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Homards grillés sur le BBQ

INGRÉDIENTS

  • 1/3 tasse de beurre mou
  • Les feuilles de 4 branches de thym frais
  • 1 c. à thé de ciboulette fraîche, hachée finement
  • 1 c. à thé de persil frais, haché finement
  • Le zeste d’un demi-citron
  • 1 c. à thé de jus de citron
  • Sel et poivre du moulin
  • 4 homards des Îles-de-la-Madeleine déjà cuits.
  • Sel de mer
  • Quartiers de citron

PRÉPARATION

  • Verser le beurre dans un bol et laisser sur le comptoir pendant 30 minutes pour faire ramollir.
  • Ajouter les épices fraîches, le zeste et le jus de citron puis saler et poivrer. Bien mélanger puis verser dans un bol et réserver.
  • Préchauffer votre BBQ à 500°F puis réduire l’intensité légèrement.
  • Avec votre plus grand couteau bien aiguisé, couper les homards sur la longueur en plein centre, en commençant par la queue ( du centre vers l’extérieur ) puis en terminant par la tête. Soyez fermes mais délicats, question de ne pas faire exploser vos homards en 47 morceaux. Facultatif : Enlever le tomalley ( substance verte ) dans le homard.
  • Faire fondre votre beurre maison et l’apporter avec vous au BBQ. Sur un grill bien huilé, déposer les homards la chair vers le bas et cuire pendant 3 minutes. Retourner les homards et badigeonner généreusement la chair avec le beurre au citron. Cuire pendant 2 minutes puis le tour sera joué. ***Le temps de cuisson des homards va varier dépendamment de leur grosseur.
  • Déposer dans les assiettes, ajouter une rondelle de beurre sur les homards chauds puis servir avec des quartiers de citron frais!

Gemini Médias souhaite à tous les travailleurs et travailleuses de la mer une saison abondante, sécuritaire et remplie de belles prises.

Séries en bref : Anthony Stolarz a vomi sur le banc

Hier soir, il y avait la loterie.

Une heure après, toutefois, la deuxième ronde se mettait en branle : les Leafs affrontaient les Panthers.

Toronto l’a finalement emporté par la marque de 5-4.

Les Leafs ont peut-être gagné, mais ils ont perdu leur gardien numéro un.

Sam Bennett est entré en collision avec Anthony Stolarz et celui-ci a quitté la rencontre.

Il a vomi sur le banc quelques instants après. Il a même été transporté à l’hôpital.

Ça semble être une commotion cérébrale…

Joseph Woll est venu en relève et a stoppé 17 des 20 tirs dirigés vers lui.

William Nylander s’est chargé de l’attaque, lui. Il a lancé le bal dès les premières secondes.

Il a terminé le match avec deux buts et une mention d’aide.

Matthew Knies a marqué le but gagnant.

Les deux équipes renoueront avec l’action dès demain, toujours du côté de Toronto.

Prolongation

– Chris Dickey Tanev.

– Les 17 pointeurs du match.

(Crédit: NHL.com )

– Deux séries commencent ce soir.

(Crédit: NHL.com )

Non, Marco Rossi ne doit pas être le deuxième centre du Canadien

Le Canadien a besoin d’un deuxième centre.

Il a besoin d’améliorer son attaque en général, me direz-vous, puisqu’un gars comme Ivan Demidov ne peut pas tout faire à lui seul sur son trio. C’est vrai – et on l’a vu en séries.

Mais même si personne ne dirait non à un ailier de 100 points, comme l’a soulevé Jeff Gorton en conférence de presse hier, on sait tous que le poste de deuxième centre est névralgique. C’est ça, la priorité.

Mais ce sera qui, le deuxième centre?

Évidemment, plusieurs noms vont circuler en masse cet été. Sidney Crosby et les gars des Islanders (Mathew Barzal et Bo Horvat) seront sans doute ceux qui reviendront le plus dans la discussion cet été.

Mais voilà qu’un nouveau nom est à la mode en ce moment : Marco Rossi.

Renaud Lavoie (à BPM Sports) a brièvement abordé le sujet et le journaliste Kevin Dubé, dans un papier sur le sujet, explique que Rossi a vu son temps de jeu fondre comme neige au soleil en séries. Son avenir au Minnesota est donc forcément plus nébuleux que jamais, en ce moment.

Il y a vraiment des chances de le voir changer d’adresse cet été.

Comme c’est un centre de talent qui a récolté une soixantaine de points cette saison (à sa deuxième année complète avec le Wild) et qu’il a 23 ans, il est normal qu’il fasse jaser à Montréal.

(Crédit: Hockey DB)

Mais le problème? Il mesure 5’9.

Si le Canadien était une énorme équipe, Rossi pourrait être la solution. Mais comme le CH est déjà trop petit (et que Jeff Gorton a parlé d’ajouter du poids, hier matin), Rossi ne peut pas être la solution. Pas après ce que le VP a dit et après ce qu’on a vu en séries à Montréal.

D’ailleurs, est-ce que son temps de jeu a été affecté en séries parce qu’il est plus dur pour un joueur de sa stature de se faire valoir quand le jeu devient plus physique? La question se pose.

Rossi est un excellent joueur de la LNH, mais ça ne veut pas dire que c’est à Montréal que ça doit se passer pour l’ancien des 67’s d’Ottawa.

en rafale

– Bonne écoute.

– Les Maple Leafs ont bien joué, hier. [BPM Sports]

– Jacob Fowler ce soir à Laval?

– Avec raison.

– Jake Allen est encore à Sportsnet pour les séries.

Deuxième loterie du repêchage : l’Utah a fini à deux points du Canadien au classement

Et voilà : la loterie de la LNH est derrière nous.

Cette année, disons que c’était moins attendu à Montréal puisque le CH ne pouvait pas repêcher plus haut que le 16e rang avec le choix des Flames. C’est finalement ce qui est arrivé : la logique a prévalu.

Le CH aura donc le 16e (grâce à Sean Monahan) et le 17e choix.

Il est quand même fou de voir comment la loterie s’est déroulée. Après tout, les Islanders avaient 3.5 % de chances de gagner la loterie et c’est survenu. Et le club de l’Utah devait repêcher 14e, lui.

T’sais quand tu gagnes la deuxième loterie et que tu montes «seulement» au quatrième rang, c’est que tu partais de loin.

L’Utah a fini 19e au classement général et les Islanders, au 23e. C’est la preuve que, contrairement au repêchage de 2024 (rien n’avait bougé), tout peut changer en un claquement de doigts.

Ou en un coup de boulier, dans ce cas-ci.

Ce qui me frappe le plus, dans tout ça, c’est que le club de l’Utah (est-ce que le jeune qui sera repêché au deuxième rang aura un chandail avec le nom Mammoth?) a quand même eu 89 points cette saison.

Le CH, lui, a eu 91 points.

(Crédit: Sportsnet)

Évidemment, cela ne veut vraiment pas dire que le même scénario serait survenu pour le CH s’il avait raté les séries de peu. Ce n’est pas ce que je suis en train de dire.

Mais je fais juste souligner que ça peut changer vite, dans le monde du hockey. Et la loterie d’hier en est la preuve.

Je ne pense pas que Jeff Gorton et Kent Hughes regrettent l’expérience acquise en séries cette saison pour les gars. Mais je me demande quand même ce que la direction pense de la loterie.

Au final, je suis certain que les dirigeants savent qu’on ne construit pas une équipe de hockey basé sur la chance.

en rafale

– À garder en tête.

– Sam Bennett fait jaser. [BPM Sports]

– C’est la fête de Brendan Gallagher.

– Belle photo, en effet.

Christine CHEVARIE (1935-2025)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 3 mai 2025, de madame Christine Chevarie. Elle était âgée de 89 ans et résidente de Pointe-aux-Loups, aux Îles-de-la-Madeleine.

Elle était l’épouse de feu René Leblanc, la mère de Rose Elmonde (David T Clarke), Rémi (Madeleine Chevarie), Bernard (Odette Aucoin), Hervé (Anne-Marie Longuépée), Diana (Jean-Eudes Lapierre), Edvard (Karen Turnbull), Léger (Aline Aucoin), Richard (Line Thorne) et Christian, et la mère adoptive d’Alice (Réjean Dion) et Christiane.  Elle laisse aussi dans le deuil 20 petits-enfants, 24 arrière-petits-enfants et 3 arrière-arrière-petits-enfants, ses sœurs Ursule et Ernestine, son frère Simon, ainsi que ses beaux-frères, belles-sœurs, neveux, nièces, parents et amis.

Les funérailles de madame Christine Chevarie seront célébrées à l’église Immaculée-Conception de Pointe-aux-Loups, le mardi 5 août 2025, à 15h. Suivra l’inhumation au cimetière de l’endroit.

Vos marques de sympathie peuvent se traduire par un don au CHSLD Plaisance, 596 chemin Principal, Cap-aux-Meules, Qc G4T 1G1.

Le homard est arrivé sur les quais madelinots

Les premiers débarquements de homard ont eu lieu en fin d’avant-midi dans les 10 ports de pêche des Îles-de-la-Madeleine. Alors que certains pêcheurs s’attendaient à une pêche plus généreuse, tous redoutent le prix qui leur sera versé par les acheteurs, dans le contexte économique incertain.

À L’Étang-du-Nord, tous les pêcheurs qui rentraient au port en fin d’avant-midi affirmaient au micro de Radio-Canada que leurs prises, en cette première journée de pêche, étaient moins bonnes que celles des années précédentes.

Certains attribuaient la situation aux vents forts de la semaine dernière, à l’eau froide ou encore au fait que certains casiers n’aient pas été trempés préalablement en raison de l’interdiction fédérale.

C’est une petite diminution par rapport à l’année passée, c’est sûr qu’on s’attendait à un peu mieux, mais on n’a pas le contrôle là-dessus, affirme le capitaine-propriétaire Alexandre Bourgeois.

Des pêcheurs sur un bateau.Les homardiers de L’Étang-du-Nord espèrent de meilleures captures dans les prochains jours. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

L’eau est froide un peu, il y a le vent du noroît, ça peut être plusieurs facteurs, mais peut-être que ce qu’on n’attrape pas aujourd’hui, on va l’attraper demain, renchérit le capitaine-propriétaire Olivier Renaud.

Au-delà de l’incertitude des captures, les pêcheurs appréhendent un prix moins élevé que l’an passé pour leurs débarquements de homard, dans un contexte de guerre commerciale.

La semaine dernière, certains homardiers du Nouveau-Brunswick ont manifesté, car ils craignent recevoir entre 6 $ et 6,50 $ la livre.

Six dollars, c’est très bas, croit Alexandre Bourgeois. L’année passée, la première semaine on avait eu 8,13 $ la livre, c’est un bon prix, mais cette année je ne pense pas que ce soit réaliste.

Un bateau rentre au port de L'Étang-du-NordLe bateau du capitaine Bertand Vigneau à son arrivée au port. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

De son côté, Bertrand Vigneau espère recevoir minimalement 7 $ la livre.

Je pense que 7 $ ou 7,50 $ la livre, c’est comme normal, pour les dépenses, les appâts qui commencent à coûter cher et l’essence, lance-t-il.

La Coopérative des pêcheurs des Îles lance ses activités

Cette première journée de débarquement était très symbolique pour la Coopérative des pêcheurs des Îles-de-la-Madeleine qui est devenue le 7e acquéreur de homard de l’archipel grâce à l’obtention de son permis en octobre.

Des dames dans une usine de homard.Les travailleurs se sont mis au travail lors des premiers arrivages dans l’usine de la Coopérative des pêcheurs des Îles-de-la-Madeleine. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

L’organisme, créé dans la foulée de la faillite de l’usine de transformation LA Renaissance en 2023, a reçu ses tout premiers homards dans sa nouvelle usine de Havre-aux-Maisons lundi midi.

On est vraiment excité d’avoir les premiers homards au vivier, c’est un grand jour pour notre organisation.

Une citation de Olivier Renaud, président de la Coopérative des pêcheurs des Îles-de-la-Madeleine

La Coopérative a redoublé d’efforts pour rénover un bâtiment et y construire des viviers, à temps pour le début de la saison de pêche.

Un homme marche sur une passerelle au-dessus des viviers.Des viviers ont été aménagés dans l’usine pour accueillir les captures des 32 membres pêcheurs de la coopérative. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

Le président de la coopérative estime que l’ajout d’un nouvel acheteur coopératif pourrait favoriser de meilleurs prix pour les pêcheurs.

En tant que coopérative, on va pouvoir mobiliser plus d’efforts sur la mise en marché de notre produit, on a plus d’intérêt à le faire parce qu’on a l’intérêt de nos membres qui s’additionnent à l’intérêt de notre organisation, croit Olivier Renaud.

Ça peut vraiment faire une différence, tirer les prix à la hausse pour avoir davantage de retombées économiques dans notre communauté.

La coopérative des pêcheurs des Îles-de-la-Madeleine achète les captures de ses 32 membres pêcheurs.

LA UNE : Les premiers homardiers sont rentrés au port de L’Étang-du-Nord peu avant midi, lundi. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

PAR

Casiers à tremper : entre flou législatif et amendes salées

Mettre à tremper ses casiers de homard pourrait coûter cher si on perturbe l’habitat ou le nid d’un oiseau migrateur. C’est une des conséquences pour les pêcheurs de l’utilisation pour le trempage des casiers de homard de plans d’eau en milieu fragile.

L’interdiction du trempage dans les lagunes par Pêches et Océans Canada a généré au printemps différentes pratiques qui soulèvent des questions environnementales.

Le trempage, qui, selon de nombreux pêcheurs, aide à faire couler plus rapidement les casiers en bois lors de la mise à l’eau officielle a été effectué un peu partout. Certains ont même creusé des tranchées dans leur cour.

Ces milieux fragiles sont aussi fréquentés par des oiseaux migrateurs, qui arrivent au printemps pour nicher, comme le grand héron.

Interpellés, des ministères se prononcent sur l’impact du trempage des casiers de homard dans des lacs, des étangs et des milieux humides dans l’archipel madelinot.

Au fédéral, ces oiseaux sont protégés par la Loi de 1994 sur la convention concernant les oiseaux migrateurs (LCOM) et par le Règlement sur les oiseaux migrateurs de 2022 (ROM).

En vertu de ces législations, les oiseaux migrateurs sont protégés partout, en tout temps. Leurs nids sont protégés lorsqu’ils contiennent un oiseau vivant ou un œuf viable.

Des pêcheurs chargent des casiers de homard.Les pêcheurs ne peuvent plus faire tremper leurs casiers de homard dans les lagunes comme auparavant. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

De plus, la loi protège en tout temps, hiver comme été, les nids de 18 espèces d’oiseaux migrateurs puisque ces cocons sont réutilisés d’une année à l’autre. Parmi ces espèces, plusieurs sont des oiseaux marins, dont plus d’une demi-douzaine, comme le bihoreau gris, le grand héron, la grande aigrette ou le macareux moine, fréquentent l’archipel.

Prison et amendes

Le ministère fédéral de l’Environnement indique qu’il revient à tous, selon la loi, de prendre des précautions raisonnables et d’éviter les activités potentiellement destructrices dans les endroits vulnérables, notamment en période de nidification.

Les fautifs s’exposent à différentes amendes variant de 5000 $ à 300 000 $ et même à une peine d’emprisonnement d’au maximum six mois.

La loi prévoit aussi que des sanctions administratives sommaires peuvent être imposées par les agents du ministère fédéral de l’Environnement. Selon le type de sanction, les antécédents de non-conformité, les dommages environnementaux et les gains économiques, le montant d’une SAP peut varier entre 200 $ et 5250 $ pour les particuliers, et entre 1000 $ et 25 000 $ pour les personnes morales comme les entreprises.

Un flou québécois

À Québec, le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) admet être au courant de la situation.

Le ministère indique avoir été interpellé au cours des derniers mois concernant la réglementation applicable.

Par contre, le ministère précise qu’il n’existe aucune réglementation concernant cette pratique.

Selon la situation, la Loi sur la qualité de l’environnement ainsi que la Loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune pourraient par contre s’appliquer. Le ministère précise qu’une autorisation ministérielle pourrait alors être préalablement nécessaire.

Pour le moment, le MELCCFP dit n’avoir reçu aucun signalement et n’avoir réalisé aucune inspection relativement au trempage des cages dans des lacs, des étangs ou un milieu humide.

Enfin, quant à Pêches et Océans, le ministère confirme lui aussi avoir été informé de la situation.

Le ministère indique avoir rencontré différents organismes madelinots et les avoir informés de la possibilité que les pêcheurs utilisent d’autres lieux ou d’autres méthodes.

Le ministère précise par contre qu’il concentre sa surveillance dans l’habitat du poisson et dans les eaux soumises aux marées. Le MPO, qui dit avoir sensibilisé les pêcheurs à sa nouvelle mesure, n’a pas observé d’infraction pour le moment.

LA UNE : Dans les dernières années, certains pêcheurs utilisaient déjà des milieux humides pour faire tremper leurs casiers, mais l’interdiction d’utiliser les lagunes a suscité une ruée vers ces plans d’eau. Photo : Gracieuseté

PAR vec la collaboration d’Isabelle Larose

 

Pour une voiture d’été, quoi penser de la Nissan Z 2024?

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« Je cherche une voiture d’été et je me demande si la Nissan Z peut être un bon choix. Je lorgne un modèle de 2024 et j’aimerais la garder longtemps. » – Chantal

Réponse

Bonjour Chantal,

Il n’existe plus beaucoup de véhicules disponibles dans la catégorie des sportives relativement abordables. En plus de la Toyota GR Supra et de la Ford Mustang GT, il n’y a que la Nissan Z qui puisse se permettre de proposer un moteur avec de la performance, et pas seulement une excellente tenue de route comme le feraient les Subaru BRZ, Toyota GR86 ou Mazda MX-5.

C’est certain que la Nissan Z est plus proche de la Toyota GR Supra que de la Ford Mustang en matière de configuration. Elle est relativement petite et est munie d’un moteur 6-cylindres turbo, alors que la Mustang est munie d’un V8 et est plus grosse.

La Nissan Z est entrée dans la cour des grands en 2023 avec la plus récente génération, notamment parce qu’elle utilise un V6 biturbo de 3,0 litres, lequel donne une puissance respectable de 400 chevaux et un couple de 350 lb-pi. Cette mécanique est bien adaptée au modèle et permet d’éprouver beaucoup de plaisir derrière le volant, principalement à mon avis quand vous sélectionnez la boite de vitesse manuelle. L’automatique à 9 rapports est aussi proposée, mais gomme un peu les sensations. Néanmoins, elle demeure recommandable si vous la préférez à la boite manuelle.

C’est une voiture qui a pris une tendance plus douillette depuis la plus récente génération, s’éloignant du comportement très « camion » de l’ancienne. Elle est plus raffinée qu’avant et est en mesure de donner un assez bon confort pour le genre de voiture. On la sentait aussi un peu plus lourde qu’avant, diminuant un peu l’agilité qu’on lui reconnaissait jadis. En revanche, elle est amplement capable d’être performante et amusante, notamment en raison de sa suspension bien calibrée et de sa direction assez vive. Sachez que l’intérieur n’est pas le plus flamboyant, mais qu’il demeure fonctionnel, avec un espace cargo convenable pour le type de véhicule.

Le prix, un avantage

Même si la Toyota GR Supra se défend bien et qu’elle a plusieurs atouts dans sa manche, la Nissan Z est néanmoins avantagée drastiquement en matière de prix, principalement si vous dénichez une version Sport. Cette dernière est vendue au prix de 53 835 $, alors que la Toyota GR Supra la moins chère commence à 65 664 $. On parle donc d’une économie de près de 12 000 $, qui impose une concession en matière d’équipement, mais qui fait néanmoins une différence dans le portefeuille. Si toutefois vous optez pour la version Performance de la Z, le prix s’approche de 65 000 $, donc l’avantage s’amenuise par rapport à la GR Supra. Dans les deux cas, le niveau de performance pour le prix payé est difficile à prendre en défaut.

En matière de fiabilité, la mécanique est connue et la voiture est plutôt simple de conception. Je n’ai donc pas de craintes à ce chapitre. Si la voiture vous intéresse, je n’ai pas d’objections à vous la recommander.

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Ford Maverick Lariat 2025 ou Hyundai Santa Cruz Ultimate 2025?

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« Je cherche une petite camionnette qui me servira comme véhicule de tous les jours et dont je me servirai pour remorquer mon bateau à l’occasion. De plus, la caisse servira à faire de menus travaux autour de la maison. Je veux une camionnette tout équipée. Entre le Ford Maverick Lariat 2025 à moteur 2,0 litres et le Hyundai Santa Cruz Ultimate 2025 me recommandez-vous? » – Luc

Réponse

Bonjour Luc,

Il n’y a pas beaucoup de choix dans la catégorie des camionnettes compactes. En réalité, hormis le Ford Maverick et le Hyundai Santa Cruz que vous avez nommés, il n’y en a pas d’autres. Bien sûr, il y a les camionnettes intermédiaires, mais elles ne sont pas aussi compactes et souvent ont un comportement routier moins agréable, gracieuseté d’une technologie qui permet de meilleures capacités. Mais si vous n’avez pas besoin de plus fortes capacités, elles sont inutiles.

La bonne nouvelle est que le Ford Maverick et le Hyundai Santa Cruz sont de bonnes options, dont la fiabilité a été démontrée et qui servent généralement bien les consommateurs qui les choisissent. Notons les différences entre les deux modèles, ce qui pourrait avoir un impact sur votre choix.

Ford Maverick

Le Ford Maverick est retouché pour l’année modèle 2025. Le constructeur apporte des changements mineurs en matière de style, mais c’est surtout l’habitacle qui est repensé pour intégrer un écran de plus grande taille au centre. La qualité des matériaux n’est toujours pas la force du véhicule, tapissé à bord de plastiques rigides, mais ceux-ci ont néanmoins la propriété d’être résistants et faciles à nettoyer.

Mécaniquement, il n’y a pas de changements. Le moteur est toujours un 4-cylindres turbo d’une cylindrée de 2,0 litres dont la puissance de 250 chevaux est bien adaptée avec le modèle. Comme vous souhaitez remorquer avec le véhicule, je vous encourage à sélectionner l’ensemble de remorquage ; hélas, la capacité est limitée à 1818 kg (4000 lb), une donnée à considérer en fonction de vos besoins de remorquage réels. Petite note sur le comportement routier qui est surprenant pour ce modèle, tandis que la caisse de bonne dimension s’est avérée pratique pour les petites tâches du quotidien.

Hyundai Santa Cruz

Comme le Maverick, le Hyundai Santa Cruz est retouché pour l’année modèle 2025, avec quelques changements mineurs au style extérieur et, majoritairement, un habitacle repensé. Le tableau de bord est à l’image de celui du Tucson, avec un écran double au sommet et des commandes de climatisation indépendante. Il est mieux fini que le Maverick et proposera un meilleur confort, puisque c’est un élément qui est plus soigné dans ce modèle.

Le Santa Cruz devra néanmoins faire une légère concession au Maverick en matière de convivialité de la caisse. En effet, celle-ci est plus courte et, surtout, moins profonde que celle du Maverick, ce qui impacte la polyvalence du camion. De plus, le seuil du panneau de caisse est légèrement plus haut, entravant l’accès. D’un autre côté, le 4-cylindres turbo de 2,5 litres promet une puissance de 281 chevaux, plus élevée que celle du 2,0-litres de Ford. Malheureusement, la boite automatique à double embrayage est hésitante à basse vitesse, même si elle permet un avantage en matière de capacité de remorquage (2272 kg/5000 lb).

Une affaire de prix

Vous constatez donc que les deux camionnettes ont des qualités qui les avantagent respectivement. Du côté du Ford, le comportement routier est une force, tandis que la caisse est plus grande et polyvalente. De côté de Hyundai, l’habitacle est mieux fini et la capacité de remorquage est plus élevée.

Parlons prix. Le Maverick Lariat avec moteur 2,0 litres, toit ouvrant et ensemble de remorquage 4K se vend 48 895 $, alors que le Santa Cruz Ultimate affiche un prix de 53 567 $. Il y a donc une différence de 4700 $ en faveur du Ford Maverick.

Toutes choses étant considérées, je choisirais donc le Ford Maverick parce que son prix est moins cher et qu’il est plus polyvalent, tout en ayant un meilleur comportement routier.

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Sortez-moi d’ici!: Chloée Deblois quitte l’aventure!

Lors du plus récent épisode de Sortez-moi d’ici!, les téléspectateurs ont assisté au deuxième Gala de la jungle, un moment toujours chargé d’émotion et de tension. Cette semaine, c’est l’identité de la deuxième campeuse évincée qui a été révélée.

Avec sa voix grave et théâtrale bien connue, Guy Jodoin a annoncé que l’aventure s’arrêtait pour Chloée Deblois. En danger aux côtés de Marc-Antoine et Naadei, c’est finalement elle qui a dû quitter la jungle.

Rappelons que Marc-Antoine, Chloée et Naadei se sont retrouvés au défi d’élimination après avoir mal évalué le prix d’une robe traditionnelle panaméenne lors de l’Estim-a-thon.

En guise d’épreuve ultime, les campeurs devaient plonger les bras dans une boîte remplie de bestioles et à tenter d’en deviner le nombre exact. Malheureusement, Chloée a donné l’estimation la plus éloignée du chiffre réel, ce qui l’a poussée à s’écrier «Sortez-moi d’ici!»

Elle suit donc les traces de Kim Rusk, première célébrité à avoir quitté l’aventure cette saison.

Quelle est votre opinion à propos de ce départ?

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

L’équipe de Salut Bonjour célèbre ce nouveau chapitre!

L’équipe de Salut Bonjour annonçait récemment qu’un grand changement se préparait: un déménagement vers de tout nouveaux studios!

Et voilà qu’en ce jour de fête, l’équipe a officiellement inauguré son nouvel espace de travail… en grande pompe!

Pour marquer le coup, un long ruban rouge a été coupé à l’aide de gigantesques ciseaux, symbole d’un nouveau départ sous le signe de l’enthousiasme et du renouveau.

Capture Salut Bonjour/TVA

Une toute nouvelle aventure débute pour l’équipe de l’émission matinale, désormais installée dans les studios de Québecor, partageant ses quartiers avec Le Journal de Montréal, QUB radio et TVA Nouvelles.

Chose certaine, si les décors ont changé, la complicité, elle, est toujours bien présente et intacte!

Alors, conquis par les nouveaux décors de Salut Bonjour?

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