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Les ventes de véhicules électriques sont en baisse de 45 % au Canada pour le mois de mars

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Après des records de ventes l’automne dernier, le marché des véhicules électriques est en forte baisse depuis deux mois. Il s’est vendu 12 347 véhicules zéro émission (VZÉ) au mois de mars 2025, ce qui représente une baisse de 44,9 % par rapport au mois de mars 2024, alors que 22 390 véhicules électriques et hybrides rechargeables avaient été vendus au Canada.

Au total, 189 259 véhicules neufs ont été vendus au pays, ce qui représente une hausse de 9,4 % par rapport à la même période l’an dernier. La hausse est principalement attribuable aux ventes de camionnettes légères neuves, ce qui comprend les VUS, qui ont progressé de 13,5 % par rapport à mars 2024.

Un second mois en baisse

Il s’agit d’un second mois à la baisse du côté des véhicules électriques puisque Statistique Canada avait noté une baisse importante des ventes en février, soit une chute de 41,3 % par rapport à février 2024. Cette fois, les ventes globales de véhicules affichaient un recul de 8,1 % par rapport à la même période l’an dernier ; cette baisse avait été encore plus marquée au Québec avec un écart négatif de 22,5 %.

Il faut se souvenir que plusieurs acheteurs ont fait le plein de véhicules électriques l’an dernier, l’effet avait été encore plus marqué à l’automne avec l’annonce de la fin et de la réduction des programmes d’incitatifs financiers.

Ces annonces ont fait exploser les ventes durant des mois, ce qui, bien entendu, mettait la table à une réduction des ventes pour le début d’année. Il faudra quelques mois avant que l’effet ne s’atténue, mais la réduction des rabais provinciaux — et leur abandon à terme — continuera certainement d’affecter le niveau des ventes. La suspension temporaire du programme provincial et la fin du programme fédéral iVZÉ (incitatifs pour véhicules zéro émission) le 13 janvier dernier auront également eu un effet important sur les ventes.

Incertitude et contrecoup pour Tesla

On ne peut également passer sous silence toute l’incertitude liée aux tarifs imposés par le président Donald Trump ; beaucoup d’acheteurs ont décidé de reporter leur achat important le temps de bien évaluer tous les impacts.

Tesla, le leader des ventes, a été particulièrement touché par la baisse, alors que plusieurs acheteurs se sont tournés vers d’autres marques afin de démontrer leur mécontentement face à l’implication politique de M. Musk. L’arrivée du Tesla Model Y de nouvelle génération a également été tardive, alors que le Tesla Cybertruck se révèle être un échec commercial retentissant en ce moment.

À l’opposé, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) annonçait dans un récent rapport que les ventes de voitures électriques et hybrides rechargeables devraient représenter un quart des ventes de voitures dans le monde en 2025. Plus de 17 millions de véhicules électriques et hybrides rechargeables ont été vendus dans le monde en 2024, ce qui représente une part de marché mondial au-dessus de 20 % pour la première fois.

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Décès de l’ex-juge Jean-Paul Decoste à l’âge de 81 ans

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Le juge à la retraite Jean-Paul Decoste, originaire des Îles-de-la-Madeleine, s’est éteint dimanche dernier à Rimouski, à l’âge de 81 ans.

Sa carrière, qui s’est étendue sur près d’un demi-siècle, a laissé une empreinte durable dans le paysage judiciaire de l’Est-du-Québec. Admis au barreau en 1971, Me Decoste débute sa pratique comme avocat aux Îles-de-la-Madeleine avant de s’installer à Gaspé, où il occupe le poste de procureur de la Couronne à partir du début des années 1980.

En 1990, il est nommé juge à la Cour du Québec, fonction qu’il exercera pendant près de trois décennies. L’honorable Jean-Paul Decoste rend son dernier jugement en juillet 2019, marquant la fin d’un parcours professionnel dédié à la justice et au service public.

Reconnu pour son intégrité, sa rigueur et son sens du devoir, le juge Decoste a exercé dans plusieurs régions du Québec, contribuant à faire rayonner la magistrature bien au-delà de son archipel natal.

Dominique Leroux reçoit le Prix du CALQ – Artiste de l’année aux Îles-de-la-Madeleine

Le Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ) est heureux de décerner le Prix du CALQ – Artiste de l’année aux Îles-de-la-Madeleine à l’artiste multidisciplinaire Dominique Leroux. Ce prix, assorti d’un montant de 10 000 $, lui a été remis par Honorine Youmbissi, directrice du soutien aux artistes, aux communautés et à l’action régionale au CALQ, à l’occasion d’une cérémonie organisée par Arrimage, Corporation culturelle des Îles-de-la-Madeleine, à la salle aux Pas-Perdus à Cap-aux-Meules.

« Par son professionnalisme, sa vision et l’excellence de son travail artistique, Dominique Leroux a un impact majeur sur le développement des publics et le dynamisme culturel des Îles-de-la-Madeleine. Elle nourrit l’imaginaire des tout-petits avec ses univers fascinants et poétiques. Rassembleuse, elle collabore avec des artistes de diverses disciplines pour créer des œuvres dont elle maîtrise finement les langages variés », ont mentionné les membres du jury réunis par le CALQ.

Biographie de Dominique Leroux

Dominique Leroux est une artiste visuelle, marionnettiste, joueuse d’ombres et créatrice de spectacles. Sa pratique artistique combine la performance, la vidéo en direct, le théâtre de matières et l’illustration. Dans chacun de ses projets, elle est habitée par un désir profond de rencontre avec l’autre et de partage poétique et humain, particulièrement avec les tout-petits.

Résidente des Îles-de-la-Madeleine, elle y a fondé en 2012 La Petite Théâtrerie, lieu intime dédié à l’art de la marionnette. Œuvrant dans le milieu théâtral depuis la fin de sa formation en scénographie au Collège Lionel-Groulx à Sainte-Thérèse (1998), elle dirige ses propres créations et collabore comme conceptrice, artisane et marionnettiste avec de nombreuses compagnies comme le Théâtre Sans Fil, L’Illusion, Le Théâtre de la Petite Marée, le Cirque du Soleil et le Théâtre Tout-À-Trac. En collaboration avec Marie-Andrée Arsenault, elle a publié le livre Des couleurs sur la grave (La Morue verte) qui a valu au duo le prix Harry Black de l’album jeunesse en 2020. En 2024, les collaboratrices étaient finalistes au Prix littéraire du gouverneur général pour leur livre Le Fil d’Alphée.

Dominique Leroux est également directrice artistique de Petits bonheurs Îles-de-la-Madeleine, un évènement pour les tout-petits, qui en sera à sa 5édition en 2025.

 

LA UNE : Dominique Leroux reçoit le Prix du CALQ – Artiste de l’année aux Îles-de-la-Madeleine. crédit photo : Alphiya Joncas (Groupe CNW/Conseil des arts et des lettres du Québec)

Nouvelles fournies par Conseil des arts et des lettres du Québec 

 

Toyota présente le bZ Woodland 2026, une copie du Subaru Trailseeker

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À l’occasion du Salon de l’auto de New York 2025, Subaru avait présenté la version rafraîchie de son Solterra ainsi qu’un nouveau modèle dérivé appelé Trailseeker. Depuis, Toyota a dévoilé à son tour la version rafraîchie de son bZ4X, renommé simplement bZ. Alors qu’hier, Toyota nous dévoilait le C-HR 2026, voilà qu’aujourd’hui le constructeur présente une autre nouveauté : le bZ Woodland 2026.

Copié-collé

Lorsque nous avons reçu l’information concernant le Toyota bZ Woodland 2026, nous y avons tout de suite vu le Subaru Trailseeker 2026. La ressemblance est telle que nous aurions pu pratiquement faire un copié-collé de notre actualité réalisée sur le Subaru et remplacer le nom par celui de Toyota. Visuellement, le bZ Woodland se démarque du Trailseeker par un choix de roues différent, des pare-chocs avant et arrière uniques ainsi que des phares offrant une présentation qui se démarque du Subaru. Pour le reste, c’est la même chose. Autant les lignes de profil que pour la portion supérieure qui inclut le hayon et les feux, nous sommes à la même place entre les deux modèles.

Du côté de l’habitacle, on y retrouve bien sûr l’emblème du constructeur sur le centre du volant pour aider à différencier, et le choix de couleur de certains appliqués de plastique semble différent. Comme le bZ Woodland est dérivé directement du bZ, il partage donc la même planche de bord rafraîchie pour 2026 ainsi que la console réaménagée comprenant deux chargeurs par induction bien en évidence. L’écran du système d’infodivertissement de 14 pouces est aussi repris.

Là où le bZ Woodland se démarque du bZ, c’est au niveau des dégagements pour les passagers arrière. Toutefois, les données exactes n’ont pas encore été dévoilées. En revanche, Toyota a été en mesure d’avancer le nombre exact de litres de chargement derrière la deuxième rangée, On parle ici de 850 litres. Cela représente 66 litres de plus que son homologue duquel il est dérivé. Cela est attribuable aux dimensions extérieures supérieures. Le bZ Woodland est plus long de 140 millimètres et plus haut de 20 millimètres, par comparaison au bZ 2026.

De meilleures capacités

Toyota annonce également des performances accrues pour le bZ Woodland. Il bénéficie d’un système de caméra avec vue panoramique optimisé pour le tout-terrain et une capacité de remorquage de 1 588 kilos (3 500 livres). De plus, le rouage intégral comprend le X-MODE avec contrôle de l’adhérence. Lorsqu’il est activé et utilisé à basse vitesse, ce système peut moduler la puissance d’entraînement des moteurs électriques pour augmenter les capacités de franchissement en situation hors route ou simplement traverser l’imposant banc de neige laissé devant l’entrée l’hiver.

Le bZ Woodland est également plus puissant . Le bZ 2026 à rouage intégral développe 338 chevaux, tandis que le Woodland en propose 375, avec un rouage intégral de série. Cependant, ce gain de puissance, de capacité et de dimension n’est pas sans conséquence puisque l’autonomie est légèrement inférieure. Toyota annonce une autonomie estimée à 418 km dans des conditions optimales. La batterie du bZ Woodland est aussi légèrement plus petite (74,7 kWh) que celle du bZ (77 kWh), ce qui contribue à cette baisse. Il est à noter que le bZ Woodland sera équipé du port de recharge NACS et pourra passer de 10 à 80 % de charge en 30 minutes sur une borne rapide.

Toyota prévoit introduire sur le marché canadien le bZ Woodland 2026 en début d’année 2026. En ce qui concerne la gamme de prix, telle est la chanson habituelle, ces derniers seront connus plus près de son arrivée en concession.

Plus de détails :

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Le titre du prochain film de Mario Bros dévoilé par accident

Qui n’a pas hâte au prochain film de la saga Mario Bros?

En 2023, le titre «The Super Mario Bros. Movie» a fait un tabac au cinéma, ayant cumulé plus de 1,3 milliard de dollars (US) au Box office. Cette histoire mettait en action les personnages préférés des amateurs de l’univers de Mario Bros, dont Mario lui-même, Luigi, Peach, Donkey Kong et Bowser, créant ainsi une réussite totale.

Rares sont les adaptations de jeux vidéos au cinéma qui connaissent du succès, certes, mais Nintendo peut dire mission accomplie ici.

D’ailleurs, la fin du premier volet laissait présager une suite, et le tout a été confirmé plus officiellement en mars 2024, alors que Michael Jelenic et Aaron Horvath seront de retour à leur poste. Ce projet devrait notamment voir le jour en avril 2026, selon ce qu’on a appris au préalable.

Une information vient d’ailleurs de fuiter, quant à cette mystérieuse suite, grâce à une bourde de NBC Universal. Dans les faits, ceux-ci ont accidentellement divulgué le titre du prochain film de Mario Bros dans un communiqué officiel.

Le film en question se nommerait: «Super Mario World».

Ceci fait donc une référence au jeu vidéo légendaire de Mario Bros qui porte déjà ce nom, soulignons-le. Le document en question a par la suite été modifié, via une mise à jour, ne laissant aucune trace du film en question.

Avec le deuxième épisode de cette série, il faudra aussi s’attendre à l’arrivée tant attendue de Yoshi, un autre personnage marquant de cet univers, faisant un autre clin d’œil au jeu vidéo original.

Attendez-vous également au retour de plusieurs noms connus pour interpréter ces fameux personnages, dont Chris Pratt (Mario) et Jack Black (Bowser), notamment.

Nintendo a aussi annoncé l’arrivée du film «The Legend of Zelda», prévu pour 2027.

L’avenir est excitant pour les fidèles supporters de Nintendo, compte tenu des projets de renommée qui sont au programme!

Un «gros choc» pour la gagnante de Star Académie

Comment se porte Mia Tinayre depuis sa victoire à Star Académie, consacrée le 6 avril dernier?

«La poussière est redescendue! Ça va super bien! J’ai recommencé l’école petit à petit et je revois mes amis», nous a raconté la chanteuse de 16 ans, lorsque nous l’avons rencontrée sur le tapis rouge de la première de la comédie musicale We Will Rock You, la semaine dernière.

Sauf erreur, il s’agissait d’une première sortie publique pour la nouvelle étoile de Québec depuis sa graduation de l’académie de TVA, elle qui a soufflé le public par son talent vocal, sa prestance et son charisme à chacune de ses apparitions aux variétés du dimanche de Star Académie, cet hiver.

Après un aussi long séjour hors de chez elle, loin de l’école et de la réalité, à baigner pleinement dans le show-business, Mia a-t-elle trouvé difficile de renouer avec le train-train quotidien?

«Pendant la première semaine, oui», a-t-elle avoué. «Parce que c’est un gros choc, de sortir d’un si gros événement et de revenir à la réalité en étant complètement laissés à nous-mêmes. Les premières semaines ont été dures, mais j’ai été capable de me remettre sur pied. J’ai été super bien entourée. J’avais mes amis et ma famille avec moi. C’était super bien.»

Mia Tinayre n’a pas encore terminé sa cinquième secondaire, qu’elle s’affaire à compléter actuellement. L’étudiante ne cache pas qu’elle dû mettre les bouchées doubles pour suivre la cadence de ses camarades de classe et se préparer pour les examens de fin d’année qui approchent.

Quels sont ses projets pour l’automne? Ira-t-elle au cégep? Dans quel programme? Mia affirme n’en avoir aucune idée pour l’instant.

«On va s’en reparler! (rires) C’est loin, dans ma tête. J’y vais vraiment un jour à la fois. Pour le moment, je me concentre à passer du temps avec mes amis. Je garde une vie normale. La vie me réserve des surprises!»

Romie Lacasse, Laurence Libersan et Mia Tinayre de Star Académie à la première de We Will Rock You / Crédit : Serge Cloutier

Idem pour son éventuel contrat avec la maison de disque Musicor, qui constituait son grand prix comme lauréate de Star Ac. A-t-elle déjà eu des discussions pour un album, un spectacle…?

«C’est à suivre! Je n’ai pas toutes les réponses», a lancé Mia, visiblement toujours en train de retomber sur ses pattes un mois et des poussières après sa victoire.

Au sujet de sa bande d’amis de Star Académie, Mia Tinayre soutient être toujours très proches d’eux. Les candidats de l’édition 2025 étaient d’ailleurs tous présents à la première de We Will Rock You et ont pris la pose ensemble pour les photographes. On sait que les académiciens donneront aussi quelques spectacles ensemble cet été (notamment dans des festivals à Lévis, à Rouyn-Noranda et à Saint-Jean-sur-Richelieu.

«On est encore soudés! On sort et on se voit de temps en temps!»

Quant aux téléspectateurs et aux admirateurs, Mia se dit renversée par leur générosité et leur gentillesse.

«Ça n’a aucun sens! L’amour que tu peux avoir, cette vague d’émotions… C’est vraiment nice! Le monde était super gentil. J’ai vraiment aimé ma sortie!», a conclu la pétillante adolescente.

Katrine Sansregret, qui était finaliste à Star Académie avec Mia, nous a également donné de ses nouvelles à la première de We Will Rock You. Lisez notre entrevue avec elle ici. Vous pouvez également prendre connaissance de notre critique du spectacle ici.

Isabelle Racicot s’ouvre sur sa vie amoureuse

Isabelle Racicot était la plus récente invitée des capsules Étienne te ramène, animées par Étienne Marcoux. Et même si le principe est de manger, pas de cuisiner, l’animateur, lui, n’a pas manqué de cuisiner son invitée avec ses questions bien croustillantes.

Durant l’entretien, Étienne est revenu sur la séparation d’Isabelle en 2024 avec Donald Robins, après trois décennies de vie commune:

«Ça fait un bon petit bout que tu n’es plus en couple avec ton conjoint des trente dernières années. Comment ça se passe, ta vie de célibataire?»

«Ça va super bien», lance-t-elle avec un tel enthousiasme qu’Étienne en a été visiblement étonné.

«(…) je suis bien avec moi-même (…)», rectifie-t-elle, avant d’être interrompue par Étienne qui, curieux (et un brin taquin), lui demande sa plage d’âge sur Tinder.

«Quand je suis en vacances ou quand je suis ici? (rires) En vacances, on peut descendre un peu plus bas (…) J’ai une règle d’or: que ça ne peut pas être dans la même décennie que mes fils. Donc là, tu sais, je ne touche pas à la vingtaine (…)», affirme-t-elle, avant qu’Étienne ne la relance en lui demandant, en riant, quel âge avait son plus jeune.

Capture YouTube @Cogeco Média

«Bien c’est ça, il ne m’avait pas dit son âge comme il faut (…) C’était full légal, là, on en rajoute sur le légal (…)», dévoile Isabelle, alors qu’Étienne devine qu’il s’agissait d’un homme de 26 ans.

Au fil de la conversation, l’animatrice a évoqué avec sincérité ses attentes et ses désirs dans une relation.

«Je veux juste trouver, éventuellement, un gars avec qui je vais être bien, avec qui je vais vouloir voyager, faire des activités», affirme-t-elle, aussitôt taquinée par Étienne, qui lui demande en souriant si l’homme en question pourrait avoir une barbe.

Capture YouTube @Cogeco Média

Étienne nous offre, une fois de plus, une entrevue à la fois amusante et rafraîchissante, parfaite pour décrocher.

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Evander Kane a nargué une fan des Golden Knights (et il s’en vante en masse)

On a droit à de bonnes séries dans la LNH, cette année.

Hier, ça a notamment été une grosse soirée. Les Maple Leafs ont perdu contre les Panthers (au grand malheur de leurs amateurs), ce qui les pousse au bord de l’élimination.

Et les Golden Knights, eux, ont été sortis par les Oilers.

(Crédit: NHL.com)

Les Oilers deviennent donc la première équipe des séries 2025 à se qualifier pour le troisième tour. Les Hurricanes et les Stars pourraient les rejoindre ce soir tandis que les Panthers pourraient obtenir leur billet pour le troisième tour vendredi soir.

Clairement, quand on regarde ça, on se dit que la meilleure chance de ramener la Coupe Stanley au Canada, en ce moment, passe par le club de l’Alberta de Connor McDavid.

Il doit vraiment avoir envie de gagner, lui… tout comme Corey Perry, qui est dans le carré d’as pour la cinquième fois en six ans.

Stuart Skinner a blanchi les Golden Knights lors des deux (!) derniers matchs et soudainement, tout est permis à Edmonton. Ça ne tiendra pas aussi facilement que ça devant le filet, mais bon.

Mais ce n’est pas ce que je retiens le plus du match d’hier.

Evander Kane, après la victoire, a nargué une fan des Golden Knights. Et il ne s’est pas juste contenté de le faire : il a publié le résultat sur Twitter et dans sa story Instagram.

Évidemment, Kane aura toujours une attitude problématique dans la vie. Mais au moins, les Oilers peuvent l’endurer s’il continue de produire en séries comme c’est le cas en ce moment.

Quatre buts et sept points en 10 matchs de séries après avoir raté la saison au complet, ça se prend bien. Mieux que Auston Matthews, disons.

en rafale

– Bonne écoute.

– Vu de même.

– Ouch.

Les prix et les captures de homard en baisse

Dans un contexte économique incertain, les 325 homardiers madelinots ont obtenu 7,28 $ la livre pour leurs crustacés durant la première semaine de pêche, soit le prix le plus bas pour cette période depuis 2020, en pleine pandémie.

Durant les sept premiers jours de pêche, les débarquements de homard sur les quais des îles de la Madeleine ont aussi connu une baisse marquée de près de 23 % par rapport à l’an dernier, passant de 2 309 510 livres en 2024 à 1 784 271 livres cette année.

Dès les premières levées de casiers, le 5 mai, plusieurs pêcheurs ont observé une diminution des prises.

Le président de l’Office des pêcheurs de homard des Îles-de-la-Madeleine (OPHIM), Rolland Turbide, estime que les vents soutenus qui se font sentir depuis le début de la pêche peuvent expliquer la situation. Il croit aussi que le homard n’est pas encore affamé, ce qui ne l’incite pas à s’aventurer dans les casiers appâtés.

Des pêcheurs.Les débarquements de homard ont chuté de 23 % aux îles de la Madeleine par rapport à la première semaine de pêche de 2024. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

Rolland Turbide souhaite que le prix versé aux pêcheurs dans les prochaines semaines ne descende pas davantage, car il est déjà en deçà du seuil de rentabilité de 7,49 $ la livre, selon une étude réalisée par l’OPHIM en 2023.

Il ne faudrait pas que ça baisse en bas de 7 $ la livre, lance-t-il. On sait que ce n’est pas le manque de volonté des producteurs, on sait que c’est le marché. La Chine, c’est un bon marché, mais la taxe de 25 % qu’elle a mise sur le homard canadien, c’est là qu’est notre déficit.

Il faudrait peut-être bien essayer de trouver des marchés ailleurs. C’est là qu’il est, le problème.

Une citation de Rolland Turbide, président de l’Office des pêcheurs de homard des Îles-de-la-Madeleine

En Gaspésie, où la majorité des homardiers ont lancé leur saison le 26 avril, les pêcheurs qui ont vendu leurs captures à l’entreprise E. Gagnon et fils ont obtenu 7 $ la livre pour la première semaine et 7,28 $ la livre pour la deuxième. Dans les dernières années, les industriels gaspésiens se sont collés au prix fixé par le plan conjoint madelinot pour payer leurs pêcheurs.

Des homardiers accostés au quai, sur lequel se trouvent de nombreux casiers à homard.En Gaspésie, E. Gagnon et fils a offert 7$/lb à ses pêcheurs pour la première semaine de pêche et 7,28$/lb pour la deuxième. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Martin Toulgoat

Des acheteurs satisfaits

Si les pêcheurs espéraient davantage, les industriels gaspésiens et madelinots qui achètent le homard semblent satisfaits des prix obtenus sur les marchés en ce début de saison.

Le vice-président d’E. Gagnon et fils, Bill Sheehan, affirme que les scénarios catastrophes liés à la guerre commerciale ne se sont finalement pas avérés.

Avec l’environnement économique, ce qui se passe avec les États-Unis, les tarifs de 25 % sur les produits canadiens en Chine, on s’attendait au pire, dit-il. Finalement, avec la fête des Mères, la demande a été bonne, et les captures sont en baisse, donc le prix a augmenté un peu.

On s’attendait à pire que ça. On entendait toutes sortes d’histoires au show de Boston. On est en bas des prix de l’an passé, mais ce n’est pas alarmant.

Une citation de Bill Sheehan, vice-président d’E. Gagnon et fils

Le président des Pêcheries Léomar et de Poisson frais des Îles, deux entreprises qui achètent le homard d’environ 80 pêcheurs madelinots, abonde dans le même sens.

Les quantités débarquées ont diminué aux Îles, en Nouvelle-Écosse aussi, et il y a des zones où on n’a pas encore commencé à pêcher encore, indique Christian Vigneau. Ça nous a donné la chance d’écouler le stock à un bon prix pour la première semaine.

Des homards dans un bac de plastique.La valeur des exportations canadiennes de homard s’est élevée à 2,94 milliards de dollars en 2024. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

Christian Vigneau affirme que la majorité du homard qu’il a acheté s’est vendu sur le marché canadien, bien qu’il ait aussi exporté une partie des premières captures vers les États-Unis.

Les tarifs de la Chine

Christian Vigneau et Bill Sheehan croient que la pause de 90 jours sur la majeure partie des droits de douane entre les États-Unis et la Chine pourrait profiter au homard canadien.

Les Américains ont moins de homard que les années précédentes, explique Bill Sheehan. Si les États-Unis sont capables d’en exporter en Chine, c’est certain que ça fera une plus grande place pour nos produits sur le marché américain. Ce sont de bonnes nouvelles.

Ça devient plus intéressant pour les États-Unis d’exporter du homard en Chine, renchérit Christian Vigneau. On va voir si ça va nous ouvrir les portes de ce côté-là de la frontière.

Le président des Pêcheries Léomar et de Poisson frais des Îles espère que Pékin supprimera ses tarifs de 25 % sur le homard canadien, car l’industrie de la pêche est fortement touchée.

Ça touche tout le monde, tout le monde vend à des grossistes qui exportent en Chine, affirme Christian Vigneau. Quand on a vu l’annonce des tarifs en Chine, pour nous, c’était aussi pire que si c’était aux États-Unis. Les tarifs de la Chine, ça vient faire une différence pour le produit vivant, c’est certain.

Selon les chiffres préliminaires de Pêches et Océans Canada, 65 % du homard canadien exporté à l’international a pris la route des États-Unis en 2024 pour une valeur de 1,9 milliard de dollars, majoritairement sous forme transformée. La Chine a reçu 19 % des exportations canadiennes pour une valeur de 569 millions de dollars, principalement sous forme de homard vivant.

Les exportations canadiennes de homard vivant ont été légèrement plus importantes en Chine qu’aux États-Unis en 2024, pour une valeur respective de 490 millions de dollars et de 487 millions de dollars.

LA UNE : Les homardiers de la Gaspésie et des îles de la Madeleine redoutaient une baisse de prix en raison du contexte économique. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

PAR

Le mois de l’arbre et des forêts aux Îles-de-la-Madeleine

Nous accueillons Catherine Jomphe, chargée de projets en restauration et aménagement des milieux naturels chez Attention FragÎles. Nous discuterons avec elle du Mois de l’arbre et des forêts qui bat son plein aux Îles de la Madeleine, des différentes activités organisées pour sensibiliser la communauté à l’importance de cette ressource vitale.

LA UNE : L’aménagement du territoire et la préservation des paysages sont des enjeux d’actualité aux Îles-de-la-Madeleine.c PHOTO: Radio-Canada / Isabelle Larose

Justin Bieber déroute ses fans avec une vidéo étrange mêlant Dieu et l’Alaska

Le chanteur Justin Bieber, 31 ans, a suscité l’inquiétude de ses fans cette semaine après avoir publié — puis supprimé — une série de vidéos troublantes sur Instagram. Utilisant un filtre déformant son visage et sa voix, l’interprète de Sorry a tenu un discours décousu où il évoque ses souvenirs de pêche en Alaska, sa foi en Dieu, les rats… et des principes de vie énigmatiques.

Dans cette séquence de 13 stories, récupérées par TMZ, on voit l’artiste raconter avec enthousiasme son passage en Alaska à l’adolescence.

Instagram @justinbieber

«J’étais là-bas pour pêcher sur un quai, j’avais quoi… 17, 18, 19 ans? J’en ai attrapé un paquet. Une demi-douzaine les bons jours! C’est ça, la vie en Alaska», lance-t-il avec un filtre qui lui donne des yeux globuleux.

Mais le ton change rapidement lorsque Justin aborde des sujets plus spirituels. «G-o-d. Notre gars Jésus a un plan, il fait tout fonctionner pour Gucci», dit-il, expliquant ensuite que «Gucci» est pour lui synonyme de «bien».

Il enchaîne ensuite avec une métaphore étrange impliquant des rongeurs:

«Ils veulent être comme des rats, te voler ton fromage. Tourner dans la roue, devenir fous, te grignoter la dernière parcelle de santé mentale.»

Au fil des vidéos, le chanteur évoque également ses valeurs personnelles, soit la loyauté et la conviction:

«Je vis selon deux choses: la loyauté et la conviction. Je suis toujours là pour ceux qui m’ont façonné.»

Il conclut avec une phrase aussi étrange qu’incompréhensible:

«Je veux te taquiner. Je veux te presser comme un haricot vert. Mais c’est pas ça le délire ici.»

Ces propos ont alimenté les spéculations sur l’état mental et physique de la star, déjà objet de préoccupations ces derniers mois. Son comportement en ligne et lors d’apparitions publiques a soulevé des questions, notamment sur une possible consommation de drogues.

Un représentant de Justin Bieber a pourtant fermement nié ces allégations en février, qualifiant les rumeurs de «pitoyables» et affirmant que l’artiste allait bien, surtout depuis la naissance de son fils, Jack Blues, en août 2024, avec sa femme Hailey Bieber.

Mais, la semaine dernière, Justin a partagé une photo de lui en train de fumer une pipe à eau en verre, ce qui n’a fait qu’intensifier les inquiétudes de ses fans.

Pour l’instant, le chanteur n’a pas réagi officiellement aux réactions suscitées.