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Portraits d’entrepreneurs : Me Maryse Lapierre, notaire

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Fondé en 1993

Maryse Lapierre

Maryse a grandi à Bassin. Ses parents, Lorenzo Lapierre et Laurette Deveau sont également natifs de l’endroit. Lorsqu’elle était enfant, Maryse a pratiqué le violon classique. Malgré son grand intérêt pour la musique et sa demande d’inscription faite en journalisme écrit, c’est en droit que Maryse a fait ses études. C’était son premier choix.

Un article original


Par Véronique St-Onge – Collaboratrice

INSPIRANT PERSONNAGE
« À chaque étape de ma carrière, j’ai eu la chance d’avoir des mentors. Pour chaque chapitre de ma vie professionnelle, quelqu’un est apparu. »

Une période préférée dans l’année?
Maryse aime particulièrement la jonction entre l’été qui s’achève et l’automne : « À la fin de l’été, on a un sentiment d’accomplissement. »

Entreprises chouchou des Îles?

    • « Tout ce qui est coopératif est extrêmement pertinent pour les Îles. On a tendance à l’oublier car c’est très présent depuis longtemps mais ces entreprises s’adaptent avec le temps et ça les rend indispensables. L’idée derrière ce modèle d’entreprise a toujours été d’aider les communautés. Notons particulièrement le Mouvement Desjardins qui est une coopérative bien implantée aux Îles. Ils assurent une pérennité dans l’accompagnement et aussi dans le développement. »

    MARYSE LAPIERRE NOTAIRE 3 PRODUITS ET SERVICES

    1. Conseils
    2. Projets immobiliers
    3. Dossiers corporatifs

    SON ÉQUIPE DE TRAVAIL

    • PROFESSIONNALISME
    • ACCOMPAGNEMENT
    • DISPONIBILITÉ


Après le homard géant de Shediac, voici l’huître de Neguac!

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Une huître géante vient d’apparaître en plein cœur du village de Neguac, dans la Péninsule acadienne.

 

Shediac a son homard, Campbellton a son saumon et Saint-Quentin a sa feuille d’érable. Puis, voici que Neguac a son huître géante.

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L’huître, à une des étapes de sa réalisation PHOTO : GRACIEUSETÉ: MICHEL BOUCHER

Elle a été installée près du centre d’information touristique, donc près de l’église et de la rue qui mène au quai. L’huître va faire la fierté de Neguac partout à travers le monde, comme c’est le cas pour les huîtres Beausoleil, s’enthousiasme le maire Georges Savoie.

Le conseil municipal qui a précédé l’arrivée à la mairie de Georges Savoie, en 2012, avait déjà fait de ce mollusque un symbole important pour le village.

Il a proclamé Neguac comme la capitale de l’huître des provinces atlantiques, rappelle Georges Savoie.

Cette idée d’une huître géante faisait son chemin depuis longtemps.

On voulait en installer une qui soit plus grosse que nature, précise-t-il. Mais ce n’est pas facile à réaliser.

La perle rare

Le maire considère que l’occasion s’est présentée quand la perle rare a été trouvée, c’est-à-dire un professionnel qui soit en mesure de relever le défi.

Il a fallu près de trois mois de travail à Michel Boucher de Caraquet, le propriétaire d’Enseigne Imago, pour compléter l’œuvre.

Elle est faite en aluminium et enveloppée d’un vinyle imprimé, précise Michel Boucher. pieds de haut et 9pieds de large. Il y a de l'eau qui va couler en bas de l'huître et il va aussi y avoir de l'éclairage.","text":"C'était un défi intéressant. Elle mesure 12pieds de haut et 9pieds de large. Il y a de l'eau qui va couler en bas de l'huître et il va aussi y avoir de l'éclairage."}}">C’était un défi intéressant. Elle mesure 12 pieds de haut et 9 pieds de large. Il y a de l’eau qui va couler en bas de l’huître et il va aussi y avoir de l’éclairage.

Selon lui, il pourrait bien s’agir de la plus grosse huître au monde.

LA UNE : Cette huître géante vient d’être installée à Neguac, dans la Péninsule acadienne. PHOTO : GRACIEUSETÉ: MICHEL BOUCHER


Créatures marines envoûtantes

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L’explorateur, photographe sous-marin et biologiste marin Alexander Semenov nous fait voyager dans le monde magique et fascinant des fonds marins.

Un univers « entièrement différent, qui ne ressemble en rien à la vie que nous avons sur terre », explique-t-il, avant de faire un parallèle entre cette vie aquatique et la vie extraterrestre au sens littéral du terme. « Alors que les gens rêvent de formes de vie extraterrestres sur d’autres planètes, il existe un autre univers ici même, plus proche que ce à quoi on s’attend ». Au travers de son travail photographique, il nous offre à voir et à découvrir cet univers que nous n’avons pas l’occasion de côtoyer tous les jours. Ici, on découvre un échantillon d’images d’un projet documentaire en cours pour son projet Aquatilis.

Pour en savoir plus.

Polychaeta-King-Ragworm-Nereis-pelagica-2-1

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Source : Fubiz

La pensée du crabe masqué

«Ronfler, c’est penser tout haut» – Jules Renard

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Éléonore BÉNARD (1937-2021)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 15 octobre 2021, de madame Éléonore Bénard. Elle était âgée de 84 ans et résidente de Fatima, aux Îles-de-la-Madeleine.

Elle était l’épouse de feu monsieur René Pealey, la mère de Brigitte (Guy), Mireille (Jacques), Dorise (Daniel), Stéphane (Francine), Chantal (Michel) et Cédric. Elle avait neuf petits-enfants Marie-Ève, Anne-Renée, Alexandra, Émilie, Joannie, Gabriel, Maëlly, Marie-Michèle et Samyel, et quatre arrière-petits-enfants Malik, Noah, Romy et Loïc. Elle était la soeur de Fernand et Christine, ainsi que d’Augustin, Georgette et Thérèse, décédés. Elle laisse aussi dans le deuil ses beaux-frères, belles-soeurs, neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules le dimanche 17 octobre 2021 de 19h à 22h. Les funérailles de madame Éléonore Bénard seront célébrées le lundi 18 octobre 2021 à 15h à l’église Notre-Dame du Rosaire de Fatima et de là au cimetière de l’endroit.

Lundi le 18, jour des funérailles, le salon ouvrira à midi.

À noter que les rituels funéraires se tiendront dans le respect des consignes et des règles sanitaires en vigueur : port du masque, lavage des mains et distanciation physique.

Toutes marques de sympathie peuvent aussi être témoignées à la famille par voie électronique.

Un lac en miroirs brisés par Erik Johansson

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Le photographe suédois Erik Johansson a encore réalisé une incroyable image surréaliste avec ce lac en miroirs brisés appelée Impact.

Ce maitre de l’illusion et des photos surréalistes a passé des mois pour collecter et mettre en place les 17 mètres carrés de miroirs pour cette image géniale.

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Et pour cette création qui a demandé tant d’heures de travail, le photographe a réalisé une video des coulisses.

https://dailymotion.com/video/x42osn7

 

 

Source : www.erikjohanssonphoto.com

Le phénomène de l’itinérance s’amplifie aux Îles-de-la-Madeleine

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Si le phénomène n’est pas nouveau aux Îles-de-la-Madeleine, l’itinérance transitoire s’est amplifiée au cours de la dernière année, selon le comité qui se penche sur la question. C’est notamment pour sensibiliser les Madelinots à cette réalité qu’aura lieu, vendredi, la Nuit des sans-abri sur l’archipel.
 

L’événement est organisé par différentes organisations locales réunies autour d’une table consacrée à l’itinérance.

On cherchait des moyens, en fait, de sensibiliser la population à l’existence de l’itinérance sur le territoire, explique Nathalie Bourgeois, organisatrice communautaire pour le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) des Îles.

L’événement se tient dès 16 h vendredi à la Place des gens de mer de Cap-aux-Meules. Les citoyens sont invités à apporter leurs instruments de musique afin d’animer les lieux, où des feux seront allumés. Des boissons chaudes et de la soupe seront servies dans le cadre de l’événement, qui se veut convivial. Des personnes ayant affronté l’itinérance prendront notamment la parole dès 18 h afin de partager leur vécu. L’activité se déroule toute la nuit.

La quinzaine de partenaires qui composent ce comité créé au début de 2021 ont ainsi décidé d’organiser une mouture madelinienne de la Nuit des sans-abri, qui se déroule dans plusieurs villes du Québec. Le comité souhaite rappeler que l’itinérance, souvent associée aux grands centres, n’épargne pas l’archipel.

Je dirais que l’itinérance est moins visible sur notre territoire que dans les centres-villes de grandes villes, mais elle est bien présente, mentionne Mme Bourgeois. Elle ajoute que le phénomène se veut surtout transitoire, ce qui signifie que certaines personnes se retrouvent sans domicile fixe durant une période donnée.

Alors qu’une pénurie de logements est constatée aux Îles-de-la-Madeleine, cet enjeu a été encore plus d’actualité au cours des 12 derniers mois.

«On a plus de gens qui se retrouvent dans des situations d’itinérance de façon transitoire.» – Une citation de :Nathalie Bourgeois, organisatrice communautaire au CISSS des Îles

La représentante du CISSS des Îles souligne qu’il demeure difficile de chiffrer le phénomène sur l’archipel, puisque les données sont en constante évolution.

Mobilisation pour trouver des solutions

Alors que les besoins se font grandissants, le comité madelinot qui se consacre à l’itinérance se mobilise afin que soient optimisés les services dispensés en la matière.

Aux Îles, on a beaucoup de services communautaires qui sont hyper adéquats et qui aident beaucoup dans le milieu. Au niveau de l’itinérance spécifiquement, on pense qu’il devrait y avoir davantage de services organisés, soutient Nathalie Bourgeois.

Le comité recueillera d’ailleurs, lors de la Nuit des sans-abri, les idées et les solutions potentielles proposées par la population.

Mme Bourgeois espère que les participants seront nombreux à se réunir en soutien aux personnes vulnérables et qu’ils profiteront de l’occasion pour partager leur perception de l’itinérance sur l’archipel.

Avec les informations d’Élise Thivierge

LA UNE : Si l’itinérance est souvent associée à sa forme chronique, le phénomène se présente également, comme sur l’archipel, de façon transitoire. (Archives) PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS

Nettoyer les fonds marins aux Îles-de-la-Madeleine

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Plusieurs projets sont en cours aux Îles-de-la-Madeleine pour récupérer les engins de pêche perdus en mer.

Notre collaboratrice sur l’archipel, Jannie Duval, s’est intéressée à ce sujet et est des nôtres pour en parler.


  Bon pied, bonne heure! / Les Îles-de-la-Madeleine avec Jannie Duval


Le centre de recherche a développé un prototype d’engin de récupération qui fonctionne à la manière d’un grappin.
PHOTO : Gracieuseté de Merinov

Éphémérides : Hormisdas Langlais prononce une conférence à Québec

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15 octobre 1955 : Hormisdas Langlais prononce une conférence à Québec et rappelle à quel point la contrebande d’alcool a été florissante pour les Îles dans les années 1920 et 1930 grâce aux liens privilégiés qu’ils avaient avec Saint-Pierre et Miquelon.

L’archipel de Saint-Pierre et Miquelon eut un certain rôle lors de la prohibition aux États-Unis puisque du fait de son statut de colonie française, la loi américaine (le Volstead Act) n’y était pas applicable. L’île connut, de 1919 à 1933, une réelle prospérité grâce au trafic d’alcools, de vins français et de whisky, acheminés clandestinement sur les côtes canadiennes et américaines par des goélettes ou des vedettes rapides (rum runners) construites au Canada et montées par des Saint-Pierrais. Ce fut l’époque des bootleggers

stpierre

Les Bootleggers de Saint Pierre

Dans les années 1970, on pouvait encore voir à St Pierre, un hangar bardé des planches de caisses d’alcools, de champagnes français. Les marins de Terre Neuve recevaient les boissons alcoolisées en caisses. Ils les transféraient dans des sacs de jute et récupéraient le bois. En cas d’interception d’un bateau contrebandier par les gardes-côtes américains, il suffisait de jeter les sacs à la mer par le bord du navire opposé à celui vers lequel avançaient les forces de police. Les sacs coulaient instantanément. Lorsque l’équipage de contrôle embarquait, il n’y avait plus trace de la fraude partie vers les grands fonds. La cargaison était perdue, mais cela évitait aux contrevenants d’aller croupir en prison. Le risque d’être ainsi arraisonné faisait partie des frais de l’expédition et justifiait le prix ahurissant que payaient les destinataires. Ceci expliquait aussi la prolifération de boissons contrefaites peut-être moins chères que celles provenant vraiment d’Europe.

 

Photo : Bibliothèque et Archives nationales du Québec / Numéro de référence P560,S2,D1,P1466 

Le partage du sébaste dans l’ombre des bateaux-usines

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Une vaste coalition des flottilles de pêcheurs côtiers et autochtones du golfe Saint-Laurent dénonce le processus de consultation lancé par Pêches et Océans Canada sur le partage des allocations de sébaste.
 

La Coalition sébaste du golfe Saint-Laurent demande ni plus ni moins que la suspension totale du processus.

Le groupe, composé d’associations de pêcheurs côtiers, de nations autochtones et de transformateurs de produits de la mer, estime que le processus est précipité et demande qu’il soit repris sur de nouvelles bases.

Cette consultation s’inscrit dans la foulée de la reprise attendue de la pêche au sébaste dans le golfe. Avant cette relance, le ministère devra établir un partage des allocations de sébaste entre toutes les flottilles ce qui inclut aussi les pêcheurs hauturiers, propriétaires de bateaux-usines.

Un questionnaire

Toutes les flottilles du golfe ont reçu à la mi-septembre cinq questions auxquelles elles devaient répondre dans un délai de six semaines.

L’échéance a été repoussée de deux semaines, mais le processus entier est à revoir, souligne le porte-parole des Capitaines propriétaires de la Gaspésie, Patrice Élément. Ça fait des mois qu’on n’avait pas eu de nouvelles de Pêches et Océans. Ils nous arrivent avec un questionnaire. Ils nous disent : « On ne sort pas [vous consulter]. Vous ne faites que répondre aux questions. On ne vous dira pas ce que les autres ont dit. On va faire une compilation et les résultats des réponses des gens vous seront fournis ».

«On est contre la rigidité du processus. On est contre la vitesse du processus pour laquelle il n’y a aucune justification. On est en contre le manque de transparence du processus.» – Une citation de :Patrice Élément, représentant engins mobiles, Capitaines propriétaires de la Gaspésie

La Coalition souhaite entendre ce que tous ont à dire. Les pêcheurs veulent de véritables rencontres, tenues virtuellement si nécessaire, et étalées sur une période raisonnable.

La pêche au sébaste, qui était il y a peu considérée comme une espèce en voie de disparition, est sous moratoire depuis les années 1990, mais pourrait bien être relancée d’ici 2024.

Avec une biomasse de 4,3 millions de tonnes métriques, le sébaste du golfe, soit celui qui nage le long de la côte ouest de Terre‐Neuve jusqu’à l’embouchure du fleuve Saint‐Laurent, constitue un des plus grands stocks de poissons au monde.

La pêche s’annonce donc comme une des plus prometteuses du golfe au cours des prochaines années.

La capture comme la transformation pourraient générer de nombreux emplois dans les communautés maritimes du Québec et de l’Atlantique.

Allocations et pêcheurs hauturiers

Le partage des allocations est au centre de la relance de la pêche.

La sortie de la Coalition reflète d’ailleurs la crainte des pêcheurs côtiers de voir Ottawa céder au lobby des grandes corporations de pêche hauturière qui voudraient réintroduire les bateaux-usines dans le golfe du Saint-Laurent.

Nous savons que les grandes corporations de pêche hauturière font pression pour limiter l’accès des pêcheurs côtiers à cette pêche , souligne, dans un communiqué, Keith Sullivan, président du syndicat Fish Food and Allied Workers de Terre‐Neuve.

Avant le moratoire, ces bateaux-usines détenaient des quotas qu’ils veulent retrouver avec la reprise de la pêche au sébaste.

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Le partage des allocations reste au coeur de la prochaine relance de la pêche au sébaste. (archives) PHOTO : ISTOCK

Ce qu’on dit, ajoute Patrice Élément, c’est que donner des allocations à ces gens-là, ça veut dire qu’il n’y a aucune retombée économique pour les communautés maritimes du Québec et des provinces de l’Atlantique. 

Tout est automatisé, dit-il, et le poisson sort congelé et déjà prêt à être vendu sur les marchés internationaux. Il n’y a pas de travail pour nos pêcheurs, il n’y a pas de travail pour les employés d’usine. Il n’y a rien pour l’est du Canada là-dedans. 

D’après Patrice Élément, les discussions avec Pêches et Océans pour modifier le processus en cours n’ont pas abouti. Les fonctionnaires, dit-il, nous ont indiqué que la décision revenait au prochain ministre des Pêches qui sera nommé à la fin du mois.

Pêches et Océans répond

Interpellé sur la sortie des pêcheurs côtiers, le ministère assure qu’il prépare le retour à une pêche commerciale au sébaste avec tous les intervenants concernés.

Le ministère dit qu’il prendra tout le temps nécessaire à cet exercice.

Pêches et Océans précise que le processus de consultation lancé en septembre dernier a été conçu à la suite d’une réunion tenue en janvier 2021 où la majorité des intervenants se sont prononcés pour une consultation par écrit.

Le ministère indique avoir tenu compte des remarques énoncées par l’industrie en septembre et que tous les commentaires seront partagés avec les membres du Comité consultatif sur le sébaste.

Le ministère souligne que deux réunions virtuelles seront aussi organisées au début de novembre afin que les intervenants concernés puissent s’exprimer dans un cadre plus ouvert. Ces rencontres doivent se dérouler avant l’échéance pour soumettre les réponses au questionnaire reçu par les pêcheurs.

Les données de la dernière évaluation des stocks de sébaste réalisée en 2021 seront disponibles au début de 2022. La pêche pourrait reprendre d’ici 2024.

LA UNE : La pêche au sébaste demeure expérimentale, mais l’industrie se prépare à sa relance.(archives) PHOTO : RADIO-CANADA

[VIDÉO] Pourquoi on ne mange pas ce qu’on pêche?

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Saviez-vous que près de 80 % des produits de la mer du Québec sont exportés à l’extérieur de la province? Ironiquement, près de 85 % de la consommation des Québécois est comblée par les marchés étrangers.

Partez à la rencontre de ceux qui veulent changer cette tendance.

Pourquoi on ne mange pas ce qu’on pêche?[Carbone] Saviez-vous que près de 80 % des produits de la mer du Québec sont exportés à l’extérieur de la province? Ironiquement, près de 85 % de la consommation des Québécois est comblée par les marchés étrangers. Partez à la rencontre de ceux qui veulent changer cette tendance.

Posted by Radio-Canada Information on Wednesday, October 13, 2021

© CARBONE

Normand GAUDET (1934-2021)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 11 octobre 2021, de monsieur Normand Gaudet. Il était âgé de 87 ans et résident de Cap-aux-Meules, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il était l’époux de feu madame Rachelle Boudreau, le père de Norbert (Carole), Gaston (Docile), Gilles (Madeleine), Fernand (France) et Brigitte. Il avait cinq petits-enfants Jonathan, Jessica, Sébastien, Francis et Émilie, et dix arrière-petits-enfants Arnaud, Hubert, Christophe, Juliette, Bryanna, Tyler, Léopold, Ludovick, Marilou et Zack. Il laisse aussi dans le deuil son frère Raoul et sa soeur Rita, ainsi que ses beaux-frères, belles-soeurs, neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules le mardi 19 octobre 2021 à compter de 10h. Suivront les funérailles à 15h à l’église Saint-Pierre de La Vernière et l’inhumation au cimetière Saint-André de Cap-aux-Meules.

À noter que les rituels funéraires se tiendront dans le respect des consignes et des règles sanitaires en vigueur : port du masque, lavage des mains et distanciation physique.

Toutes marques de sympathie peuvent aussi être témoignées à la famille par voie électronique.


Les dons reçus seront remis à la Fondation Santé de l’Archipel.