d’éolienne à axe vertical utilisé pour produire de l’électricité à partir de l’énergie du vent. La turbine se compose d’un certain nombre de pales incurvées montées sur un arbre vertical rotatif ou un cadre. Ce concept d’éolienne a été breveté par Georges Darrieus, ingénieur aéronautique français en 1931. Il existe de grandes difficultés dans la protection de l’éolienne Darrieus en conditions de vent extrêmes. – Source Wikipedia

Éphémérides : Dévoilement de l’ancien chemin de croix à l’église de Lavernière

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18/05/2005 : Dévoilement de l’ancien chemin de croix de Athanase del. Lasmier à l’église de Lavernière.

Les 14 stations de l’ancien chemin de croix sont dévoilées aux paroissiens et reprennent leur place dans les bas-côtés de l’église Saint-Pierre.

Ces lithographies sont l’oeuvre du frère Athanase del. Lasnier. Elles datent de 1880. Elles avaient été imprimées à l’époque chez Paris I. Turcis de New York, une maison qui existe toujours. Elles ont nécessité près de 300 heures de restauration au maître-artisan Carol Poulin.


« Un chemin de croix est un ensemble de tableaux ou bas-relief, habituellement au nombre de quatorze. Chaque tableau, ou station, représente une scène du chemin parcouru par le Christ jusqu’au lieu de sa crucifixion sur le Calvaire. Le fervent catholique, lorsqu’il fait ‘son chemin de croix’ s’arrête à chaque tableau pour faire une prière.

Le chemin de croix de l’église St-Pierre est constitué de lithographies, jusque en 1969. Ces lithographies sont des oeuvres de Athanase del. Lasmier. Elles ont été imprimées chez Paris I. Turcis de New-York dans les années 1880.

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M. Alphonse Forest, président du conseil de la fabrique de Saint Pierre de Lavernière, avec la lithographie, restaurée en 2005, de la quatrième station du chemin de croix. Provenance: Collection Villes et Villages d’Art et de Patrimoine, Municipalité des Îles-de-la-Madeleine, 2005.

Exposées sans vitre protectrice pendant plusieurs années, les lithographies ont été abîmées par le temps. Elles ont été enlevées en 1969 lors des travaux de modernisation effectués suite au renouveau liturgique de Vatican II. On a alors opté pour un chemin de croix plus moderne, constitué d’un bas-relief de plâtre moulé, posé sur une plaque de bois.

Lors des travaux de restauration entrepris en 1992, après le classement de l’église comme bien culturel d’exception, les anciennes lithographies n’ont pu être installées étant donné leurs mauvaises conditions.

Elles n’ont été envoyées sur le continent pour être restaurées qu’en 2004. Le travail a été confié à M. Carol Poulin, restaurateur et artiste peintre de St-Augustin-de-Desmaures, qui a aussi restauré la même année, le tableau de Rochon, «St-Pierre brandissant les clés du Paradis».

Avec le temps, le vernis qui protégeait les lithographies avait bruni. Une des lithographies avait même été complètement détruite. Des treize oeuvres qui avaient traversé le temps, sept étaient déchirées. M. Poulin a dû procéder à de délicates opérations de nettoyage et de réparation. Il a finalement peint lui-même la lithographie qui manquait à la collection. » – virtualmuseum.ca

 

LA UNE : Deux stations du chemin de croix après leur restauration en 2005. La quatrième station «Jésus rencontre sa mère’» et la septième station ‘«Jésus tombe pour la dernière fois». Provenance: Collection Villes et Villages d’Art et de Patrimoine, Municipalité des Îles-de-la-Madeleine, 2005.

Le Cégep de la Gaspésie et des Îles doit couper 650 000 $, du « jamais-vu »

Les compressions étaient attendues au Cégep de la Gaspésie et des Îles, mais jamais à la hauteur du manque à gagner de 150 millions de dollars annoncé par le gouvernement Legault. Après le choc initial, cet établissement gaspésien s’inquiète pour les années à venir.

Ça fait 20 ans que je suis dans le réseau de l’enseignement supérieur : on n’a jamais vu de compressions de cette hauteur-là, se désole la directrice générale du Cégep de la Gaspésie et des Îles, Yolaine Arseneau.

On s’attendait à certaines compressions, admet-elle. Mais quand on sait qu’on avait déjà eu un gel de recrutement, un plafond sur les investissements, un maximum d’heures rémunérées et tout ce qui s’est passé autour des quotas d’étudiants étrangers, on trouvait qu’on avait eu suffisamment de tuiles sur la tête.

Mme Arseneau calcule que sur les 150 millions de dollars qui doivent être retranchés des budgets du réseau collégial, la part du cégep gaspésien s’élève à 650 000 $ sur un budget total de 43 millions de dollars.

Yolaine Arseneau est photographiée dans son bureau du campus de Gaspé.Yolaine Arseneau s’explique mal l’ampleur des compressions en éducation, sachant que le Québec est aux prises avec une pénurie de main-d’œuvre. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Bruno Lelièvre

Elle ajoute du même souffle que son équipe s’est rapidement soumise à un examen approfondi des dépenses de chaque département dans l’objectif de conserver le personnel en place et de maintenir la qualité des services offerts aux étudiants.

Le pari est réussi, jusqu’à un certain point du moins.

Si personne n’est remercié, les employés qui partiront, que ce soit à la retraite, pour des raisons médicales ou en congé de maternité, par exemple, ne pourront pas être remplacés.

Pour la prochaine année, ce sera impossible de remplacer qui que ce soit. C’est ça qui suscite la plus grande inquiétude.

Une citation de Yolaine Arseneau, directrice générale du Cégep de la Gaspésie et des Îles

On a vraiment tout fait pour épargner le secteur qui s’adresse directement aux étudiants, comme les mesures d’aide à la réussite. Mais est-ce qu’en cours d’année, des absences vont faire en sorte qu’il y aura des réductions d’heures d’ouverture? On ne peut pas couper 650 000 $ d’un budget comme le nôtre sans qu’il y ait des répercussions, regrette-t-elle.

Mme Arseneau précise toutefois qu’il y aura toujours un enseignant dans chaque classe et que cette inquiétude concerne plutôt le personnel non enseignant et administratif.

La directrice se dit bien consciente que cette situation aura inévitablement des répercussions sur le personnel restant, pour qui la charge sera plus lourde. Elle promet que son équipe sera particulièrement attentive aux surcharges de travail.

Les travaux en cours seront terminés

Les travaux en cours pour bâtir les nouvelles résidences étudiantes du campus de Carleton-sur-Mer ainsi que les travaux réalisés aux résidences du campus de Gaspé se poursuivent, assure Mme Arseneau.

Le site du chantier à Carleton-sur-Mer.La construction des nouvelles résidences étudiantes du campus de Carleton-sur-Mer a débuté en septembre 2024. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Roxanne Langlois

De plus, certains travaux qui doivent se faire au campus de Gaspé pour accueillir le nouveau programme de techniques policières pourront avoir lieu comme prévu au cours de l’année.

Cependant, Mme Arseneau indique que le Cégep n’a plus aucune marge de manœuvre pour planifier de nouveaux projets de développement.

Elle se dit également très inquiète pour la suite des choses puisque le gouvernement de la CAQ parle de compressions à venir pour les cinq prochaines années.

On sait qu’on a une pénurie de main-d’œuvre et je pense qu’on est une des solutions à ça, alors c’est sûr que ce sont des choix difficiles à comprendre.

Une citation de Yolaine Arseneau, directrice générale du Cégep de la Gaspésie et des Îles

Plus tôt cette semaine, le directeur général du Cégep de Matane, Martin Demers, a fait état de la même incompréhension et a déploré le manque de vision à long terme du gouvernement Legault.

L’établissement matanais s’attend de son côté à devoir retrancher 700 000 $ de son budget de 27 millions de dollars.

LA UNE : Le Cégep de la Gaspésie et des Îles doit retrancher 650 000 $ de son budget. Photo : Radio-Canada

PAR vec les informations de l’émission Bon pied, bonne heure!

 

Séries en bref : sauvés par les fesses d’Oldie, les Maple Leafs forcent un match ultime

Hier soir, les Maple Leafs tentaient d’éviter l’humiliation l’élimination face aux Panthers, en Floride. Les Panthers, eux, pouvaient mettre fin à la saison des Maple Leafs et passer au carré d’as.

Résultat? Pour la deuxième fois de suite, un match sur la route a été gagné et les Maple Leafs ont mis la main sur la victoire au compte de 2-0.

Un gain de 2-0, ça veut dire que Joseph Woll s’est pris pour Connor Hellebuyck (j’ai dit ce que j’ai dit… mais un peu à la blague) en blanchissant son adversaire dans un moment important. Et il l’a fait sur la route, lui.

Qu’est-ce qui a causé la victoire des Maple Leafs?

D’abord, il faut souligner que le capitaine Auston Matthews s’est levé et a marqué un but important (ce qui n’est pas dans les habitudes de la maison), soit le but gagnant et le premier du match. Pour toutes les fois où on le critique, on va le dire quand ça va bien pour lui, t’sais.

Chapeau aussi à Max Pacioretty, qui a marqué le deuxième but (celui d’assurance) des siens.

Mais clairement, la raison pour laquelle les Maple Leafs ont gagné, c’est parce que Paul Bissonnette a envoyé Oldie, le fameux partisan des Maple Leafs, se montrer les fesses durant l’échauffement des Panthers.

Il portait même la chemise de prédilection de Biz.

Évidemment, tout n’a pas été parfait pour les Maple Leafs, qui ont tiré seulement 17 fois au filet adverse. Mais nous sommes dans une ligue de résultats et ils ont gagné.

Cela va donc nous donner un match #7 demain soir (19h 30), soit un format dans lequel les Maple Leafs n’excellent pas du tout. Parce que souvent, quand vient le temps de se qualifier, les Maple Leafs l’échappent.

Vont-ils chasser leurs démons avec Joseph Woll devant le filet? On verra bien. Mais les fans sont prêts pour les Hurricanes, en tout cas.

prolongation

– Matthew Knies présent pour le match de dimanche? Qui sait.

– Tout est sur la ligne pour le match #7.

– Comment être de mauvaise foi 101.

– Ce soir à 20h à Dallas, les Jets affronteront les Stars. Les Stars mènent la série 3-2.

– Le tableau des séries.

(Crédit: NHL.com)

Jacob Fowler est encore l’un des meilleurs gardiens de la LAH en séries

Hier, le Rocket de Laval a perdu le match #2 de sa série contre les Americans de Rochester. La série, qui est un 3-de-5. est maintenant égale 1-1.

Clairement, d’entrée de jeu, il y a un constat à faire : les Americans ne sont pas les Monsters. La compétition est féroce et si le Rocket ne joue pas son meilleur hockey, il peut perdre des matchs.

Hier, ça a été le constat que Pascal Vincent en a tiré : il faudra être fort et jouer de la bonne façon pour passer au prochain niveau. Il faudra rester plus discipliné, dans les faits.

Le problème? Le Rocket ne créait pas assez d’échec avant et il se retrouvait à jouer du hockey différent. Des punitions ont suivi et le club de Laval a été coulé par tout ça.

Ce n’est pas idéal, ça.

Le Rocket a notamment donné deux buts en désavantage numérique. Et dans un gain de 5-3 (dont un but dans un filet désert), on s’entend que cela fait un peu partie de la défaite.

Un peu.

Mais malgré tout, même s’il n’a pas été aussi invincible que par les autres matchs, Fowler a bien fait. Il a donné plus de buts, certes, mais il n’a pas été placé dans une position facile.

Et ceux qui ont regardé le match savent qu’il y a plus que les buts accordés : il y a les gros arrêts effectués.

Même si Fowler a fait passer sa moyenne en séries de 1.00 à 1.75 but par rencontre, il est encore parmi l’élite à ce sujet. En séries, il a la quatrième meilleure moyenne de la ligue et est dans le top-10 pour le taux d’efficacité à .929.

Dans les deux cas, Cayden Primeau n’est pas dans les mêmes eaux et il est parmi les pires gardiens de la ligue à ce sujet. Mais la question se pose : qui jouera le match #3?

Je ne serais vraiment pas étonné de voir Primeau, qui a gagné le match #1 de cette série-là et qui a aussi été confronté à la bonne équipe de Rochester, reprendre son filet quand la série sera de retour à Laval.

Après tout, même si Fowler a bien fait hier, il n’a pas volé la job du gardien qui a amené le club en séries pour Pascal Vincent pour autant.

Je pense que le Rocket continuera de faire ce qu’il a dit, soit en y allant d’une rotation. Je crois que Primeau gardera le match #3, mais que les chances de revoir Fowler dans la série sont très bonnes.

Il faudra cependant prendre notre mal en patience parce que le prochain match aura lieu… mercredi prochain. #CouperLeMomentumPourLesFans

en rafale

– Cayden Lindstrom débarquera donc à Rimouski.

– Wow. Il a fait un Joe Sakic.

– À noter.

Un photographe reproduit l’affiche du film «Les Dents de la Mer»

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Passionné par les requins, le photographe Euan Rannachan s’est enfermé dans une cage métallique et a capturé un grand requin blanc de la même manière que sur l’affiche du film « Les Dents de la Mer ». Ça donne des sueurs froides…

Fasciné depuis son enfance par les requins, Euan Rannachan exploite désormais toutes ses compétences derrière la caméra pour montrer la puissance et la majesté de ces prédateurs. Alors qu’il a déjà plongé avec des requins pendant de longues heures, le photographe n’aurait jamais imaginé revenir avec la photo de sa vie. Son récent voyage à Guadalupe Island restera gravé dans sa mémoire pour toujours. Et pour sûr… Il a pris l’extraordinaire photographie d’un requin qui remonte à la surface. Cela ne vous rappelle rien ?

Quasiment identique à l’affiche du film “Les Dents de la Mer“, la photo fait sensation. Prise alors qu’il se trouvait à un peu plus de dix mètres de profondeur – en sécurité dans une cage métallique – Rannachan a immortalisé un grand requin blanc dans une pose plutôt familière. Les fans ne pourront que constater la ressemblance frappante avec l’affiche emblématique du film. Réalisée par l’artiste Roger Kastel, elle est devenue au fil des années l’une des affiches les plus connues du cinéma. Pour le photographe, être capable de prendre le cliché qui reflète parfaitement l’image classique est un rêve devenu réalité. On vous laisse juger par vous-même :

Affiche originale

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Crédits: Jaws

La photo de Euan Rannachan

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Quand on sait à quel point “Les Dents de la Mer” est un film apprécié des amateurs de cinéma, on ne s’étonne pas de l’émoi qu’a provoqué la photo… Toute cette attention a permis à Euan Rannachan de partager sa passion avec un public beaucoup plus large. Pourtant, il ne pensait pas avoir pris LA photo :

«C’est une photo que beaucoup de mes amis qui adorent les requins, y compris moi-même, essaient de prendre depuis des années. J’avais l’impression de l’avoir, mais les choses vont tellement vite en bas que tout ce que je pouvais faire, c’était me préparer au prochain passage s’il devait y en avoir un. Ce n’est que beaucoup plus tard ce soir-là, lorsque j’ai fait marche arrière, que j’ai vu que je l’avais — et surtout que c’était au point.»

Le photographe espère sincèrement changer les a priori du public envers ces incroyables squales. Pour lui, le plus important est de les protéger et de continuer à les observer : “Je pense que ce qui m’excitera toujours, c’est à quel point ils peuvent être puissants et précis, tout en étant complètement sous contrôle. C’est incroyable de voir un animal de 1 300 kg s’approcher de sa cible, faire un mouvement de la queue, accélérer et tourner à toute vitesse comme si de rien n’était.” Alors seriez-vous partant pour une balade en eau profonde accompagné de quelques requins ?

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Crédits photos : Euan Rannachan
Source : beashark.photos

Apple CarPlay Ultra fait ses débuts du côté d’Aston Martin

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Apple CarPlay a fait son apparition dans le paysage automobile il y a plusieurs années déjà. Cependant, nous sommes sur le point de connaître la prochaine évolution majeure de ce système. D’ailleurs, un premier constructeur d’automobiles en fait l’intégration dans ses véhicules. On parle ici d’Aston Martin.

Une évolution majeure

Pour les utilisateurs d’iPhone, Apple CarPlay est une fonction très intéressante et utile qui permet d’ajouter certaines fonctionnalités dans l’écran d’infodivertissement dont le véhicule ne serait pas nécessairement équipé, et ce, par l’entremise de l’interface iOS transférable. On peut énumérer, par exemple, des applications de musique tierces ou la navigation à laquelle l’utilisateur a alors accès. Autrefois, il fallait connecter un câble de l’iPhone au véhicule pour voir apparaître l’interface, mais l’évolution de la technologie nous permet aujourd’hui de le faire sans fil dans les véhicules les plus récents.

En revanche, l’évolution atteint un nouveau sommet avec l’arrivée d’Apple CarPlay Ultra. Alors qu’on nous en parlait depuis déjà quelque temps, voilà qu’Aston Martin devient le tout premier constructeur du monde à intégrer cette nouveauté. Les récentes images publiées par le constructeur nous permettent de voir l’étendue des fonctionnalités ajoutées avec CarPlay Ultra. D’abord, les fonctionnalités dans l’écran d’infodivertissement ne se limitent plus aux applications compatibles présentes dans le téléphone intelligent Apple. Il est maintenant possible de contrôler directement des fonctionnalités du véhicule comme la climatisation.

Toutefois, les changements ne s’arrêtent pas là puisque CarPlay Ultra s’étend jusque dans l’instrumentation devant le conducteur. Cela permet d’obtenir un niveau supérieur de configuration de l’information affiché devant ce dernier, en plus d’offrir plusieurs interfaces. Le compteur de vitesse, le compte-tours, la jauge de carburant, la jauge de température et bien plus font partie des éléments configurables. Parlant d’interface, Aston Martin affirme avoir travaillé de pair avec Apple afin d’offrir certains choix d’affichage à l’image du constructeur britannique.

D’autres constructeurs à venir

Pour le moment, Aston Martin est le seul constructeur à offrir Apple CarPlay Ultra dans ses véhicules. Cependant, Apple mentionne de son côté que d’autres constructeurs d’automobiles travaillent de concert avec l’entreprise de technologie américaine dans le but d’intégrer prochainement CarPlay Ultra dans ses véhicules. Sans mentionner de date, Apple mentionne que Hyundai, Kia et Genesis font partie des constructeurs de la partie.

Du côté d’Aston Martin, on nous mentionne que la DBX ainsi que la gamme de voitures sport du constructeur sont maintenant livrées de série avec CarPlay Ultra, et ce, pour toutes les nouvelles commandes aux États-Unis et au Canada. Une mise à jour sera aussi rendue disponible au cours des prochaines semaines pour les modèles existants équipés du système d’infodivertissement de nouvelle génération d’Aston Martin.

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La Dodge Charger Daytona R/T sera éliminée du catalogue pour 2026

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La guerre des tarifs pourrait bien avoir fait une nouvelle victime, puisque le président de Dodge, Matt McAlear, a confirmé à certains médias que la production de la Dodge Charger Daytona R/T, la version de base du muscle car électrique de la marque, sera mise en pause pour l’année-modèle 2026. La marque se concentrera sur la production de la version la plus performante, la Scat Pack.

Depuis son arrivée tardive sur le marché, les ventes n’ont jamais réellement été au rendez-vous, et ce, malgré des incitatifs financiers très généreux. En ce moment, le site de Dodge Canada affiche un rabais total de 6 319 $ pour une Dodge Daytona R/T 2024, et un rabais de 2 840 $ pour un modèle 2025, sans compter le crédit de 4 000 $ du programme Roulez vert. La voiture a reçu des réactions mitigées depuis son introduction, notamment de la part des amateurs. Il faut avouer que c’est tout un défi de faire le pont entre muscle car et motorisation électrique.

Produite au Canada

Il faut aussi savoir que la Dodge Charger Daytona est au cœur de la guerre tarifaire, puisque la voiture est produite au Canada, à l’usine Stellantis de Windsor. Selon le président de la marque, la pause de production permettra d’évaluer l’impact des tarifs de 25 % sur les véhicules assemblés au Canada et exportés vers les États-Unis. Alors que certains affirmaient que la version R/T serait définitivement abandonnée, Dodge a confirmé qu’il s’agissait plutôt d’une pause d’au moins un an dans la production.

Spécifications techniques

La version de base de la Dodge Charger Daytona, la R/T, dispose d’une double motorisation électrique développant une puissance de 496 chevaux (370 kilowatts) pour un couple de 404 livres-pieds. Elle est équipée de pneus de 18 pouces et d’une suspension sport.

Quant à la Dodge Charger Daytona Scat Pack, au sommet de la gamme, elle est équipée de série de la mise à niveau Direct Connection Stage 2. Sa motorisation électrique déploie donc 670 chevaux (500 kilowatts) et 627 livres-pieds de couple. Cette puissance lui permet de parcourir le quart de mille en environ 11,5 secondes.

Quatre portes et un moteur thermique

Proposée uniquement sous les traits d’un coupé sport, la Dodge Charger Daytona devait aussi être offerte en version berline à quatre portes en 2026. Les informations actuelles ne permettent pas de savoir si ce sera toujours le cas.

Une motorisation thermique doit aussi faire son retour à bord de la Dodge Charger. Le constructeur avait récemment confirmé l’arrivée du V6 turbocompressé de 3,0 litres, le fameux moteur Hurricane.

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Éphémérides : Mort accidentelle de Mgr Albini Leblanc

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17/05/1957 : Mort accidentelle de Mgr Albini Leblanc, évêque, à l’âge de 63 ans.

Albini Leblanc naît à Bouctouche, au Nouveau-Brunswick, le 1er mai 1894. Après des études à Caraquet et au Grand Séminaire de Halifax, il est ordonné prêtre et devient vicaire à la paroisse de l’Assomption de Moncton (1921). Plus tard, il se rend à Rome où il fait des études en théologie en vue d’obtenir un doctorat. De retour en 1926, il devient vicaire à Moncton. En 1931, il est à la charge de la cure de Leger Corner. Nommé évêque de Hearst, en 1940, il est transféré au diocèse de Gaspé dont il devient évêque en décembre 1945. Mgr Albini Leblanc conservera son poste d’évêque de Gaspé jusqu’à son décès, le 17 mai 1957. Son successeur sera Mgr Paul Bernier.1

1 Bilan du siècle / Université de Sherbrooke / Référence: Paul-François Sylvestre, Les évêques franco-ontariens (1833-1986), Hull, Asticou, 1986, p.110.

LA UNE : Collection Alyre C. Cormier

Éphémérides : Un film choc tourné en 1964, Les grands phoques de la banquise

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05/17/1964 : Sortie du film de Serge Deyglun sur la chasse aux phoques en 1964. Commence alors la grande controverse sur cette chasse pratiquée sur l’archipel…

Les images diffusées le 17 mai 1964 à Radio-Canada sont bouleversantes : on y voit un chasseur dépecer un bébé phoque vivant qui continue de se trémousser alors que le couteau l’ouvre de part en part. Le film, écrit et narré par Serge Deyglun et produit par André Fleury, souleva un tollé à l’époque. Les Grands Phoques de la banquise lance le débat sur la chasse au phoque aux Îles-de-la-Madeleine et à Terre-Neuve. Quelques années plus tard, Gustave Poirier, un chasseur des Îles, aurait reconnu avoir été payé par l’équipe de tournage pour dépecer un blanchon vivant.

Les Grands Phoques de la banquise

 
Depuis la diffusion à Radio-Canada d’images d’une rare cruauté en 1964, la chasse au phoque soulève des passions et des questions. Les images de Brigitte Bardot, en 1977, tenant un petit blanchon dans ses bras ont fait le tour du monde, et les campagnes pour sauver les phoques ont mis à mal toute une industrie et ses travailleurs. Afin d’apaiser l’opinion internationale, le Canada établit des règlements et des quotas stricts, notamment en interdisant la chasse aux blanchons.

Source : Archives numériques de Radio-Canada: Film Les grands phoques de la banquise