De l’océan à l’assiette, la douleur du homard en question

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Depuis janvier, il est interdit en Suisse de plonger le homard vivant dans l’eau bouillante sans l’avoir étourdi au préalable, ainsi que de le transporter sur de la glace ou dans l’eau glacée. La communauté scientifique est cependant divisée sur la capacité du crustacé à ressentir la douleur.

Parmi la poignée de produits de la mer que les consommateurs peuvent se procurer vivants, le homard est l’un des plus populaires. Les Canadiens consomment plus de 50 000 tonnes de produits du homard chaque année et le sort que l’on réserve au homard préoccupe de plus en plus les amateurs de ce crustacé. Ce questionnement est à la source de la loi entrée en vigueur en Suisse l’hiver dernier. Le législateur suisse s’est basé sur les travaux du professeur Robert Elwood de Belfast, en Irlande du Nord, pour justifier cette mesure.

LA UNE : Plus de 50 000 tonnes de produits du homard sont consommées au pays par an. Photo : Radio-Canada