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Hausse de prix chez Tesla annoncée pour le 1er février

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Tesla nous a habitués à jouer avec ses prix, plutôt qu’à accorder différents types de rabais pour moduler l’offre et la demande, comme le faisaient beaucoup de constructeurs. Depuis que Tesla a débuté cette pratique, certains autres constructeurs ont emboîté le pas et adopté une stratégie similaire, surtout dans le secteur des véhicules électriques.

Cette fois, Tesla annonce via un bandeau sur son site Internet que les prix de ses modèles les plus populaires augmenteront dès le 1er février 2025. Le Tesla Model Y 2025 coûtera 4 000 $ de plus à partir de cette date. Son prix de base passera ainsi de 60 990 $ à 64 990 $, ou 67 608 $ en incluant les différents frais. Il est important de rappeler que le Model Y avait déjà subi une hausse de prix au début du mois de janvier.

9 000 $ de plus pour la Model 3

La Tesla Model 3 subira quant à elle une hausse de prix significative qui pourra atteindre jusqu’à 9 000 $ selon la version. Tesla ne mentionne pas comment sera répartie la hausse. Si toutes les livrées sont touchée par la hausse de 9 000$, son prix de base passera alors de 55 900 $ à 64 900 $, ou 67 608 $ avec les différents frais. Au sommet de la gamme, la version Performance avec rouage intégral sera vendue à un prix de 82 608 $ incluant les frais de transport et de préparation.

Quant aux Tesla Model X et Model S, leurs prix seront ajustés à la hausse de 4 000 $. Toutefois, la hausse ne semble pas concerner le Tesla Cybertruck, la nouveauté du constructeur. Son prix demeure inchangé à 137 990 $, avec les premières livraisons annoncées en janvier.

Sachant que la prime de rabais provincial du Québec sera suspendue temporairement entre le 1er février et le début d’avril 2025, Tesla invite les acheteurs à commander rapidement ou à se tourner vers l’inventaire disponible.

Le gouvernement fédéral a de son côté annoncé la fin des rabais, les fonds du programme iVZE étant épuisés. Rien ne laisse présager que ce programme sera renouvelé. Certains constructeurs, dont GM, Ford et Hyundai, ont annoncé offrir un rabais temporaire pour compenser le manque à gagner des acheteurs.

L’avis de RPM

Bien entendu, il n’est pas possible d’obtenir de détails sur les raisons de la hausse des prix des modèles Tesla au Canada. Le constructeur, sous l’ordre de son PDG bien connu, Elon Musk, boycotte depuis des années les médias automobiles et ne dispose d’aucun service de presse.

Il demeure curieux de constater que cette hausse sera effective au 1er février. Il s’agit de la même date mentionnée par Donald Trump pour l’application de nouveaux tarifs douaniers envers le Canada, mais aussi possiblement envers les véhicules et composantes électriques provenant de Chine. Musk sait-il des choses que les autres ignorent ? Ce genre de coïncidence ne peut qu’alimenter les interrogations.

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Qu’est-ce qui nous attend en 2025 dans le monde de l’automobile?

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Les années se suivent, mais ne se ressemblent pas, mais est-ce que ce sera le cas cette année? Quoi qu’il en soit, 2025 risques de nous en faire vivre de toutes les couleurs. Parfois en continuité avec l’année 2024 et à d’autres moments, les chamboulements seront bien différents. Je passe donc en revue dans ce texte certains points qui seront à surveiller en 2025.

Chamboulement dans l’électrique

L’année 2025 risque une fois de plus d’attirer beaucoup l’attention en ce qui concerne les véhicules électriques. Alors que le gouvernement provincial avait annoncé en mars dernier que les montants alloués seraient revus à la baisse, il a ensuite enchainé avec une seconde annonce en fin d’année. Cette fois-ci, il s’agissait de la mise sur pause de deux mois de la subvention offerte. Cependant, c’est le gouvernement fédéral qui a récemment pris tout le monde par surprise en mettant sur pause son programme iVZE, et ce, à peine deux jours après avoir dit que le budget restant ne permettrait probablement pas de se rendre à la fin de mars.

Nous entamons donc l’année dans le brouillard, sans trop savoir où nos deux paliers de gouvernements vont s’aligner avec leur programme de transition pour l’acquisition d’un véhicule électrique. Entretemps, les concessionnaires qui ont un inventaire de véhicules électriques d’année modèle 2024 devront jongler avec tout cela afin de l’écouler. Or, alors que les constructeurs d’automobiles n’étaient pas très enclins à offrir d’importants rabais sur les véhicules électriques, contrairement aux véhicules thermiques, cette tendance risque de changer en 2025. Cela sera dû justement à la réduction radicale des rabais gouvernementaux ainsi qu’aux objectifs de vente de véhicules électriques au Canada qui demeurent toujours les mêmes. On parle ici de 20 % en 2026, suivi de 60 % en 2030 et de 100 % en 2035.

Abordabilité : un pas de plus dans la mauvaise direction

Si l’on se fie à la tendance des dernières années, le nombre de véhicules abordables offerts sur le marché risque de continuer à diminuer. Bien que certains constructeurs comme Nissan tentent de conserver des véhicules abordables sur le marché, la grande majorité nivelle leur gamme vers le haut.

Parlant de Nissan, il s’agit du seul constructeur d’automobiles à offrir encore une voiture sous-compacte en 2025 avec sa Versa. Toujours dans un souci d’abordabilité, Nissan a aussi décidé de conserver le Kicks d’ancienne génération aux côtés de celui de la nouvelle, en lui attribuant le nom de Kicks Play, afin d’offrir une alternative plus abordable aux consommateurs.

Fusion et disparition

En 2024, certains constructeurs d’automobiles ont admis vivre des difficultés. Il ne serait donc pas surprenant de voir certaines marques disparaître tandis que d’autres pourraient s’unifier. On pense d’abord à Stellantis qui pourrait devoir faire disparaître les marques non rentables afin d’avoir un espoir de survie. Cette conséquence résulte de chiffres de vente plutôt décevants à travers les marques et qui se sont accentués en 2024. Du côté des marques japonaises, nous avons appris durant la période des fêtes, en décembre dernier, que Nissan pourrait s’unir à Honda afin d’assurer sa survie. Selon l’information reçue, Mitsubishi ferait aussi partie de cette union possible. Toujours selon l’information annoncée, les trois constructeurs visent à parvenir à un accord de fusion formel d’ici juin 2025. Si cela venait à se produire, Honda serait alors à la tête du 3e plus important groupe automobile du monde. Cependant, les trois marques continueraient tout de même à opérer sous leur raison sociale actuelle.

Les constructeurs chinois dans tout cela?

Cette question est très facile à répondre. Tant que la surtaxe imposée par le gouvernement canadien sera là, les constructeurs chinois ne viendront pas s’implanter chez nous, puisque les coûts seraient trop importants pour leur permettre d’être concurrentiels en termes de prix.

Tesla

Qu’on soit pour ou contre l’électrification, Tesla revient toujours dans le portrait quand on parle de véhicules électriques. Cependant, qu’est-ce que le constructeur californien nous réserve en 2025? D’abord, le Model Y redessiné fera son entrée dans le marché. Cette nouvelle a d’ailleurs déjà été confirmée avec le lancement du modèle sur le site web chinois du constructeur, il y a quelques jours.

Ensuite, certaines rumeurs mentionnent que le fameux modèle abordable pourrait enfin voir le jour. Bien sûr, si l’on se fie à la rapidité avec laquelle les modèles arrivent sur le marché après leur présentation, il y a fort à parier que son arrivée sur le marché ne sera pas demain la veille.

Nouveauté et disparition

Comme c’est le cas chaque année, un dossier spécial est actuellement disponible sur notre site web ; il regroupe tous les modèles disparus et qui n’ont pas survécu au-delà de 2024. Du côté des nouveautés, plusieurs constructeurs profiteront de la nouvelle année pour introduire de nouveaux modèles. Bien sûr, il faudra s’attendre à ce qu’une grande partie de ces véhicules soient à motorisation électrique.

Nous vous invitions à nous suivre de près pour connaître toutes les nouveautés qui seront annoncées au cours de l’année par les différents constructeurs d’automobiles.

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Stellantis pourrait annuler la variante à longue autonomie du Ram 1500 REV

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Ram accuse un retard en termes de camionnettes électriques. GM et Ford, deux de ses principaux concurrents, offrent actuellement des versions électriques de leurs camionnettes populaires. Ram expliquait toutefois que sa riposte devait arriver sous peu sur le marché. Cependant, certaines informations laissent entendre que le manufacturier annulerait déjà une variante de son futur Ram 1500 REV.

Seulement une batterie

Initialement prévu en deux versions, avec une autonomie pouvant atteindre 800 kilomètres, le modèle se concentrera désormais sur une seule variante, offrant jusqu’à 560 kilomètres d’autonomie, selon les informations du média Automotive News.

Cela signifie que seule la batterie de 168 kilowattheures sera disponible, tandis que celle de 229 kilowattheures disparaîtra des options. Cette décision, annoncée aux fournisseurs, intervient alors que le constructeur automobile retarde le lancement du REV pour privilégier le Ramcharger, la version hybride à prolongateur d’autonomie de la camionnette.

Pourquoi ce changement?

Selon une source, Stellantis s’adapte aux réalités du marché et aux attentes des consommateurs. En proposant un modèle hybride plus polyvalent, le constructeur vise à séduire un public plus large, tout en réduisant les coûts de développement liés à une version électrique à très longue autonomie.

Des retards à venir?

Tim Kuniskis, à la tête de Ram depuis décembre, a justifié le report du lancement du pick-up électrique REV par une évolution rapide du marché. Dès son arrivée à la direction, il a réalisé que les attentes concernant l’électrification avaient changé.

« Il y a quelques années, l’enthousiasme autour des véhicules électriques était à son apogée », a-t-il expliqué à Automotive News. « Tout le monde prédisait une adoption massive. » Cependant, le marché a évolué, et les consommateurs manifestent désormais des préoccupations quant à l’autonomie et à l’infrastructure de recharge.

Pour répondre à ces nouvelles attentes, Ram a alors annoncé l’accélération du lancement du Ramcharger. Selon Kuniskis, ce modèle représente une sorte de « juste milieu » : il offre les avantages de l’électrification (réduction des émissions, performances) tout en rassurant les clients réticents grâce à un prolongateur d’autonomie à essence.

« Le Ramcharger est conçu pour les personnes qui aiment les moteurs à combustion interne, mais qui souhaitent faire un pas vers l’électrification », a précisé Kuniskis. « C’est un camion qui allie le meilleur des deux mondes. »

« Heureusement, nous n’avons jamais arrêté le développement de ce Ramcharger », a déclaré Kuniskis. Le PDG a aussi ajouté : « Tout le monde va le faire ; ils vont tous le copier. Alors, battons-les sur le marché avec notre invention. »

Rappelons que les commandes des clients pour le Ramcharger débuteront au premier trimestre de cette année.

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[VIDÉO] Le monde en musique!

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Quels artistes sortiront de nouveaux albums en 2025? Quelle musique est écoutée dans le monde en ce moment? Prépare tes oreilles, car on se lance dans un petit tour du monde musical!

AS

 
Les as de l’info est un quotidien spécialisé pour enfants et une initiative des Coops de l’information. Ce contenu est partagé avec le portail régional ilesdelamadeleine.com, grâce au financement du gouvernement du Canada.

Tu veux lire encore plus de nouvelles? Viens nous voir sur lesasdelinfo.com
Psst! On a aussi une section spéciale pour les profs!

Cadillac hausse la performance avec LYRIQ-V 2026

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Lorsque Cadillac a décidé de faire le pas dans l’électrification, les ambitions étaient grandes. En effet, le constructeur avait l’intention d’offrir un VUS électrique de luxe dans chacune des catégories. Aujourd’hui, nous sommes forcés d’admettre que le fabricant a joint le geste à la parole avec les nombreux nouveaux modèles présentés au cours des dernières années. Dans une suite logique, Cadillac franchit un nouveau pas dans l’électrification avec le dévoilement de son tout premier modèle de la série : le LYRIQ-V 2026.

Performance au rendez-vous

Comme c’est le cas des autres modèles de la série V de Cadillac, le degré de performance du Cadillac LYRIQ-V 2026 est rehaussé, par comparaison avec les autres versions. Alimenté par une batterie de 102 kilowattheures qui lui confèrent une autonomie de 458 kilomètres, ce VUS compte 2 moteurs électriques qui développent une puissance de 615 chevaux, produisent un couple de 650 livres-pieds et lui assurent une transmission intégrale. Selon Cadillac, le LYRIQ-V 2026 serait capable de boucler le sprint de 0 à 96 kilomètres/heure en 3,3 secondes avec le mode Velocity Max en fonction.

Afin d’arrêter toute cette masse, Cadillac a équipé le LYRIQ-V 2026 de freins de marque Brembo de série. Selon le fabricant, ces derniers seront en mesure de résister et d’offrir un niveau de freinage supérieur, même en condition de conduite sportive. Les consommateurs auront le choix entre deux coloris pour les étriers de freins : bleu ou rouge.

Cadillac mentionne aussi vouloir offrir une expérience de conduite unique en intégrant des sonorités distinctives à l’intérieur et à l’extérieur du véhicule. Au moment d’écrire ces lignes, nous n’avons pas eu l’occasion de découvrir les sonorités en question.

Un design distinctif

Afin de distinguer le Cadillac LYRIQ-V des autres versions, le constructeur y apporte certaines caractéristiques de design uniques. Sans surprise, il se présente avec un caractère plus sportif. Les boucliers avant en noir cristal intègrent un éclairage chorégraphique exclusif à Cadillac, tandis que des garnitures en fibre de carbone sont aussi offertes en option. Les bas de caisse sont aussi exclusifs à ce modèle de la série V, tout comme la jupe située dans la partie inférieure du pare-chocs avant. De série, le LYRIQ-V 2026 est muni de roues de 22 pouces chaussées de pneus d’été. On nous indique cependant que les consommateurs pourront opter pour des pneus toutes saisons en option. Plusieurs choix de peintures seront offerts, dont une limitée, tandis que le toit viendra peint en noir de série.

Du côté de l’habitacle, Cadillac mentionne qu’elle reprend la majorité des éléments présents que nous connaissons dans le LYRIQ. On parle ici de la chaîne audio AKG à 23 haut-parleurs, de l’immense écran de 33 pouces qui prend place dans la planche de bord ainsi que du toit en verre panoramique. Là où le modèle V se distingue, c’est du côté de l’habillage. Les matériaux utilisés viendront renforcer le caractère sportif de l’extérieur. Par exemple, le dossier des sièges en cuir arbore des broderies en forme de V. De plus, Cadillac mentionne que le Cadillac LYRIQ-V 2026 bénéficiera de sièges uniques avec bourrelets pour les dossiers et les coussins à réglage électrique. Selon l’information reçue, ces derniers assureront un meilleur maintien latéral en conduite sportive.

Le Cadillac LYRIQ-V 2026 entrera en production au début de l’année 2025 à l’usine de Spring Hill, située au Tennessee, aux États-Unis. Au moment d’écrire ces lignes, la gamme de prix canadienne n’a pas encore été annoncée. Cadillac mentionne qu’elle sera dévoilée à l’approche de la commercialisation du véhicule.

Plus de détails :

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Kia rappelle plus de 7 400 Sorento au Canada pour un problème logiciel

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L’année 2025 débute en grand avec déjà quelques rappels importants du côté des constructeurs d’automobiles. Cette fois, c’est autour du constructeur sud-coréen Kia qui rappellera 7 404 exemplaires de son populaire VUS intermédiaire, le Sorento. Il s’agit du 3e VUS le plus vendu de Kia avec 9 646 exemplaires vendus au Canada ; le Seltos demeure en tête avec 18 706 modèles vendus.

Le rappel touche les Kia Sorento produits en 2024 et 2025 en raison d’un problème logiciel potentiel. Ce problème pourrait entraîner l’extinction inattendue des phares et des feux arrière, ce qui pourrait augmenter le risque d’accident. Par conséquent, les véhicules ne répondent pas à certaines exigences de la réglementation canadienne. Selon le communiqué de Transports Canada, des phares et des feux arrière qui ne fonctionnent pas correctement réduisent la visibilité, ce qui rend le véhicule moins visible pour les autres et augmente le risque d’accident.

Aux États-Unis, le rappel vise également 74 469 véhicules.

Le problème touche les modèles équipés du moteur à essence ainsi que ceux à motorisation hybride et hybride rechargeable. Pour le moment, Kia n’a répertorié aucune collision ou blessure en raison de ce problème.

Kia avisera les propriétaires au cours des prochaines semaines. Les propriétaires devront rapporter le véhicule à leur concession qui mettra à jour sans frais le logiciel du module de contrôle.

Équipé de 3 rangées de sièges, le Kia Sorento 2025 est vendu au Canada à un prix de base de 41 767 $. Il est équipé de série d’un moteur à 4 cylindres de 2,5 litres qui développe une puissance de 191 chevaux. Le modèle avait été visé par deux rappels en 2024, un qui touchait son système d’alimentation en carburant, l’autre, sa direction.

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Dune 2 brille parmi les nominations aux Oscars

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Après avoir été reporté à deux reprises en raison des incendies qui ravagent Los Angeles, le dévoilement des nominations aux Oscars a finalement eu lieu ce 23 janvier.

Le film Dune: Deuxième partie, du cinéaste québécois Denis Villeneuve, n’est pas passé inaperçu, obtenant cinq nominations, dont une dans la prestigieuse catégorie du Meilleur film.

Mettant en vedette des acteurs de renom tels que Timothée Chalamet, Zendaya, Austin Butler et Florence Pugh, l’œuvre est aussi en compétition dans les catégories des meilleurs décors, du meilleur son, des meilleurs effets visuels et de la meilleure photographie.

Getty Images

De plus, un autre film fait rayonner le Canada en s’illustrant dans la catégorie du Meilleur film documentaire, soit Sugarcane: Les ombres d’un pensionnat, du réalisateur Julian Noise BraveCat.

Cependant, c’est le drame musical Emilia Pérez, réalisé par le cinéaste français Jacques Audiard, qui domine cette année avec un impressionnant total de 13 nominations.

Félicitations à tous les nommés, et tout particulièrement à Denis Villeneuve et son incroyable équipe, à commencer par Tanya Lapointe, qui se retrouve donc elle aussi en nomination à titre de productrice aux côtés de son amoureux dans la Catégorie du Meilleur film!

 

Pêche exploratoire au homard : plus de 260 demandes déposées

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Pêches et Océans Canada a reçu 261 demandes de pêcheurs individuels de l’Est-du-Québec désirant mettre la main sur un permis de pêche exploratoire au homard dans les zones 17 et 19.

Les demandes, provenant des pêcheurs individuels du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie, de la Côte-Nord et des Îles-de-la-Madeleine, sont cinq fois plus nombreuses que les 53 permis qui leur seront délivrés par le ministère fédéral.

En décembre, Pêches et Océans Canada a annoncé l’ouverture d’une pêche exploratoire totalisant 4500 casiers dans la zone 17 et 7750 casiers dans la zone 19.

Dans la zone 17, qui entoure l’île d’Anticosti, les pêcheurs individuels des trois régions maritimes du Québec ont déposé 160 demandes, mais seulement 18 permis de 125 casiers seront distribués équitablement entre les trois zones.

Ces demandes des pêcheurs individuels excluent les neuf permis communautaires de 250 casiers réservés aux Premières Nations de l’Est-du-Québec pour la zone 17. Le processus d’attribution des permis communautaires destinés à l’usage des Premières Nations s’effectue quant à lui en parallèle, indique par courriel Pêches et Océans Canada.

Nombre de demandes de permis déposées par des pêcheurs individuels pour la zone 17

Dans la zone 19, qui s’étend désormais du Bic à la pointe de Forillon, 101 demandes ont été déposées par les pêcheurs individuels de la région maritime Bas-Saint-Laurent–Gaspésie, qui étaient les seuls visés par l’avis d’intérêt.

Pêches et Océans délivrera au maximum 35 permis de 100 casiers aux pêcheurs individuels. Les communautés autochtones se verront quant à elles attribuer 17 permis de 250 casiers.

Nombre de demandes de permis déposées par des pêcheurs individuels pour la zone 19

Un engouement attendu

Les associations de pêcheurs de la Gaspésie ne sont pas surprises de l’engouement entourant ces nouveaux droits de pêche exploratoire.

Il n’y a pas grand monde dans le secteur des pêcheurs au Québec actuellement qui ne souhaiterait pas avoir de permis de homard, lance le directeur de l’Office des pêcheurs de crevettes du Québec, Patrice Élément.

Il va y avoir beaucoup d’appelés et très peu d’élus.

Une citation de Patrice Élément, directeur général de l’Office des pêcheurs de crevettes du Québec

De son côté, le directeur général du Regroupement des pêcheurs professionnels du nord de la Gaspésie affirme que tous ses membres ont déposé une demande pour mettre la main sur un permis exploratoire. Le regroupement compte une trentaine de pêcheurs de poisson de fond, essentiellement des turbotiers.

Beaucoup de pêcheurs voient la pêche exploratoire [du homard] comme une avenue assez intéressante, indique Jean-René Boucher. On sait qu’avec 100 casiers, ça ne deviendra pas la pêche principale de tout le monde, ça ne sera pas la principale source de revenus, mais ça pourrait venir aider à compenser, sans remplacer complètement, les pertes de revenus de la pêche au turbot.

M. Boucher avance deux raisons qui peuvent avoir contribué à gonfler le nombre de demandes de permis.

C’est sûr que certaines personnes qui ne remplissaient pas les critères ont probablement posé leur candidature, affirme-t-il. Et puis, les pêcheurs de turbot ont pour la plupart fait une demande autant du côté de la zone 17 que de celui de la zone 19.

Flétans du Groenland dans une cuve.

Selon des chiffres préliminaires, moins de 20 tonnes de flétan du Groenland, communément appelé turbot, ont été pêchées en 2024. Il y a une dizaine d’années, les débarquements frôlaient les 4000 tonnes dans l’est du pays. (Photo d’archives) Photo : MPO- Claude Nozères

Pêches et Océans Canada priorisera les Premières Nations, les pêcheurs de flottilles en difficulté et ceux de la relève dans l’octroi de ces permis de pêche exploratoire.

Le ministère fédéral n’a toutefois pas dévoilé les critères et les mécanismes utilisés dans l’attribution des permis à l’intérieur de ces groupes prioritaires.

Ça demeure très nébuleux du côté des pêcheurs et des associations, déplore Jean-René Boucher. Est-ce qu’il y aura des critères qui seront utilisés pour prioriser certains pêcheurs en difficulté par rapport à d’autres? Et si oui, quels seront ces critères?

Des maquereaux.

Les pêcheurs de poissons-appâts, comme le maquereau, le hareng de printemps, la plie rouge et la limande à queue jaune, ont été touchés par des moratoires dans les dernières années. (Photo d’archives) Photo : Gurcan Ozturk/AFP/Getty Images

De leur côté, les pêcheurs d’appâts des Îles-de-la-Madeleine espèrent qu’ils seront les premiers à recevoir les permis réservés à l’archipel madelinien pour la zone 17.

Selon l’Association des pêcheurs d’appâts des Îles, cinq pêcheurs touchés par le moratoire sur la plie rouge et la limande à queue jaune imposé en 2023 sont toujours en difficulté, sans autre permis de pêche.

Le directeur du Rassemblement des pêcheurs et pêcheuses des côtes des Îles, Charles Poirier, précise que les associations de pêcheurs de l’archipel ont obtenu un consensus pour recommander l’octroi des permis exploratoires aux pêcheurs d’appâts.

On était unanimes. Ça va aider ces pêcheurs-là, lance M. Poirier.

Les équipes s'activent, fébriles, tout juste avant le départ.

Pour être admissibles à l’obtention d’un permis de pêche exploratoire, les pêcheurs de l’Est-du-Québec ne devaient pas détenir de permis de pêche au homard, qu’il soit commercial ou exploratoire. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Jean-Francois Deschênes

Les détenteurs d’un permis de pêche au homard n’étaient pas admissibles à cette nouvelle pêche exploratoire. De plus, les titulaires de permis de pêche au crabe des neiges pourraient être disqualifiés du processus pour certaines flottilles, qui n’ont pas été nommées par Pêches et Océans Canada.

Les permis de la discorde?

Le directeur général de l’Association des capitaines-propriétaires de la Gaspésie (ACPG) affirme déjà que le processus d’octroi de nouveaux permis de pêche exploratoire fera beaucoup de déçus.

Claudio Bernatchez espère que le partage de ces droits de pêche exploratoire ne créera pas de divisions dans la communauté des pêcheurs, mais il cite déjà trois éléments qui risquent de créer des vagues.

Il y a des frictions qui se sont manifestées dans les derniers mois par rapport à l’équité entre les flottilles en difficulté. Est-ce que le partage sera fait en fonction de la réalité de chacune? demande M. Bernatchez. On espère que ça ne viendra pas créer de bisbille entre nos membres.

Le directeur de l’ACPG soulève également les craintes soulevées par les pêcheurs commerciaux déjà en activité dans les zones où de nouveaux permis exploratoires seront délivrés.

Il y a aussi un problème qui s’est développé concernant la priorité donnée aux communautés autochtones qui ont eu le loisir de choisir avant les pêcheurs non autochtones où elles souhaitaient exercer leur activité de pêche, ajoute M. Bernatchez.

Tout ça contribue à un mélange potentiellement explosif dans nos milieux pour les mois à venir […]. Souhaitons qu’à terme, on conserve la paix sociale dans le monde des pêches de notre région.

Une citation de Claudio Bernatchez, directeur général de l’Association des capitaines-propriétaires de la Gaspésie

Pêches et Océans n’a pas précisé à quel moment il comptait dévoiler l’identité des titulaires de permis.

Les pêcheurs espèrent, quant à eux, des réponses au plus tard au début du mois de février, afin de se préparer convenablement à l’ouverture de la saison, qui a habituellement lieu au début de mai.

 

LA UNE : Les permis exploratoires visent à acquérir des données pour déterminer si le stock de homard est suffisant pour soutenir un plus grand effort de pêche. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

 

Top-4 : Matthews avec un bâton de gardien, Reaves et Olivier jettent les gants, 3 buts pour Fantilli…

Quatre matchs étaient présentés hier dans la LNH.

Et il y a eu de l’action… Surtout à Toronto !

Allons voir ce qui s’est passé :

1 : Match de fou à Toronto… Et vous allez comprendre pourquoi

Les Blue Jackets surprennent cette saison.

Ils étaient en visite à Toronto hier soir pour y affronter les Leafs, et Ryan Reaves et Mathieu Olivier en ont profité pour jeter les gants au début de la rencontre.

Un VRAI combat de colosses :

C’était la première fois que Reaves et Olivier se battaient ensemble dans la LNH.

Et ils ont donné tout un show !

Après la rencontre, Auston Matthews a un peu lancé les fans des Leafs sous l’autobus. Il aurait voulu que la foule soit plus bruyante après le combat :

Le capitaine des Leafs a dit que ça avait donné de l’énergie à son club… Mais la formation de Toronto n’a jamais été en mesure d’en profiter.

Les Leafs ont perdu 5-1 et le joueur du match, c’est vraiment Adam Fantilli.

Le jeune a inscrit son premier tour du chapeau en carrière dans la LNH :

Il y a eu une séquence pendant le match qui mérite toutefois d’être partagée.

Il y avait une mêlée devant le filet des Blue Jackets, si bien que Matthews et Elvis Merzlikins ont perdu leur bâton.

Résultat ?

Matthews a ramassé le bâton de Merzlikins et ça a donné droit à une séquence assez drôle.

Les deux ont été chassés (2 minutes) pour avoir joué avec un autre bâton :

Une grosse victoire des Blue Jackets, qui sont en pleine course pour les séries éliminatoires en ce moment.

Ça va bien à Columbus !

2 : Malgré le brio de Makar…

L’Avalanche peut se vanter.

La formation a plusieurs (très) bons joueurs dans son alignement et hier, on a vu ce que certains d’entre eux peuvent faire sur une patinoire.

MacKinnon a marqué pour atteindre le plateau des 75 points (!) et Cale Makar a inscrit un filet tout simplement magnifique en tombant :

Mais on s’entend sur une chose.

MacKinnon et Makar sont excellents, mais ils ne peuvent pas tout faire seuls.

Le pointage était égal en fin de match et la prolongation a été nécessaire pour déterminer un gagnant… Et du côté des Jets, c’est Neil Pionk qui s’est levé.

Le défenseur a marqué pour permettre à son club de l’emporter 3-2 : 

3 : Lourde perte pour les Devils

Les Bruins n’ont eu aucune chance contre les Devils hier soir.

La formation du New Jersey l’a emporté par la marque de 5-1 et Dawson Mercer s’est démarqué en inscrivant deux buts.

Il a été nommé première étoile du match et il l’a mérité :

Malgré la victoire… On retient aussi du négatif dans le match du côté des Devils.

Jacob Markström a dû quitter la rencontre après s’être fait rentrer dedans par Justin Brazeau et sur les images, on voit à quel point il avait de la difficulté à se relever.

Ça ne sent pas bon pour le gardien…

Il faudra attendre pour avoir des nouvelles de Markström, visiblement.

Mais à première vue, on peut craindre le pire…

4 : Une autre victoire des Kings à domicile 

Cette saison, les Kings sont pratiquement intraitables à la maison.

Cela a encore été le cas hier soir : Darcy Kuemper a été brillant devant son filet en arrêtant 27 des 28 lancers auxquels il a fait face et il a aidé son club à gagner 2-1 contre les Panthers.

Les deux buts des Kings ont été inscrits en troisième période : 

Les Panthers avaient une chance de créer l’égalité en toute fin de match… Mais Kuemper n’a rien voulu savoir.

Il a joué un gros match :

Les Kings ont maintenant une fiche de 15-3-1 à domicile cette saison.

Pas mal !

Notons aussi qu’il s’agit d’une dixième victoire en onze matchs pour la formation de Los Angeles.

Prolongation

– Oh.

– J’adore.

– Ça va de soi !

– Les meilleurs pointeurs de la soirée :

(Crédit: LNH.com)

– Ça va être occupé ce soir :

(Crédit: Google)

[VIDÉO] «Blague à Port!» – P’tite vite no 6

Joe le pêcheur, conteur Madelinot, charme son public avec ses récits imprégnés d’humour et d’embruns marins. . Ce vieux loup de mer utilise ses histoires comme toile de fond pour créer des situations à la fois cocasses et absurdes pour divertir et faire rire son public.

©bedecomics 2024

Monsieur le ministre des Finances, pouvez-vous nous donner une pause?

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Les voitures coûtent cher, extrêmement cher même. Avec un prix moyen à l’achat des véhicules neufs au Canada qui dépasse les 60 000 $ et d’occasion au-delà des 35 000 $, le marché n’aura jamais été aussi coûteux pour nous, simple mortel en quête d’une machine pour nous déplacer.

À titre de journaliste automobile, il m’arrive donc maintenant plus fréquemment de conseiller à des automobilistes en quête d’une bagnole abordable de se tourner vers le marché de l’occasion. Un marché qui est intéressant, car, comme nous l’expliquons souvent, les véhicules d’aujourd’hui sont bien construits et durables. Il peut devenir alors avantageux de chercher un bolide d’une dizaine d’années, de le payer comptant et de pouvoir garder plus d’argent dans nos poches.

Voilà que nous apprenions, il y a quelques mois, que le ministre des Finances, Éric Girard, désirait rendre l’acquisition d’un véhicule d’occasion plus coûteuse, du moins pour les personnes qui souhaitaient acheter un véhicule de 10 ans ou plus. En effet, via la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ), le ministre des Finances a fait passer l’âge en deçà duquel les voitures sont assujetties à la taxe de vente du Québec (TVQ) de 10 ans à 14 ans depuis le 1er janvier, et cette situation me fâche royalement.

Come on

Pour bien comprendre ma frustration, je vais vous rappeler les événements et comment cette augmentation de l’âge des véhicules dans le Guide d’évaluation (surnommé « black book ») continuera de nous appauvrir.

Si vous avez déjà acheté ou vendu une voiture d’occasion, vous êtes au fait que, lors de la vente, l’acquéreur doit payer une taxe au moment d’immatriculer le véhicule. Cette taxe, basée sur la déclaration du coût d’achat, est chiffrée en fonction de la somme la plus haute entre le prix de la transaction déclaré et le prix inscrit dans le Guide d’évaluation.

D’avoir augmenté l’âge du black book est, à mes yeux, un élément majeur qui change la situation. Pourquoi? Simplement parce qu’une voiture de 10 ans est probablement beaucoup plus saine qu’une autre de 15 ans. Alors, pour un automobiliste en quête d’avoir une bagnole efficace et peu coûteuse, le défi sera plus grand parce que la SAAQ pourra toujours se fier au Guide d’évaluation pour vous faire payer le plus de taxe possible, et alors, augmenter le coût de la transaction.

Viser les mauvaises personnes, pour les mauvaises raisons

Entre vous et moi, ce n’est pas tout le monde au Québec qui a les moyens d’acheter une voiture neuve, et c’est bien correct ainsi. Il n’est pas non plus nécessaire d’avoir deux véhicules récents dans une maisonnée ; parfois, ce dont on a besoin, c’est d’une seconde voiture pour dépanner.

Cette voiture peut donc avoir quelques années derrière la cravate, et tant qu’elle est bien entretenue, l’idée d’avoir une automobile âgée devient clairement rentable. Avec cet ajustement, le ministre des Finances, Éric Girard, désire récupérer de l’argent perdu avec des ventes faites à un prix déclaré inférieur à la valeur marchande des véhicules sur les routes. Selon le ministre, le Québec se priverait d’un revenu potentiel de 15 millions de dollars. Revenu Québec prévoit donc récupérer 15 millions de dollars dès cette année et 60 millions de dollars par année au cours des 4 années suivantes pour un total de 255 millions de dollars.

Ça l’air bien beau sur le papier, mais, dans la vraie vie, je trouve cela aberrant. Nous avons, à titre de société, dépensé des centaines de millions de dollars dans les subventions pour électrifier notre parc automobile, ce qui a aidé des automobilistes plus nantis à s’offrir un véhicule électrique souvent plus luxueux, mais nous ne sommes pas capables de donner une pause de taxation à des gens qui cherchent à faire attention à leurs dépenses? C’est ridicule.

Le véhicule a déjà été surtaxé de toute façon!

Ce qui me met le plus en colère, c’est le fait que l’augmentation de l’âge des véhicules augmentera simplement le nombre de fois qu’un véhicule d’occasion est taxé au Québec.

Faisons rapidement l’histoire typique d’une voiture sur nos routes. Un automobiliste achète une voiture neuve, celle-ci sera taxée par la TPS et la TVQ. Après son premier propriétaire, cette dernière sera rachetée par un autre pilote qui, lui, devra payer alors la TVQ et la TPS si le véhicule est acheté d’un marchand. Ensuite, le troisième propriétaire devra lui aussi repayer la TVQ sur le véhicule, et ce, jusqu’à ce que le véhicule célèbre ses 15 ans.

N’en avons-nous pas assez à un moment donné? J’ai comme l’impression que les automobilistes au Québec en font déjà suffisamment en termes de taxation et de redevances. Extraire le jus d’une bagnole d’occasion a ses limites, surtout si l’on considère que les voitures sont encore nécessaires pour la plupart des Québécois et des Québécoises.

Écœurantite aigüe

Je suis un amateur de voitures, il m’arrive souvent d’acheter des véhicules d’occasion pour m’amuser et explorer ma passion. Résident de la Ville de Québec, je vais devoir cette année payer 60 $ de plus par plaque d’immatriculation comme la Ville a décidé d’augmenter les frais d’immatriculation dans la Capitale-Nationale, et en plus, je vais devoir payer le plein prix de la TVQ lors de chaque achat de véhicule que je vais faire dans la prochaine année.

J’ai comme l’impression qu’on essaie de plus en plus de rendre ma passion difficile à apprécier, et ce, pour des raisons obscures. Je comprends que la perte de revenu de l’État en lien avec l’électrification des transports et la diminution des revenus en lien avec la taxe sur l’essence amène les gouvernements à trouver de nouvelles manières de refouler les coffres, mais pouvons-nous donner une pause aux gens comme moi qui font leur possible pour y arriver?

Je suis bien au fait que la TVQ appliquée sur une voiture de 13 ans ne sera probablement pas très élevée, mais elle sera plus élevée qu’auparavant et combinée à un prix moyen à la hausse, la facture sera inévitablement plus difficile à avaler. Trouvons de réelles solutions, et arrêtons de piocher sur la tête des gens s’il vous plaît!

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