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Le phare de l’Île Brion se refait une beauté

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Après l’église de Lavernière c’est maintenant au tour du phare de l’Île Brion de se refaire une beauté.


  Au coeur du monde – Le rythme des îles avec Anne Bourgeois


LA UNE : Le phare de l’île Brion se refait une beauté. PHOTO : Radio-Canada / Line Danis

Éphémérides : Le Manic arrive aux Îles

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30/09/1971 Le Manic, bateau de la CTMA, arrive aux Îles.

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Photo : © Facebook / Les anciennes Îles de la Madeleine

Acquisition du Manic, ce qui constitue un événement clé dans l’histoire de la CTMA : Il s’agit du premier service de traversier (roll on – roll off) entre Les Îles et Souris, à l’Île-du-Prince-Édouard.

Ce navire permet désormais le transport de marchandises, de 45 voitures et d’environ 300 passagers. Ce nouveau service sert alors de tremplin à l’industrie touristique de l’archipel et contribue significativement au développement économique.

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Photo : © Facebook / Les anciennes Îles de la Madeleine
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Le Manic à l’époque où il était en service en Suède. Collection Richard Saindon / journal le soir
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Le Manic aux Iles-de-la-Madeleine. Photo Centre d’archives régional des Îles. / journal le soir
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Le Manic au quai de Rimouski-Est. Carte postale / journal le soir

 

Source CTMA

Des Madelinots sans logement ont profité d’un hébergement d’urgence cet été

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La Municipalité des Îles-de-la-Madeleine a présenté mercredi un bilan positif de l’hébergement d’urgence qu’elle avait mis en place pour les résidents de l’archipel qui se retrouvent sans logement durant la période estivale.

En juillet dernier, la Municipalité et le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) des Îles-de-la-Madeleine ont dû solliciter l’aide de la Croix-Rouge canadienne pour installer un centre d’hébergement d’urgence capable d’accueillir ces travailleurs sans logis.

Le site a été installé au deuxième étage de l’ancien aréna de Havre-aux-Maisons. Les locaux, disponibles entre le 13 juillet et le 15 septembre, ont toujours été occupés par au moins une personne. Sur les cinq chambres à disposition, il y a eu maximum de deux occupées en même temps. Au total, six ménages en ont profité.

Toutes les personnes n’étaient pas toutes là en même temps. Il y a eu du chevauchement. Les gens venaient et partaient quand il avait trouvé autre chose, ça a été bien orchestré de ce côté-là , détaille Danielle Hubert, directrice générale adjointe de la Municipalité des Îles-de-la-Madeleine.

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Voici l’une des cinq unités aménagées au deuxième étape de l’ancien aréna d’Havre-aux-Maisons. (archives) PHOTO : GRACIEUSETÉ DE LA MUNICIPALITÉ DES ÎLES-DE-LA-MADELEINE

Elle rappelle que les occupants qui bénéficiaient de ce service de dernier recours gratuitement devaient être des travailleurs et des résidents permanents des Îles. Ils devaient maintenir une recherche active de logement. Au 15 septembre, date à laquelle la Croix-Rouge démantelait les équipements, tous les occupants avaient retrouvé un logement.

La cohabitation et le respect des règles de vie ont été bien suivis. Il n’y a eu aucun enfant parmi les occupants. On n’a pas eu à gérer des chicanes de cuisine, de douche, ça a vraiment bien été  commente Jasmine Martineau, présidente-directrice générale du Centre intégré de santé et de services sociaux. Elle rappelle que ce n’est pas une situation facile de se retrouver sans logement durant quelques semaines, voire quelques mois.

Un seul défi important à gérer

La question de la surveillance du site a été un défi majeur en raison du manque d’agents de sécurité disponibles sur le territoire. Un seul agent a pu être embauché pour assurer une présence dans l’hébergement, entre 16 heures et minuit tous les jours. Pour assurer les autres quarts de travail, Danielle Hubert tient à souligner l’appui considérable des organismes partenaires qui se sont relayés pour assurer la surveillance du site.

Le coût de l’initiative est de 65 000 $, assumé par le fonds municipal. Une demande de subventions a été faite auprès du ministère des Affaires municipales qui offre un programme d’aide d’urgence des ménages sans logis et aux municipalités connaissant une pénurie de logements.

Un comité permanent sur le logement ainsi qu’un comité sur l’itinérance ont été mis en place pour réfléchir à une solution sur le long terme. La municipalité a également investi 100 000 $ pour inciter les propriétaires à signer des baux à l’année.

Pour la saison prochaine, toutes les options restent encore sur la table précise Danielle Hubert.

Un texte de Perrine Bullant

LA UNE : Les locataires, expulsés de leur appartement, font face au contexte de pénurie de logements aux Îles. PHOTO : RADIO-CANADA

 

Bienvenue aux Îles!

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Entendez-vous ?

Le son des vagues qui se fracassent sur les falaises de grès rouges.
 

 
Le sentez-vous ?

L’odeur de la pêche depuis des siècles et des siècles.

Le voyez-vous ?

L’île d’Est-du-Québec, une ville, une famille…

Les Îles !

 

© 2021 Jérémy Renaud

Jean-Yves RICHARD (1957-2021)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 28 septembre 2021, de monsieur Jean-Yves Richard. Il était âgé de 64 ans et résident de Havre-aux-Maisons, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il était le fils de feu monsieur Lorenzo Richard et de feu madame Maria Arseneau, le père de Jean-Philippe (Karine) et le grand-père de Marc-Edouard. Il était le frère de Rachelle (Jean-Pierre), Annette (Léo), feu Léon, Rosaire (Nathalie), Monique (Dany), Elaine (Christian), Danielle et Lyne. Il laisse aussi dans le deuil les enfants de Karine, Alexis et Elliot, ainsi que ses neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules le samedi 2 octobre 2021 à compter de 13h. Suivront les funérailles à 16h à l’église Sainte-Madeleine de Havre-aux-Maisons et l’inhumation au cimetière de l’endroit ultérieurement.

À noter que les rituels funéraires se tiendront dans le respect des consignes et des règles sanitaires en vigueur : port du masque, lavage des mains et distanciation physique.

Toutes marques de sympathie peuvent aussi être témoignées à la famille par voie électronique.


Les dons reçus seront versés à la Fondation Santé de l’Archipel pour le Fonds Francine Daigle.

Ceviche de morue

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Ingrédients :

  • 300 Grammes longe de morue coupé en dés de 1 cm
  • Jus de 4 limes
  • 1 c. à soupe du Miel (Îles Miel en Mer)
  • 1 c. à soupe de câpres de marguerite
  • ½ piment rouge en brunoise
  • ½ jalapeno en brunoise
  • 1 avocat en brunoise
  • 1 pamplemousse en suprême
  • ¼ tasse de coriandre fraîche hachée

Préparation : Bien mélanger le tout et laisser reposer 1 heure au frigo avant de servir.

Un envoi d’Élaine Richard dans le cadre du Défi Boustifaille

[VIDÉO] Lysanne Richard et Yves Milord, bientôt dans le Livre Guinness

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Le 16 septembre est une journée dont se souviendront longtemps les athlètes Lysanne Richard et Yves Milord, qui ont plongé en synchronisation du haut de montgolfières, établissant un nouveau record.

Exécuté à une hauteur de 25 mètres au-dessus de la rivière Richelieu, le plongeon devait se faire en août mais se voyait continuellement reporté en raison du climat, qui ne réunissait pas les conditions requises. La faisabilité de l’exploit s’est constatée la journée même, à l’International de Montgolfières de Saint-Jean-sur-Richelieu.

Le plongeon en différé

NOUVEAU RECORD MONDIAL DE PLONGEONS EN HAUT VOLRECORD MONDIAL ???

Ce matin, 16 septembre 2021, les athlètes Lysanne Richard et Yves Milord ont effectué avec brio deux plongeons de haut vol de façon synchronisée d’une hauteur de 25 mètres à partir de deux montgolfières en plein vol.

Nous sommes extrêmement fiers d’avoir participé à leur parcours athlétique et contribué à la réalisation de ce défi.

Merci à notre balloonmeister Sylvain Tremblay ainsi qu’à nos deux pilotes Richard Vaillancourt et son fils Jacob RVaillancourt d’avoir contribué à la réalisation de ce défi. Grâce à leur expertise, ils ont su immobiliser leurs ballons pour assurer la bonne exécution des plongeons.

Merci également à notre partenaire Batteries Expert d’avoir assuré la sécurité nautique.

?: JACKALOPE

?: Apneacity – Freediving School

Posted by International de montgolfières de Saint-Jean-sur-Richelieu on Thursday, September 16, 2021

 

Étant donné que l’événement n’était pas sur invitation en raison de l’imprévisibilité des conditions, une vidéo qu’il est possible de visionner sur les réseaux sociaux a été tournée par JACKALOPE drone Optique Vidéo.

Sur un nuage de bonheur

« On est vraiment contents! En plus, il y avait un enjeu de temps parce que Yves part aujourd’hui aux Îles-de-la-Madeleine », a confié Mme Richard au journal, au cours d’une entrevue réalisée au lendemain de l’exploit. « Le jour même, mon cadran était programmé pour 3 h 30. On était là très, très tôt parce que, théoriquement, il y a moins de vent avant le lever du soleil. Mais cette fois-ci, c’est l’absence de vent qui posait problème. On ne savait pas où décoller, ni de quel côté de la rivière il fallait être. »

Après plusieurs déplacements, évaluations et efforts, l’équipe a fait la tentative qui s’est avérée la bonne. « Rendus au-dessus de la rivière, on a rencontré des difficultés que l’on a plus aisément gérées. Mais j’avoue être restée sur le ballon plus longtemps que je ne l’aurais cru. Puis, ça s’est décidé en quelques secondes. On a su que l’on pouvait plonger seulement une dizaine de secondes avant de le faire! », relate la plongeuse.

« (…) lorsqu’on persévère, les choses finissent par se faire. » – Lysanne Richard

Une patience récompensée

« Depuis la fois d’avant, il y avait un certain doute qui planait. Tout le monde s’inquiétait un peu, non pas quant à l’exécution du plongeon sur le plan technique, mais plutôt de savoir si on allait finalement pouvoir le faire un jour, ce plongeon! »

Questionnée à savoir si elle avait ressenti la pression des gens du public et de son entourage, la célèbre Lysanne répond que « Non. C’était l’fun, je l’ai vécu très positivement. Les reports et les délais ont simplement fait embarquer tout le monde dans l’aventure. Ça a été une belle leçon de vie qui nous montre que lorsqu’on persévère, les choses finissent par se faire. C’est en pleine harmonie avec ma façon de vivre et ma philosophie. J’ai développé plus d’attachement au projet que si nous avions réussi du premier coup. J’ai réalisé ma chance d’être si bien entourée, car à tout moment, il peut arriver que l’un des intervenants impliqués se décourage et jette l’éponge, mais ce n’est pas arrivé et c’est merveilleux! »

Pour l’illustre Yves Milord, dont les exploits en plongeon et en acrobatie épatent le public d’ici et de partout ailleurs, l’atteinte de l’objectif « est un soulagement total, car c’était extrêmement compliqué. Nous sommes habitués à plonger du haut de points fixes, mais avec une montgolfière, c’est complètement différent. Ça ne relevait pas que de nous, mais aussi du pilotage des ballons et des conditions. Il fallait que les deux ballons soient à la bonne hauteur, qu’ils volent dans la même direction et survolent la surface prédéterminée, qu’il y ait juste assez mais pas trop de vent, que le son des brûleurs ne nous empêche pas de nous entendre. »

« Réunir toutes ces conditions représentait tout un défi. J’avais confiance que ça fonctionnerait, malgré les nombreux reports. » Il explique que lors de l’essai du 16 août, des imprévus hors de leur contrôle se sont produits à tous les niveaux. « Les drônes et les caméras ont manqué de batterie, les montgolfières n’avaient plus de propane, ça n’allait vraiment pas. » Étant donné qu’on ne peut contenir qu’un certain volume de propane dans une montgolfière, si l’on attend en raison des vents qui ne baissent pas, on perd du propane et les batteries des appareils se déchargent. C’est ce avec quoi l’équipe a dû composer. « Mais je crois que ce qui a fonctionné cette fois, c’est que les intervenants de tous les volets ont pu s’ajuster en fonction de ce qui avait été constaté afin de mettre toutes les chances de notre côté, et là, ça a marché. »

Bientôt dans le Livre Guinness

Une demande sera présentée afin d’inscrire officiellement le record au Livre Guinness, nous apprend Yves. « Il y avait une équipe sur place qui était expressément chargée de prendre et de valider toutes les données à envoyer au Livre Guinness des records. » Le duo de choc promet déjà de réaliser de nouveaux exploits. « C’est sûr que l’on va avoir de nouveaux projets fous sur lesquels embarquer. Moi, je serais prêt à recommencer demain! », lance l’acrobate au bout du fil, à partir du traversier qui l’amène vers sa maison aux Îles-de-la-Madeleine pour une escapade bien méritée.

 

PAR Chloé-Anne Touma, Initiative de journalisme local
LA UNE : Yves Milord et Lysanne Richard établissent un record mondial. courtoisie

Champignons farcis au homard

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Ingrédients et préparation :

Prendre les queues des champignons et les hacher finement. Mélanger avec du homard des Îles et du fromage de chèvre «l’Oeil de bouc» des Biquettes à l’air. Mettre le mélange dans la tête des champignons et parsemer du fromage «l’Art Senau» de la Fromagerie du Pied-De-Vent. Mettre au four jusqu’à ce que le tout soit gratiné, environ 15 minutes.

Un envoi de Luc Lapierre dans le cadre du Défi Boustifaille

En marche vers le 7 novembre

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Il y a 73 municipalités dans la Gaspésie touristique, 44 municipalités en Gaspésie et aux Îles-de-la-Madeleine et 29 en Matanie et dans la Matapédia. De ce nombre, la moitié environ sera en élection le 7 novembre prochain.

Depuis le 17 septembre dernier, date d’ouverture des mises en candidatures, 438 conseillers et 73 maires sont en mode électoral en Gaspésie, aux Îles, ainsi qu’en Matanie et dans la Matapédia.

Le processus touche aussi les MRC de la Matapédia, de la Haute-Gaspésie et du Rocher-Percé où les préfets sont élus au suffrage universel.

La période de mise en candidature se termine vendredi, 16 h 30.

Élus sans opposition

Pour plusieurs élus, la démarche démocratique prendra fin à ce moment-là. En 2017, au Québec, 48,8 % des maires et 57,5 % des conseillers ont été élus sans opposition.

En Gaspésie et aux Îles, en 2017, c’est 40 % des conseillers et maires qui ont pu ainsi poursuivre leur travail puisque personne ne n’est présenté contre eux. Parmi ces élus sans opposition, 40 % l’ont été au poste de conseillère et 20 % à celui de mairesse.

Jusqu’à maintenant en début de semaine, plus d’une trentaine de maires et mairesses déjà en poste dans des municipalités de la Gaspésie et des Îles ainsi que dans les MRC de La Matapédia et de la Matanie avaient déposé leurs bulletins de candidatures ou fait part publiquement de leur intention de briguer à nouveau les suffrages.

Des luttes s’annoncent déjà dans les municipalités de Matane, Cap-Chat, Percé, Chandler, Bonaventure ainsi que pour les postes de préfet en Haute-Gaspésie et dans la MRC du Rocher-Percé.

Les élections seront aussi à surveiller dans des villages comme Grosses-Roches, Nouvelle, Shigawake ou Paspébiac où de nombreux candidats se disputent aussi les postes de conseillers.

Femmes et politique municipale

Aux dernières élections, au Québec, les candidatures féminines représentaient 33,5 % de l’ensemble des postulants. Au final, 205 femmes ont été élues à un poste de maire et 2358 à un poste de conseiller.

Près de 35 % des conseils municipaux avaient atteint une représentation féminine entre 40 % et 60 % des élus.

Au 28 septembre, la proportion de femmes à avoir déposé leur bulletin de vote en Gaspésie et aux Îles est de 34,5 % ce qui est légèrement plus bas que la moyenne provinciale de 35 %.

Dans l’ensemble du Québec, au début de la semaine, moins de 25 % des candidates postulaient pour un poste de mairesse.

Si à la fin du dépôt des candidatures, la situation demeure inchangée dans les municipalités de Saint-Alphonse et de Saint-Elzéar, les électeurs auront le choix entre deux candidates à la mairie. C’est pour le moment, les deux seuls endroits du territoire où une lutte entre femmes se dessine.

Jeunes et relève

En 2017, plusieurs élus sans opposition, soit 35,5 %, étaient de nouveaux venus, sans expérience sur la scène politique municipale. C’était presque que la même proportion que ceux qui se représentaient avec de l’expérience soit 41,8 %.

Aux dernières élections municipales, l’âge médian des candidats aux postes de conseiller était de 54 ans et de 60 ans aux postes de maire.

En Gaspésie et aux Îles, l’âge moyen des candidats conseillers était de près de 54 ans et celui des candidats à la mairie de près de 57 ans. Parmi tous les candidats de la dernière élection municipale, plus de 52 % étaient âgés de 55 ans et plus.

Les données colligées par le ministère des Affaires municipales démontrent que les cohortes plus âgées sont d’ailleurs surreprésentées au sein des conseils municipaux tant au poste de conseiller qu’à celui de maire.

Le nombre de jeunes au sein d’un conseil municipal est un élément important pour assurer la relève dans bon nombre de petites municipalités.

Seulement 8,7 % des candidats avaient moins de 35 ans aux dernières élections municipales.

Rémunération

Un des éléments qui freinent l’engagement des plus jeunes, outre leurs intérêts ou la conciliation travail-famille-politique, demeure la rémunération. Si tu veux avoir un plus jeune, ça prend un salaire décent pour qu’il reste , observe la mairesse de Murdochville, Délisca Roussy.

Selon une enquête de la Fédération québécoise des municipalités (FQM), les conseillers des municipalités de la Gaspésie et des Îles gagnent en moyenne environ 4000 $ par année et les maires un peu moins de 15 000 $.

Selon la FQM, en 2017, moins de 20 % des maires et mairesses à la tête des municipalités de moins de 5000 habitants gagnaient plus de 25 000 $.

À la tête d’une municipalité de 700 habitants, Délisca Roussy, observe qu’elle a les mêmes responsabilités qu’un maire d’une plus grande ville et moins de personnel. Les défis sont énormes, dit-elle.

«Je suis à temps plein, mais le salaire ne va pas avec. » – Une citation de :Délisca Roussy, mairesse de Murdochville

Selon l’enquête réalisée à l’époque par la FQM, le tiers des élus interrogés étaient insatisfaits de leur rémunération qui ne correspond plus à leur charge de travail ni à leurs responsabilités.

Ceux qui se considéraient comme satisfaits pouvaient compléter leur rémunération par une rente ou une bonne situation financière. C’est le cas de Mme Roussy. Elle souligne que ce n’est pas tout le monde qui aura les moyens financiers de lui succéder.

Pour les très petites municipalités, la question du salaire est souvent assujettie à une situation financière précaire ou limitée. Les petites municipalités ne peuvent pas payer les maires à la hauteur du travail qui est exécuté , juge Mme Roussy.

Le salaire peut donc être considéré comme un critère de sélection indirect au recrutement de la relève et de jeunes au sein d’un conseil municipal.

Délisca Roussy estime que la situation ne changera pas tant qu’il n’y aura pas un salaire de base pour les maires.

Participation au scrutin

Si recruter de nouveaux candidats est un défi, susciter la participation des électeurs en est un autre. Seulement, 44,8 % des électeurs ont voté en 2017. Ce taux était de 47,2 % en 2013 et de 45 % en 2009 et en 2005.

Certaines municipalités offrent aussi le vote par la poste, en Gaspésie et au Bas-Saint-Laurent, c’est le cas, entre autres, à Grande-Vallée, Mont-Saint-Pierre, Port-Daniel-Gascons, New Richmond ou Métis-sur-Mer.

Outre le 7 novembre, il sera aussi possible de voter par anticipation le dimanche 31 octobre 2021, de 9 h 30 à 20 h.

Avec la collaboration d’Élise Thivierge

LA UNE : Il ne reste que quelques jours aux candidats potentiels pour se présenter au scrutin municipal PHOTO : ISTOCK

Alphé TURBIDE (1929-2021)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 27 septembre 2021, de monsieur Alphé Turbide. Il était âgé de 92 ans et résident de Havre-aux-Maisons, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il était l’époux de madame Fraincis Bertin, le père de Yves (Marjolaine), Émile (Monique), Monique (Jean-Charles), Ginette (Michel) et Estelle. Il avait quatre petits-enfants Philippe, Simon, Louis-Michel (Laurence) et Vincent (Cindy), et cinq arrière-petits-enfants Élodie, Loïc, Roseline, Julia et Albert. Il était le frère d’Aldège (Jeannette), feu Évrade (Jeannine) et feu Martha (feu Jean-Paul). Il laisse aussi dans le deuil ses neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules le jeudi 30 septembre 2021 à compter de midi. Suivront les funérailles à 16h à l’église Sainte-Madeleine de Havre-aux-Maisons et l’inhumation au cimetière de l’endroit.

À noter que les rituels funéraires se tiendront dans le respect des consignes et des règles sanitaires en vigueur : port du masque, lavage des mains et distanciation physique.

Toutes marques de sympathie peuvent aussi être témoignées à la famille par voie électronique.

Les dons reçus seront versés au
CHSLD Plaisance des Îles
596 chemin Principal
Cap-aux-Meules, (Qc) G4T 1G1
Téléphone : (418) 986-4422

Un test de dépistage obligatoire pour tous les voyageurs entrant à l’Î-P-É

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Toutes les personnes qui entrent à l’Île-du-Prince-Édouard devront passer un test de COVID-19, peu importe leur statut vaccinal, à compter du 30 septembre. La santé publique affirme vouloir réagir à la menace du variant Delta, bien présent dans plusieurs provinces autour de l’île.

Samedi, la Dre Heather Morrison déconseillait aux résidents de la province de sortir de l’île pour des raisons essentielles. Aujourd’hui, la province resserre le contrôle des tests à ses points d’entrées.

 «Nous voulons limiter la transmission de COVID-19 et identifier les cas dès que possible» , affirme la médecin hygiéniste en chef de l’Île-du-Prince-Édouard, la Dre Heather Morrison.

Ainsi, une personne âgée de 12 ans et plus qui entre à l’Île-du-Prince-Édouard devra obligatoirement passer un test de COVID-19 à son arrivée. De plus, il lui sera fortement recommandé de passer un autre test entre la quatrième et la huitième journée après son arrivée.

Pour un enfant de 11 ans et moins, il lui faudra subir trois tests de dépistage. Un à son arrivée au point d’entrée et deux autres fois, soit à la quatrième et à la huitième journée.

Ces mesures devront être respectées par tous les visiteurs, peu importe leur statut vaccinal ou l’endroit d’où ils viennent. Les résidents de l’Île-du-Prince-Édouard devront aussi suivre ces nouvelles consignes à leur retour. Les autorités soulignent que les voyageurs doivent s’attendre à des délais aux points d’entrées.

Enfin, les voyageurs qui ont reçu une seule dose du vaccin contre la COVID-19 devront s’isoler.

Le taux de vaccination augmente

La province enregistre deux nouveaux cas de COVID-19 aujourd’hui, pour un total de neuf cas actifs.

La médecin hygiéniste en chef, Dre Heather Morrison, est encouragée par le taux de vaccination des insulaires, mais affirme qu’il ne faut pas baisser les bras. Aujourd’hui, 96,3% des résidents ont reçu 1 dose du vaccin et 86,2% sont complètement vaccinés.

En attente du passeport vaccinal

La Dre Heather Morrison affirme que le gouvernement travaille à l’élaboration de son passeport vaccinal en consultant différents groupes et associations. Plus de détails sont attendus cette semaine concernant l’entrée en vigueur du passeport à l’Île-du-Prince-Édouard le 5 octobre.

LA UNE : Des mesures plus strictes aux points d’entrées sont mises en place pour limiter la propagation du variant Delta. PHOTO : BRIAN MCINNIS/CBC

Magazine LES ÎLES – Automne 2021

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Notre approche cet automne sera en grande partie photographique. En clair, beaucoup d’images et peu de textes. Les pages qui suivent, intitulées JE. TU. ÎLES., porteront un regard sur la vie sur nos Îles par le biais de clichés reçus de la part de nos lecteurs et lectrices ainsi que de nos internautes du portail ilesdelamadeleine.com. On y retrouvera, bien entendu, les paysages emblématiques de l’archipel, photographiés en toute saison.

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Cliquez sur l’image pour télécharger (11 Mo)

Les Îles sont reconnues pour avoir une météo particulièrement agréable l’automne, surtout au mois de septembre. Dans ce contexte, pas étonnant que l’automne s’annonce foisonnant dans l’archipel. Et votre magazine n’est pas en reste, puisqu’il vous propose à nouveau une foule de sujets des plus variés.

CTMA nous propose de démystifier le nouveau traversier Madeleine II à partir d’une série de questions. Attention FragÎles nous explique sa démarche qui vise l’engagement de la collectivité pour prendre soin de son environnement ainsi que le maintien d’écosystèmes sains et résilients. La Municipalité des Îles-de-la-Madeleine nous présente un reportage sur les projets de lutte à l’érosion.

La caisse Desjardins des Ramées nous explique comment faire un budget à partir de trucs et conseils pratiques. La Résidence Plaisance des Îles nous relate un compte-rendu des derniers mois. Et pour terminer, la Chambre de commerce des Îles opère une restructuration importante de sa petite, mais dynamique, équipe de travail.

L’équipe du Magazine les Îles et tous ses collaborateurs s’unissent pour vous souhaiter un merveilleux automne ainsi qu’une très bonne lecture!

Photo couverture : Harry Milad

 


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