Suroît : Pour qui la mer n’a d’importance

Publicité

Articles similaires

Des années difficiles en vue, selon Diane Lebouthillier

Diane Lebouthillier demande aux élus de la région de...

Alexis Deschênes confirme qu’il représentera le Bloc québécois

L’avocat et ex-journaliste gaspésien Alexis Deschênes a confirmé jeudi...

Saison touristique record à l’Île-du-Prince-Édouard en 2024

La saison touristique 2024 à l’Île-du-Prince-Édouard a établi de...

La pêche aux coques à la pointe à Frank, une performance au phare du Borgot et un coucher de soleil à Belle Anse… Petite escapade madelinienne avec le groupe Suroît.

Véritable pilier de la musique acadienne depuis 40 ans, ce groupe aux racines traditionnelles explore les différentes influences musicales que l’on retrouve dans ce coin de pays qu’ils chérissent tant. Au fil du temps, Suroît s’est produit un peu partout dans la francophonie mondiale, faisant ainsi la promotion de la musique et de la langue acadienne.

Pour qui la mer n’a d’importance est tiré de leur dernier album, Bercer l’Amer. En mai dernier, cet album leur a valu le prix Éloizes « Artistes de l’Acadie du Québec ». Les prix Éloizes récompensent le dynamise, la qualité et l’originalité du travail des artistes professionnels de l’Acadie, ainsi que le travail et la contribution d’individus et d’organismes qui favorisent l’avancement de l’Acadie.

suroit_2

« Présent dans le paysage acadien et aux quatre coins du monde, Suroît a coloré d’embruns madeliniens l’imaginaire de son public. Depuis sa création en 1977, le groupe a exploré plusieurs courants musicaux reliés à leurs origines acadiennes : folklore, cajun, bluegrass, chansons françaises, country, pour ne nommer que ceux-là. Leur musique évoque la mer, la pêche et le fait acadien.

Musiciens multi-instrumentistes ils déploient, partout où ils se produisent, l’énergie du suroît, ce vent du sud-ouest qui, apporte le beau temps. Un violon, une guitare électrique, une mandoline, le rythme des pieds et des os apportent une brise de fraîcheur à la musique traditionnelle.

La fougue des grandes tempêtes en mer… et le calme des couchers de soleil sur une plage des Iles-de-la-Madeleine sont autant d’évidences et d’oppositions que la musique de Suroît.»

Source : Suroît 

 

Crédits : La Fabrique culturelle – Télé-Québec Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine